Florence de Femme Mariée à Callgirl 04

BÊTA PUBLIQUE

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Je ressentais face à cet homme une impression étrange. Chaque phrase qu'il prononçait dans un français parfait, s'accompagnait d'un regard qui nous balayait de la tête aux pieds.

-- Mesdames asseyez-vous pour déguster ce délicieux cocktail, spécialité de mon barman.

L'HEURE DE PAYER NOTRE MANIPULATION

Nous étions assis face à lui. Nous dégustions cette boisson qui nous surprenait par son fort degré d'alcool.

Il nous regardait avec un léger sourire en coin avant de nous assener la phrase qui allait bouleverser nos vies.

-- Alors ma chère Françoise, il paraît que vous êtes une spécialiste pour bousculer les hommes et leur tasse de lait.

-- C'est-à-dire monsieur, de quoi parlez-vous.

-- Je préférerais ma chère que vous m'appeliez Maître. Alors quoi c'est-à-dire! Vous n'avez peut-être pas fait tomber ce pauvre Sofiane dans un piège grossier à Paris!

-- C'était une taquinerie de ma part Maître.

-- Ah bon, vous appelez cela une taquinerie en France. Et vous Florence comment appelez-vous ce que vous avez fait à Sofiane le naïf. Je vous écoute.

-- Maître je suis désolée, je ne sais quoi vous dire.

-- Pourtant vous n'avez pas la bouche pleine aujourd'hui.

Françoise tentait d'intervenir

-- Monsieur, je devais accompagner mon mari pour une visite et je ne comprends pas..

-- Taisez-vous madame, à l'instant sachez que vous ne vous adressez pas à votre mari, mais à votre Maître. Levez-vous toutes les deux et suivez-moi.

DANS LA SALLE DE RÉCEPTION TRÈS PARTICULIÈRE

Après avoir claqué dans ses mains, les deux serviteurs ouvraient les deux immenses portes.

Dans l'immense salle couverte de miroirs des murs au plafond, une centaine de personnes nous faisaient face. Leurs tenues étaient identiques, de couleur noire, elles portaient un pantalon et une tunique et étaient tous pieds nus.

Le haut de leurs visages était recouvert d'un masque blanc, ne laissant entrevoir que leurs yeux.

Dans un silence pesant, cette noire assemblée s'écartait de part et d'autres, formant une haie d'honneur que nous empruntions derrière Habbad. Les puissantes mains des serviteurs nous poussaient dans le dos.

A présent, seul le bruit sourd des deux portes se refermant résonnait dans la salle.

À notre passage les têtes masquées s'inclinaient les yeux brillaient et les lèvres souriaient.

Nous avancions vers un immense podium. Une sorte de scène de théâtre avec en arrière-plan un rideau noir.

Habbad nous prenait par la main nous invitant à gravir les marches. Le public pouvait alors me voir à gauche, le Maître au centre et François à sa droite. Nous étions baignés de lumières par les spots qui nous fixaient. D'étranges boites noirs, ornées d'un point rouge clignotant, suivaient nos mouvements.

Après un long silence sa voix résonnait

-- Messieurs, je vous présente Florence tout de bleu vêtu et Françoise tout de rouge vêtu. Ne pensez-vous pas qu'avec mon smoking blanc nous formons un joli drapeau français?

-- Une centaine de voix s'élevaient « Oui Maître ».

Si vous êtes là ce soir, c'est pour deux raisons :

La première est que vous parlez tous le français.

La seconde c'est pour faire appel à votre générosité, pour les bonnes œuvres de notre pays.

Aussi je vous propose de participer à une vente aux enchères.

Vous avez des questions.

-- Mais Maître que nous proposez-vous d'acheter.

-- Mais tout simplement les vêtements de ces dames.

UNE ENCHÈRE MISE A NUE

Françoise tentait de se rebeller. Mais sur sur un claquement de doigt d'Habbad, l'un des ses colosses lui avait administré une paire de claques, la laissant à présent sans voix.

Les rires et les murmures remplissaient la salle. Sans même avoir le temps de respirer nous étions Françoise et moi devant une salle en transe.

Les enchères s'envolaient les dollars pleuvaient de façon démentielle.

C'était à qui aurait ma veste, ma jupe, mon chemisier ou celui de Françoise.

A peine adjugé, les mains puissantes des serviteurs nous déshabillaient pour remettre leur lot aux gagnants.

En deux temps trois mouvements nous étions déjà en sous-vêtements et là, c'était une explosion d'excitation dans la salle. Les cris retentissaient :

« Je veux la culotte rouge » « Moi le soutien-gorge bleu.»

« Vite mettez-les à poils. » « Oui, qu'elles nous montrent leurs culs »

Nos soutiens-gorge et nos culottes brésiliennes atteignaient des prix hallucinants.

Nous étions à présent totalement dénudées, uniquement perchées sur nos escarpins.

- Alors mesdames, que pensez-vous de la générosité de cette assistance. Françoise vous avez des seins magnifiques et une paire de fesses qui vous font un cul de rêve. Une véritable invitation à la sodomie croyez-moi.

-- Je vous en prie monsieur, ce n'est pas des manières...

Un claquement sec résonnait, c'était le bruit sec de la main d'Habbad qui venait de s'abattre sur les généreuses fesses de Françoise.

-- Pas des manières! Françoise, piéger Sofiane à Paris en demandant à votre collaboratrice Florence de lui tailler une pipe, ce sont des manières peut-être! Répondez

-- Non monsieur mais je ...

Une seconde claque, plus violente, venait de s'abattre rougissant le joli cul de Françoise.

-- Une bonne fois pour toutes, appelez-moi Maître, c'est bien clair!

-- Oui Maître

-- Avez-vous bien compris que vous êtes ici pour payer l'humiliation que vous avez fait subir à l'un de mes sujets. Répondez madame.

-- Oui Maître

UN CUL AUX ENCHÈRES

Alors messieurs pour prendre le joli cul de la femme de Marc à vos portefeuilles les enchères reprennent.

-- Non pas ça Maître. Je vous en prie.

Pour toute réponse, sur un simple regard d'Habbad, le serveur saisissait Françoise et lui administrait une fessée le cul tourné vers une salle totalement excitée.

Chaque claque déclenchait des tonnerres d'applaudissements entrecoupés de rires.

Les fesses rougies de dix claques, Françoise avait retrouvé sa place les yeux baissés et humides.

Les enchères à présent s'envolaient. Au bout de dix minutes, deux prétendants n'arrivaient pas à se départager, ils en étaient à 30 000 $. Le prix de leurs fantasmes posséder le cul de cette femme mariée. Alors le Maître intervint.

-- Messieurs, messieurs, je pense que vous pouvez vous partager ce lot, vous l'avez largement mérité. Je vous adjuge donc le cul de cette femme.

Pour ceux qui ne l'ont pas remporté, pas d'inquiétude il reste de nouvelles ventes. En attendant, apportez le tonneau.

Une rumeur enflait dans l'assistance répétant « le tonneau » oui le tonneau.

Le rideau arrière venait de s'ouvrir. Deux grands gaillards poussaient une barrique qu'il disposait sur son support, face au public.

Je voyais alors deux paires d'anneaux, fixés sur l'arrondi dans les lames de bois vernis du tonneau.

Les yeux des masques s'agrandissait à la vue des trois oOo dessinés par l'assemblage de la barrique et des anneaux.

Tous s'interrogeaient sur ce que le Maître réservait à cette jolie mature.

-- Françoise approchez je vous prie. Installez-vous à plat ventre sur cet instrument que j'ai spécialement commandé pour vous.

Françoise cédait à cette demande. Elle se penchait en avant.

Son ventre reposait à présent sur le cerclage métallique central du tonneau.

Sa grande taille, permettait à la pointe de ses escarpins et aux doigts de ses mains d'effleurer la lourde moquette, de part et d'autre du tonneau.

La voix sévère d'Habbad résonnait à nouveau s'adressant à ses deux colosses de serviteurs

-- Messieurs, je vous prie de bien vouloir procéder, merci.

Le premier faisait glisser les poignets de Françoise dans les anneaux dont le claquement sec de la fermeture immobilisait les poignets.

Le second faisait de même pour les chevilles à la différence, que les anneaux étaient situés à chaque extrémité du tonneau. Le compas des jambes Françoise, était ainsi écarté au maximum.

L'opération terminée, les serviteurs faisait tourner le tonneau sur son axe.

Au premier demi-tour

Françoise offrait au public la vue de son dos et la naissance de ses fesses. Tête penchée en avant ses longs cheveux, dont les pointes touchaient le sol, dégageait sa nuque et ses jolies épaules.

Le second demi-tour

Provoquait un ouah dans l'assemblée. Les longues jambes écartées de Françoise, révélait sa chatte soigneusement épilée ainsi que sa longue raie culière.

Elle offrait une vue imprenable sur ce petit anus qui s'était adjugé à prix d'or.

Pendant que les hommes en noir admiraient ce magnifique cul et cette chatte luisante sous les projecteurs. Habbad côté rideau se saisissait des cheveux de Françoise. Il lui relevait la tête et en souriant et je l'entendais lui chuchoter :

-- Ma belle, je crois bien que mes disciples vont bientôt vous casser le cul.

-- Non, je vous en prie, cessons tout cela, je vous jure que je ne dirais rien à mon mari si vous arrêtez maintenant. Ne faites pas ça.

-- La main libre d'Habbad s'abattait alors violemment sur son entre-jambe.

La paume claquait la base de ses fesses. Par contre, j'avais clairement vu les cinq doigts frapper sa chatte dont les lèvres à présent étaient teintées rouge vif.

Sans répit, la main s'abattait pour la seconde fois en visant la même cible.

Françoise alors criait

-- Arrêtez arrêtez ... Marc...Marc ...Arrêtez s'il vous plaît.

Ces cris décuplaient le plaisir qu'Habbad prenait à fesser le cul de cette femme qui avait humilié son collaborateur à Paris.

Sous les hourras de l'assistance survoltée, la large main du Maître s'abattait à nouveau visant cette fois-ci l'intégralité de la chatte de Françoise qui se débattait inutilement.

Ses seins opulents, ballotaient de droite à gauche au rythme des puissantes claques qui s'abattaient sur ses lèvres les plus intimes.

Les coups cessaient. Habbad avait posé ses mains sur ses tempes et lui relevant la tête, la regardait droit dans les yeux.

-- Madame inutile de me faire des promesses. Je peux vous affirmer que quoique je vous fasse, vous ne direz jamais rien de ces journées à votre cher mari. Vous comprenez bien ce que je vous dis?

-- Oui Maître, je ne dirais rien, jamais.

-- C'est bien, c'est très bien, je vois que votre éducation prend la bonne direction.

Sans relâcher sa tête il interpellait ces serviteurs

-- Messieurs, libérez-moi, afin que j'honore la bouche de la femme de notre ami Marc.

Les serviteurs s'agenouillaient. Ils faisaient lentement descendre le pantalon d'Habbad libérant une verge en totale érection.

-- Ma chère Françoise, l'heure est venue de me prouver que vous êtes aussi douée que Florence, dont Sofiane m'a rapporté l'expérience dans ce domaine.

Il forçait à présent les lèvres de Françoise et faisait reposer son gland humide sur sa langue. Il commençait à baiser lentement cette bouche. Je voyais les yeux humides de ma patronne. Elle salivait de plus en plus sur ce sexe qui occupait maintenant l'intégralité de sa langue.

-- Alors comme ça messieurs, vous gagnez un cul magnifique et vous ne venez pas le prendre! Allons du nerf que diable, bougez-vous. Venez m'embrocher cette Française qui se dit experte en jeux sexuels.

-- Oui Maître

Les deux heureux gagnants se précipitaient. Le premier prenait un malin plaisir à écarter les deux globes fessiers. La raie culière ainsi totalement dégagée, offrait au second l'œillet convoité.

-- Quel cul Maître, ce cul c'est un présent inestimable.

-- C'est bien, alors qu'attends-tu pour l'enculer. Mettez du cœur à l'ouvrage, cela lui fera peut-être ouvrir cette gorge, qui me semble quelque peu étroite pour mon sexe.

J'entendais les vaines protestations de Françoise étouffée par la verge d'Habbad qui occupait l'essentiel de sa bouche.

Il forçait à présent à petits coups de reins, pour accentuer la progression de son gland vers l'arrière-gorge.

La foule criait à présent

« le cul, le cul, le cul, le cul ». Une voix se détachait alors hurlant

« allez y enculez-là, enculez-là »

Les mains puissantes pressant le ventre de Françoise contre le tonneau, ses reins étaient cambrés au maximum. Son cul à présent paraissait énorme.

Les yeux exorbités, d'un seul et puissant coup de rein, l'homme enfonçait sa queue d'un seul trait, au plus profond de son anus.

Je percevais le hurlement de douleur de Françoise, étouffé par la verge d'Habbad qui semblait elle aussi, avoir atteint son but.

À présent c'est à grands coups de reins que les deux hommes pénétraient la belle. Leurs couilles claquaient son menton et ses fesses à chaque pénétration.

Françoise avait des haut de cœur et salivait abondamment.

Son anus dilaté luisait des sécrétion de son enculeur, qui venait de se retirer pour laisser la place à son copain.

Ce dernier semblait plus jeune, s'agitait maintenant à une vitesse folle dans le chaud boyau qui massait sa verge et serrait son gland.

-- Florence, venez ici immédiatement

-- Oui Maître

-- Massez-moi des épaules jusqu'à mon cul. Lorsque vous y serez, soyez aimable de bien vouloir lécher mon anus. Vous avez compris.

-- Oui Maître

Je m'exécutais, j'avais massé ses épaules et son dos et j'étais à présent devant ses deux fesses musclées.

J'écartais les deux globes qui avançaient et reculaient au rythme de la verge qui pénétrait la gorge de Françoise tout autant qu'à celle de l'homme qui l'enculait.

Ma langue à présent tournoyait sur cet anneau sombre qui s'ouvrait lorsque le Maître poussait violemment son sexe en avant.

-- Oui c'est bon Florence. Tu vois ma petite Françoise maintenant ta gorge et ton cul deviennent de plus en plus accueillants. C'est bien car ils vont avoir de nombreux visiteurs.

Il sortait alors totalement sa verge de sa bouche et mettait son pied droit sur le support du tonneau. Laissant ainsi à Françoise une vue plongeante sur la feuille de rose que je pratiquais sur son anus.

J'entrevoyais Françoise manquant d'air, qui bavait abondamment.

Elle était totalement essoufflée par la gorge profonde qui lui était imposée.

Elle grimaçait sous les coups boutoirs de son jeune enculeur qui défonçait son généreux cul de sa longue et épaisse verge.

-- Vous aviez raison ma chère Françoise votre petite Florence est douée pour exciter le cul des hommes. Ouvrez votre bouche et tendez votre langue, le moment est venu de goûter mon lait.

-- Florence faites moi donc connaître ce plaisir que vous avez offert à Sofiane.

-- Oui Maître

Il venait à nouveau de pénétrer la bouche de Françoise et le gargouillis que j'entendais ne laissait pas de place au doute. Son gland venait de franchir et même de dépasser la barrière de l'arrière-gorge.

Il imprimait de petits coups de reins, pour maintenir ses grosses couilles écrasées sur sa lèvre inférieure. Son ventre plaqué contre son nez la privant de respirer.

Derrière elle les deux compères ne manquaient pas d'imagination.

Le jeune, à cheval sur ses reins, s'était allongé de tout son long sur son dos, son sexe à 90 degré enfoncé jusqu'à la garde dans son fondement.

Le second resté debout, poussait de sa main droite son énorme gland, afin qu'il rejoigne celui de son ami. A présent ils gratifiaient la belle française d'une double pénétration anale.

L'assemblée était survoltée des cris jaillissait de toutes parts :

« Oui, enculez-la à deux. » «Allez plus forts, à fond. » «Faites-la jouir.»

Les gémissements maintenant entre douleurs et jouissances de Françoise n'arrangeaient rien.

Ses gros seins ballotaient d'avant en arrière, ses tétons claquaient le cerclage métallique du tonneau, à chaque fois que les verges pénétraient au plus profond de son intimité anale.

Alors l'excitation des hommes montaient d'un cran.

Une voix plus forte s'élevait dans l'assemblée, résonnant comme un coup de tonnerre :

« Regardez, regardez, sa chatte éjacule. Elle jouit, je vous dis qu'elle jouit , regardez.»

« Oui c'est vrai » « Ah! Ces Françaises quelles baiseuses. »

« Elles jouissent du cul. » « À notre tour, à notre tour. »

Nous étions à présent aveuglés par les flashs des téléphones portables qui crépitaient immortalisant, pour leurs propriétaires, ces trois hommes qui baisaient deux belles Françaises.

Certains avaient sorti leur sexe et se gratifiaient d'une frénétique masturbation à la vue de ce tableau.

À ce moment prise de rage, je groupais index, majeur et annulaire de ma main droite et, d'une poussée rectiligne je pénétrais l'anus d'Habbad.

-- Ha, salle petite pute, tu vas me faire jouir.

-- Oui Maître jouissez, libérez-vous. Vous ne sentez pas comme la bouche de mon amie est impatiente de goûter votre lait.

Je tournais mes doigts de droite à gauche. M'aidant de mon pouce, posé en appui sur le haut de sa raie, mes trois doigts exerçaient des pressions sur sa prostate. Maintenant ils entraient et sortaient de son cul. Au fil de mes allers-retours je sentais ses anneaux se détendre et devenir accueillant.

À présent, ses jambes tremblaient, nul doute que cet homme arrogant jouissait de la sodomie que ma main lui offrait. Ses gémissements me le confirmait.

Face à ce spectacle, la salle était redevenue totalement silencieuse. Tous avaient les yeux braqués sur cette main féminine qui pénétrait les fesses de leur Maître.

Ma main gauche saisissait ses grosses couilles.

Je les pressais tout en les faisant balloter de droite à gauche. Parfois, mes deux doigts formant un anneau, je saisissais la base de sa verge.

Je sentais alors les lèvres humides et le souffle chaud de Françoise sur mes doigts.

Je branlais ce petit bout de queue qui se contractait.

Je voyais alors ses couilles remonter vers le haut et son anus était pris de spasmes qui serraient mes doigts.

Je sentais clairement à cet instant le cheminement de son sperme qui, à quatre longues reprises, atteignait la pointe de son gland, pour inonder la gorge de mon amie Françoise.

Alors qu'il hurlait « je jouis mes amis, je jouis.» Il sortait lentement sa queue de cette chaude bouche. Une dernière giclée de sperme venait frapper le front et les cheveux de la belle mature.

Françoise la bouche à peine libérée, poussait un cri :

«Ho! Non,non... Ha...Ha... Ouiii.».

Ses deux enculeurs venait d'éjaculer en cœur leurs semences au plus profond de son intimité anale.

Leurs sexes sortaient lentement de son anus.

Une dernière giclée, blanchissait ses fesses, ses reins et une partie de son dos.

Françoise respirait profondément, ses seins étaient gonflées.

La tête penchée sur le côté, sa joue reposant sur les lames de bois vernis. Elle regardait de ses grands yeux clairs, l'assemblée de ces hommes excités, qui contemplait son corps épuisé. Elle frissonnait, sa langue passait à présent sur ses lèvres afin d'effacer les dernières traces blanches qui brillaient sous les spots.

-- Mes amis, qu'en pensez-vous, n'avons-nous pas rendu un fier hommage à la femme de notre ami Marc regardez le travail

Habbad avait saisi la chevelure de la belle, il exposait son visage tapissé de sa semence. Puis, tirant douloureusement sur ses cheveux, il faisait tourner le tonneau présentant l'anus béant et dégoulinant des sécrétions de ses deux amis.

Il délaissait ses cheveux et se tournait vers son cul, le gratifiant d'une petite claque sur ses jolies fesses.

Il passait alors sa main sur la chatte de Françoise. Elle ruisselait comme une fontaine.

Il y introduisait trois qu'il faisait vibrer dans son vagin de bas en haut.

Il les ressortaient accompagné d'une éjaculation faisant trembler et gémir la belle.

-- Regardez mes amis, qu'elle ose nous dire que nous ne l'avons pas fait jouir.

Marc est un heureux mari, vous devez le combler, même si, au dire de mes amis, votre cul était bien serré. Marc ne doit pas beaucoup le visiter. Vous souhaitez peut-être que je lui en parle?

-- Non je vous en prie arrêtez, je vous en prie.