Pros Jusqu'au Bout Des Ongles

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Draguer des filles trop belles peut comporter des surprises.
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Tous les personnages mis en scène dans cette histoire sont majeurs, et toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite.

1

Un peu jetlaguées après quelques 8 heures de vol au-dessus de l'Atlantique, Marion et Vanessa s'étaient attablées à l'intérieur d'un bar cosy, situé dans un coin tranquille de l'aéroport de Roissy. Dans quelques minutes, elles allaient rejoindre leurs voitures garées plusieurs niveaux plus bas et retourner vers leurs vies parisiennes bien remplies, mais pour l'instant, elles faisaient une petite pause dans leurs existences menées à mille à heure depuis quelque temps déjà.

Dècrire les deux filles en juste quelques mots relevait proprement du défi. La meilleure façon serait probablement de dire que dans le monde moderne qui bouge vite, elles étaient à l'identique: deux jeunes startuppeuses de la génération Z, âgées de 26 ans, pleines de confiance et de projets, avec des comptes en banque qui commençaient à être aussi imposants que leur QI. Une réussite matérielle qui ne les empechait nullement par ailleurs d'être des globtrotteuses dont la soif de voyages et de nouvelles découvertes était intarissable. Si le boulot et l'aventure étaient bien leur principal moteur, elles n'étaient pas à court de passions et de talents pour autant. Que ce soit pour le poker, l'escalade ou les sports de combat (elles étaient toutes les deux ceintures noires de Taekwondo) elles avaient de l'énergie et du talent à revendre. Bref, deux nanas fonceuses, touche-à-tout, aux caractères bien trempés, qui dévoraient la vie à pleines dents, en gardant toujours les pieds bien sur terre. Dire qu'elles n'étaient pas venales et ambitieuses aurait été évidemment mentir. Mais il y avait tout de même autre chose chez elles: comme une sorte de gout de la perfection et du travail bien fait, qui est finalement beaucoup moins fréquent par les temps qui courent.

Si le profil des deux copines était donc assez similaire, leur style et leur apparence physique les distinguait d'emblée. Marion était une grande brune énergique avec un visage rond et plutôt jovial, ainsi que des lunettes qui lui donnaient un aspect sérieux et rassurant. Tout chez elle semblait indiquer la bonne copine, pleine d'empathie, à laquelle l'on pouvait se confier sans crainte sur n'importe quel souci. Avec son visage d'ange encadré par des cheveux blonds mi-longs, sa poitrine en poire, ses hanches larges et son corps en sablier, Vanessa faisait davantage office de femme fatale, de fille canon ou dela bombasse, comme disent les djeuns. Avec ses allures de mannequin et son air faussement hautain et distant, elle semblait au premier abord plus froide et réservée que sa copine. Mais ne parle t-on pas de feu sous la glace?

Sur le plan sexuel, sans grande surprise, on avait affaire à des nanas farouchement indépendantes, nouant et menant leurs liaisons (tarifées ou non) exactement comme elles l'entendaient. Elles possédaient en outre cette aptitude, pas si fréquente, de pouvoir cerner très rapidement un mec et fixer presque instinctivement les cadres de leur relation future, si relation il devait y avoir. Pour arrondir leurs fins de mois, qui n'avaient nullement besoin d'être arrondies, elles étaient devenues, depuis peu, escort-girls de luxe et rentraient justement d'un boulot -bien rénuméré-il va sans dire- aux States. Si l'escorting haut de game constituait évidemment leur activité la plus lucrative, ce n'était pas nécessairement la plus importante pour elles. Elles le voyaient davantage comme un simple hobby, parmi d'autres, pour lequel elles avaient tout le savoir faire requis. D'ailleurs, elles étaient toujours un peu blasées de constater qu'en 2024, la société fasse encore et toujours une fixation sur la façon dont les jeunes filles utilisent leurs corps et nouent leurs relations privées. Les deux copines étaient putes, mais aimaient être valorisées pour leurs qualités humaines, leur réussitte sociale ou leur performances sportives, comme on le fait trés naturellement avec les hommes. L'égalité des sexes c'était pas encore tout à fait ça, mais c'est une autre histoire.

Enfin, si elles n'étaient pas exactement le genre de filles que l'on croise tous les jours dans la rue, on avait l'impression qu'elles faisaient paradoxalement tout pour se fondre dans la masse. A commencer par les fringues habituelles qu'elles portaient pour leur voyage : débardeur, jeans, blouson en cuir ou encore lunettes de soleil posées sur le front pour Vanessa. Rien qui n'allait spécialement attirer l'attention, voire qui pouvait même être de nature à indiquer une certaine appétence pour la discrétion.

2

Tout le contraire finalement des deux garçons qui s'étaient approchés de leur table. Bien qu'ayant approximativement le même âge qu'elles, un simple coup d'oeil suffisait pour constater qu'ils ne boxaient pas exactement dans la même catégorie, pas davantage qu'ils ne partageaient le même monde. Mais c'était le genre de détail qui, pour eux, n'avait pas la moindre importance. Ils avaient vu deux meufs canon et puis voilà ; Ils étaient partis pour choper ce soir et ce n'est certainement pas les quelques signaux invisibles "ne pas déranger" envoyés par les deux filles qui allaient les freiner dans leur élan.

C'était le genre d'imprévu que nos deux nanas n'allaient même pas mettre 30 secondes à parfaitement diagnostiquer de fond en comble. Ca sentait les dragueurs un peu lourdingues à plus d'un kilomètre. Si les deux gars ne semblaient pas vraiment méchants, ce genre de non-évenement était généralement synonyme d'ennui et de banalité pour elles. Malgré leurs airs deBad Boys, Fred et Jimmy ne donnaient pas vraiment l'impression d' être des voyous ni même des mecs de banlieue. Enfin, peut-être que si à l'origine, mais ils s'en étaient probablement sortis. Marion pensait plutôt à des jeunes commerciaux, peut-être des téchniciens. Des mecs qui avaient réussi, à leur niveau du moins. Tout chez-eux réspirait la frime, le matérialisme et le fric. Et évidemment, leur approche de la séduction était à l'identique : une tchache un peu arrogante, empreinte d'autosatisfaction et de virilisme. Bref, c'était tout simplement des mecs machos et biberonnés au patriarcat. Originalité quand tu nous tiens.

Marion et Vanessa n'étaient pas des filles que l'on drague, mais même dans le cas inverse, le bide aurait été certainement retentissant. En ciblant des nanas beaucoup trop bien pour eux, ces lascars étaient bien partis pour aller de rateau en rateau et donc de déconvenue en déconvenue, si ce n'était pas déjà le cas. Ils allaient finir sacrément frustrés et l'étaient probablement déjà, comme l'attestait la petite pointe d'agressivité qui pointait sous leurs carapaces faussement cool.

Comme d'habitude, le regard aiguisé de baroudeuse des deux copines était d'une lucidité sans appel à ce niveau. En un coup d'oeil, elles savaient parfaitement qu'au fond, ce qu'il fallait en ce moment à ces mecs, c'était vraiment juste les services d'une professionnelle bienveillante pour les soulager de leur stress bien dissimulé, leur vider les couilles et leur montrer un peu d'affection, au moins le temps d'une soirée. Après ça ils seraient requinqués et bien mieux dans leur peau. Tout en étant peut-être accessoirement un peu moins lourds dans leur approche, on peut toujours rêver après tout.

Evidemment, la comédie sociale leur interdisait en principe de dire tout cela. Mais la vraie question qui se posait maintenant pour les filles, c'était de passer à l'action ou non? Tout était dans leurs cordes évidemment, mais bon fallait-il s'en donner la peine pour autant?

Comme souvent chez elles, leur nature d'ange et le gout de l'aventure prirent le dessus sur le confort et l'égoisme, et malgré une certaine fatigue, c'était comme un défi qui leur était lancé. Défi qu'elles allaient remporter sans le moindre doute ni difficulté, à condition de faire le nécessaire en ayant la bonne approche.

Si elles avaient annoncé la couleur d'emblée aux mecs, ils se seraient probablement fermés ou braqués. C'était beaucoup trop tôt. A ce stade, il fallait faire preuve d'une certaine finesse. Elles savaient d'expérience qu'Il faut toujours un peu de temps et de patience pour emmener doucement le dragueur vers la relation tarifée. Il va commencer à l'entrevoir comme une simple possibilité, avant de l'accepter et finalement de la consommer sans modération en la réclamant à nouveau. Mais bon, ça sera pour bien plus tard.

Les acteurs de la pièce changent à chaque fois, mais le chemin qui mène au but était bien connu des deux filles, ll fallait d'abord faire semblant de rentrer dans leur jeu, avant de prendre l'ascendant psychologique. Ce qui ne serait pas trés difficile dans le cas présent. Donc, c'est en faisant preuve d'enormément de patience et d'empathie, qu'elles se mirent à écouter pendant un assez long moment leurs balivernes, tout en faisant semblant d'être sensibles à leur charme viril. Il fallait maintenant aller subitement à contre-courant et les prendre par surprise.

"Désolé les mecs, si votre objectif c'est qu'on termine en sueur avec la culotte trempée, je crois que vous vous êtes trompés de cibles, on n'en met plus depuis qu'on a 15 ans" déclara spontanément Marion avec une certaine franchise en vérité.

Ils avaient beau rigoler et garder la face, elle a bien vu qu'ils étaient mouchés. Marion 1 garçons 0

Ensuite vient le moment un peu amusant où il faut gentiment ébranler un peu le mâle, déjà moins dominant, dans son identité et sa virilité. Une fois une certaine emprise mise en place, faire marche arrière sera difficile pour le séducteur des centres commerciaux.

"Bon les puceaux, vous passez la deuxième. On n'a pas toute la nuit" s'exclama Vanessa en prenant un ton sérieux.

Les mecs avaient beau être conditionnés à ne pas montrer leur émotions, ils ne purent réprimer une légère surprise. On voyait bien qu'ils encassaient le coup pendant quelques secondes. Il fallait donc passer du froid au chaud rapidement.

"On plaisante les mecs", "allez faites moi un bisou" enchaîna-t-elle directement en montrant sa joue du doigt,

Ce que, pris de court, ils firent mécaniquement et instinctivement. Emprise des filles 10 Garçons 0.

Chez Fred et Jimmy, la surprise avait laissé place à la fascination et au désir. Ils n'étaient plus en état de dragueur maintenant et c'était une bonne chose. Il n'y avait plus qu'à sceller la situation et c'était toujours un petit plaisir (mignon? malsain?) que de guetter ce moment précis ou le dragueur devient client. Elles avaient beau rester très pokerface, elles ressentaient néanmoins une petite poussée de fierté à chaque fois.

"Bon les mecs, avec le mal que vous vous êtes donné on vous fait une remise de 50%. 1000€, 500€ chacune, payés d'avance, pour une nuit entière, anal compris" annonça Marion.

"Ah donc vous êtes..."

"Ah ça oui on est,c'est certain" rigola-t-elle.

"Vraiment scandaleux, ces filles qui n'affichent pas ce qu'elles sont" ajouta t-elle avec sa pointe habituelle d'humour et d'ironie.

Elles étaient finalement assez fières de leur petit tour. Après il ne s'agissait pas de dépouiller le futur client non plus, et elles s'étaient finalement conduites de façon assez fair-play avec eux. Exactement comme les filles, désormais dominantes, mais au fond super sympas et bienveillantes, qu'elles n'avaient jamais cessé d'être.

3

Ce premier cap franchi, c'était dingue comme l'ambiance au sein du groupe se trouvait véritablement détendue d'un seul coup. Les petits rapports de force étaient complétement oubliés maintenant et remplaçés par une situation qui était désormais aussi évidente que sans intérêt à montrer ou à raconter. Avec chacun bien à sa place, c'est la vie qui reprenait ses droits. Et quelle meilleure forme pouvait-elle prendre que la compagnie de deux jeunes filles joyeuses, déconneuses, respirant la vitalité et la bonne humeur, comme l'étaient Marion et Vanessa? En plus, leur comportement toujours très décontracté -voir un peu garçon-manqué- avec leurs clients, avait fini par mettre Fred et Jimmy complétement à l'aise.

Il faut dire qu'elles possédaient une faculté hors du commun à pouvoir passer de façon trés fluide et rapide en mode travail. Elles avaient vu une occasion de se faire facilement un peu d'argent et en face il y avait un gros besoin auquel elles pouvaient efficacement répondre. Donc on pouvait s'entendre et d'ailleurs on s'entendait plutôt bien. Décidement le boulot routinier de 9h à 5h c'était vraiment un truc du passé. Saisir toutes les opportunités, vivre les choses à fond, voilà les filles modernes qu'elles étaient. Et puis bosser n'empêche en rien d'être relax et de bonne humeur.

Les quatre jeunes gens avaient rejoint ensemble le parking de l'aéroport pour prendre la voiture de Marion en direction du grand appartement parisien de cette dernière. Ils s'étaient rencontrés il y a moins d'une heure, mais dans la voiture discutaient comme des vieux potes désormais.

Une fois dans le confort du salon de la jeune startuppeuse, loin de passer aux choses sérieuses, ils étaient peut-être restés deux bonnes heures à jouer à la console et à discuter foot tout en sifflant des bières. Si les soirées entre mecs pouvaient être fort agréables, elles le savaient d'éxpérience, il ne fallait tout de même pas oublier pourquoi ils étaient tous là. Et c'est évidemment Marion qui prit l'initiative de changer le sujet de discussion.

"Alors vous allez être contents les garçons, car lorsque vous nous avez croisés, on rentrait juste de chez un client plutôt friqué et on a des tenues de travail dans notre sac de voyage que vous allez ad-or-er " dit-elle en séparant bien chaque syllabe.

"Et c'est pas souvent qu'on s'habille sexy" rajouta Vanessa.

Le jeu de combat à l'écran pouvant difficilement rivaliser avec un tel programme, les garçons lachèrent les manettes pendant que les filles commencèrent à se changer avec un naturel complet, sans le moindre émoustillement ni érotisme, la pudeur n'ayant plus la moindre signification à ce stade. Fred et Jimmy étaient d'un coup transportés dans un vestiaire de filles, Alors que Marion avait commencé par baisser directement son jeans, Fred ne put s'empêcher de porter son regard surpris sur la belle touffe brune au niveau de son pubis, là où dans son ésprit patriarcal, aurait normalement du se trouver un sous-vêtement.

"Et oui, la culotte c'est un outil de travail de nos jours, mon gars", s'exclama t-elle, en clin d'oeil à son propos de tout à l'heure.

Elles avaient enlevé leurs bottes, leurs hauts et leurs jeans, qu'elles avaient balancés dans la pièce avec une certaine nonchalance et désinvolture. Contrairement à sa copine, Vanessa était intégralement épilée, mais les deux filles étaient relativement épargnées au niveau des petites mutiliations corporelles qu'il est tellement à la mode de s'infliger de nos jours. A l'exception de l'incontournable tatouage en bas du dos, et du banal piercing au nombril, elles étaient finalement presque vierges de toute marque. Incroyable!

Le temps était venu maintenant de troquer leurs confortables, mais très peu glamour, dessous contre des choses beaucoup plus sexy. Au revoir le bon vieux soutif/chausettes et bonjour la lingerie haut de gamme. Marion enfila un ensemble soutien-gorge-culotte assorti de couleur violette, et Vanessa un ensemble noir également assorti. Elles ressemblaient vraiment toutes les deux à des top-models maintenant. Elles étaient absolument splendides, il n'y avait vraiment pas d'autre mot.

L'émoi des garçons était palpable

"Voir Vanessa en culotte ça vaut bien 500€ non?" Rigola Marion.

"Vous êtes des reines", lacha Fred en retour avec une candeur rare.

Fidéle à sa spontaneité et à son naturel, Marion se contenta d'exploser de rire, avant de plier les genoux, et de se pencher en avant en se donnant une bonne claque sur les fesses.

"Ah non, c'est le client qui est roi, moi je suis une prestataire de services avec un gros derrière" répondit-elle, poussant l'humour cette fois jusqu'à l'autoderision.

Avant qu'ils ne passent aux choses sérieuses, Vanessa, ancienne gymnaste de haut niveau, les régala d'un petit spectacle sportif, dont le potentiel érotique était pourtant loin d'être nul. Elle savait toujours parfaitement faire le grand écart et l'appartement de Marion était suffisamment spacieux pour qu'elle y accomplisse quelques Saltos avant et arrière. Elle leur montra enfin quelques roues splendidement exécutées, et termina avec les bras écartés et le genou fléchi, sous une salve d'applaudissements des spectateurs présents.

En réponse à son ovation méritée, elle exécuta spontément une sorte de danse des canards, remuant energiquement son gros popotin avant de lâcher un pet tonitruant sous les rires bon enfant du miniscule public devant lequel elle se donnait en spectacle.

"Et je sais faire le poirier aussi" conclua la farceuse en leur tirant la langue.

La vision de ces deux talentueuses beautés fatales, vétues de leur belle lingerie, était vraiment de nature à mettre l'imaginaire masculin dans tous ses états. Dans ces moments-là, le cerveau mâle, sous l'emprise de la libido et des fortes émotions, ne peut pas s'empêcher de romancer une réalité qui est souvent beaucoup plus prosaique. Si Fred et Jimmy avaient vus d'emblée les filles de cette façon, ils n'auraient peut-être jamais osé les approcher. Dans leurs esprits déformés, c'était désormais deux magnifiques déesses, dotées d'un immense pouvoir, qui se tenaient devant eux, et non plus tout simplement deux jeunes prostituées énergiques faisant des pieds et des mains pour amuser et préparer leurs clients.

De toute façon, les clients en question étaient plus que prêts maintenant, comme le prouvaient les deux bosses fort prominentes qui étaient apparues sous leurs pantalons. Les filles ne s'étaient pas posées la question de savoir comment ils seraient membrés, le détail n'ayant pas tellement d'importance pour elles. Mais maintenant, elles savaient qu'elles auraient largement de quoi faire.

"Je crois que c'est à votre tour d'enlever vos sapes et désolé si on n'a pas de dessous sexy pour vous, proposa Marion toujours aussi blagueuse dans l'âme.

"Et puis on n'est pas trés branchées sur les préliminaires, donc ca ne vous dérange pas si on passe directement aux choses sérieuses?"

Dans l'état où ils étaient de toute façon, la question ne se posait pas vraiment.

Fidéles à leurs réputations de suceuses de choc qu'elles avaient depuis le lycée, les filles accroupies, mais toujours dans leurs tenues de travail, avaient commencé à s'occuper des erections au garde-à-vous devant leurs jolis visages, titillant les glands avec leurs langues percées, avant de les prendre à nouveau à pleine bouche, allant même jusqu'à la gorge profonde. Marion s'était chargée de Fred et Vanessa de Jimmy. De temps en temps, une des filles faisait une pause et l'autre prenait immédiatement la releve, prouvant qu'elles étaient parfaitement capables de faire rentrer simultanément deux étalons bien membrés dans leurs jolies bouches.

Si leur savoir faire oral était évidemment toujours intact, elles sentaient bien, au vu de l'état de leurs partenaires, que le risque d'une soirée se terminant prématurement (du moins dans sa composante sexuelle) était bien réél. Ils prirent alors démocratiquement la décision de faire une petite pause, synonyme d'un retour salutaire à la console de jeu pour les quatre geeks. Mais ce n'était que partie remise de toute façon.

4

Une heure plus tard, ils avaient donc repris les choses là où ils les avaient laissées

Fred était parti avec Marion à l'étage. Allongés sur le lit, ils faisaient un 69. C'est Marion qui en avait eu l'idée, car ça lui semblait de nature à faire durer un peu plus le plaisir, tout en le variant. En même temps, elle l'avait proposé sous une forme de jeu ou le premier qui jouit a perdu. Bon d'habitude elle gagnait toujours, mais Fred s'activait sur son petit bouton, comme s'il avait déviné qu'elle était clitoridienne et ne se débrouillait pas si mal même. Elle continuait quant à elle à faire confiance en son talent oral. Au bout d'un quart d'heure, Marion devait bien se rendre à l'évidence que c'était match nul. Mais elle se rappelait aussi avoir indirectement vanté la qualité de ses prestations anales au cours de la soirée. Il fallait donc passer des mots aux actes.

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