Être vachue s'est merveilleux 21

Informations sur Récit
Le voyage de Stéphanie en avion.
2.3k mots
4.66
8.7k
0

Partie 21 de la série de 22 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/16/2019
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cela fait deux semaines que John est reparti dans son pays avec le contrat de partenariat en poche. Claude, de son bureau, appelle Claudine car il a quelque chose à lui annoncer. Celle-ci entre, toujours vêtue de sa blouse transparente, et son soutien-gorge ajouré avec les deux ventouses fixées sur les tétons. Elle ne porte pas de petite culotte, ce qui donne une allure plus sensuelle à sa démarche et sa beauté.

Assieds-toi. Je viens d'avoir un appel de John. Il demande à ce que j'aille là-bas pour le choix des équipements. Tu seras en charge de la laiterie pendant toute mon absence. Tu as les compétences pour diriger notre institution, donc je ne me fais pas de soucis.

Bon, et quand pars-tu? Demande Claudine

Cet après-midi. Je passe chez moi pour faire ma valise.

D'accord. Bon voyage.

Je te tiendrai au courant de l'évolution de ma démarche.

Il quitte le bureau et Claudine s'assoie sur le fauteuil du bureau directorial. Elle s'occupe des statistiques de production et appelle Stéphanie pour lui demander de prendre en charge, temporairement, la fonction de chargée de production. Stéphanie en est ravie, et prend à cœur sa nouvelle responsabilité. Sortie du bureau, elle se dirige, toute enjouée, vers sa chambre et trouve Sylvie endormie sur son lit. Toutefois en s'approchant, elle entend un petit vrombissement sourd. En se penchant sur le lit de Sylvie, elle remarque un godemiché ventouse vibrer dans le vagin de sa compagne. La voyant si profondément endormie, avec un large sourire de satisfaction aux lèvres, elle ne veut pas la réveiller, et lui laisse un petit message sur un bout de papier, qu'elle place sur le lit de la dormeuse.

Je dois prendre la place de Claudine à la production

Je serai de retour ce soir.

Je t'embrasse

Quelques jours plus tard, Claudine appelle Stéphanie dans son bureau. Celle-ci accourt pensant qu'un problème aurait pu se produire dans la laiterie. Inquiète, elle frappe à la porte du bureau de Claude où Claudine a pris fonction depuis quelques jours.

Entre! Assieds-toi. Claude vient de m'appeler.

Ah oui! Comment va-t-il avec la nouvelle laiterie.

Très bien, mais il demande à ce que tu ailles là-bas pour travailler avec lui.

Pour faire quoi?

Il veut que tu essaies les nouveaux équipements et que tu en donnes ton appréciation. Il semblerait que les appareils là-bas, sont un peu différents de ceux que nous utilisons ici. As-tu ton passeport à jour?

Oui! En temps que journaliste je devais toujours le tenir prêt

Bon, prépare tes affaires. Un taxi viendra te chercher pour t'amener à l'aéroport

Mais, le vol dure plus de 5 heures, et avec deux heures d'attente aux aéroports, je vais être complètement engorgée.

Je sais. Mais je sais aussi que tu pourras faire le nécessaire à bord, lui répond Claudine.

Stéphanie retourne dans sa chambre pour faire sa petite valise. Sylvie n'est pas là, elle doit être à sa traite. Elle écrit un petit mot pour l'informer de son départ. Ensuite, après une douche rapide, elle s'habille, avec un soutien-gorge renforcé où elle place quelques tampons d'ouate, pour absorber tout lait qui pourrait couler, une petite culotte assortie, et enfile une robe large et légère, pour le voyage. Elle termine sa toilette avec des souliers à talons. Elle prend un manteau, au cas où, car c'est l'automne, aussi bien ici que dans le pays où elle va, et se dirige vers la réception. Claudine est là qui l'attend. Le taxi est arrivé et le chauffeur discute avec la réceptionniste.

Ton taxi va t'amener à l'aéroport. Voici le billet d'avion. Bon voyage, lui disent Claudine et Martine la réceptionniste.

Stéphanie et le chauffeur montent dans la voiture, qui démarre en direction de l'aéroport. Pendant tout le trajet le chauffeur admire, à travers son rétroviseur, la beauté qu'il transporte, et surtout, cette poitrine insolente qui pointe droite vers l'avant. Le voyage étant déjà payé par la laiterie, Stéphanie descend du taxi et le chauffeur lui remet sa valise, tout en regardant fixement la poitrine volumineuse de sa passagère. Stéphanie pense à elle-même <il se fait des idées celui-là! C'est sûr que ce soir, en se jetant sur sa femme, il pensera à moi!>, puis elle se dirige vers le comptoir de la compagnie aérienne. La responsable prend son billet et l'informe que le vol est retardé d'une heure. Cela contrarie Stéphanie qui pense à ses seins qui seront engorgés pendant le trajet. Elle se dirige vers les restaurant pour commander un verre de lait chaud, qu'elle boit en attendant l'appel d'embarquement.

<VOTRE ATTENTION, SVP. LES PASSAGERS DU VOL 365 DOIVENT SE DIRIGER À LA PORTE 4. PREMIER APPEL>

Stéphanie, en entendant le haut-parleur de l'aérogare, se dirige vers la porte 4. Une préposée prend son billet et l'invite à monter à bord. Une hôtesse de l'air regarde son billet et lui indique le siège 69C. Stéphanie se dirige vers son siège, qui heureusement est sur l'allée, et donc elle pourra aller aux toilettes sans déranger personne. Une fois tout le monde embarqué, les porte de l'avion se ferment.

<Bienvenus à bord de notre vol 365. Je m'appelle Madeleine Chambord et suis votre directrice de vol. Le vol durera 5 heures 18 minutes et nous volerons à une altitude de 33.000 pieds. Veuillez attacher votre ceinture, nous allons décoller. Une vidéo vous présentera les mesures de sécurité de cet avion. Bon vol, retentie la voie de la directrice. Madeleine est une élégante femme de plus de 50 ans, plus près de la retraite que de son début de carrière.

Le vol se passe bien, sans turbulences, et avec un service à bord sans reproches. En passant le chariot avec les rafraîchissements, Madeleine, qui sert la boisson, assistée d'un jeune steward, regarde fixement Stéphanie dans les yeux, avec un large sourire. Le steward, lui, préfère regarder les jeunes hommes. Madeleine sert un chocolat chaud à Stéphanie et continue son parcours. Stéphanie, au bout de 4 heures de vol, commence à s'agiter sur son siège. Madeleine le remarque aussitôt, car elle n'a pas lâcher des yeux cette passagère bien équipée au niveau de la poitrine. Elle s'approche de Stéphanie, et lui dit doucement à l'oreille :

Cela ne va pas, n'est-ce pas mademoiselle?

En effet, répond Stéphanie. Il faudrait que j'aille aux toilettes.

Oui, je vois, vous allaitez? Je l'ai tout de suite remarqué dit Madeleine. Et cela vous fait souffrir?

Oui, en fait je donne mon lait à une laiterie qui fournit du lait maternel. Et là j'ai les seins engorgés, car cela fait plusieurs heures que l'on ne m'a pas extrait le lait. Ils me font mal, et je n'ai pas de tire-lait avec moi, répond Stéphanie

Je vois! Suivez-moi. Nous allons régler ce petit problème.

Les deux femmes se dirigent vers la toilette réservée à la première classe. Madeleine fait entrer Stéphanie et la suit en refermant la porte à clé.

Ici les toilettes sont plus spacieuses et nous allons pouvoir vous soulager, lui dit Madeleine.

C'est une belle grande femme, blonde, avec elle aussi, une poitrine imposante, mais qui se trouve cachée dans son uniforme.

Vous allaitez combien de fois par jour? demande Madeleine.

Je n'allaite pas vraiment. Comme je vous aie dit, je donne mon lait à une laiterie particulière, où je réside de façon permanente. Là-bas nous avons des trayeuses industrielles qui nous traient quatre fois par jour. Ces machines sont très performantes, et elles vident complètement nos seins. C'est pour cela que je produis beaucoup de lait, et dépassé mon horaire de traite, mes seins sont complètement engorgés.

Je sais ce que vous ressentez, j'ai allaité mes trois enfants, et durant mon travail je souffrais aussi le martyre. Heureusement, mes collègues s'occupaient à me soulager lors des vols long courrier. Elle s'assoie sur le couvercle du cabinet et dit :

Enlevez votre robe et asseyez-vous sur mes genoux, face à moi.

Surprise, Stéphanie s'exécute et s'assoit sur les cuisses de Madeleine. Les deux femmes sont face à face. Elle a confiance en cette femme qui semble avoir de l'expérience. La directrice étend ses bras derrière le dos de Stéphanie pour lui ôter son soutien-gorge. En retirant le sous-vêtement, les deux seins volumineux et durcis par l'engorgement, pointent tout droit devant la poitrine de Madeleine. Des gouttes de lait perlent déjà aux bouts des tétons. Madeleine approche sa bouche au sein gauche de Stéphanie et y applique la langue. Stéphanie est surprise de ce geste un peu familier, et essaie de reculer, mais Madeleine la retient par les fesses.

Ne bouge pas et laisse-toi faire. Comme je te l'aie dit, je suis déjà passé par là et mes collègues me soulageaient comme ça.

Puis elle approche ses lèvres à la bouche de Stéphanie et, appuyant sur sa nuque, elle l'attire et l'embrasse vigoureusement. Stéphanie, ferme les yeux et savoure la langue offerte par cette compagne inattendue. Le baiser dure un bon moment, puis Madeleine, le sourire aux lèvres lui dit.

Je t'ai remarqué dès que tu étais monté à bord, et j'avais vraiment envie de t'embrasser. J'aime aussi les femmes et surtout celles qui allaitent. Stéphanie sourit à son tour et embrasse à nouveau sa bienfaitrice.

Madeleine se dégage doucement et approche sa bouche, grande ouverte pour l'appliquer sur le mamelon droit de Stéphanie. En temps qu'experte en la matière, elle se met à sucer fermement, faisant sortir le lait emprisonné. Stéphanie, relève la tête en arrière et ferme les yeux et émettant un sourd grognement de contentement. C'est tellement bon de se faire vider les seins engorgés par une femme d'expérience! Samantha s'applique contentieusement, et au bout de 5 minutes, elle change de sein, mais en même temps, elle pose sa main droite sur la petite culotte de Stéphanie, tandis que son autre main soutient le sein gauche de cette jeune femme à qui elle doit soulager les glandes mammaires. Elle commence alors à frotter le tissu au niveau du clitoris de Stéphanie. Celle-ci redouble ses soupirs sourds. Madeleine appuie un peu plus fort sur le bouton érigé, tout en pratiquant un mouvement circulaire. Stéphanie ressent de plus en plus l'excitation envahir son corps. Enfin une femme d'âge mûr qui sait comment la contenter! pense-t-elle dans son for intérieur. C'est tellement bon de se faire masser le bouton de plaisir, tout en allaitant. Les femmes en période d'allaitement pourront vous le confirmer!

La pression dans la deuxième glande diminue lentement, tandis que deux doigts inquisiteurs séparent le tissu qui recouvre le vagin de sa propriétaire, et pénètrent vigoureusement la porte du sexe engorgé, lui-aussi, mais de mouille chaude et lubrifiante. Les dernières phalanges des deux doigts envahisseurs, se recourbent et exercent un frottement sur la surface rugueuse située sur la paroi supérieure du jeune utérus visité. Cela fait des lustres que les doigts de Madeleine n'avaient pas rendus visite à cette partie tendre et intime d'une jeune femme : en fait depuis son adolescence. Stéphanie halète de plus en plus vite et de façon saccadée, approchant le sommet de l'extase. Une fois le sein vidé, Madeleine embrasse Stéphanie pour étouffer les cris de jouissance qu'elle commence à émettre, tout en continuant ses mouvements de va-et-vient dans le sexe humide de cette passagère en détresse. Stéphanie émet des cris sourds dans la bouche de Madeleine.

Humm! Humm! Humm!

Sa jouissance est complète. Les décors inattendus, le savoir-faire de cette femme plus âgée qu'elle, le ronronnement sourd des moteurs de l'avion, le fait de s'envoyer en l'air à 33.000 pieds d'altitude, tout ceci lui fait expérimenter une nouvelle sensation, des émois qu'elle n'avait pas connu avant lors de ses voyages professionnels en avion. L'orgasme dure un bon moment, puis d'un seul coup, tous ses muscles se relâchent. Elle est soulagée, après tant de tensions, aussi bien au niveau de ses seins, qui quelques instants auparavant étaient engorgés, qu'au niveau de son sexe, avec cet orgasme intense et particulier. Les deux femmes se dégagent doucement, et Madeleine sourit à Stéphanie qui a des larmes aux yeux. En la regardant fixement, elle met les deux doigts de sa main droite, tout mouillés de la cyprine de la jeune passagère qu'elle vient de soulager, dans sa bouche, et savoure le fluide vaginal, tandis qu'avec sa main droite, elle sèche les yeux mouillés par les larmes de jouissance de Stéphanie. Celle-ci sourit et embrasse tendrement la bouche de sa bienfaitrice, encore ouverte et humide de ses secrétions. Sa langue lèche sa propre mouille et se colle sur la langue de Madeleine. Leur baiser dure un bon moment, puis elles se séparent, en souriant mutuellement sans mot dire. Au bout d'un instant, Madeleine lui dit :

C'était bon hein? J'avais la même sensation lorsque mes collègues me soulageaient comme ça! Maintenant rhabille-toi.

Stéphanie, avec l'aide de Madeleine, remet ses vêtements, et toutes les deux sont sur le point de sortir des toilettes, lorsque Madeleine lui demande :

Tu m'as dit que tu donnais ton lait à une laiterie. As-tu l'adresse de cette laiterie? J'aimerai en acheter. C'est tellement bon quand c'est fraîchement tiré des mamelles chaudes.

Oui, bien sûr. Viens me voir, j'ai des cartes de visites avec les coordonnées.

Les deux femmes ressortent des toilettes, et au passage, les autres hôtesses de l'air sourient à Stéphanie, sachant bien ce qui venait de s'y produire. Stéphanie, a la face toute rouge, aussi bien par les moments de jouissances et que par la gêne de savoir que le personnel féminin de l'avion avait découvert le petit manège qui venait de se produire dans les toilettes. Elle retourne à son siège, accompagnée par Madeleine, à qui elle donne la carte de visite de la laiterie. Le vol se termine sans problème, Stéphanie gardant un souvenir merveilleux de son voyage. Être vachue c'est quand même merveilleux!

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

The Awe of Being a Hucow Ch. 01 Stephanie visits a special dairy.
Hucow Madame - Prologue Without bulls, what's a poor hucow to do?
Shapeshifting Chat A shapeshifting woman has a chat with a shy, kinky teenager.
Hiram's Dairy Farm Ch. 01 Hiram and Rita start a new journey for the farm…
EFAVA - The Futa Sex Android Ch. 01 A day in the life of an experimental sex android.
Plus d'histoires