Florence de Femme Mariée à Callgirl 04

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Françoise et moi soumisent au prince Habbad et à ses hommes.
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EMILIEDAN
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MON RETOUR SUR PARIS

J'étais seule dans l'avion qui me ramenait de Nice à Paris.

J'avais quitté le palace Niçois ou toute la nuit, j'avais été contrainte d'affronter les folles exigences de Tao et d'Igor.

Je les revoyais m'offrir au petit matin à ce grand black de Max qui m'avait violemment sodomisé faisant de ma virginité un souvenir qui maintenant s'éloignait.

Le sentiment de haine que j'avais éprouvé à l'égard de ces deux hommes, laissait place à ma satisfaction d'avoir honoré mon contrat vis-à-vis de l'entreprise et de Marc mon patron.

Il avait conclu cet énorme contrat avec le Russe et le Chinois. Il m'avait remercié et déclaré avoir viré 6 000 € sur mon compte en rémunération de la soirée. Ajoutant que sa femme Françoise, m'attendrait à Orly.

ORLY UNE SURPRISE DE TAILLE

J'étais à présent dans le hall dans l'attente du traditionnel ballet des valises sur le tapis roulant.

Je faisais les cent pas, et j'avais fait un petit signe à Françoise qui m'attendait derrière les baies vitrées. Elle était comme à son habitude d'une élégance redoutable.

L'attente des bagages était interminable, lorsque je remarquais un homme que j'avais déjà aperçu dans l'avion. Il était remarquable par sa tenue traditionnelle typique d'un pays du Golf.

Couvert des pieds à la tête par un luxueux tissu d'un blanc éclatant, sous son serre-tête noir se dessinait un joli visage aux yeux clairs.

Il ne manquait pas une occasion de poser son regard sur moi qui, sans nul doute me déshabillait.

Perchée sur mes talons hauts, mon pantalon serré faisait jaillir mon petit cul et il devait voir, au gré du mouvement de mes hanches, mes fesses s'agiter comme une pendule excitante.

Mes seins libre de soutien-gorge, pointaient en ballotant légèrement sous mon pull au rythme du claquement de mes talons sur le sol.

Même de dos, je sentais clairement son regard sur moi, c'était le même que celui de Tao ou d'Igor lors de notre première rencontre.

L'arrivée de ma valise mettait un terme à cet étrange impression de déjà vu.

Je sortais et Françoise s'avançait vers moi.

-- Bonjour Florence tu as fait bon voyage, je sais que tout s'est bien passé à Nice. Je te félicite.

-- Merci Françoise, on y va.

-- Non, nous attendons un client. Normalement, il devait être dans le même avion que toi. Au fait il faut que tu saches. Igor et Tao nous ont remis une enveloppe bien épaisse pour toi. Un sérieux bonus financier je crois qu'il s'agit de 5000 dollars.

-- Non ce n'est pas vrai!

-- Ils ont été impressionnés par ta ténacité et ton caractère. Voilà tout est dit. Tiens je crois que c'est notre client qui arrive.

Je voyais alors s'approcher l'homme tout de blanc vêtu. Un sourire illuminait sur son visage à la peau cuivrée.

-- Florence je te présente Sofiane qui représente plusieurs de nos importants clients du Maghreb

-- Enchanté Florence. Françoise m'avait vanté votre beauté, mais je constate qu'elle était en dessous de la vérité.

-- Je vous remercie monsieur.

-- Appelez-moi Sofiane

-- Très bien Sofiane.

J'étais sous le charme de cette voix douce. Françoise me regardait avec un œil malicieux et nous invitait à prendre un petit déjeuner dans un club privé à proximité de l'aéroport.

DANS L'INTIMITÉ DU CLUB HOUSE

Une fois de plus je pouvais constater que Françoise savait choisir les endroits de luxe pour recevoir des clients.

Nous étions à présent dans cette banlieue parisienne bien connue pour ses élevages de chevaux purs sangs. Un hôtel et un restaurant étoilé ou le propriétaire avait mis à notre disposition, un petit salon privé pour nous délecter d'un copieux et raffiné petit déjeuner.

Une grande baie vitrée nous offrait une vue imprenable sur la piste d'entrainement des chevaux galopants dans le brouillard du matin.

Confortablement installée, et dégustant fruits pâtisseries et autres délices qui accompagnaient mon café. J'écoutais d'une oreille distraite la conversation entre Sofiane et Françoise. Ils échangeaient alternativement en français et en anglais dont bien des tournures de phrases m'était totalement inconnue. Je me sentais moins seule en constatant que notre invité avait bien des lacunes dans notre langue.

Assis entre nous, il ne ratait pas une occasion de me dévisager et je pouvais aisément deviner qu'il m'imaginait certainement débarrassée de mon pull et pantalon. Je le regardais en souriant lorsque Françoise me dit

-- Florence, cet homme est très influent auprès d'un prince qui règne dans le golf. Marc et moi nous n'avons jamais obtenu de possibilité d'ouvrir l'entreprise à ces régions. Il te dévore des yeux et je pense que tu pourrais saisir l'opportunité de cet instant, pour organiser ce rapprochement.

-- Oui mais comment veux-tu procéder.

Laisse-moi faire et ne soit pas surprise. Tu ne vas pas tarder à être copieusement arrosée de café ou de lait. Je suis certaine que notre hôte t'offrira ses services pour réparer les dégâts.

Au moment où Sofiane attrapait le pot de lait qui se trouvait sur la desserte derrière nous, Françoise très adroitement bousculait sa chaise. Le lait jaillissait du pot atterrissant à la fois sur mon pull et mon pantalon. Je poussais alors, un petit cri de surprise. Immédiatement Sofiane me dit

-- Sorry, excuse-me Florence.

Françoise s'adressait à lui en anglais. De la main elle lui indiquait la porte des toilettes privées dont disposait la salle.

Sofiane se levait, me prenant par la main, il m'entrainait vers ce lieu très privé.

Deux immenses lavabos reposaient sur un long plan de travail ou étaient disposés des serviettes de toilettes.

A peine entrée Sofiane tournait le loquet interdisant tout dérangement.

Sans un mot, il commençait délicatement à éponger mon pull. Je sentais ses mains puissantes s'attarder sur ma poitrine qui frémissait.

La fine laine blanche laissait à présent pointer mes bouts de seins bruns qui écartaient les mailles.

Le regard de Sofiane craquait, ses deux mains, en un éclair, franchissait la barrière qui le séparait de mes globes généreux.

Le pouce et l'index de sa main gauche faisait dresser mon téton pendant qu'avec agilité sa main droite avait détaché les boutons du pull.

Il m'invitait à enlever ainsi ce vêtement devenu inutile. Il me caressait les seins goulument, les soupesant, titillant les aréoles appuyant sur les petits bouts pointant avec arrogance vers lui.

Très grand, il me dominait. Je penchais alors la tête en arrière, je plongeais mon regard au plus profond de ses yeux clairs.

Je formais alors avec mes lèvres un O, permettant ainsi à ma langue d'en faire le tour. À chaque rotation, j'élargissais le cercle de mes lèvres qui s'humectait et brillait de la salive que j'y déposais.

Sofiane était tétanisé, son regard ne quittait plus cette bouche, dont la langue lui faisait imaginer mille jouissances.

Sans le quitter du regard, je posais ma main droite à hauteur de sa poitrine.

Le tissu de sa tenue était d'une finesse et d'une douceur exceptionnel.

Ma main glissais lentement vers le bas, centimètres par centimètres.

Arrivé à hauteur de son ventre, je tournais la paume de ma main vers le haut.

Mes doigts alors cheminaient inexorablement vers son son entre-jambes.

La respiration de Sofiane était courte et ses battements de paupières trahissaient son émoi. Il avait abandonné mes seins. À présent, ses mains caressaient mes épaules et ma nuque. Il fermait les yeux.

J'en profitais pour jeter un regard vers le bas. Il m'offrait une très belle érection qui tendait le tissu soyeux de son vêtement.

Je sentais dans le même temps, que les caresses sur ma nuque se faisaient plus lourdes. Ses mains puissantes revenaient sur mes épaules. Elles exerçaient à présent une pression si forte que je ne pouvais que me baisser.

Je me retrouvais à genoux, mes mains passaient alors sous le bas de son vêtement.

Mes doigts remontaient le tissus soyeux vers le haut. Je voyais ainsi ses mollets musclés, puis ses cuisses mes mains caressaient ses fesses .

Enfin, je découvrais son sexe qui se dressait fièrement. Le gland pointant vers le haut reposant sur son nombril.

Sofiane ayant ôté son vêtement, il m'apparaissait en toute nudité. Il posait ses mains sur ma tête. L'invitation était claire.

Je posais mes lèvres à la base de ses très grosses couilles imberbes. Elles frémissaient sous les petits baisers que je leur offrais.

Ma langue à présent remontait entre les deux belles boules pour atteindre le gland violacé et tendu à l'extrême. Je déposais un important flot de salive sur sa pointe.

Formant un anneau de mon pouce et mon index, je le glissais de haut en bas, faisant reluire sa verge sur toute sa longueur.

J'exerçais de petites pressions et je terminais à la base, en caressant ses deux couilles de la paume de ma main humide.

Sofiane gémissait au moment où je décidais d'avaler son pénis lentement sans m'arrêter, afin que son gland pénètre mon arrière-gorge.

Mon nez ne touchait pas encore son ventre aussi, je penchais légèrement ma tête en arrière.

Je déglutissais, permettant ainsi au gland, de franchir les derniers centimètres, qui le séparaient du nirvana de ma gorge profonde.

Sofiane poussait un grognement sourd. Ma main gauche caressait ses couilles et ma main droite passée sous son entre-jambe caressaient son cul, mes doigts investissant sa raie.

Il tentait de reculer pour échapper à cette caresse, mais je le retenais.

Ma langue tapotait la base de sa verge, elle atteignait même le dessous de ses couilles.

Les contractions de ma gorge, lui administraient des pressions sur le gland, lui procurant des spasmes qui agitaient son bassin et ses jambes de légers tremblements.

Je choisis l'un de ses petits coup de reins, pour pénétrer son anus de mon index d'une poussée rectiligne et continue. J'atteignais ainsi la base de sa prostate, que j'excitais par de multiples caresses. Je sentais alors son anus se contracter violemment sur mon doigt.

Tremblant de tout son corps, Sofiane poussait cri qui s'accompagnait de trois généreuses éjaculations qui tapissaient ma gorge.

J'avalais sans hésiter son sperme. Je coordonnais alors, la libération de ma bouche avec le retrait de mon doigt de son rectum. J'avais en face de moi un homme médusé et pantelant.

Je me relevais et après avoir effacé les traces de lait sur mes vêtements, je remettais de l'ordre dans ma tenue.

Sofiane était entré rapidement dans les toilettes.

J'en profitais pour m'éclipser et rejoindre Françoise. Je lui murmurais à l'oreille

Ma chère Françoise je crois que notre ami Sofiane, n'a jamais éjaculé aussi vite, dans la gorge d'une femme.

Je savais que tu étais capable de te rendre indispensable à lui. Bravo.

La porte s'ouvrait, notre cher ami la mine ravie nous rejoignait à table. Françoise ne le laissait pas reprendre ses esprits.

-- Sofiane quand allez-vous enfin nous mettre en contact avec votre prince et vos amis du Golf. Je suis certaine qu'avec eux nous pourrions faire des affaires, mais également prendre du plaisir et du bon temps, la vie est si courte.

-- Ma chère Françoise j'aurais grand plaisir à vous recevoir et à vous présenter mon employeur et mes relations d'affaires. Que proposez-vous.

-- Nous pourrions vous rencontrer avec Marc dans un des nombreux palaces qui font la réputation de votre capitale. Bien sûr nous prendrions à notre charge tous les frais.

-- Il n'en est pas question ma chère, vous serez nos hôtes. Toutefois j'y mettrais une condition. Il nous serait agréable que votre amie Florence soit du voyage. Au regard de ma maladresse je lui dois bien ça.

-- Très bien Sofiane c'est vous qui décidez.

DANS LA VILLE DES MILLE ET UNE NUITS

Le grand jour était arrivé. Françoise, Marc et moi, nous volions en direction du Maghreb pour rejoindre la capitale où Sofiane nous attendait pour nous présenter aux gens les plus influents du pays. Inutile de dire que nous étions fébriles.

La signature éventuelle de contrats, permettrait à l'entreprise de s'implanter durablement dans ce pays avec des perspectives d'aller au-delà de ses frontières.

À l'aéroport, Sofiane tout sourire, nous accueillait chaleureusement.

-- Bonjour à vous, bienvenue dans notre pays.

-- Merci de votre accueil Sofiane nous sommes à votre disposition.

Dans la luxueuse limousine qui nous menait à notre résidence, Sofiane nous remettait un document qui nous présentait le programme des trois jours.

Une visite de deux jours des magasins et usines du plus important groupe du pays.

Son président se nommait Abbad ce qui signifie « fervent adorateur ».

Il était l'un des plus hauts dignitaires de la royauté. En clair, pas un seul business ne se faisait dans le pays, sans son autorisation.

Le troisième et dernier jour, nous étions invités à une réception au palais, en présence des hommes les plus influents du pays.

La luxueuse voiture faisait une halte en bord de mer devant une gigantesque et majestueuse résidence entourée de palmiers et de mille fleurs. Sofiane en ouvrant la porte nous dit

-- Mes amis, je vous abandonne . je dois rejoindre mon maître dans cette maison. Le chauffeur va vous accompagner jusqu'à votre résidence. Je passerai vous prendre demain matin à 8 heures pour la première journée de visite des entreprises. Bonsoir

Nous étions fort surpris de l'expression « mon maître » mais bon, certainement une coutume traditionnelle.

Le chauffeur nous déposait dans un palace ou une suite nous était réservée.

Après un repas délicat et raffiné, le maître d'hôtel nous remis à Françoise et à moi-même une enveloppe de la part de Sofiane.

Nous nous empressions de lire ce message qui était le même :

« Chère Florence, vous trouverez sur votre lit les vêtements qu'ils nous plairaient de vous voir porter demain. »

« Chère Françoise, vous trouverez sur votre lit les vêtements qu'ils nous plairaient de vous voir porter demain. »

Marc après les avoir consultés nous déclarait :

-- Bon ce n'est pas compliqué d'accéder à leurs souhaits les filles.

Après cette sage parole et un café, je me retrouvais dans ma chambre. Je découvrais la tenue que j'étais invitée à porter demain.

Manifestement la tendance était au bleu. Une jupe en cuir découvrant légèrement les genoux, un chemisier léger boutonné devant avec un col en V très sage. Une veste de cuir et des chaussures à talons hauts du même bleu. Sans oublier le foulard assortit en guise de coiffe.

Un petit sac à main de cuir, contenait les sous-vêtements.

Tiens là, c'était le rouge vif qui dominait.

Culotte brésilienne en dentelle transparente et le soutien-gorge assortis très décolleté.

Nul doute que ces dessous étaient bien moins sage que les vêtement de dessus.

Ce qui était stupéfiant, c'est que nos hôtes connaissaient manifestement toutes nos mensurations.

J'étais impatiente de découvrir la tenue de Françoise.

UN CHANGEMENT DE PROGRAMME SURPRISE

Après un bain relaxant, j'avais suivi les instructions vestimentaires de Sofiane.

J'étais donc toute de bleu vêtu lorsque je rejoignais Marc et Françoise dans le petit salon où nous était servi le petit déjeuner.

Je restais sans voix en découvrant que Françoise avait exactement les mêmes vêtements que moi à un détail près. L'ensemble était rouge des pieds à la tête.

-- Bonjour Marc, bonjour Françoise. Je constate que nos hôtes ont souhaité nous lancer un message sur leurs couleurs et goûts vestimentaires.

-- À l'évidence ma chère Florence nos hôtes ne manquent pas d'originalité, n'est-ce pas chéri.

-- Écoutez les filles, si vos tenues répondent à leurs souhaits, ne leur refusons pas ce petit plaisir. Sincèrement je vous trouve charmantes comme ça.

Sofiane venait d'entrer dans le salon nous rejoignant. Il était comme Marc vêtu d'un costume de bonne facture. Il nous invitait à le suivre vers la sortie.

Les chauffeurs de deux voitures de luxe ouvraient les portes à notre intention.

-- Marc, si vous voulez bien nous allons emprunter le premier véhicule afin d'effectuer la visite des sociétés de mon maître.

Mesdames, je vous invite à vous diriger vers le second véhicule, il vous mènera en compagnie d'une collaboratrice, visiter les magasins de luxe de notre centre commercial.

-- Mon cher Sofiane n'était-il pas prévu que mon épouse et Florence nous accompagne?

-- Certes Marc, mais mon Maître en a décidé autrement. Il vous sera certainement agréable mesdames d'effectuer ces visites et de satisfaire ainsi aux désirs de votre hôte. Nous vous retrouverons au terme de nos deux jours de tournée avec Marc pour la soirée de réception au palais.

Françoise s'empressait de répondre

-- Mon cher Sofiane, c'est avec plaisir que nous répondons à ce changement de programme qui semble faire plaisir à votre Maître.

-- Merci mesdames, je sais que mon Maître saura vous combler comme vous l'avez fait pour moi à Paris. Mes respects.

UNE JOURNÉE TRÈS PARTICULIÈRE

La voiture de Marc avait démarré dans un crissement de pneus. Notre chauffeur était un très grand black. Il devait avoisiner les deux mètres et sa carrure imposante était impressionnante.

Françoise avait tenté de lui demander où nous allions mais, manifestement il ne pratiquait ni le Français ni l'Anglais.

Notre véhicule semblait sortir de la ville empruntant une piste désertique. Au bout d'une demi-heure, c'est un véritable palais entouré d'un très haut mur d'enceinte qui se dessinait sur le ciel bleu.

Deux immenses portes de bois s'ouvraient. Elles donnaient sur un véritable jardin d'Éden. Un écrin de verdure et une d'explosion de fleurs multicolores nous émerveillaient.

Le chauffeur nous faisait signe de le suivre. Nous traversions de multiples allées et terrasses. La dernière dominait la mer. En contrebas, ce n'était pas moins d'une centaine de voitures de luxe qui stationnait sur un parking orné de palmiers et de buissons fleuris.

LA RENCONTRE AVEC LE MAÎTRE DES LIEUX

Nous venions de pénétrer dans un immense salon dont le chauffeur avait refermé la porte.

Nous étions seules. Une musique douce nous était offerte. La pièce comportait trois portes celle qui donnait sur la terrasse par laquelle nous étions entrées.

Une petite porte sur notre droite et une immense et très haute double portes qui ornait le centre du plus grand mur.

-- Qu'en penses-tu Florence, nous devions bien faire les magasins selon les propos de Sofiane

-- Oui je sais Françoise, c'est étrange mais à priori il y a changement de programme.

Françoise se dirigeait vers la porte par laquelle nous étions rentrées et qui donnait sur la terrasse. Elle tentait de l'ouvrir mais, manifestement, le chauffeur semblait l'avoir verrouillée en partant.

Nous attendions maintenant depuis une bonne demi-heure lorsque la petite porte s'ouvrait.

Précédé par deux colosses en tenue de serveur, un homme grand portant un smoking blanc nous apparaissait.

La cinquantaine, cheveux poivre et sel, le visage mat, un regard sévère souligné par deux yeux gris clair, il s'avançait vers nous d'un pas assuré.

-- Mesdames bonjour. Je me nomme Habbab, je suis heureux de vous accueillir dans ma modeste demeure. Je vois que vous avez suivi mes instructions en ce qui concerne vos vêtements. Alors dites-moi tout, en rouge j'ai bien affaire à Françoise la généreuse femme de Marc.

-- C'est exact monsieur et je vous remercie pour votre invitation et cette très belle tenue.

-- Et en bleu, nul doute que j'ai le plaisir de faire la connaissance de Florence dont Sofiane m'a vanté les immenses talents.

-- Oui monsieur, je vous sais gré de ces très jolis vêtements et vous remercie de votre accueil.

-- Bien, bien, mais vous allez avoir toute les deux, l'occasion de me remercier de bien d'autres présents. Ils vous attendent dans la salle de réception qui se trouve derrière cette porte monumentale.

EMILIEDAN
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