Florence de Femme Mariée à Callgirl 04

BÊTA PUBLIQUE

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-- Ma chère votre tête dit non, mais votre corps dit le contraire regardez le fruit de votre jouissance.

Il caressait la bouche de Françoise, avec les doigts qu'il venait d'introduire dans sa chatte ruisselante.

À présent, il tapait quatre fois dans ses mains. Quatre femmes au visage dissimulé venaient se joindre aux deux serviteurs.

- Messieurs, veuillez détacher la charmante femme de Marc. Florence accompagnez là. Mesdames vous ferez en sorte d'offrir à nos deux hôtes de marque, bains et massages relaxants. Vous leur servirez une collation. Ramenez-nous ensuite ces charmantes femmes. Nous consacreront notre après-midi à en faire de réelles bêtes de sexe.

-- Ma chère Françoise je vous sent vibre d'impatience.

-- Non je vous en prie, laissez-moi appeler mon mari s'il vous plait. Laissez-nous en paix.

-- Ne vous inquiétez pas ma chère, je vais l'appeler votre petit mari. Vous serez en paix plus tard. Cet après-midi gravera dans votre chair, qu'on ne se moque pas impunément de mes sujets.

-- Vous mes amis, ne soyez pas impatients. Faites-moi confiance, vous aurez toute l'après-midi pour jouir de nos charmantes petites Parisiennes. Vous connaissant je suis sur que vous saurez combler leurs puits de jouissance.

-- Allons messieurs, un repas nous attend, pendant que mon personnel préparera le présent salon à notre après-midi de luxure.

DEUX HEURES DE REPOS ET DE VÉRITÉ

Françoise sanglotait. Je la soutenais aidée par les servantes nous nous dirigions vers une immense salle qui disposait d'une piscine, d'un Jacuzzi et hammam.

Il y avait de confortables salons entourés de tables basses où un copieux buffet nous attendait.

Les servantes nous invitaient à nous installer dans l'eau chaude de l'immense SPA.

Nous étions toutes deux silencieuses, les yeux fermés. Seul le bruit des bulles et des jets qui massaient nos corps, résonnait dans cette immense salle.

Je pensais aux réactions de Françoise. Je dois dire que ses suppliques envers Habbab m'avaient étonnée. Au regard de sa longue expérience au service des hommes d'affaires, elle avait bien dû subir des moments, autrement plus pénibles que ceux de la matinée.

Je pensais alors que ce que m'avait imposé Igor et Tao à Nice, était selon moi bien plus pénible.

Je n'avais pas d'explication.

J'ouvrais les yeux et les miroirs qui recouvraient l'intégralité du plafond me permettaient de voir nos deux corps allongés côte à côte.

Françoise ouvrait alors les yeux rougis par les larmes. Elle s'adressait alors à mon reflet dans les miroirs :

-- Florence, ne m'interrompez pas s'il vous plaît, ce que j'ai à vous dire n'est pas facile.

-- Mais Françoise...

-- Non je vous en prie, écoutez-moi. Je vous ai menti. Enfin pour être plus précise j'ai enjolivé une vérité. Je ne suis pas la call-girl pétrie d'expérience que Marc vous à vendu. À l'époque, j'étais secrétaire dans une petite boîte qui était en affaires avec Marc. Lors d'un congrès, plusieurs couples de patrons étaient là en compagnie de Marc qui était célibataire.

Après le repas plus qu'arrosé, la soirée a légèrement dérapé pour finir en partie fine.

Mais la vérité est que ce soir là je n'ai baisé qu'avec Marc.

Je me suis refusée aux autres participants, à l'exception de quelques légers attouchements. Voilà mon seul fait d'arme. La suite vous la connaissez. Marc est tombé raide dingue de moi et m'a épousé.

-- Non mais c'est impossible, mais l'institut de beauté, et notre relation dans mon appartement.

-- Marc a senti un potentiel en vous. Il m'a demandé de l'aider à vous pousser pour accepter le job que vous faites aujourd'hui.

-- Et les détournements de mon mari ne me dites pas que c'était un mensonge!

-- Non Florence, malheureusement ils sont bien réels. Et pour ce qui est de votre train de vie aujourd'hui, Marc employait des agences de Call-girls. Il savait que vous gagneriez beaucoup d'argent.

-- Mais pourquoi ne pas avoir continué à utiliser ces professionnelles!

-- Parce qu'il y a des confidences et des secrets qui peuvent fuiter avec ces agences. Je vous demande pardon Florence. Vous n'imaginez pas à quel point je suis effrayée de ce qui nous attend cet après-midi.

Je me tournais vers elle et la prenais dans mes bras. Je lui disais comprendre à la fois son « mensonge » mais également sa peur de cet après-midi.

-- Françoise, tout à l'heure il va falloir assurer. Ne rien lâcher. Quoiqu'ils nous fassent vous savez, et vous l'avez vécu, au bout d'un moment nous prendrons du plaisir.

-- Ce que vous me dites est épouvantable Florence. Vous savez, ce matin ce qu'ils m'ont fait, c'était pour moi une première fois. Jamais le sexe de Marc ne m'avait pénétré aussi loin dans la gorge et il n'a même jamais touché à mon anus. C'est affreux, vous l'avez-vu, j'ai eu un orgasme.

-- Je sais, c'est ainsi, et Habbad l'a bien compris lorsqu'il vous a dit « votre tête dit non mais votre corps dit oui ». J'ai vécu la même chose à Nice.

Aussi j'ai passé cette épreuve en prenant et en jouissant du plaisir de l'instant même s'il était parfois douloureux.

Pendant ces instants, je n'ai jamais cessé de penser que c'était moi qui menais le jeu et qui en définitive dominais ces hommes.

Alors promettez-moi de faire la même chose, et tout ira bien vous verrez.

-- Je vous le promets.

Les servantes nous invitaient à sortir des bulles relaxantes, pour nous étendre sur les tables de massage. Jamais je n'avais ressenti un tel bien-être.

Allongée sur le ventre une servante me massait les pieds, elle remontait mes mollets, mes cuisses. Elle écartait mes fesses, l'huile tiède et parfumée s'étalait délicatement sur mon anus et pénétrait la fente des lèvres de mon minou.

L'autre servante s'occupait de mon dos, de mes épaule, de ma nuque et, de façon magique me massait le cuir chevelu. Parfois elle saisissait des mini-fruits rafraichissants qu'elle glissait dans ma bouche.

J'entendais Françoise qui, bénéficiant du même traitement, gémissait et marmonnait

« Que c'est bon... Hum, un pur bonheur ».

Je la regardais en souriant, je pensais qu'elle commençait à libérer son esprit pour ne vivre que l'instant présent.

Après notre massage, nous avions l'impression de marcher sur un tapis de nuages. La pendule marquait bientôt 14h00.

Les servantes nous invitaient à enfiler une longue robe tissée dans un voile totalement transparent. Un immense V à l'avant descendait jusqu'au nombril dévoilant la moitié de nos seins.

À l'arrière, un V identique laissait notre dos et la naissance de notre raie culière.entièrement dénudés.

Très serrée à la taille, la particularité du bas, en dessous des hanches, était d'être découpée en quatre pans.

Le couturier permettait ainsi, aux hommes qui le désiraient, d'avoir accès à notre sexe ou à notre cul, sans nous contraindre à quitter ce voile.

Comme pour notre tenue précédente, mon voile était bleu et celui de Françoise était rouge.

Nous étions priées de remettre nos chaussures dont les talons aiguilles nous grandissaient de plus de dix centimètres.

Une fois chaussées, nos mollets, nos cuisses se galbaient magnifiquement et nos fessiers se resserraient.

Nos culs alors se bombaient de façons indécentes, et nos chutes de reins avaient de quoi affoler les hommes les plus timides.

Les servantes nous avaient magnifiquement maquillées aux couleurs de nos robes provocantes.

-- Françoise je crois que nous sommes prêtes pour servir ces messieurs.

-- Oui je suis stressée.

-- Restez calme et dans les moments difficiles, pensez à moi je serais avec vous. Et ne vivez que le plaisir que vous procurera votre corps. Il doit prendre le pas sur votre esprit et tout ira bien.

-- Merci Florence.

Ils nous restaient à présent une après-midi et une journée complète avant le retour de Marc et Sofiane.

Mon imagination de la soumission que nous allions subir, étaient bien loin du réel ce que nous allions connaître cet après-midi et le jour suivant.

Je vous raconterai.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 12 mois

J’avoue attendre la suite avec impatience. Très bien écrit, des plus excitant…

AurailiensAurailiensil y a 12 mois

Beau chapitre belle ambiance de luxe et de perversité

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