Être vachue s'est merveilleux 20

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John passe de bons moments avec les vachues.
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Partie 20 de la série de 22 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/16/2019
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  1. La dégustation particulière de John

Claudine et John se dirigent vers la chambre dénommée <Nuit d'Amour>. John reste quelques secondes devant la porte, amusé par l'écriteau qui identifie la pièce. Claudine le remarque et lui dit :

C'est notre chambre pour satisfaire les besoins de notre clientèle privilégiée, aussi bien masculine que féminine.

Ah! répond John, avec surprise. Et elle est utilisée souvent?

Au moins une fois par semaine. C'est en plus un moyen de récompenser nos meilleures productrices. Ici elles se font plaisirs elles aussi.

Je vois, dit John

Entrons, réplique Claudine en ouvrant la porte.

Nos deux vachues sont assises sur le lit. À l'ouverture de la porte elles se lèvent d'un coup, toutes excitées. L'aphrodisiaque a mené leur libido au bord du paroxysme.

John, je vous présente Stéphanie

John s'approche et tend la main, mais Stéphanie se jette à son coup et lui donne un baiser sur les lèvres. John, surpris, se tourne vers Claudine avec un regard interrogatif!

Oui, nos vachues sont très câlines. C'est tout à fait normal qu'elles montrent des signes de tendresses. Elles sont habituées à recevoir de la sorte nos invités.

Ah! je vois. Et cette belle créature c'est?

Sylvie. C'est aussi une grande productrice. Elle est proche de Stéphanie, et elles sont logées dans la même chambre. Elles sont inséparables.

Sylvie s'approche aussi de John, qui cette fois-ci s'applique à lui donner un bon baiser sur la bouche.

Tenez John, je vous remets ces deux contrôles. Ils servent à donner satisfaction à nos vachues. Comme vous pouvez le voir derrière la nuisette, il y a des petites queues qui apparaissent au niveau de leurs sexes. Elles ont mis un œuf vibrant dans leurs vagins pour que vous puissiez les préparer en les excitant d'avance.

John prend les manettes et appui sur le bouton d'une d'entre-elles. Stéphanie se tortille avec un large sourire de plaisir sur les lèvres. Il laisse le bouton en marche et s'attèle à l'autre manette, donnant le même résultat chez Sylvie. Claudine lui donne aussi une petite pince, et montre à John comment l'utiliser pour retirer les O'Rings des trayons des deux vachues.

Ceci vous sera utile pour goûter le lait de ces demoiselles. Bon! Maintenant je vous laisse en bonne compagnie et passez tous un bon moment ensembles.

Claudine quitte la pièce et referme la porte. John reste debout devant les deux jeunes femmes et les contemples avec admiration. Les deux vachues sont en face de lui et commencent à se dandiner, à cause des œufs vibrants qui logent dans leurs vagins. Stéphanie croise ses jambes et tient ses mains serrées sur son sexe. John est fasciné!

Je vous trouve toutes les deux superbes. J'adore vos parures. Les sous-vêtements son très suggestifs. Aimez-vous votre vie ici?

Oh, oui Monsieur! répond Sylvie instantanément.

Non, pas Monsieur, mais John, s'il vous plaît! Qu'est-ce qui vous plaît ici?

Nous aimons produire et donner notre lait, nous faire traire régulièrement, par les trayeuses, pouvoir vivre ensembles, échanger nos sensations avec nos sœurs d'adoption et nous câliner dans nos moments d'intimité, répond Stéphanie, dont les mots sont entrecoupés par des soupirs et des petits cris aigus.

Je vois, et vous aimez beaucoup le sexe, m'a-t-on dit

Oh oui! répondent les deux femmes en cœur.

Très bien! Maintenant j'aimerai vous voir en action. Embrassez-vous!

Sylvie prend Stéphanie au cou et approche ses lèvres à la bouche grande ouverte que lui offre Stéphanie. Toutes deux commencent à se caresser, d'abord la poitrine, sur les soutien-gorge, puis Stéphanie descend ses deux mains pour attraper les fesses de Sylvie par-dessus sa nuisette. Le petit jeu dure quelques minutes, puis les étreintes se relâchent et toutes deux s'approchent de John. Stéphanie se place derrière lui tandis que Sylvie commence à déboutonner la chemise du visiteur. Stéphanie embrasse le cou de John et retire la chemise déboutonnée par sa compagne. Elle encercle de ses bras le torse de John et embrasse ses épaules. John, avec son corps athlétique, se laisse faire. Sylvie, pour sa part baise ses tétons en les léchant. John de son côté enlève la nuisette de Sylvie. Tous trois sont enlacés, et John admire la poitrine de Sylvie, dont les mamelles pointes droit devant, à travers le soutien-gorge ajouré. Celle-ci en prend une et présente téton érigé aux lèvres de John. Elle le fait glisser sur la commissure afin de l'inciter à utiliser la paire de pince afin de libérer le nectar qui emplit sa mamelle toute gonflée par le liquide chaud, qui s'y accumule depuis un bon moment. John prend le sein de sa main et observe les veines bleues qui parcours tout son long, de la base vers le téton. Il est admiratif. En même temps il soupèse la glande, la presse pour en voir sa fermeté. Sylvie a un petit geste de recul.

Cela te fait mal lorsque j'appuie sur ta mamelle? demande-t-il

Oui, répond celle-ci. Elle est engorgée.

Il faut faire quelque chose pour la soulager, déclare Stéphanie. Prenez la pince et retirez-lui l'anneau de contention.

John s'exécute, et un jeu dru de lait sort du bout du téton et atterri sur son torse nu. Surpris il baisse la tête en ouvrant la bouche pour faire couler le lait dans sa gorge. Il commence par déguster le liquide blanc et tiède qui sort par jets saccadés du pis. Après une bonne bouchée, il pince le bout du pis de la vachue, afin de couper le jet. Sylvie a un petit cri de douleur. Il colle ensuite ses lèvres sur l'aréole invitante, et, tout en relâchant sa prise. Il laisse le nectar fluer librement et envahir sa bouche.

Hummm! fait-il, tout en tétant avidement.

Par aspirations successives il arrive à réduire la pression interne. Il lâche alors le pis de la jeune vachue et se tourne vers Stéphanie.

Maintenant, je voudrais goûter au votre, dit-il

Bien, fait Stéphanie, mais il faut aussi m'enlever cet anneau de contention qui l'empêche de sortir.

Oui, bien sûr, mais cette fois-ci je vais le faire avec les dents, pour ne par perdre miettes de votre délicieux nectar!

Stéphanie, avec un peu d'appréhension, car elle sait que cela va lui faire mal, prend son sein droit et l'approche timidement à la bouche de John. Celui-ci serre ses dents derrière le O'Ring, et l'amène lentement vers le bout du trayon, afin de ne pas trop faire souffrir sa propriétaire, puis, d'un coup sec, il libère l'appendice, crache à terre le joint en caoutchouc et adhère vivement à l'aréole libérée. Par longues tétées, il aspire le téton qui expulse le lait de la vachue.

Le vôtre est plus crémeux, fait-il. Il est délicieux aussi.

Là encore il ramène la pression interne de la glande à un niveau qui permet de garder le fluide dans son contenant. Pendant ce temps, Sylvie, qui est derrière John s'affaire à desserrer la ceinture de son pantalon. Le pantalon glisse à ses pieds. Elle se place, accroupie, entre les jambes de Stéphanie et baisse le slip de John, laissant apparaître sa verge à demi érigée. Elle la prend d'une main ferme et d'un geste assuré, et dégage le prépuce. Elle ouvre la bouche et se met à sucer le sexe de John comme si c'était une sucette. John, pendant ce temps, continue à téter avidement la glande mammaire de Stéphanie, tout en émettant des sons de complaisance. C'est tellement bon de téter un sein engorgé tout en se faisant lécher le pénis! Le petit jeu dure quelques minutes jusqu'à ce que sa verge durcisse dans la bouche de Sylvie. Celle-ci, satisfaite par la fermeté du membre viril, lâche sa prise et passe le bout de sa langue sur l'orifice du méat, une des zones les plus sensibles de l'anatomie masculine. John se dégage de la mamelle nourricière qui fournissait le nectar crémeux qu'il savourait avec délicatesse, et recule pour repousser doucement la tête de Sylvie, toujours attardée à déguster les premières gouttes de semence de la verge.

Bon, maintenant, allez vous allonger sur le lit et mettez-vous tête-bêche l'une à côté de l'autre. Nous allons jouer un petit jeu! Avec les dents vous allez prendre la petite queue de l'œuf qui vibre en vous et le sortir lentement. La première qui arrive à extraire l'œuf du vagin de l'autre sera récompensée avec LUI! et il montre du doigt son pénis gonflé et en position de garde-à-vue.

Les deux vachues s'exécutent fébrilement. Chacune agrippe avec ses dents la petite queue qui dépasse du vagin de sa partenaire, et d'un mouvement de la tête, tire pour faire sortir l'œuf vibrant, toujours en fonctionnement, qui loge dans son doux cocon. John surveille attentivement les opérations. L'œuf de Stéphanie est le premier à pointer légèrement, et Sylvie, encouragée, tire plus fort. Dans son élan. L'œuf écarte les lèvres du vagin de sa compagne. Elle sait que s'il dépasse un peu plus, il va sortir d'un coup. Elle redouble ses efforts et se voit récompensée par l'expulsion intempestive de l'objet convoité. Stéphanie est un peu déçue, mais elle comprend que les muscles pelviens de sa jeune protégée sont plus fermes que les siens, vu son jeune âge. Sylvie, toute excitée veux maintenant sa récompense. John s'intercale entre les deux vachues et s'allonge sur le dos, son pénis pointant droit vers le ciel. Il indique, du doigt, à Stéphanie de se relever, et à Sylvie, de le chevaucher. Celle-ci ne se fait pas prier, elle écarte les cuisses et monte sur lui, en lui faisant face. Elle s'assoie lentement sur le membre érigé, en le guidant afin qu'il la pénètre complètement : le pénis chaud entre graduellement dans son gouffre d'amour. De la main John fait signe à Stéphanie de se pencher vers sa figure. Les deux mamelles de la vachue pendent devant son nez. Avec la bouche, il saisit le téton qu'il avait quitté auparavant et reprend sa tétée, là où il l'avait laissé. Sylvie, empalée du membre du visiteur, bouge son bassin de devant à l'arrière, de façon alternative, frottant ses fesses sur les cuisses de John, permettant au gland de frotter les parois internes de son utérus. Le moment est magique et d'intense plaisir. Le plug qui envahit son canal anal, dirige la verge juste sur son point G, augmentant encore plus la stimulation de cette zone hypersensible. Sylvie approche ainsi, petit à petit, le pic de la surexcitation, lequel, une fois dépassé, lui fait ressentir un puissant orgasme.

Aaaaahhhh! Oouuuiii! je jouie, crie-t-elle.

Stéphanie, à son tour, ressent le plaisir d'éprouver sa glande mammaire se vider, par les sucions puissantes de John, tandis que l'autre glande est toujours complètement engorgée. Ce déséquilibre sensoriel se traduit par de puissantes décharges électriques qui traversent son corps, arrivant jusqu'à son clitoris qui se met à pulser à cause de l'arrivée intempestive de sang. Elle aussi s'approche d'un orgasme puissant, d'un nouveau genre, qu'elle n'avait jamais ressenti auparavant.

Aaaahhh! Moi aussi je jouie! lance-t-elle à vive voix

Et les deux vachues, vivent ensembles un moment orgasmique incontrôlable, le plus haut point de satisfaction sexuelle, plaisir de l'extase suprême. Toutes les cellules de leurs corps se mettent à vibrer. Toute deux crient de jouissance au grand plaisir de John, qui éjacule tout son sperme dans l'utérus de la jeune femme qui le chevauche. Après un bon moment de jouissance, il lâche le pis de la vachue plus âgée, et prenant la pince d'écartement qu'il tenait encore dans sa main, relâche le deuxième pis de Stéphanie. Ce geste libère le lait emprisonné, qui gicle à jets drus et intermittents. Ceci a pour effet de prolonger encore plus l'extase de la vachue, qui approche les mains à son vagin. Elle se frotte énergiquement le clitoris pour accentuer encore plus l'émoi sensoriel qu'elle subit. Allongeant le bras, John procède à libérer l'autre pis de Sylvie qui, de la même façon, éjecte son nectar par jets saccadés. La jeune vache éprouve, elle aussi, un sursis de son état extatique. Les deux vachues, en surexcitation incontrôlée, continuent, pendant plusieurs minutes, à vivre au sommet de leurs jouissances ; tous les muscles de leurs corps frémissent de plaisir. Au bout de leurs voyages sensoriels, les deux vachues, s'affaissent, épuisées, sur le corps de John et s'endorment.

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