IL - Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Mac Leod avait encore du mal à cerner l'intérêt de la thématique. Cherchait-il à détourner les soupçons en essayant de faire croire que c'est quelqu'un de son entourage, ou qui la connaissait bien, qui avait fait ça? Est-ce un simple jeu pour pimenter la rencontre ou était-il simplement dérangé du plafonnier?

Voulait-il que ses victimes se rappellent de son passage? L'impressionnante queue qui battait la mesure entre ses jambes qu'elles avaient décrite suffisait amplement pour qu'il reste longtemps présent dans leur mémoire et dans leur chair. Car là-dessus elles étaient unanimes, l'organe était démesuré et faisait plus penser à un bras mal placé qu'à un objet de plaisir !

Pour la 1ere par contre il n'était pas vraiment sûr de sa préparation. Elle ressemblait plus à un brouillon, car tous les objets qu'il avait utilisés étaient déjà sur place. Il avait fait preuve par contre d'une grande capacité d'improvisation et d'imagination en les découvrant. Madison Miller était très sportive, une manière pour elle d'évacuer le stress et la pression de son métier dans les sphères de la finance. Elle pratiquait déjà beaucoup lorsqu'elle était à l'université et avait touché à pas mal de discipline, en particulier autour des sports de raquette qu'elle affectionnait.

La flopée de raquettes en tout genre qu'elle conservait dans un de ses grands placards avait toutes ou presque été utilisée à ses dépens pendant son week-end cauchemardesque. Certaines, comme celle du padel, avaient servi à la fesser et le manche de certaines autres avait atterri, parfois en plusieurs exemplaires en même temps, dans son sexe ou dans ses fesses.

C'est la photo d'une balle de baseball finissant d'entrer dans son fondement qui avait, cette fois, retenu son attention. Seule une toute petite partie de la blancheur de la balle apparaissait encore dans cet anus dilaté et on arrivait à deviner avec les quelques très spécifiques coutures rouges de la balle visibles ce qui occupait son fondement. Il avait presque trouvé ce cliché artistique !

Elle qui avait jusqu'alors refusé ses fesses à tout chibre en approche avait du sacrement en baver pour la faire ressortir. C'est avec la batte de baseball qui l'accompagnait, enfoncée en grande partie dans son sexe rougi, qu'il l'avait laissée étendue sur son lit avant de la quitter.

La contrebassiste du jeune trio féminin qui animait le pub venait de démarrer un solo qui faisait vibrer l'auditoire. Mac Leod ne put s'empêcher de détailler les courbes généreuses de cette vedette d'un soir et d'imaginer celles de son opulente poitrine qui vivait au rythme de ses doigts qui couraient fiévreusement sur les cordes. Il était incorrigible ! Il savourait l'instant, leur jazz sonnait vraiment bien.

Après avoir s'être délecté de ce petit intermède, il repartit dans ses pensées. La 3eme victime, Emma Davis, une restauratrice dont l'établissement spécialisé dans la viande situé en centre-ville venait de recevoir sa 1ere étoile du Michelin, était une œnologue avertie. Elle attachait une grande importance aux vins servis à ses tables. C'était une adepte des bonnes bouteilles et sa cave renfermait entre autres un joli panel de grands crus français très appréciés.

Mac Leod n'avait pas compté le nombre de bouteilles qu'il avait vu fichées dans son sexe ou dans ses fesses, le reportage des polaroids était à cet effet très complet. Toutes les tailles y étaient passées, piccolo, chopine, fillette, bordelaise ou champenoise pour clôturer avec un magnum, il avait même eu la délicatesse de commencer par des mignonnettes ! La collection d'Emma Davis était très impressionnante. Heureusement pour elle pas de nabuchodonosor ni de souverain à l'horizon !

La photo qui cette fois l'avait marquée présentait Emma Davis adossée à son lit. Elle avait dans son sexe une bouteille de vin, un rouge, enfoncée par le goulot. Elle était positionnée un peu comme une planche en fitness inversée. Elle pivotait son bassin vers le haut pour tenter de remplir sans renverser avec la bouteille fichée dans son sexe le verre à pied qui était posé devant elle ! Il s'était même demandé si l'agresseur avait trinqué avec sa victime à cette occasion !

Difficile par contre de ne pas dire cette fois que son agresseur n'avait pas fait preuve de savoir-vivre avant de partir, car le grand cru qu'il avait laissé dans son antre à plaisir, un St Emilion de 2010, était une étiquette qu'Emma Davis n'avait pas dans sa réserve. La bouteille, cotée à prêt de 700 euros, était un souvenir qui aura forcément un goût amer. Mac Léod se demandait si elle trouverait le courage de la conserver dans sa cave !

C'était elle qui avait eu le plus de mal à récupérer physiquement, son anus avait feignanté à retrouver toutes ses fonctions et il lui fallut s'astreindre à plusieurs séances d'exercices journalières pendant presque trois semaines pour éviter une petite opération chirurgicale et la pose d'un anneau salvateur. Difficile de s'activer devant ses fourneaux en serrant les fesses à tout va !

Se remémorer ce dernier cas lui donna des envies et il décida de finir la soirée avec un ou deux bons verres de vin. Il finit par trouver au milieu d'une cohorte de bière variée de toutes sortes une bouteille de bordeaux à son goût dans la carte du pub. Il la partagea avec le jeune couple pour les remercier de l'avoir supporté à leur table. Le concert touchait à sa fin. Il n'était pas fatigué et il ira certainement traîner un peu après dans le centre-ville pour respirer les odeurs de Daisytown.

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Lundi 17 avril - 18h15 - Skyland street

IL s'était attablé à la terrasse d'un bistrot atypique. Sa devanture et sa décoration lui donnaient un look à la française très prononcé. Il en avait joué et s'était amusé à passer la commande de son café allongé et de ses deux cookies dans la langue de Molière qu'il commençait à bien maîtriser. L'attitude du serveur le surprit agréablement en ne tiquant pas et en repartant chercher sa commande le plus naturellement du monde.

Il observait très discrètement depuis quelques minutes en lisant son journal la grande baie vitrée de la toute nouvelle salle rutilante de fitness située de l'autre côté de la grande rue. Elle avait ouvert ses portes il y a quelques mois et s'était installée à proximité de la petite zone commerciale du quartier. Leur système de fichier informatique était, comme les autres, toujours aussi mal sécurisé et il avait eu sans problème accès à la liste des adhérents.

Il avait encore en réserve deux ou trois autres femmes repérées plus au sud de la ville dans un quartier assez proche de celui de ses derniers exploits. Mais l'apparition de ces nouveaux acteurs dans l'enquête que ses agissements avaient déclenchée l'avait amené à revoir ses futurs plans et à prendre plus de précautions.

Il ne savait pas encore vraiment qui ils étaient, mais ce n'est jamais bon signe quand on voyait arriver des renforts. Il en était à quatre rencontres et il devait bien se douter que cela allait commencer à agacer les autorités de la ville. Ils avaient l'air de vouloir s'attaquer plus intensément au problème !

Il lui fallait donc changer un peu de secteur pour éviter de croiser un peu trop d'éventuelles patrouilles dans ces anciens quartiers de débauche. Heureusement la ville était grande et il pouvait disposer de nombreux terrains de jeu ! Ce nouveau quartier très récent en bordure de la métropole était encore en partie en friche. Les zones résidentielles sortaient de terre tout doucement. La maison d'Olivia Brown était située dans une partie en pleine construction et ses voisins n'avaient pour la plupart que les fondations de terminées. Un isolement qu'il appréciait !

Olivia Brown était en train de transpirer à grosses gouttes devant la vitre de la salle de fitness sur un tapis roulant défilant à un rythme plutôt soutenu. Il ne comprenait pas trop ces sportifs d'intérieur lors d'une aussi belle journée. Qu'est-ce qui les motivait à venir partager leurs odeurs de transpiration alors que la nature avait tout pour accueillir leurs foulées? Lui il recherchait plutôt les odeurs d'un sous-bois ou la tranquillité de la campagne pour aller effectuer son footing régulier.

Toutefois, il appréciait les sportives, c'était même une des conditions incontournables pour ses partenaires. Il voulait qu'elles puissent être en forme pendant tout le week-end et supporter son rythme élevé. Il ne voulait pas de sac à patates ou de chair flasque entre les doigts, il exigeait de la qualité, que de la qualité, rien que de la qualité en tout point de vue !

Son leggings dessinait subtilement les courbes de ses fesses et le top rose fluo qu'elle portait faisait honneur à sa poitrine. Comme les précédentes Olivia en avait une très belle. Il les aimait bien fournies, lourdes, bien dessinées, fièrement portées, assumées, alléchantes au possible et la sienne, même s'il n'était pas tout prêt, lui semblait parfaite en tout point.

En découvrant ces seins secoués généreusement au rythme de ses foulées IL sut que ce serait elle. Sans être très jolie, elle avait un charme attirant. Il ne recherchait pas forcément ce que l'on pourrait appeler un canon. Sans mettre cet aspect au second plan, il les appréciait surtout vivantes, rayonnantes, pleines de charme et d'énergie.

À 32 ans, après un premier mariage raté dont le divorce avait été prononcé en début d'année, Olivia Brown avait gardé la maison et mit sa moitié dehors. Son poste de directrice de projet dans un grand laboratoire pharmaceutique lui en laissait amplement les moyens.

Elle était engagée dans quelques associations bio défendant une approche de l'alimentation parfois un peu extrémiste. Il n'était pas contre le véganisme en soit, il faisait très attention à son équilibre alimentaire et partait quelques fois sur ce style de recette pour diversifier ces repas. Son facebook était rempli d'articles de toutes sortes défendant la cause animale. Elle ne tombait pas dans l'archétype du bobo engagé bio par effet de mode, mais elle avait, de par son poste de chercheuse, une approche plus scientifique de la chose.

Il y voyait une source d'inspiration merveilleuse. Il bannira lors de leur rencontre au maximum l'utilisation des plastiques et latex en tout genre de ses jouets habituels pour se rapprocher de la nature. Il fera un petit tour au marché le vendredi matin et ira voir son maraîcher favori. Il devrait pouvoir lui fournir tous les produits nécessaires pour passer un week-end des plus délicieux.

IL traîna un peu plus que d'habitude et reprit un second café pour se délecter encore quelques instants des charmes de la belle en plein effort. Il nota que certains habitués du café parlaient français et regretta de ne pouvoir y revenir pratiquer cette belle langue. Ce sera la seule et unique fois qu'il viendra la voir pour valider son choix. Il voulait éviter de traîner dans les zones d'activités de ses futures conquêtes et de laisser trop de signes de présence exploitables ensuite par les enquêteurs.

Quand elle eut fini son footing d'intérieur, il quitta le bar et repartit en vélo. Il était heureux, la fin de journée était d'une douceur agréable. Il avait une petite dizaine de jours pour préparer tranquillement dans le moindre détail sa prochaine rencontre !

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Mardi 18 avril - au alentour de 23h - quartier de Cherryhurst

Lorsqu'il arriva dans le quartier la belle Ashley n'était pas sur le trottoir, elle devait être prise en main et faire profiter de ses charmes à un client. Il décida d'aller patienter devant un grand verre de thé à la menthe dans le petit café situé à proximité.

Mac Leod n'eut pas à attendre longtemps et le thé que lui avait servi la jeune kabyle était encore un peu bouillant lorsqu'il la vit redescendre avec un grand black à ses côtés. L'homme lui tapota délicatement les fesses avant de prendre congé délesté de quelques spermatozoïdes et billets.

Mac Leod fit une croix sur son thé et se dirigea vers elle avant qu'un autre Casanova ne se présente au portillon de sa maison à plaisir. En arrivant à sa hauteur, il vit un beau sourire s'afficher sur sa figure. Il découvrit à quelques mètres à ses côtés une autre marcheuse assez jeune dont le visage était bien moins rayonnant. Son œil au beurre noir et sa lèvre explosée qu'elle avait essayé de masquer avec un rouge à lèvres un peu appuyé résumaient certainement une rencontre avec un client peu délicat !

Ashley remarqua le regard de Mac Leod détaillant les ecchymoses de sa collègue de trottoir et lui donna quelques précisions à voix basse.

- Elle est toute nouvelle, elle vient de prendre la place de la grande Michèle qui est partie vivre un grand amour avec un patron de garage sur le bord de la côte.

- Deux marioles sont passés avant hier lui mettre la pression pour la faire tomber dans leurs filets. Elle n'a pas encore notre répondant, mais on va la former. En attendant, elle joue en doublon pour lui laisser le temps de redevenir présentable.

- Elle est courageuse de venir remettre son popotin sur le bitume aussi vite, remarqua Mac Leod.

- Il ne faut pas rester chez soi, sinon t'es fichu, t'as peur et tu n'arrives plus à affronter la rue, lui retourna Ashley en connaisseuse.

Mac Leod n'était pas là pour régler les problèmes relationnels des gagneuses et revint rapidement à ses préoccupations.

- Alors, des nouvelles? lui demanda-t-il discrètement.

- Va faire la causette avec Hilda, la grande black qui fume un petit cigarillo un peu plus haut, elle est disponible. Méfie-toi de ses mains baladeuses, elles sont redoutables !

Mac Leod la remercia pour sa mise en garde et remonta la rue vers la black énoncée. Elle était adossée contre la vitrine d'un petit magasin de vêtement féminin fermé à cette heure tardive. Elle était très grande et le dépassait presque d'une tête. Sa tenue à dominante rouge tranchait avec sa peau d'un noir intense. Son bustier à lacets rouge sang mettait en valeur une belle poitrine en forme d'obus et était en harmonie avec ses bas. Sa jupe en cuir noir moulante faisait ressortir un fessier cambré à souhait. Ses chaussures à gros talons lui donnaient quelques centimètres supplémentaires dont elle n'avait pas besoin.

- Alors beau gosse tu veux simplement regarder la marchandise ou tu te décides à m'faire la cour, l'aborda la maîtresse femme, en soufflant dans sa direction une petite bouffée de son cigarillo.

- On m'a vanté tes charmes et je n'ai pas pu m'empêcher de venir vérifier, lui répondit Mac Leod.

- Tu veux monter pour constater que l'on ne t'a pas raconter des bobards ou tu préfères me tenir le crachoir sur le trottoir?

- Enquille l'escalier je marche dans tes pas, lui retourna Mac Leod pour couper court à la négociation.

Arrivé dans la chambre de la belle, Mac Leod ne lui laissa pas le temps de mettre la main sur ses bas morcifs. Il ne voulait pas la tromper sur ses intentions et démarra sans attendre sur l'affaire.

- Ashley m'a dit que tu étais spécialisé dans les chibres hors norme. Tu as rencontré de vrais phénomènes ces derniers temps?

- Ah c'est toi le flicard curieux qui traîne ses questions.

Mac Leod sentit dans le ton agacé de son interlocutrice qu'il n'était pas forcément parti du bon pied. Il se rapprocha d'elle pour caresser sa poitrine et glissa entre ses deux obus un beau billet pour adoucir leur relation. Sans vraiment paraître apprécier le geste, Hilda profita de sa proximité pour, d'une main ferme et habile, venir lui mettre la main au paquet.

Étonnement, en constatant que le service trois-pièces qu'elle tâtait était au format grand garçon, elle retrouva le sourire et son amabilité. Son caleçon bien garni semblait être un sésame plus efficace pour faire parler cette diablesse que quelques monnaies sonnantes et trébuchantes. Les réactions de ce groupe de putes continuaient à le surprendre, elles étaient vraiment hors-normes.

- Tu as parlé d'une queue de cheval, je crois. J'ai monté un braquemart de ce calibre il y a quelques années, quatre ou cinq ans maxi j'dirais.

Hilda continuait à tripoter l'entre jambes du jean de Mac Leod tout en racontant son histoire. Ce dernier la laissait débiter ses souvenirs et ne voulait pas l'interrompre, mais l'annonce de cette vieille rencontre ne lui disait rien de bon.

- Il avait un chibre qui ne s'oublie pas, une de ces queues qui restent gravées dans votre mémoire et dans votre sexe. Il ne savait d'ailleurs pas trop s'en servir la première fois. Il a même fini par me l'avouer, toutes ses conquêtes fuyaient à grandes enjambées lorsqu'elle découvrait la taille monstrueuse de son instrument.

- J'ai pris les choses en main et je lui ai appris à s'en servir et surtout à ne pas mettre tout son équipement dans le sexe de ses conquêtes pour éviter de les entendre couiner comme des folles.

- Tu l'as vu souvent, tu te souviens un peu de lui physiquement, relança Mac Leod en sentant la bougresse patiner avec sa mémoire.

- Je monte tellement de monde mon biquet que je serais incapable de t'le décrire, j'ai plus la mémoire des bites que des visages !

- Il a dû venir me voir trois ou quatre fois et je croyais en avoir fait un client régulier, mais il a disparu de la circulation. J'ai dû être trop bonne pédagogue et il a dû penser que sa formation était terminée. Dommage j'aurai bien joué plus longtemps avec ce beau spécimen.

- Que te dire d'autre, il était grand et plutôt fin, mais ça ses victimes ont déjà du te le dire, ajouta-t-elle en venant prendre la tête de Mac Leod pour la plaquer entre ses deux seins.

- Et toi mon biquet, tu sais te servir de la vipère de broussaille qui habite ton caleçon? lui demanda-t-elle en caressant de plus belle la bosse de son pantalon.

- J'ai eu une journée extrêmement chargée et je vais me la jouer plutôt paresseux en te donnant les clés de la voiture.

- Ne t'inquiète pas pour ça mon biquet, j'adore être aux commandes et m'occuper du manche, lui retourna-t-elle en le poussant de manière autoritaire sur le lit.

Mac Leod se laissa faire, il sentait qu'Hilda avait fait le tour de la question et qu'il n'en tirerait rien d'autre pour l'instant. Il fallait laisser la mémoire travailler. Il n'avait jamais été spécialement attiré par les blacks, mais la fermeté de ses nibards était un argument de poids. Il ne laissait jamais échapper une occasion de partie de jambe en l'air !

Après avoir sorti son engin qui commençait à se sentir à l'étroit dans son habitacle en coton, Hilda lui fit prendre forme avec quelques coups de langue experts. Elle engloutit ensuite tout son chibre sans problème dans sa bouche gourmande. Ce qui surpris Mac Leod, il était rare qu'une de ses partenaires arrive aussi facilement à gober son braquemart d'un seul coup, elle devait s'y reprendre à plusieurs fois en général. Elle avait une sacrée technique et maîtrisait parfaitement celle de la gorge profonde. Il n'y avait pas que son sexe qui avait de belles capacités d'accueil !

La suite fut menée de main de maître. Elle vint le chevaucher et l'accueillir dans son antre juste en écartant le string rouge qui recouvrait tout juste les grosses lèvres de son sexe glabre. La partition ne laissa pas Mac Leod sur sa faim et il fit un don assez généreux à sa robe de chambre en latex lorsque, après une longue chevauchée, les coups de reins de sa partenaire s'accélérèrent sans retenue.

Il prit rapidement congé et alla, pour la remercier, retrouver Ashley qui papotait avec sa jeune et sévèrement décorée collègue. Son attitude lui fit penser qu'elle aimerait le revoir. Elle avait ouvert la bouche pour démarrer la phrase, mais celle-ci n'avait pas dépassé la frontière de ses lèvres. Cela n'avait pas échappé à Mac Leod. Du haut de ses vingt-cinq printemps, elle avait déjà tout d'une grande et savait rester à sa place avec le client. Elle devait déjà très certainement balader son popotin sur le bitume depuis un bon moment. Il ne savait pas si c'était pour son coup de langue, pour son herbe ou pour compléter la recette de la soirée, ou peut être pour le tout d'ailleurs, mais qu'importe il se foutait de ses motivations.