Être vachue s'est merveilleux 22

22. Arrivée de Stéphanie à la nouvelle laiterie

Claude est dans le hall de l'aérogare attendant l'arrivée du vol 365. Il voit Stéphanie débarquer de l'avion, un large sourire aux lèvres, passer les formalités d'immigrations et sortir par la porte qui mène les passagers dans l'aire de réception des bagages. Il s'approche d'elle et lui demande:

 As-tu fait un bon voyage?

 Très bon. Le personnel à bord est extrêmement gentil. Madeleine Chambord, la directrice du vol, m'a personnellement aidé.

 Bon. Allons à la voiture, tu me raconteras tout ça.

Tous les deux montent dans la voiture allouée par la laiterie, et roulent pendant une heure, vers le nouvel établissement. C'est un édifice imposant, planté au milieu de la campagne, caché par des bosquets : la discrétion totale. John les reçoit. Il embrasse Stéphanie sur les lèvres et lui dit

 Nous t'avons réservé une des plus belles chambres de notre institution. Tu y seras à l'aise. Tous les équipements dont tu peux avoir besoin sont en place.

 Merci. Si cela ne vous dérange pas, j'aimerai prendre une bonne douche et m'installer.

 Bien sûr répondent en cœur les deux hommes. Prend ton temps. Dans une heure nous irons te chercher pour une visite des installations.

 J'ai placé sur le lit la tenue que tu devras porter pour la visite, lui dit John

Stéphanie prend possession de ses quartiers. Elle défait sa valise, range ses habits, enlève ses vêtements. Toute nue, elle se regarde dans le grand miroir de la chambre et admire son corps parfait avec ses seins pendants qu'elle masse légèrement. Puis elle se dirige vers la salle de bain, pour prendre une bonne douche. Elle se savonne copieusement, et particulièrement son entre-cuisses, en glissant ses doigts entre les grandes lèvres de son vagin, afin de dissoudre la mouille séchée que Madeleine a su lui faire produire abondamment, pendant le moment de jouissance, durant son vol. Comme c'est bon de pouvoir se masturber sous la douche, laissant couler l'eau tiède à grands flot sur son corps: laisser son imagination voguer dans les flots d'un amour imaginaire. Être dans les bras d'un bel Apollon ou d'une sage Sappho, qui vous fait sentir vivante. Toutes les femmes s'étant masturbée sous la douche vous l'affirmeront. Ses seins commencent à la gêner, car normalement ce serait l'heure d'une bonne traite. Elle tire sur ses tétons, afin de les allonger, et prolonger ainsi le court moment d'extase que lui procure sa masturbation sous la douche. Après un moment de récupération physique et psychique, elle ferme les robinets et sort de la douche. Elle se sèche et se dirige vers la chambre pour prendre les vêtements placés sur le lit. Elle ne trouve qu'une blouse translucide qui porte sur le devant le nom de la laiterie : The Milky Dream, et qu'elle enfile.

On cogne à la porte. Claude et John sont venus la chercher pour la visite. Tous deux restent bouche bée devant le corps de cette déesse sous sa blouse translucide.

 Tu es superbe, lui dit John, en l'embrassant dans le cou.

 Merci, sourit Stéphanie, dont la face rougit.

Tous les trois se dirigent vers la salle de traite. C'est une grande pièce, toute recouverte de carrelage, de bas en haut, de couleur vert pâle. Stéphanie, surprise, n'y voit pas de tables de traite, mais plutôt des fauteuils type Transat, soit un fauteuil avec dossier ajustable, deux appuis bras, mais avec une division sur la partie horizontale, pouvant se séparer en deux, par écartement en V, des pieds vers le siège. John se rend compte de l'inquiétude de Stéphanie, qui demande en se dirigeant à Claude:

 Ici on n'utilise pas de tables de traite comme chez nous?

 Non! Répond John. Ici les vachues seront confortablement allongées comme sur un paquebot ou au bord d'une piscine.

 Mais pourquoi cette division?

 Eh bien, cela sert à écarter les jambes, afin de mettre en relief le sexe des vachues. Cela permet ainsi aux collègues de traite ou visiteurs occasionnels de s'agenouiller face au vagin offert, pour le câliner, lécher le clitoris ou l'anus pendant la traite de la vachue.

 Ah! Je vois. Mais comme les mamelles de la candidate ne pendent pas, le lait aura plus de difficultés à sortir.

 Non! Pas du tout., répond Claude, et tu vas pouvoir l'expérimenter personnellement. Ici ils ont des appareils que nous ne connaissons pas chez nous. Je vais enlever ta blouse et tu pourras t'allonger sur le transat.

Une fois la blouse enlevée, Stéphanie se retrouve toute nue comme un vers et s'allonge sur le fauteuil. John approche un objet en matière synthétique composé de deux tubes mous, couleur peau, ayant une ouverture de 5 cm à un bout, avec un anneau rigide en acier inoxydable et un mécanisme de fermeture, et ouverts à l'autre bout, ayant un diamètre de 30 cm. Les deux tubes ressemblent à des sacs allongés, attachés ensembles pas une sangle ajustable et chacun possédant en opposé une bande type velcro, permettant la fixation de l'ensemble sur la poitrine de la vachue à traire.

 Cela ressemble à deux sacs de patates, fait Stéphanie.

 Non, en fait ces boyaux flexibles sont thermos ajustables. La chaleur de tes mamelles va faire rétrécir le matériau, qui s'ajustera parfaitement à tes seins.

John passe chaque sac sur les mamelles de Stéphanie, tandis que Claude ajuste la lanière à velcro dans le dos de la vachue. Une fois le tout ajusté, les deux pis ressortent par l'ouverture du fond des sacs, et juste par la chaleur de la poitrine de Stéphanie, le matériau s'adapte parfaitement à chaque mamelle.

 Surprenant dis alors Stéphanie. Et en plus cela ne me serre pas, on dirait que les sacs ont pris la forme de mes seins.

 Oui! C'est effectivement ça qui se passe. En plus cela doit être confortable, et ta peau ne transpirera, car le matériau, type latex, la laisse respirer. Maintenant si tu regardes bien, il y a dans le latex une petite bande en spirale, qui part de ta poitrine et qui enroule tes seins jusqu'à l'embout métallique d'où sortent tes tétons. Cette bande va créer un champ électromagnétique pulsé, à une certaine fréquence. C'est ce champ qui va favoriser l'expulsion de ton lait. On appelle ça de l'électro stimulation. On n'a plus besoin de créer un vide excessif pour traire nos futures vachues. Un simple petit vide permettra de diriger le lait vers le lactoduc, ce qui ne blessera pas leurs pis.

John approche deux coupelles transparentes, reliées au lactoduc central par des tubes flexibles translucides. Il bloque chaque téterelle sur l'embout métallique des membranes fixées sur chaque sein. Maintenant Stéphanie porte sur chaque sein une membrane ajustée à la taille de chaque mamelle, et ses tétons de 5 cm de long, apparaissent librement dans les téterelles transparentes.

 Maintenant nous allons nous occuper de tes orifices inférieurs.

Claude prend un plug en acier inoxydable qu'il a enduit au préalable d'un lubrifiant avec son index. Il passe le doigt encore graissé sur l'œillet anal de la jeune femme, pour bien faciliter la pénétration du plug. Celui-ci est relié électriquement à un des avant-bras du fauteuil où se trouve Stéphanie, allongée. La pénétration du plug se fait en douceur. Stéphanie ressent cet intrus, un peu froid dans son for intérieur.

John approche une pompe à vagin assez particulière. Elle est composée d'une coupelle transparente, reliée électriquement à l'autre avant-bras du fauteuil. Stéphanie regarde avec intérêt ce nouveau jouet. Dans son milieu intérieur il y a un pénis flexible, conducteur et vibrant, avec à son bout un petit trou genre méat. Par ce trou, il permettra l'introduction d'un gel électro-conducteur, dans les profondeurs du vagin, ce qui facilitera la création du champs pulsé et l'atteinte de l'orgasme. Un autre tube flexible permet de créer le vide afin que la coupelle s'adapte aux grandes lèvres du sexe de la vachue. John l'approche au vagin de Stéphanie, et met en route une petite pompe à vide, qui suce les lèvres du vagin. Stéphanie ressent la succion tandis que le pénis pénètre profondément dans son sexe. Un liquide visqueux et froid envahit l'intérieur de son sexe.

Tout l'attelage étant prêt, Claude met en route tous les appareils électriques. En premier lieu Stéphanie ressent un pétillement dans chaque mamelle. Ce picotement naît de la racine des seins, proche de la poitrine, contourne les glandes mammaires par vagues successives, et de façon spiralée, et aboutit aux bouts des mamelons. Après un petit moment, et par jets successifs, intermittents et bouillonnants, le lait est projeté sur la paroi des coupelles transparentes qui couvrent les tétons. Le faible vide créé dans les coupelles, le dirige ensuite vers le lactoduc. Le champ électro magnétique force ainsi le lait dans les glandes mammaires (ampoules galactophores) à s'évacuer vers les canaux galactophores, et Stéphanie voit le lait sortir en jets puissants et pulsés dans les coupelles transparentes placées au bout de ses seins en faisant des bulles. Quel plaisir de voir se vider ses mamelles sans effort et en ressentant un picotement plaisant. Mais le picotement ne s'arrête pas là! Il continue sa course vers le vagin de Stéphanie, en passant par ses entrailles, pour conclure sa course au niveau de son clitoris et aboutir sur la verge insérée dans le sexe de la vachue. Le courant alterné termine son chemin sur le plug occupant son anus. Tout ce cheminement électromagnétique et pulsé, contracte de façon saccadée, tous les muscles internes de Stéphanie. Souriante et heureuse de sentir ces nouveaux plaisirs, sans aucun effort, Stéphanie ressent son excitation monter de plus en plus vite et fort au gré des courants créés par le stimulateur. L'orgasme arrive à grands pas au fur et à mesure de l'extraction du lait chaud de ses mamelles. Stéphanie commence à haleter de plaisir.

 C'est bon? lui demande Claude

 Oui, c'est délicieux, arrive difficilement à répondre Stéphanie, qui approche au pic de l'orgasme. C'est quoi ce que je ressens?

 Nous avons un électro simulateur qui favorise l'extraction de ton lait, répond John. En plus il oblige tes sphincters à travailler.

 Aaaaahhhh! Je jouie cri Stéphanie, tout en roulant les yeux vers l'arrière.

 Je crois que notre vachue apprécie sa première traite chez vous, commente Claude.

 Oui, en effet! Je pense qu'elle n'avait jamais ressenti ce genre d'extase auparavant, répond John.

L'orgasme de Stéphanie dure plusieurs minutes, accentués par l'effet stimulateur du générateur de vagues électromagnétiques. Son corps se met à trembler de façon incontrôlable. John et Claude accentue les plaisirs de la vachue en caressant son corps surchauffé par les délices sensuels qui l'habitent. La traite dure ainsi 35 bonnes minutes et Stéphanie subit une douzaine orgasmes intenses. Toutefois, contrairement aux traites effectuées à la laiterie Au Bon Sein, elle ne se sent pas fatiguée du tout. A la fin de la traite, ses mamelles sont désengorgées et vides. Plus de lait n'en sort. John arrête les stimulateurs, et s'affaire avec Claude à débrancher Stéphanie de tous ses équipements.

 Puis, qu'en penses-tu? Demande Claude

 C'est inouï. J'ai vraiment aimé ce type de traite. Mes seins se sont vidés tout naturellement, et en plus j'ai joui de façon extraordinaire. Il faudrait que nous ayons ce type d'équipement chez nous.

 Et bien c'est fait. J'en ai commandé suffisamment pour traire vingt vachues en même temps. Ici ils en ont acheté 200. Je peux te dire que le fournisseur a été extrêmement ravi de faire affaire avec nous. Maintenant, après t'avoir vu jouir comme ça, cela nous a excité, à John et moi. Tu vas maintenant te mettre en position pour recevoir de vrais membres virils, en chair et en os. Mets-toi à quatre pattes et fais-nous jouir.

Stéphanie s'exécute pendant de John et Claude baissent leurs pantalons et font sortir de leurs caleçon leurs membres érigés. John se place derrière la vachue, et enfonce sa verge dans l'anus de Stéphanie, tandis que Claude s'approche de sa face et lui fait ouvrir tout grand la bouche, afin d'y introduire son membre, qui lui aussi est tout dur. Les deux hommes font des mouvements de va-et-vient dans leurs orifices respectifs, et éjaculent leurs spermes, ensembles et en même temps que Stéphanie subit un dernier orgasme violent. Cette fois-ci, oui, la jeune vachue est épuisée et s'affale sur le transat, puis elle s'endort.

 Je crois que cette fois-ci, nous l'avons exténuée. C'est quand même merveilleux la vie d'une vachue et pouvoir vivre tous ces bons moments de plaisir et terminer avec plein d'étoiles dans les yeux et le sourire aux lèvres, finit par dire John.