Être vachue s'est merveilleux 19

Être vachue c'est merveilleux -- par Lemaringouin

19. L'heureuse conclusion du contrat.

Claudine et John entrent dans la pièce où Claire, Claude et Pierre sont assis autour d'une table, en discutant les termes du contrat qu'ils veulent signer avec John et ses partenaires.

 Comment a été votre visite? demande Claude

 Très instructive, répond John. Je suis vraiment satisfait par ce que j'ai pu voir. Vous faites un travail très professionnel et exceptionnel. Le fait de produire du lait maternel pour aider les femmes ne pouvant pas allaiter est une œuvre remarquable.

 Sans oublier les vieux qui ont des déficiences nutritives, commente Pierre.

 Oui, bien sûr, répond John

 Bon, maintenant passons aux choses sérieuses, dit alors Claude. Analysons les termes du contrat d'association.

Tous se mettent alors au travail, en décortiquant et discutant chaque paragraphe du contrat. Les discussions durent plusieurs heures, et aboutissent avec la signature du contrat.

 Bravo, dit Claude. Maintenant fêtons ça.

Il se dirige vers le petit réfrigérateur qui meuble son bureau et en ressort une bouteille de champagne. Claire, pendant ce temps, sort cinq coupes à champagne et les met sur la table. Pierre fait sauter le bouchon de la bouteille et verse copieusement le doux nectar à bulles dans chacune des coupes. Tous lèvent leur verre et trinquent pour conclure à l'aboutissement du contrat. Une fois les coupes vides, et la bouteille aussi, Claude dit :

 Bien, j'ai réservé une table dans un petit restaurant de 4 étoiles, proche d'ici. Allons donc manger et ensuite nous reviendrons avec une surprise pour vous, John.

Se retournant vers Claudine, il lui dit :

 Claudine, peux-tu nous préparer cela?

 Oui, bien sûr, répond Claudine. Bon appétit!

Puis elle se dirige vers à la cuisine de la laiterie et ouvre la porte du réfrigérateur. Elle prend trois petits contenant en carton de jus de fruits, de ceux où l'on insère une petite paille : deux à l'orange et un au pamplemousse. Elle continue son chemin vers le laboratoire. Elle y trouve Amandine, la responsable et lui demande d'injecter dans les deux jus d'orange un puissant aphrodisiaque, avec une seringue à aiguille très fine. Celle-ci s'exécute. Claudine repart avec les trois contenants pour aller vers le dispensaire et prendre une valise avec quelques articles et vêtements appropriés pour préparer les deux vachues, qu'elle a choisis avec attention, pour la petite séance privée avec John. Elle se dirige ensuite vers la chambre numéro 24 de la ferme où se trouvent Stéphanie et Sylvie. Les deux vachues sont allongées sur leurs lits et regardent un film policier à la télévision. Elles se reposent car c'est l'heure de la sieste à la ferme. Toutes les vachues doivent retourner dans leurs chambres et s'occuper à leurs loisirs pour prendre un peu de repos. Les deux vachues saluent Claudine à son arrivée.

 Comment allez-vous les filles? demande Claudine

 Très bien, répondent-elles en cœur

 Je vous ai apporté des jus de fruits. Je sais que vous aimez l'orange. Pour moi, je me suis pris du pamplemousse.

Elle leur donne à chacune le petit contenant et la paille. Les deux jeunes femmes plantent la paille dans l'orifice prévu à cet effet et commencent à siroter lentement le contenu additionné de l'aphrodisiaque.

 Ah! merci disent-elles.

 Quelle est l'objet de ta visite, demande alors Stéphanie.

 Et bien vous savez que nous avons la visite d'un des propriétaires d'une laiterie, dans son pays.

 Oui! nous sommes au courant répond Sylvie.

 Bien! Cette personne est ici aujourd'hui. Nous avons discuté d'un contrat d'association avec leur nouveau projet.

 Ah oui? et de quoi s'agit-il, réplique Stéphanie

 Nous allons monter ensemble une laiterie similaire à la nôtre.

 Formidable dit Sylvie. Est-ce que nous pourrons y aller de temps en temps?

 Probablement, car il faudra éduquer les nouvelles recrues là-bas, mais on verra ça plus tard. Pour l'instant nous voulons que vous vous occupiez, toutes les deux, de John, afin qu'il voit de visu les services et produits que nous offrons à notre clientèle.

 Pas de problème ricanent ensemble les deux vachues.

 Bien, alors je vais vous préparer pour faire bonne impression. Allez- vous doucher ensembles, et ne faites pas de bêtises, vous allez avoir besoin de toute votre énergie pour satisfaire notre visiteur. Je reviendrai dans dix minutes.

Les deux jeunes femmes, excitées par la tâche qui leur est assignée, et un peu aussi par l'aphrodisiaque qui commence à faire son effet, se lèvent en même temps de leurs lits. Elles se dirigent vers les douches pour se nettoyer. Après la douche elles retournent vers leur chambre. Claudine est déjà-là, qui les attent. Elle a placé tous les vêtements et articles sur un des lits.

 Bon, je vais commencer avec toi Stéphanie. Assieds-toi devant la coiffeuse de la pièce. Stéphanie s'exécute toute excitée.

Sylvie, un peu déçue de ne pas être la première, s'assoie sur son lit et commence à regarder les objets et vêtements que Claudine y a posés.

 Ne touche à rien, dit Claudine, d'un ton sec. Il y en a aussi pour toi!

Claudine commence par peigner la chevelure de Stéphanie, et lui fait deux couettes sur les côtés de la tête. Satisfaite de son travail elle dit :

 Cette coiffure te rajeunit. Tu es très belle ainsi.

Puis elle prend un tube de crème et l'applique sur la poitrine de Stéphanie.

 Cette crème va activer les lobules et canaux galactophores de tes mamelles pour produire et faire sortir le lait.

 Mais j'en produit suffisamment! commente Stéphanie

 Je sais, mais nous voulons faire une très bonne impression à notre nouveau partenaire. Ne t'en fait pas, tout ira bien

Ensuite elle prend de sur le lit une poire équipée d'un long tube de verre qui a le diamètre du trayon de la vachue. Elle y ajoute un O'Ring et l'applique sur le téton gauche de Stéphanie.

 Ah non! pas encore ça

 Et oui! c'est nécessaire car il faut que ton lait reste un bout de temps dans ta mamelle. Le temps que John soit suffisamment préparé.

 Oui, mais je vais être encore engorgée et ça fait mail!

 Ne ronchonne pas, c'est pour ton plaisir et le sien. Sylvie aura la même chose et je ne crois pas qu'elle se plaindra.

 Bon! supposons.

Le O'Ring se place à la base du trayon, et Claudine agit de la même façon sur l'autre pis. Stéphanie ressent le pincement des O'Ring sur ses tétons. Cela serre un peu, mais elle ressent aussi le picotement dans son vagin : l'aphrodisiaque fait son travail. En même temps elle ressent son sexe s'humidifier par la cyprine qu'il produit.

Claudine prend alors deux coupelles transparentes du diamètre des trayons de Stéphanie, munies d'une pompe manuelle de succion. Elle les applique un à un sur les pis. Elle actionne la petite pompe manuelle, et du fait du vide créé, les trayons s'allongent notablement dans les coupelles, occupant tous leurs volumes. Maintenant les tétons sont allongés et mesurent au moins 5 cm de long. Les aréoles sont retenues par les rebords des coupelles. Stéphanie regarde le processus avec excitation et délectation.

 Bien, continuons, dit Claudine. Lève-toi, je vais t'habiller.

Stéphanie se lève et Claudine commence par lui passer un soutien-gorge ajouré en fourrure de lapin, couleur noire, et une petite culotte fendue du nombril jusqu'au début de la raie des fesses, de la même couleur. Elle continue par un porte-jarretière et des bas avec couture, toujours de couleur noire. Elle donne à Stéphanie un œuf vibrant, de ceux qui ont une petite queue qui sert d'antenne de réception aux ondes transmises par une commande électronique externe.

 Tiens, place-toi ceci dans le vagin. Si tu le veux, lubrifie-le auparavant.

En fait la lubrifaction n'est pas nécessaire, car Stéphanie mouille déjà abondamment. Une fois le jouet érotique inséré dans son réceptacle, Claudine demande à Stéphanie de se pencher pour lui placer le plug anal qu'elle a auparavant huilé. Une fois l'instrument bien ancré dans le canal, Stéphanie se relève et Claudine, pour compléter la préparation, lui passe une nuisette transparente, agrémentée de dentelle noire. Puis elle se recule pour admirer son chef-d'œuvre. Satisfaite, elle demande à Stéphanie de se regarder dans le miroir. Stéphanie est émerveillée par le reflet de son image. Elle se sent très féminine avec les objets insérés et sa parure délicate. Elle se retourne vers Claudine et l'embrasse fougueusement sur la bouche. Claudine lui dit alors de se farder avec bon goût. Pas trop marqué, juste avec délicatesse. Stéphanie s'exécute.

Claudine se retourne alors vers Sylvie et lui dit :

 Viens t'assoir, c'est à ton tour!

Elle s'applique à parer la jeune rouquine, mais dans son cas, les vêtements assortis sont de couleur rose. Les deux vachues terminent leur parure avec chacune une paire de souliers à haut-talon de couleur qui font jeu avec leurs sous-vêtements. Une fois les deux vachues prêtes, elle les conduit vers la salle <Nid d'Amour>. Les deux femmes sont maintenant très excitées et ont hâte d'arriver à leur destin pour vivre des moments magiques de plaisirs charnels Leurs pas résonnent le long du couloir qui les mènent à la chambre, à cause des haut-talons qui cognent sur le carrelage. Tout en avançant, les téterelles qu'elles portent sur leurs tétons sont secoués par la marche. Elles s'agitent verticalement ce qui fait ressentir aux deux vachues la sensation qu'on leurs étire encore plus les deux prolongements mammaires. Une fois entrées dans la chambre, Claudine leur ordonne :

 Asseyez-vous sur le lit. Je vais voir si John est revenu du restaurant. Les deux vachues, toutes excitées, ricanent entre-elles. Claudine sort de la pièce et se dirige vers la réception de la laiterie

 Sont-ils revenus? demande-t-elle à Martine.

 Oui. Ils sont dans le bureau de Claude et ils t'attendent.

Claudine se dirige vers le bureau mentionné. Là, Claude et John sont en discussion amicale, dégustant un cognac, confortablement assis dans leurs fauteuils.

 Ah, Claudine! Je mentionnais justement à John que nous lui avons réservé une séance particulière avec deux de nos meilleures productrices. Il pourra ainsi goûter aux produits que nous fournissons ici, directement à la source. C'est une expérience exceptionnelle!. Je pense en plus que ces deux petites sauront satisfaire notre invité et lui faire quelques gâteries.

 Oui, répond Claudine, elles sont prêtes et impatientes de vous connaître.

John se lève et suit Claudine qui le mène vers <le Nid d'Amour>