Imprudence 1/2

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début de ma nouvelle vie.
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Je venais d'avoir dix-huit ans lorsque je commis l'erreur qui

modifia ma vie.Fille ainée d'un couple qui, pris par ses occupations personnelles, ne s'occupait que peu de moi et de ma petite sœur Hélena, je fis sans m'en rendre compte une erreur qui me fut fatale.

Par internet, j'étais entrée en contact avec un homme qui

me disait n'avoir que trente-cinq ans, et me proposait de le

rencontrer afin de faire connaissance. Je n'avais jamais à ce jour

prêté attention à l'un ou l'autre garçon, et étais restée vierge sans que cela me pèse. Mais je commençais à m'intéresser au sexe après avoir découvert les plaisirs de la masturbation.

L'homme, à qui j'avais imprudemment envoyé sur le net une photo de ma personne, disait avoir envie de me rencontrer, et me fixa un rendez-vous dans un café de faubourg.

Fière de l'intérêt que j'avais sans le vouloir éveillé, j'acceptai de le rencontrer et me fis belle pour ce premier rendez-vous.

Je savais que j'étais une jolie fille, cheveux noirs, yeux bleus, lèvres gourmandes, et un corps qui venait de s'épanouir. une belle poitrine qui serait opulente dès qu'elle aura finie poussée, je fesais déja un bon 90C.J'étais prête à découvrir un monde qui m'était encore inconnu, mais eus soin de cacher la chose à ma famille.

L'homme que je rencontrai ne me déçut pas. Il était blond, souriant, et d'allure sportive. Il sut me charmer, me félicitant pour mon charme, et la conversation qu'il me tint m'empêcha de réaliser le danger auquel je m'exposai. Il commanda pour nous deux cocktails et je goûtai le mien comme si j'en avais l'habitude, sans me méfier le moins du monde.

Malheureusement, je dus m'éclipser pour aller à la toilette, et

quand je revins, je vidai mon verre. Mais pendant mon absence,

l'homme avait déversé dans mon verre une poudre dont les effets furent immédiats. Je perdis connaissance.

Quand je me réveillai, comme pour me rassurer, j'étais couchée

sur un lit avec à côte de moi une jeune femme qui me souriait. Je regardai tout autour de moi, me croyant dans un hôpital. Mais

j'étais dans une petite chambre ont l'unique fenêtre me permit de découvrir un immense parc. La jeune femme, une rousse aux

yeux verts, me caressa alors le front et m'expliqua ce qui se

passait: "Bonjour, Charlotte, puisque c'est ton nom. Je suis heureuse de découvrir que tu es aussi belle que me le disait mon mari. Il a fait un excellent choix, tu seras une recrue de luxe une fois prête à ce qui t'attend" Son mari entra alors et dit à son épouse:

"Voyons, ma chérie, ne perdons pas de temps. Tu sais que pour fin de semaine, il nous faudra présenter cette jolie demoiselle à Victor qui deviendra son maître. Et, je voudrais vérifier l'état de la marchandise, et pouvoir ainsi la préparer à ce qui l'attend. A toi, Janine, de t'en occuper."

Je vis le visage de la femme se durcir. Elle retira le drap qui me

couvrait et me fit me lever. J'obéis sans aucunement me méfier, et une fois debout, je reçus un ordre bref et brutal .

" Et maintenant fous-toi à poil, comme tu vas désormais l'être souvent durant les prochaine années ".

Je refusai avec véhémence, et reçus une gifle en retour. La femme me menaça : « Obéi, ou,je fais venir un garde qui se chargera avec plaisir de t'arracher les fringues.»

Prudemment, je retirai mon pantalon et ma blouse, saisie

subitement d'une frayeur qui ne faisait qu'augmenter.

Janine gronda à nouveau : " J'ai dit à poil, Je veux voir tes nichons et ta fente, totalement à poil!!! "

Je ne m'étais jamais montrée nue à quelqu'un, sauf à ma mère,

évidemment. Mais ici, je sentis que je n'avais pas le choix. Et

honteuse de ce qui m'arrivait, je retirai mes derniers vêtements.

Janine me sourit alors, et me dit:" Mon mari ne s'est pas trompé, T' as de belle mamelles qui n'ont pas encore totalement fini de pousser, Victor ne s'en plaindra pas".

"Couche-toi à nouveau sur le lit, et écarte les cuisses, ça aussi, tu le feras souvent pour le reste de ta vie. J'ai quelque chose à vérifier." Je n'avais pas le choix, et fis ce qu'elle attendait de moi. Son mari s'était approché et sans se gêner, posa sa main sur ma toison et dit à son épouse " N'oublie pas, notre ami Victor veut une femme nue, totalement nue. Il te faudra donc avant ce soir virer tous les poils de sa moule".

Pendant ce temps, Janine avait plongé un doigt dans mon vagin et s'arrêta net, venant de buter contre mon hymen. Le commentaire ne se fit pas attendre " Cette pouffiasse est encore vierge. Tant mieux. Cela augmentera le prix de la transaction " et glissant à ma grande honte un doigt dans mon anus "Là aussi, elle est encore intacte" Mais elle me semble fort étroite, et pour pouvoir satisfaire à Victor, elle devra subir une importante préparation.» Son mari éclata de rire, et lui répondit

"Aucun problème. tu sais que ce sera avec plaisir que je lui éclaterai le fion". Épouvantée par ce que je venais d'entendre, je demandai qui était Victor dont je n'avais jamais entendu parler. Et ce fut Janine qui me répondit " C'est notre meilleur client, et tu seras le troisième achat qu'il fera chez nous".

Indignée, je me redressai et criai « Mais je ne suis pas à vendre. Je veux rentrer chez moi, de suite ou je me plaindrai à la police ». Janine éclata de rire: «Cela me semble fort difficile. Personne ne sait que tu es ici, et dans quelques jours, la police se contentera de te considérer comme une personne disparue, que bien entendu elle ne retrouvera pas. Toute résistance est donc superflue, et nous n'hésiterions pas à te punir sévèrement si tu joues encore à la petite rebelle.

Mais je crois devoir t'expliquer ce qui t'attend. Tu te trouves ici dans une propriété bien isolée, et tu seras régulièrement louée par nos soins à des hommes fortunés, désireux d'éviter des problèmes familiaux, et qui par conséquent souhaitent avoir à leur disposition de jolies femelles qui ne seront jamais susceptibles de leur poser le moindre problème quand ils veulent une chatte dans laquelle ce vidé les couilles. Tu vas donc rejoindre deux autres jeunes filles qui sont dans le même cas que toi et dès ce soir, une fois totalement épilée, tu perdras ton premier pucelage dans les bras de Victor. Et demain, ce sera ton cul qu'il explosera. En fait, tu vas découvrir ici beaucoup de choses dont tu ne soupçonnes même pas l'existence. tu devras accepter de ne devenir qu'un jouet dans les mains de nombreux hommes, te mettre à poil et ouvrir les jambes sur un claquement de doigt, deviendra comme une évidence pour toi, Victor sera heureux de pouvoir louer ta jolie petite chatte à des amis, ou même à des clients de passage. Et pour ma part, je serai heureuse de profiter de l'aubaine. Mais je vais maintenant te faire visiter les lieux où tu vivras désormais.» Je dus me plier à ses exigences. Elle me plaça au cou au collier de cuir, un bracelet à chaque poignet. Elle relia ces bracelets

au collier par des chaînettes métalliques, de manière à bloquer

mes mains à hauteur de mes seins.

« Et voilà, tu es maintenant prête à visiter ton nouveau monde».

Elle donna un coup de sonnette, et un homme vêtu d'un uniforme pénétra dans la chambre. Elle lui sourit et lui dit

« Bonjour Louis, voici la demoiselle dont tu devras désormais te

charger. Bien entendu, lorsqu'elle ne sera pas au travail, tu pourras l'utiliser comme tu le voudras, une fois préparée comme mon mari et moi allons le faire. Je sais quelle partie du corps féminin t'attire plus particulièrement, et je te garantis que tu pourras faciliter l'accès à son cul. Regarde comme elle est serrée par là! Je sais que tu prendras beaucoup de plaisir à élargir cette petite ouverture.» Janine me fit me pencher en avant, présentant mon cul au garde qui n'hésita pas à y glisser un doigt inquisiteur. Je râlais de ne pouvoir m'y opposer, et rougis de honte quand le garde fit son premier commentaire :

« C'est vrai, Madame, qu'elle est étroite. Mais ce sera un plaisir de dilater cette mignonne rosette, après que Monsieur Victor aura comme, il le fait si bien ouvert le chemin.» Janine éclata de rire et conclut « Bien sûr. Nous allons maintenant laisser Florence découvrir son futur paradis. Mais il faudra avant tout la sortir dans le parc, et l'amener là où elle pourra se soulager. Et je ne voudrais pour rien au monde rater ce joli spectacle.»

En fait de spectacle, ils furent servis. Je fus emmenée au fond du parc, où se trouvaient de nombreux arbres. Janine donna un

ordre, et Louis s'arrêta. Il détacha les chaînes du collier, et s'assit

par terre à côté de Janine qui n'avait pas attendu pour s'installer

sur le sol à quelques mètres de moi. Et sans dire un mot, tous

deux me fixaient, s'amusant de ma gêne. Je ne pus attendre et

honteuse comme je ne l'avais jamais été, je laissai se vider mes

intestins. Et ma vessie suivit le mouvement, bien sûr cuisses grande ouvertes. J'étais dans l'incapacité de me nettoyer, et je dus donc ainsi les suivre jusqu'au bâtiment. En fait de bâtiments, il y en avait quatre. Le grand bâtiment où j'étais d'abord entrée, et où se trouvaient réfectoire, bureaux divers, cuisine, salles d'eau et un grand living bibliothèque. On m'y fit descendre dans une cave où se trouvaient plusieurs cages. Deux d'entre elles étaient occupées par de jeunes femmes, nues comme moi. Janine me les présenta

« Tu vas apprendre à les connaître. Voici Léa, la plus jeune, à

peine seize ans. C'est aussi la plus vicieuse. Elle va passer deux

années ici, et plus tard, nous espérons la vendre à un bon prix.

Ce devrait être le cas, car elle a vraiment le vice dans la peau.

Quoi qu'elle prétende, elle adore être punie et préfère ce qui est rare la cravache au fouet.»

Janine ouvrit alors la porte, et me fit pénétrer dans la cage.

Celle-ci, qui faisait au maximum trente mètres carrés, ne

comprenait qu'un lit, une chaise, une tinette et un lavabo. Janine

donna un ordre, et Léa pencha son torse en avant, me montrant

en évidence son cul. Je fus stupéfaite par les dimensions de son

anus, et Léa me parut fière de l'agrandir encore en écartant

davantage ses cuisses. Je n'en croyais pas mes yeux, et Janine se moqua de moi :

« Dans quelques jours, ma chérie, ton trou de cul sera pareil à celui-ci, et acceptera les plus grosses des queues. Tu auras régulièrement à te frotter la chatte contre celle de cette petite pute, en public, et tu verras comme elle est adroite de sa langue, qu'elle se fera un plaisir de te glisser dans le cul.»

La fille qui se trouvait dans la cage voisine était une forte

blonde, bien en chair, des seins énormes et des fesses bien

rebondies. Elle avait les larmes aux yeux en me regardant

« Voici Suzon. Elle pleure parce que dans trois jours elle nous

quittera. Un de nos clients, du Moyen Orient, vient de nous

l'acheter. Elle sait qu'elle se retrouvera dans un pays où les

femmes ne servent qu'au plaisir des hommes, et qu'elle risque de s'y voir mutilée. C'est à dire "bye-bye le clito" et coudre l'une à l'autre les grandes lèvres de sa chatte. Elle ne pourra

plus que se faire prendre dans le cul, et elle déteste cela.

Je vais maintenant te faire visiter un des trois bungalows où se

retrouvent clients et putes, comme vous trois, 20 heures par jour. Tu verras, tout y est prévu. Tu ne t'y ennuieras jamais. Déjà avec Victor, tu y passeras pas mal de temps la semaine prochaine. Ce que je découvris m'ahurit littéralement. Les bungalows m'avait dit Janine étaient semblables, et je fus un peu effrayée de découvrir ce qu'ils étaient en fait. Visiblement, ils ne manquaient de rien pour permettre à un couple de s'y adonner à d'étranges plaisirs. Tout se passait au niveau du rez-de-chaussée : un petit hall y donnait sur une grande chambre munie d'un lit géant, de nombreux miroirs. Il y en avait même au plafond. Séparée de cette chambre par un muret, une salle de bains offrant un jacuzzi, une douche, un bidet et une immense vitrine présentant toute une gamme de sex-toys : godes de toutes dimensions, boules de geisha, cravaches, fouets divers, pinces; rien n'y manquait. Cachée derrière un paravent, il y avait aussi une toilette. Mais il y avait aussi de l'autre côté du hall une salle dont le contenu était explicite : une croix de Saint André, un pilori, un carcan, plusieurs chevalets de différents modèles, un fauteuil pour examens gynécologiques, une machine à baiser. Plusieurs chaînes pendaient du plafond, et de nombreux crochets étaient fixés aux murs. La seule porte de cette salle donnait sur la grande chambre. Pas besoin d'un dessin : je compris tout de suite que très vite j'aurais l'occasion d'étrenner ce qui me faisait penser à une salle ressemblant à celles où œuvrait jadis l'inquisition. Aucune fenêtre. Tout était clos, hermétiquement clos. Janine voyant ma stupeur se mit à rire et fit mine de me rassurer :

« Ne crains rien. Ici, tu pourras hurler ta jouissance à ton aise : personne ne pourra t'entendre car ces murs sont parfaitement isolés. Comme prévu, demain soir tu accompagneras ici Victor, et jusqu'au petit matin, tu découvriras d'étranges plaisirs. Car je le connais : avant de te déflorer, il te fera profiter de tous ces jolis jouets. Il te réchauffera d'abord le cul à main nue, puis, il t'attachera au pilori pour offrir ton corps à la cravache. Et quand tu seras bien échauffée, il te placera sur un chevalet et viendra par derrière te péter la chatte. Quand ce sera fait, il profitera de ton corps selon son inspiration du moment. Mais comme il ne manque pas de ressources, toute cette séance devrait durer quelques heures. Et pour finir la nuit, tu iras avec lui au lit et là, de sa bouche, il te fera jouir. Au petit matin, tu pourras prendre un bain avant de prendre dans le frigo un petit déjeuner qui sera le bienvenu. J'ignore ses projets suivants, mais sais que durant le week-end suivant, il te sodomisera encore et qu'une fois ouverte des deux côtés, il te prêtera aux quelques amis qui seront invités à assister à tes première sodomie. Ensuite, il te ramènera ici où j'établirai ton agenda pour les jours suivants. De nombreux clients, qui ont admiré tes photos envoyer à mon mari, ont déjà réservé une séance avec toi, et je crois que tu ne chômeras beaucoup durant les semaines qui suivront. Je suis convaincue que tu feras une excellente pute, et que notre collaboration sera fructueuse. Pour moi du moins, car toi tu n'auras durant ta présence droit à aucune pourcentage sur tes passe, c'est nous qui avons les frais, toi, tu n'as juste qu'a ouvrir les cuisses et te faire sautée. J'étais littéralement épouvantée. Dans ma naïveté, j'avais imaginé rencontrer un homme qui deviendrait mon amant, et s'en contenterait. J'avais imaginé découvrir l'amour, et je ne découvrais que du sexe vénal, dans un endroit qui me semblait devenir une prison. Bien sûr, je découvrirais certains plaisirs inconnus, mais je venais d'apprendre qu'il me faudrait pour cela accepter certaines souffrances auxquelles je ne m'étais pas attendue. Janine me souriait toujours et me dit :

« Maintenant, nous allons rentrer chez moi, où nous attend mon

mari. Nous allons prendre le dîner, puis nous nous coucherons

tous ensemble dans un grand lit. J'attends avec impatience de

t'enseigner l'art de la pipe qui te sera utile lorsque tu te

retrouveras au lit avec tes futurs clients. Puis, tu me feras jouir en me léchant la chatte, si tu le fais bien, je te rendrai la politesse. Nous essaierons, mon homme et moi, de ne pas trop te fatiguer. Il faut que le lendemain tu sois en forme pour résister aux assauts de Victor, ton futur maître, que tu vas découvrir demain.» Tout se passa comme Janine l'avait planifié. Je fis le nécessaire pour la satisfaire. Après avoir pris en charge son mari et avoir réussi à lui procurer une solide érection, je le laissai décharger dans ma bouche son foutre que je parvins à avaler sans marquer le moindre dégoût. Janine me remercia en s'occupant de mon clitoris, et me procurant deux orgasmes. Elle avait inversé l'ordre de nos actions, et ce fut à moi de lui rendre la pareille. C'était la première fois que je m'appliquais à faire jouir une femme, et ma foi, j'y pris goût. J'étais super excitée et quand par après elle me demanda de lui lécher l'anus, je le fis sans manifester la moindre répugnance. J'en fus félicitée

« Décidément, tu as tout pour devenir une parfaite gagneuse, et Victor en sera heureux.»

Je ne connaissais pas ce qualificatif, et elle dut m'expliquer le

sens de ce mot que je ne connaissais pas. Curieusement, lorsque j'eus compris sa signification, je me sentis fière. Plus sûre de moi aussi. Ce que visiblement Janine attendait de moi ne me rebutait plus. Bien au contraire, j'y trouverais une source de nouveaux plaisirs. Et ce fut presque avec impatience que j'attendis le moment où je découvrirais mon maître, celui qui au final ferait de moi une femme complète.

Fin de la partie 1

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2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 4 jours

Les choses vont trop vite...

Assas78Assas78il y a 4 jours

Trop de fautes d'orthographe.

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