Histoire de Laurence: Fin

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Mais il y a eu trop d'hommes ce soir là, même si j'ai joui. A la fin, j'avais mal à l'anus. Et celui qui m'avait fait jouir avait enlevé sa capote ensuite pour se masturber sur moi.

Comme j'étais bondée, je n'ai rien pu éviter. Il m'en a mis partout, et j'ai dû le laisser sécher, sans m'essuyer. Comme Maître Pierre n'a pas voulu que je me douche, ni en rentrant ni le lendemain, je me suis sentie sale comme jamais de ma vie. Je sentais le sexe, la sueur d'homme, le sperme.

C'est insupportable de devoir rester comme çà.

En plus, ils sont rentrés de leur déjeuner avec un homme, un de leurs copains que je ne connaissais pas.. Moi, j'étais attachée au radiateur, avec le pot à côté. Il avait un gros sexe. Il m'a prise en levrette, sur le tapis de la salle à manger, face au canapé où ils étaient assis.

Il m'a prise comme une poupée gonflable, sans s'occuper de moi, en me pénétrant profondément, en passant d'un orifice à l'autre, en me tapant sur les fesses, en me faisant crier.

Et l'autre, bien habillée, bien maquillée, tendrement enlacée contre son mari qui me regardait d'un air lubrique, comme si j'étais la souillon qu'on donne à un valet de ferme. Je la détestais. J'ai réussi à jouir, en bougeant bien mes hanches, et surtout en pensant que c'était Maître Pierre qui était en train de me prendre.

Elle ne le saura jamais, mais j'ai réussi à la cocufier par la pensée, puisque c'est avec l'image de son mari en moi que j'ai joui.

J'étais très mal quand je suis rentrée. En plus, je suis tombée dans les embouteillages du retour de week-end. Je sentais mauvais. J'étais épuisée. Je pleurais. Mais je n'ai pas voulu m'arrêter dans une station service pour me laver ou me changer. Je voulais que mon mari me voie comme ça, habillée en salope, défaite, sale. J'avais envie qu'il me prenne dans ses bras pour me consoler, me dire que c'était fini. Je rêvais d'une douche. Je voulais me frotter, me récurer de partout pour effacer cette odeur.

En fait, il devait être parfaitement au courant. Il a eu l'air inquiet quand il m'a vue, car je ne devais vraiment pas être belle à voir. Mais dès qu'il a su que ça allait quand même, il m'a interdit de prendre une douche et de me changer, même pour m'occuper de mes enfants.

Le soir, dans le lit, j'étais mal. Sous les draps, l'odeur était encore plus forte.

Et mon mari m'a sodomisée, sans me donner de plaisir. Après, quand j'étais endormie, j'ai réalisé qu'il écartait mes jambes et venait sentir mon sexe. Il devait sans doute vérifier que je ne sentais pas le sperme entre les jambes.

De ce côté là, au moins, ça allait : tous les rapports étaient protégés, évidemment.

Je me suis bien remise. Le dressage était très dur, mais son effet était indéniable : j'étais de plus en plus docile vis-à-vis de mon mari, de plus en plus soumise, naturellement.

Le lendemain, après la douche (enfin), j'ai remis mon plug toute seule. Il faisait partie de moi, de ma condition de soumise. Le soir, je l'enlevais avant d'aller au lit, et mon mari choisissait : l'anus, le sexe, la bouche, les mains, les pieds, la position.

J'aimais qu'il dispose de mon corps. S'il le voulait, j'avais un orgasme. J'étais son objet sexuel, ouverte de partout, à sa disposition. Le plus étrange, c'est que cet état se prolongeait naturellement dans la journée, même en son absence. J'étais la parfaite épouse orientale. Je prenais du plaisir à repasser son linge, à ranger ses chaussettes, à cirer ses chaussures. Je ne le faisais jamais avant. On avait une femme de ménage. Et je considérais que ça aurait été déchoir

Là, j'ai même commencé à faire du bricolage, de la cuisine un peu élaborée, de la couture. J'aimais çà, car je le faisais pour lui, mon homme, mon seigneur, mon maître, celui dont j'étais la servante, au lit comme ailleurs. Je le faisais en pensant à lui, à son retour, à la manière dont il utiliserait mon corps le soir.

J'adorais le moment où j'allais me préparer pour lui, me faire belle et sexy. Et le soir quand il rentrait, je me frottais, je mouillais contre lui. Au lit, mon orgasme venait avant le sien, puisque je jouissais très vite désormais. Ensuite, j'ouvrais mon corps au maximum pour lui, je venais à la rencontre de son sexe, je lui disais des mots d'amour et de soumission, que j'étais son esclave, sa servante. Et quand il jouissait en moi, j'adorais son cri, ses saccades. J'étais fière de moi, j'avais joué mon rôle de femme, tel que je l'entendais désormais.

Il m'a dit que le troisième week-end chez Maître Pierre serait le dernier et serait plus court, qu'il m'emmènerait le vendredi soir et viendrait me chercher le samedi soir, directement à la boîte. J'imaginais une sorte de cérémonial. J'avais un peu peur que la difficulté monte encore par rapport à la dernière fois, mais d'un autre côté, j'étais contente parce que ça allait être terminé.

Il m'a dit que Maître Pierre était satisfait de mes progrès, que j'étais presque dressée. Ca m'a fait plaisir. Il m'a dit aussi qu'il y aurait une dernière épreuve, qu'il ne voudrait pas me dire laquelle, mais qu'il fallait que j'obéisse à Maître Pierre, et qu'il était d'accord.

Il m'a habillée sexy le vendredi soir et m'a laissée à la porte de la maison de Maître Pierre. J'ai trouvé son accueil plus sympathique, et celui de sa femme aussi.

Le cravachage des seins s'est très bien passé. D'abord, j'y étais habituée maintenant. Ensuite, j'ai mouillé et me suis ouverte mentalement tout de suite, presque avant même qu'il ne commence à frapper mes seins, comme si j'étais maintenant conditionnée, que le simple souvenir des coups suffisait à me mettre en état de docilité sexuelle.

Sa femme ne m'a pas fait mal pendant le lavement. Et après le godemichet, ils ne m'ont pas sortie nue dans la nuit. On est allés directement dans leur chambre. Quand il m'a embrassée en me caressant les seins, j'ai senti un immense désir gagner mon corps. J'était sensible de partout, je me frottais de partout. Même s'il m'avait caressé un doigt de pied, j'aurais gémi de plaisir.

Jamais, de toute ma vie, je n'avais été dans un tel état de désir. Je sais que ce que je vais dire va être dur à lire pour mon mari, pour mon maître, pour l'homme que j'aime.

Mais j'ai passé avec Maître Pierre et sa femme la plus belle nuit de sexe et de plaisir de ma vie. Je ne compare pas avec le plaisir que me donne mon mari. C'est incomparable, car lui, en plus je l'aime. En plus, c'est irreproductible, car il faut sans doute être trois, et faire précéder cette nuit d'une longue période d'attente et de frustation, comme l'a fait Maître Pierre.

Ca ne peut sans doute arriver qu'au cours d'un dressage, pas dans une relation de soumission avec son maître. Car je savais aussi que c'était la dernière nuit avec lui.

Il m'a fait l'amour lentement, profondément, en me tenant bien. J'ai eu deux orgasmes successifs, ce qui ne m'était jamais arrivé. Sa femme s'occupait bien de moi pendant qu'il me faisait l'amour. Ensuite, on a fait l'amour à trois, vraiment. J'ai pris du plaisir avec sa femme

Pour la première fois, je me suis sentie bi-sexuelle, même si je sais que j'ai besoin d'un sexe en moi. On a fait l'amour une grande partie de la nuit, de toutes mes manières possibles. Maître Pierre était endurant, et on utilisait aussi des godemichets. On ne s'arrêtait que pour recommencer. Il restait dominateur, mais acceptait que les soumises s'occupent de lui.

C'était de la baise pure, bien faite, respectueuse. Le seul regret que j'ai eu, c'est qu'il n'y ait pas eu un homme supplémentaire, une bitte supplémentaire. J'aurais aimé être prise encore plus, avoir une double pénétration. J'étais merveilleusement bien quand je me suis endormie, le corps détendu par les orgasmes.

On a recommencé au réveil, presque dans le sommeil, naturellement. Je ne sais même pas qui a commencé le premier. Après, on est allés déjeuner, tous les trois. Sa femme et moi avons passé un long moment dans la salle de bains, à nous maquiller mutuellement, à rire, à nous embrasser aussi, à parler comme des filles, complices.

Elle m'a même demandé des conseils pour les pipes, car elle avait remarqué que Maître Pierre appréciait les miennes. Moi, je lui ai demandé des conseils sur comment donner du plaisir à une femme. Ensuite, tout a été à recommencer, car nous avons douché Maître Pierre. Je lui ai fait une pipe sous la douche, en y mettant tout ce que je sais faire. J'ai aimé boire son sperme.

Au déjeuner, j'étais habillée très sexy, elle plus chic. Et dans la voiture, je suis montée derrière. C'était ma place. C'est son homme, son maître, pas le mien. Le mien, c'est mon mari. Le déjeuner a été très gai, très détendu. Je me sentais bien. J'ai tendu ma jambe à Maître Pierre sous la table pour qu'il la caresse. Après, nous sommes allés en ville, et il m'a emmenée chez un tatoueur.

Là, je me suis raidie. Maître Pierre m'a dit que mon mari m'avait sans doute dit de lui obéir en tout, qu'il était d'accord. J'ai quand même eu un doute. Il m'a dit de l'appeler sur mon portable si je voulais vérifier.

J'ai compris qu'il disait vrai. J'avais déjà remarqué le tatouage que portait sa femme sur le pied. Il m'a dit que c'était sa marque. Qu'il l'avait apposée d'abord sur sa femme, puis sur les dix autres femmes qu'il avait dressées depuis. Que je serais la 12e à porter cette marque en France, la marque des femmes dressées par Maître Pierre. Et m'a répété que mon mari était d'accord pour que je porte aussi sa marque, à vie.

Je ne veux pas décrire ce tatouage. Il est placé à un endroit du corps, sur le pied, très visible en sandales, en escarpins, ou sur la plage. Et même s'il est petit, sa forme est particulière. Je ne voudrais pas qu'à cause de moi, les autres femmes qui le portent puissent être identifiées comme des soumises dressées par Maître Pierre, si par hasard quelqu'un qui lit ces lignes croise l'une d'elles un jour. Mais ce tatouage, désormais, je le porte, et j'en suis fière. Et j'adorerais croiser un jour une femme qui a le même.

Après le tatouage, nous sommes revenus chez Maître Pierre. Il m'a prise en photo avec un Polaroïd. En fait, il a pris trois photos. Moi, habillée sexy. Moi, nue et les bras en l'air dans la position où il m'a plusieurs fois cravachée les seins. Moi, assise, nue, jambes écartées, avec le pied où je porte mon tatouage au premier plan pour que cette marque soit bien visible sur la photo.

Ensuite, il est allé chercher un album et l'a ouvert : les onze autres femmes étaient là, à commencer par la sienne, plus jeune qu'aujourd'hui, et avec les trois mêmes postures en photo. Il a collé les trois photos sur une page, m'a demandé d'écrire mon prénom, de dater et de signer.

Je l'ai fait avec joie, avec fierté. J'avais rejoint les autres. J'appartenais au club des soumises dressées et reconnaissantes dressées par Maître Pierre. Nous avons refait l'amour ensuite, mais avec moins d'intensité.

C'était normal. Je sentais que nous étions dans la phase descendante. Le dressage était fini. Mon véritable maître allait venir me chercher. C'est pour lui que je devais me réserver, désormais. A un moment, j'ai pensé finir en beauté en faisant un foot-job à Maître Pierre avec mon pied tatoué, pour le remercier de tout. Mais j'ai pensé que cette première caresse avec un pied tatoué appartenait à mon mari.

Le soir, nous sommes allés attendre mon mari dans la boîte. Une fois entrés, Maître Pierre m'a demandé de me déshabiller entièrement, et a mis mes affaires dans mon sac. Il m'a repréparée selon le processus habituel, dans une pièce du bas. Ca a été très court. Quelques coups de cravache, et j'étais ouverte. Un peu plus de temps pour le lavement et le godemichet.

Ensuite, on est remontés. On s'est assis sur une banquette, j'étais nue, bien ouverte, lui habillé contre moi et sa femme de l'autre côté. C'est vrai que j'étais un peu alanguie contre lui. Mais ce n'était pas du désir. Ce n'était pas ambigü non plus. Ca me semblait naturel d'être nue comme çà. C'était à la fois de la reconnaissance après les orgasmes qu'il m'avait donnés, et la posture d'une femme ouverte qui a besoin du contact d'un corps d'homme dans l'attente du maître pour lequel elle a été préparée.

Mais quand mon mari est entré et nous a vus, j'ai compris à son visage qu'il s'était mépris sur la signification de mon attitude, comme s'il était jaloux de Maître Pierre. Du coup, la séparation a été rapide et froide. Dommage, j'aurais aimé remercier Maître Pierre pour la manière dont il m'a dressée, dont il m'a aidée à associer soumission et plaisir physique, lui dire que je suis fière de porter sa marque à vie, d'avoir compris grâce à lui que la soumission ne menait pas à la déchéance, mais bien au contraire au bonheur physique et mental si elle était faite par et pour quelqu'un de bien. Si quelqu'un le reconnaît à ces lignes, merci de lui communiquer ce message.

Dans la voiture, mon mari faisait la tête, me disait que Maître Pierre m'avait sans doute bien baisée pour que je sois dans cet état. Moi, je lui répondais qu'il m'avait préparée pour lui, qu'il ne m'avait pas touchée ce soir, ni aucun autre, afin que je ne désire que mon mari et maître. Il s'est arrêté dans un chemin. M'a fait descendre de la voiture, m'a couchée sur le capot, a relevé ma jupe et m'a sodomisée très fort. Comme j'avais été ouverte par le godemichet, je n'ai pas eu mal. Mais pas beaucoup de plaisir non plus. Je me disais que ça lui passerait, que j'avais toute la vie maintenant pour lui prouver que j'étais sa soumise.

En rentrant, la baby-sitter qui gardait nos enfants m'a regardé d'un air bizarre. Ma robe blanche était noire sur le devant : la poussière du capot. Elle m'avait vu partir la veille avec cette même robe ultra-courte, puis mon mari revenir seul.

L'inverse ce soir : mon mari était parti seul, puis revenu peu de temps avec moi dans la même robe souillée. Elle est jeune mais pas bête. Je présume qu'elle se pose des questions, ou a peut-être compris. Je m'en fiche complètement. J'assume. Ce que je ne savais pas, c'est que mon mari me réservait encore une épreuve en ce mois de juillet, la dernière, et peut-être la pire de toutes.

Les jours suivants se sont très bien passés. Mon mari a vite oublié Maître Pierre (peut-être se sont ils expliqués au téléphone), et j'ai tout fait pour lui prouver qu'il n'avait rien à craindre de moi, qu'il était mon seul maître. Ca m'a fait très plaisir de constater quand je lui ai fait un foot-job qu'il a joui en regardant mon pied tatoué, comme s'il considérait que ce tatouage ajoutait à son plaisir.

Mi-juillet, nous avons descendu nos enfants chez la mère de mon mari, et nous les rejoindrons en août. Ca fait vraiment du bien de se retrouver à deux : on peut faire l'amour quand on veut, où on veut, dormir le matin ou faire l'amour au réveil sans qu'un enfant ne vienne dans notre lit, ou que l'autre pleure pour réclamer son biberon.

J'ai remarqué que mon mari adoptait progressivement les pratiques de Maître Pierre (je ne lui en ai pas fait la remarque de peur qu'il croit que je considérais qu'il copiait Maître Pierre). Il a acheté une cravache, une poire à lavement. Quand il me donne la cravache sur les seins, ça me fait le même effet qu'avec Maître Pierre : je fonds immédiatement, et j'aime bien avoir les seins un peu douloureux le lendemain, car ça me rappelle ce qui s'est passé. La poire, c'est très pratique, et beaucoup plus propre.

Il n'y a que la préparation de l'anus par le port prolongé du godemichet que mon mari ne veut plus pratiquer. Nous avons essayé. Il m'a dit qu'il rentrait trop facilement, et qu'il se sentait moins serré dans mes fesses, que c'était beaucoup moins bon qu'avec le plug.

Moi, ça me va très bien, parce que j'adore être pluguée la journée, et me sentir prête à être sodomisée le soir quand je l'enlève. En plus, comme ça ne dilate que l'entrée de l'anus, je sens quand même mes fesses résister un peu et s'ouvrir progressivement quand mon mari me pénètre plus profondément.

Et je trouve ça très bon. En plus, comme les enfants ne sont pas là, mon mari m'a ordonné d'être en permanence nue et en talons dans l'appartement, quoique je fasse, même la cuisine. J'aime beaucoup ça, ça fait vraiment soumise et entièrement disponible pour être prise ou caressée dès que le maître le veut.

Mais comme nous n'avons pas de point haut pour accrocher une corde, il me fait le cravachage des seins à genoux sur le lit, mains dans le dos et yeux bandés, dans ma position de soumise.

Peu après le départ des enfants, il m'a dit qu'il devait me parler après un cravachage. J'ai compris que j'avais encore une épreuve à subir, puisqu'il a souvent agi comme çà pour me les présenter.

Il m' a rappelé que je l'avais fait sodomiser par mon amant, et que j'avais été la complice active de cette trahison, qui est la pire chose que puisse subir un homme.

Il m'a dit qu'il avait besoin de me donner une punition exemplaire pour effacer ce reproche à mon égard qu'il avait en permanence en lui, pouvoir me pardonner et repartir sur de nouvelles bases dans notre couple. Il m'a dit que cette punition, il l'avait conçue comme étant la réciproque exacte de ce qu'il avait subi.

Je l'avais fait sodomiser par un homme. Donc, il me ferait faire un fist-fucking par une femme, une lesbienne dominatrice qui était d'accord et m'attendait chez elle deux jours plus tard!

La pilule a été dure à passer. Pour moi, un fist-fucking, c'est de l'horreur pure. Mais j'ai accepté. D'abord parce que je suis sa soumise et que je dois lui obéir. Ensuite, parce que moi aussi j'avais peut-être besoin d'une punition " barbare " pour me pardonner ce que j'avais fait. Y a-t-il du Maître Pierre là-dessous? Possible, même si ça ne lui ressemble pas.

Je suis donc allée deux jours plus tard chez les deux lesbiennes, à l'adresse qu'il m'avait donnée. Je suis tombée sur deux caricatures. Une plus vieille, plus grosse, pas très jolie, cheveux courts.

L'autre plus jeune, presque frêle, cheveux longs. La grosse m'a demandé de bien me laver dans la salle de bains, et de revenir. Je l'ai fait à l'eau chaude et au savon, en essayant de me dilater l'anus.

Quand je suis rentrée, elle m'a mise en levrette dans le salon, m'a demandé d'écarter les fesses avec les mains, et a commencé à me travailler l'anus, sous le regard de sa copine. Je dois dire qu'elle est rentrée assez facilement. Elle avait des gants médicaux, elle m'a mis du gel lubrifiant, m'a bien écarté, est passée doigt par doigt, a pris du temps. Elle me disait de pousser fort pour faciliter le passage.

Ca a fait mal, mais c'était supportable. Mais une fois en moi, j'ai senti qu'elle retirait un peu sa main pour mettre le poignet à l'entrée de l'anus. Et là, brusquement, elle a serré le poing. J'ai cru que mon anus éclatait. J'ai senti les chairs s'écarter. J'ai crié mais la douleur était tellement forte qu'elle m'a coupé le souffle.

Les larmes me sont montées immédiatement aux yeux. Moi, je pensais à mon mari, je me disais qu'il fallait que je tienne, pour lui, pour notre couple. Dès que la douleur s'est calmée, elle a commencé à remuer sa main qui était en moi. Ca faisait tellement mal, que j'accompagnais les mouvements de sa main pour avoir moins mal. En fait, elle me remuait les fesses, de tous les côtés, et moi j'étais obligée de suivre.

Après, elle m'a fait marcher comme ça à quatre pattes dans l'appartement, en poussant mon anus dans la direction où elle voulait que j'aille. Elle me traitait d'hétéro, disait que c'était mon mec qui avait voulu que je sois fistée, que jamais les femmes ne faisaient ça

Elle a fini par me diriger vers sa copine qui écartait les jambes sur le canapé. Je lui ai fait un cuni, avec l'autre qui me donnait le rythme en poussant et tirant sur mon anus. L'horreur.

Quand elle est enfin sortie (en remettant les doigts en position allongée, heureusement), sa copine a voulu faire pareil. Mais j'avais les chairs de l'anus tellement à vif que j'ai hurlé et éclaté en larmes dès qu'elle a mis un doigt. Elles se sont arrêtées là, mais m'ont emmenée dans leur lit.