Indicible Ch 03

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Tout va vite, très vite, je perds pied.
3.5k mots
4.59
3.7k
0
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 01/21/2023
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- Ecoute chienne, je ne suis pas là pour perdre mon temps. A toi de choisir, est ce que tu veux jouer avec Eva et retourner à ta vie inutile entre les moments où elle te sifflera, ou bien vivre en permanence en accord avec ce que tu es et t'épanouir à chaque instant?

- Alors? (je le sens courroucé)

- Oui Monsieur

- Quoi Oui Monsieur?

- Oui je veux être à Vous, Votre esclave dressé Monsieur.

Je m'entends dire ces mots, sans même avoir eu conscience de vouloir les dire, ni même le décider. Je n'ai pas le contrôle de mes pensées. Je réalise que je suis une éponge et que c'est son désir que je restitue. Je suis sous emprise. Moi je ne sais pas. Pire encore, assomé, je réalise qu'en fait j'ai toujours été ainsi. Subtilement, inconsciemment, jamais de façon aussi évidente. Je comprends son attitude comme celle de Eva. J'ai une image de moi qui est complètement fake. Je suis effondré intérieurement.

Mes pensées abyssales sont interrompues par un magistral coup de pied entre mes cuisses, écrasant mes couilles et mon sexe, me coupant le souffle, m'envoyant au sol. Rideau noir sur mes yeux, mais l'ordre fuse de me remettre à genoux. Ce que je fais bien entendu malgré la douleur et ma perte de sens. Tremblant de tous mes membres. Les coups suivants provoquent le même résultat, mon bas ventre n'est qu'une énorme souffrance, je pleure, je crie, mais ne fait pas un geste pour me défendre. Mes couilles sont gonflées et bleues.

Enfin je reste à genoux sans nouveau coup, Monsieur m'ordonne d'ouvrir les yeux. Il a sorti son magnifique sexe et se caresse à me regarder. Il me donne l'ordre de me faire jouir devant lui. Avec stupeur je constate que mon sexe est dur comme l'acier, et malgré la douleur profonde et lancinante, je reste allongé au sol et je jouis très vite. Sans qu'il ait besoin de me demander, une fois les spasmes de plaisir apaisés, je me mets à 4 pattes pour nettoyer le parquer de ma semence puis me remettre en position, l'esprit à peine plus calme.

- Bien, c'est la dernière fois que je te pose la question. Si tu réponds oui, tu n'auras plus aucun contrôle sur rien. Veux tu être mon esclave que je dresse à ma guise?

- Oui Monsieur (en fait je suis incapable de lui répondre non, incapable même de penser, tout se mélange. Je me dis que je fais une grosse erreur, mais en même temps c'est tellement fort, excitant, sentiment de vivre quelque chose)

- Bien pour commencer tu vas me chercher ton téléphone portable. Tu le déverrouilles et interdiction de mettre un contrôle d'accès. Tu ne l'utilises que pour moi ou suivant mes instructions.

J'obéis bien entendu, et je reste là à ses pieds tandis qu'il le manipule longuement. Je n'ai rien d'extraordinaire donc je ne suis pas stressé.

- Donne moi un nombre entre 1 et 532 chienne

- Euh... 217 (en réponse je reçois une gifle monumentale)

- Quand tu t'adresses à moi c'est toujours avec toutes les formes de politesse. Et tu ne parles que quand je t'interroge, jamais sinon. Compris.

- Oui Monsieur, Bien Monsieur

- Voilà tu comprends vite, tu as cela dans le sang. Je l'ai senti déjà au téléphone quand nous nous sommes parlés. Donc 217. Voilà Aurore Lupia. Qui est-ce

- Une cliente Monsieur

- Ah oui tu fais quoi?

- Du conseil en communication de crise Monsieur

- Bien tu faisais, un esclave ne travaille qu'au service de son Maître

- Vraiment Maître, mais je...

- Je ne t'ai pas posé de question, je ne t'ai pas demandé ton avis, et oui je suis sérieux. Tu viens de gagner ta première punition et tu vas voir que ta soirée de samedi était plus un gala de charité qu'autre chose!

- Oh Monsieur, pitié Monsieur.

- Tu aggraves ton cas. Bien donc le numéro que tu as choisi est celui de tes contacts à qui j'ai envoyé tes photos avec la mention pour lui demander si elle est intéressée! Non tu te tais. Que tu comprennes que tu ne peux plus revenir en arrière. Jamais. Sinon tu es gravement grillé auprès de toutes tes connaissances, famille et autre. De toute façon au niveau professionnel tu n'en as plus besoin. Est-ce que tu comprends?

- Oui, Oui Monsieur

Je coule. Je ne voulais qu'une relation sexuelle. Enfin je crois, et là d'un coup je bascule sans plus rien contrôler. Mon Dieu, je suis terriblement gêné qu'Aurore reçoive ce message, d'autant qu'il a rajouté des photos de moi à genoux à ses pieds ou me masturbant ou léchant mon sperme. Quelle honte. Les larmes coulent, je voudrais tout arrêter. Monsieur me montre l'email que je sois bien conscient que ce n'était pas une plaisanterie.

- Voilà qui est bien, je crois que tu as compris la situation n'est ce pas?

- Oui Monsieur,

- Rassure toi, je ne vais pas tatouer esclave sur le front, ce serait vraiment vulgaire.

- Merci Monsieur

- Tu regrettes?

- Oh non Monsieur.

- Peut être qu'un jour tu me supplieras, je saurais alors que j'ai fini mon dressage. Oh ta cliente est réactive, elle a déjà répondu. Un seul mot : Ecoeurant! J'aurais oensé qu'elle ne répondrait pas. Cela doit quand même l'exciter un peu!

Oh Mon Dieu, pourquoi cela m'arrive, de mon propre chef. Jamais Monsieur n'a demandé quelque chose. Je me suis mis tout seul dans cette situation. Peut être Eva pourra m'aider. Monsieur m'a demandé ses coordonnées, mais elles sont dans mon répertoire de toute façon. Je me suis fait hypnotiser.

- Bien, je te résume donc la situation, tu as accepté d'êre mon esclave, que je te dresse à ma guise, tu devras obéir et je t'apprendrai à ne jamais hésiter. Tu t'es engagé après avoir joui, après avoir été battu, j'en conclus que tu es sincèrement un esclave maso et que tu l'as compris. Est-ce que j'ai bien résumé la situation?

- Oui Monsieur (je m'enfonce mais je ne sais pas répondre autre chose, son magnétisme est si fort tout comme la boule dans mon ventre. Je suis juste effondré, paniqué, mais en même temps je me dis que c'est une personne connue et respectée, que je ne risque rien de bien grave)

- Parfait. Pour commencer je vais t'enfermer dans un dispositif de chasteté stricte, tu vas voir c'est remarquable, et ensuite nous sortirons pour que tu reçoive ta première punition en public. C'est toujours plus marquant. Je te rappelle, pas un mot, jamais sans que je ne t'y autorise, aucune hésitation quand je te demande quoi que ce soit, une obéissance aveugle et passionnée. Je vois que tout cela te plaît, ton sexe est si dur, profites en, tu ne vas pas le revoir de sitôt, et il n'aura sans doute plus cette fierté.

Alors que toute ma vie ma libido ne m'a pas particulièrement travaillée, voilà que le jour où elle explose, je vais me retrouver enfermé dans une cage de chasteté, quelle ironie!

D'un sac qu'il a amené, Monsieur retire une boîte assez lourde contenant la cage. Je n'en ai jamais vue, sinon sur mes recherches de ces derniers jours, mais elle me semble vraiment très différente de ce que je croyais. Deux anneaux sont maintenus l'un devant l'autre par deux tiges métalliques, de chaque côté des anneaux. Le plus gros, qu'il m'installe avec difficulté, est épais, peut être 1 centimètre, large de 3 centimètres, et le diamètre intérieur me paraît limite pour être posé à la base de mon sexe. Pourtant il introduit une couille, écrase une autre sans tenir compte de mes cris pour la faire passer. Il tire la peau puis presse la couille de toutes ses forces. La douleur m'a fait débander et il en profite pour faire passer mon sexe lui aussi dans l'anneau principal qui maintenant est collé contre mon pubis et enserre fortement la base de l'ensemble de mon sexe.

- Je l'ai choisi plutôt petit, voire très petit, que tu le sente en permanence, que la contrainte soit lourde et douloureuse. Il pèse près de 600 grammes en plus, tu sentiras le poids entre tes cuisses. Mais il reste à faire.

Si mes couilles sont séparées par une des tiges maintenant les deux anneaux rivés l'un à l'autre, mon sexe est introduit dans le petit anneau qui est positionné exactement en face de là où émerge mon corps calleux. Le petit anneau est assez épais mais étroit, et mon sexe n'a aucune chance de rentrer dedans. Enfin c'est ce que je crois. Monsieur prend de l'huile, pousse mon meat dedans, sachant qu'il ne passe pas. Sans hésiter, il prend une pince plate pour saisir la partie de mon méat qui émerge, et tire fermement, m'arrachant des cris stridents. Il n'en a cure, il est concentré sur sa tâche. Et moi je ne fais rien malgré le douleur dans mon sexe.

D'un coup le méat passe, il continue à tirer jusqu'à ce que tout ma tige soit passée. La pression du petit anneau est très importante et je crains que cela ne coupe mon irrigation sanguine. Mais je ne me permets pas d'émettre le moindre mot. Je réalise avec horreur que le petit anneau est muni de 4 pointes que Monsieur visse dans ma chair tendre, je hurle, je me tords, mais je ne fuis pas, je me permettrais pas. Les 4 vis semblent enfoncées profondément, elles n'affleurent même pas, mon sexe ne bougera pas. Il est ainsi épingler. Tout me fait mal, j'essaie de respirer le plus doucement possible.

- Si je te laisse ainsi, tu mourras en quelques jours. Ton méat est complètement comprimé, aussi je vais t'insérer un plug urétral que tu vas garder en permanence et qui va te permettre de pisser normalement.

C'est une longue tige en acier, qu'il présente à mon méat et enfile dans mon sexe tout flasque. Il est obligé de desserrer un peu les vis pour le laisser passer, sachant qu'il les resserre ensuite! Je sens la tige progresser profondément en moi c'est quelque chose d'étrange. Quand enfin la tige est totalement enfoncée, le bout qui émerge de mon sexe est évasé pour ne pas pénétrer plus et me permettre d'uriner. Il pose alors la cage proprement dite qui vient s'emboîter à la fois sur la sortie métallique du plug, et se fixe avec un cadenas sur le large anneau qu'il m'a fait passer. La cage est bien trop petite pour mon sexe qui sort par tous les interstices du grillage. Je suis pincé, percé et contraint de façon délirante. Ce dispositif est certes inviolable, mais aussi terriblement sadique. Moi qui avait si besoin de jouir encore.

Mais ce n'est pas fini. Monsieur attache une sorte de filin recouvert de silicone à ma taille, avec un autre filin qui pend entre mes jambes. Il l'ajuste et l'attache à ma cage en passant entre mes fesses, tirant chaque fois un peu plus fort. Mon sexe et mes couilles disparaissent entre mes cuisses, je sens le bout de la cage pousser sur mon anus tandis qu'il sécurise l'ensemble.

- Voilà, marche un peu que je vois. Allez, redresse toi. Très bien, tu vois, tu es une femelle maintenant, tu n'as plus aucun attribut masculin. Et aucune liberté, tu ne peux déféquer sans que je ne t'ouvre. Mais rassurer toi, cela ne t'arrivera plus de déféquer, je vais t'expliquer comment te vider autrement. Je veux une chienne parfaitement propre quand j'ai envie de la prendre.

Marcher étire mes chairs, et je sens bien que tout le paquet est entre mes cuisses que je ne peux plus refermer. Cela devient alors naturel de me mettre à 4 pattes ce qui soulage les tensions. M'asseoir est une torture puisque je m'écrase moi-même mais Monsieur me rassure, assis n'est pas une position d'esclave. Je me demande combien d'heures je suis capable de supporter une telle souffrance dans mon sexe. Monsieur me passe la main entre les cuisses, mes couilles sont saillantes, séparées en deux par une des tiges, comme deux noix, et il joue à les écraser longuement. Mes râles de souffrance semblent lui plaire, je sens mon sexe vouloir durcir mais en vain. Il passe un coup de fil tout en continuant à mes les écraser, je me sens un objet à son service.

- Voilà ce que nous allons faire ma chienne. Ce soir je vais te punir, j'espère que tu te souviens pourquoi, en tous cas je mets un point d'honneur à ce que tu te souviennes de ta punition. Pour ce qui est de ton dressage, je me donne un an. Et dans un an je te proposerai de reprendre ta liberté. D'ici là tu vas rester enfermé dans ta cage, et si tu décides de continue, alors ce sera définitif, et plus jamais tu ne jouiras, ni même ne banderas. Une femelle comme toi n'est là que pour obéir, servir et souffrir. Je veux t'apprendre à être remplie de bonheur quand je suis satisfait, et seulement dans ce cas. Pendant cette année j'aurais eu tout le temps de faire les travaux dans la maison, je suis certain que cela te plaira, de toute façon quel choix as-tu?

Plus jamais jouir? La cage pendant un an? Je préfère bloquer mes pensées et sans l'avoir décidé, je me jette à ses pieds pour les embrasser et le remercier. C'est instinctif, peut être un instinct de survie.

Alors que je ne vais jamais en club, et encore moins en club sexuel, me voici pour la seconde fois dans un club sm, mais gay cette fois ci, en plein cœur du Marais. Monsieur fait sensation en arrivant, cela me convainc que finalement j'ai de la chance d'être à ma place et qu'il m'ait choisi. Il est juste en pantalon de cuir et t shirt noir mais très impressionnant par sa carrure et sa puissance. Il m'a passé un collier, lui aussi trop serré, c'est une drôle de manie. Je suis à 4 pattes, naturellement et cela me convient si bien. Je découvre les lieux, des sous sols sans fin, que des hommes évidemment, beaucoup de râles, de cris, de bruits de fouets. Nous arrivons dans une plus grande salle, avec une grande croix sur un côté. La salle est vide et Monsieur s'approprie la croix en m'y attachant, là aussi bien serré. Je suis sur la pointe des pieds et mon paquet supplicié bien visible entre mes jambes. Il est très douloureux. Il m'indique que c'est le début de ma punition. Une dizaine de mecs sont rentrés et viennent participer au spectacle. Je tremble de peur, de froid, d'inquiétude de ne pouvoir pas supporter. Je sais que je vais souffrir.

J'entends le bruit bien avant de sentir la douleur qui me coupe le souffle et marque en diagonal mon dos. La brutalité est inouïe, rien à voir avec samedi dernier. La souffrance ne s'estompe pas vraiment. Mon cri jailli quelques secondes plus tard seulement. Juste avant le second coup. Puis le troisième. Je me concentre pour les compter, je ne sais pas pourquoi. A 10 Monsieur fait une pause, j'ai la tête qui tourne, les yeux remplis de larme, la gorge déjà éraillée de mes cris. J'essaie de m'offrir mais c'est impossible tellement c'est douloureux, difficile. Je sens des mains caresser mon dos, suivre les boursouflures, peut être est-ce déjà fini?

Je ne suis pas naïf, mais quand même. Monsieur m'assène les dix coups suivants aussi fort, mais sans aucun répit entre. Je suis tendu comme un arc, le souffle coupé, je ne peux rien faire sinon subir et souffrir, c'est juste atroce. Non ce n'était pas la fin, même pas la fin du début. Quand Monsieur décide de marquer l'autre côté de mon corps, cela fait longtemps que j'ai perdu le compte des dizaines de coups reçus. Mes fesses n'ont plus aucune forme, je sens le sang qui dégouline de mes cuisses comme de mon dos, je me sens dans un état d'hébétude avancé. Pas comme la dernière fois, là c'est trop violent, mais déconnecté. Les hommes présents semblent frappés par le dispositif que je subis sur mon sexe, Monsieur explique ce que c'est, que je vais le porter un an ainsi. J'entends des voix me traiter de vraies salopes, de chair à torturer, cela me fait pleurer.

Mon pubis salement étiré est lui aussi bien strié de marques, Maitre me murmure qu'il me fera marquer au fer rouge là. Les coups reprennent, les instruments changent parfois, mais la souffrance diffère peu en fait. Même mes bras sont battus. Cela dure des heures, je n'ai plus de larmes, plus la capacité d'émettre le moindre cri, je ne réagis qu'à peine aux coups qui se suivent.

Pour marquer la fin de cette première période, Monsieur me serre deux pinces crocodiles sur les tétons, je ne réagis même pas à la douleur. Il me murmure qu'il va me doter de très grosses tétines annelées, et que je vais porter une magnifique poitrine pour une chienne comme moi. L'information me fait réagir, je le regarde incrédule, il rit. Je ne veux plus penser, surtout pas à l'avenir. Mais avancer pas après pas. Juste me conformer. J'ai besoin qu'il me prenne dans les bras, qu'il me rassure.

Au lieu de quoi, il me porte jusqu'à un slim suspendu dans l'autre coin de la pièce, sur lequel je suis attaché sur le dos, les jambes repliées sur moi. La lanière tirant mon paquet est détachée, mon sexe respire un peu enfin, dévoilant le supplice que je vis à toute l'assemblée. Je les perçois impressionnés, et certains même gênés, quittent la salle, cela doit être un peu trop pour eux.

Maitre présente son sexe déjà tout dur à mon trou, qui n'a pas été du tout préparé. Je panique, dans la tête, car mon corps, lui, ne bouge pas. Il met un peu de salive, sans doute pour son propre confort et s'attelle à me violer ainsi. Mes cris sont des gargouillis, le plaisir est bien loin, je le sens me déchirer, m'ouvrir en force de son énorme sexe. Des mains me tirent les pinces pour me faire réagir, d'autres écrasent mes couilles offertes, un sexe se présente à ma bouche. Après une longue pénétration, mon cul se lubrifie enfin. Monsieur me prend ainsi pendant une durée infinie, je suis limé, ouvert en deux, je pense que plus jamais je ne pourrais me refermer. J'ai avalé de nombreuses giclées de sperme, je ne les compte plus. Je m'endors parfois, ou alors je perds conscience, je ne sais plus trop. Je ne perçois plus trop ce qui se passe, parfois une douleur plus profonde me sort de ma torpeur, une couille écrasée entre deux doigts puissants, une paire de dent m'arrachant une pince avant qu'elle ne soit remise. Je suis concentré sur ma respiration, stressé par ce collier trop serré. Je perds pied.

Quand j'émerge, je sens que tout est calme. Je suis toujours nu, mais sans le collier, ma cage remise à sa place entre mes jambes, je suis posé dans mon entrée à même le sol. Je me suis pissé dessus et j'ai froid. Je cherche Monsieur, mais il n'est pas là. Je n'ai pas la force de monter dans mon lit, je me rendors ainsi à même le parquet, pleurant doucement sur mon sort.

***

La sonnette résonne, je me précipite pour ouvrir. Cela fait moins d'une semaine que Monsieur s'est installé et je suis déjà aux aguets pour réagir à tout évènement instantanément. Mon corps porte encore es marques de ma première punition, marques profondément gravées dans mon cerveau aussi.

Je me retrouve dans une situation impensée et impensable. En quelques jours, sur une impulsion sexuelle bestiale et incompréhensible, j'ai tout perdu de ma liberté, de ma vie, et même de l'usage de mon sexe. Et cela volontairement, et je dois bien l'avouer, pour mon plaisir sexuel permanent qui ne tarit jamais. Ma vie d'avant me semble déjà un brouillard, une sorte d'illusion, alors que l'évidence est ici et avec Monsieur, dans une vie totalement alternative, dégradante et avilissante mais qui me semble naturelle. Il est vrai que je ne réfléchis plus à rien.

Monsieur m'a donné 24h pour vider la maison de tout effet personnel, ne pouvant garder qu'une seule tenue, soit le jogging que j'ai porté la soirée de la punition, seul pantalon portable avec ma cage de chasteté. Il est ensuite venu s'installer, envahissant ma chambre, mon dressing et toute ma maison de sa présence. Il souhaite diriger les travaux sur place, sachant que les zones à l'étage ne seront modifiées que dans un second temps. Il a commencé à me modeler comme il le souhaite.

Je ne suis pas habitué encore à mon sexe ainsi supplicié entre mes cuisses, ni au gode profond qui me remplit maintenant en permanence, mais ils font partie de moi, de ma vie, et chaque fois que j'y pense, une pointe d'excitation vient torturer mon pauvre sexe.J'ouvre la porte et découvre Eva sur le palier. Ses yeux se dilatent à me voir, sa main se porte involontairement à sa bouche alors qu'elle est sidérée de me découvrir ainsi devant elle. Je ne sais comment me comporter ni quoi dire. Aussi, je ne dis rien et je la fais rentrer, honteux de son fou rire nerveux. Monsieur descend l'escalier pour l'accueillir.

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2 Commentaires
lecocqlecocqil y a environ 1 an

vivement la suite

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Merci pour cette suite, un regal!!!!!

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