Être vachue s'est merveilleux 18

18. Un contrat très juteux

Une limousine arrive devant la porte de la laiterie. Un grand gaillard, d'environ 40 ans, cheveux sel et poivre, en descend.

 Il mesure au moins 1,80 mètre dit Claire. Et c'est un beau bonhomme.

Claudine, qui est à côté d'elle, ajoute :

 Oui! Il est bien musclé! Je pense que ça doit être un bon baiseur!

Claire lance un large sourire complice à Claudine. Elle pensait exactement la même chose.

L'homme entre dans le hall de la laiterie où l'attendent Pierre et Claude, aux côtés des deux femmes. L'homme, sourire aux lèvres, tend la main à Claude et lui dit :

 Bonjour, je m'appelle John Walker. Je vous remercie de m'avoir invité dans votre institution.

John a un léger accent britannique, mais parle parfaitement français. Sa mère était française et son père américain. Après les présentations formelles, tous se dirigent vers le bureau de Claude.

 Avez-vous fait un bon voyage? lui demande celui-ci

 Oui! je vous remercie de m'avoir envoyé votre chauffeur. Je suis arrivé hier soir. Dans la voiture, le chauffeur m'a donné l'enveloppe que vous m'aviez préparé. Il m'a laissé à mon hôtel, et j'ai pu lire tous les documents avec attention. Je suis épaté par le sérieux du travail exercé dans votre institution.

 Oui! dit Claude, et nous en sommes très fier. La laiterie fonctionne à merveille. Notre bailleur de fonds, le gouvernement, en est très satisfait. Les autorités appuient notre démarche, et les jeunes femmes qui composent notre cheptel sont très heureuses ici, avec nous. Elles sont très contentes de vivre entre nos murs et fournir la matière première à cette laiterie.

 Et à combien monte votre cheptel.

 Aujourd'hui nous avons reçu notre 178 ième candidate, informe Claudine.

 Ah, je vois! Et elles sont toutes productives?

 Actuellement nous en avons trois en formation. Le reste produit les volumes renécessairesquis pour satisfaire la demande requise par le marché. Mais notre institution devient de plus en plus populaire et nous devons incessamment rechercher de nouvelles vachues, réplique Claudine.

 Votre programme de préparation des vachues nous intéresse énormément. Nos autorités gouvernementales nous poussent à implanter ce programme chez nous. Nous avons deux laiteries, une pour vaches laitières et une qui est présentement en construction. C'est dans cette dernière que le gouvernement nous incite à fournir du lait maternel. C'est pour cela que nous aimerions trouver un accord avec vous pour participer à la réalisation de ce projet. Votre expérience nous serait très utile.

 Nous allons voir tout cela en détail, mais auparavant vous allez faire une petite visite dans la laiterie. Claudine, notre directrice de production, va vous accompagner, dit alors Claude.

 Très bien, merci

John, qui n'avait des yeux que pour la poitrine de Claudine, est très content que celle-ci soit la personne qui va le guider durant cette visite. Claudine et John quittent le bureau et se dirigent vers le secteur des salles de préparation. Ils arrivent devant la porte de la salle numéro 1.

 Ici, nous sommes en train de préparer une jeune femme, qui a été arrêtée pour trafic de drogue. Elle est tombée dans un groupe de trafiquants, qui a aussi été arrêté. Elle avait été enrôlée par un proxénète qui l'avait séduite. Elle est vraiment tombée sur des mauvaises personnes. Elle a été violée et forcée à se droguer. Ensuite pour payer ses dettes elle a dû commencer à vendre leurs produits illicites.

 Qu'elle âge à cette jeune femme?

 Elle a 19 ans. Elle nous a été envoyée par la justice. Le juge lui a donné deux options : venir dans notre institution, ou bien faire 15 ans de prison. Elle a choisi la première option, bien sûr. Elle s'appelle Catherine. Entrons dans la salle, vous pourrez la voir en formation.

Tous deux entrent dans la pièce. Amélie, la responsable de cette salle, est debout devant une table où se trouve la jeune vachue, toute nue.

 Amélie, je te présente John. Je t'en avais parlé. Nous allons voir maintenant comment se comporte Catherine avec sa formation pour devenir vachue.

Catherine est une belle jeune fille, assez haute, quoiqu'à quatre pattes sur la table de traie, cela ne se note pas tellement. Elle a une belle chevelure noire, de yeux couleur noisette et une paire de seins, bien formés, mais pas excessivement développés encore.

 Avant la mise sous trayeuse, explique Claudine à John, qui montre un grand intérêt à ce qu'il voit, elle a subi au préalable un lavement interne, une série de massages de ses mamelles avec des crèmes appropriées et l'insertion d'un plug anal, tel que vous pouvez le voir ici, et un godemiché, alternant des mouvements de va-et-vient et de vibrations, dans son vagin.

 Et la jeune personne en préparation ne se débat pas lorsque vous lui appliquez tous ces traitements? demande John.

 Non, répond Amélie. Je lui ai administré d'abord un puissant tranquillisant, ce qui la calme et la rend tout à fait docile.

 Je vois, dit John. Et à quoi sert la bouteille avec cette tétine qu'elle suce?

 Ah, oui! Comme la traite élimine beaucoup de liquide du corps de la vachue, nous lui administrons par ce biberon du jus de fruits, additionné de vitamines et autres produits favorisant la production de lait. Comme elle est assoiffée, elle passe la plupart du temps de sa traite, accrochée au biberon.

Effectivement, on peut entendre des grands <SSLLUUUURRRPPP> que la jeune vachue produit en aspirant le jus avec sa tétine.

 Je vois que ses seins pendent et qu'ils n'ont ont pas encore une taille assez imposante, dénote John

 Ici cette partie du corps est dénommée mamelles et les tétons sont les pis, corrige Claudine. Et oui, ces mamelles ne sont pas encore de la taille adéquate, mais avec le traitement particulier que nous faisons subir à cette petite, elles commencent à prendre du volume. Comme vous pouvez le constater, elles sont accrochées aux téterelles de la trayeuse. Ça, associé à un régime strict, avec des techniques et des constituants appropriés, nous favorisons leurs croissances. Catherine commence seulement maintenant à produire du colostrum, précurseur au lait qui va suivre dans quelques jours.

 Cette petite vachue est venue ici avec cette poitrine, heu! pardon, ses mamelles, de quelle taille?

 Elle nous est arrivée avec un maigre 32 A. Nous avons commencé par lui faire subir un traitement rigoureux, comme à toutes les candidates qui veulent ou doivent devenir des vachues.

?

 Comme je vous ai dit, certaines jeunes femmes nous sont envoyées par la justice. Celles-là sont forcées de devenir des vachues. Elles font partie de notre cheptel habituel et logent parmi nous. D'autres, viennent ici volontairement, soit par vocation personnelle, soit parce que leur conjoint veut qu'elles aient une poitrine bien développée, pour leur propre plaisir. Ces vachues ne logent pas chez nous à la ferme, mais viennent régulièrement ici donner leur lait.

 Et quel type de traitement subissent toutes ces candidates, pour le développement de leurs mamelles et la production de leur lait?

 En premier lieu, il faut qu'elles soient dans un environnement très apaisant. Il ne faut surtout pas qu'elles subissent de stress. Comme vous avez pu le constater, nos locaux sont décorés avec harmonie, de la musique douce est diffusée partout. Nous leur donnons aussi, au début, des tranquillisants. C'est primordial! Il faut qu'elles se sentent bien dans leurs corps et dans leurs têtes. Ensuite nous leur injectons une solution équilibrée d'hormones appropriées au développement mammaire. L'estrogène et la progestérone en dose régulée, ordonne au cerveau de reprendre la croissance de leur poitrine. En plus de ceci elles absorbent des vitamines et autres constituants naturels -- du houblon, du fenugrec etc..., durant leurs repas. Ces ingrédients favorisent aussi le développement de leurs mamelles. Enfin, lorsque leurs glandes mammaires sont suffisamment développées on favorise la production du lait avec des solutions de prolactine et autres hormones appropriées. Pour compléter, leurs mamelles sont traient six fois par jour, à raison de 45 minutes chaque fois, et à horaires réguliers.

 Est-ce que ces traies excessives n'abîme pas leurs tétons?

 Non! répond Amélie. Nous appliquons sur les trayons des onguents réparateurs en plus d'ajuster graduellement la pression de succion des pis.

 Je vois. Et combien de temps prend cette préparation, avant que votre vachue ne soit productive? demande John

 Et bien cela dépend de chaque individu, mais en général au bout d'un mois elles sont productives. La production ensuite augmente graduellement. Comme je vous ai dit leur bienêtre est très important. C'est pour cela qu'elles reçoivent aussi des aphrodisiaques, afin de les maintenir dans un état de besoin sexuel constant, qu'elles satisfont, soit entre-elles, soit avec les gadget et jouets érotiques mis à leur disposition, soit encore lors de séances particulières avec des partenaires externes : en général, nos clients ou les époux ou conjoints des vachues externes.

 Ah Oui! J'en ai entendu parler, répond John.

Pendant leur conversation, Catherine commence à téter plus avidement son biberon, en émettant des petits soupirs saccadés.

 Regardez, dit alors Amélie. Notre vachue va jouir.

Claudine arrête ses explications tandis que John s'approche de plus près afin de bien regarder l'attitude et les réactions de la vachue, face à un orgasme naissant. Catherine a lâché la tétine et émet des petits cris de pré-jouissance. Amélie passe alors sa main droite sous le bas-ventre de la vachue et cherche son clitoris pour faciliter la montée en jouissance. Elle masse le petit bouton tout érigé en réalisant des mouvements circulaires tout autour. De son autre main elle caresse le dos de Catherine. Celle-ci atteint son paroxysme de plaisir et commence à crier plus fort.

 Aahhhh! Houuuu! Oui! Ouuuiiiii!

Catherine subit son orgasme intensément. Tous ses membres se mettent à trembler. Ses yeux sont retournés laissant apparaître le blanc des globes. John est fasciné par cette vision. Il voit la jeune fille subir un orgasme d'une intensité impressionnante, d'une durée inouïe, d'une telle vigueur qu'il n'avait jamais vu auparavant chez aucunes de ses maîtresses ou amies. L'extase de la jeune vachue dure plusieurs minutes.

 Ouaaahhhh! "That's great! Fantastic!", fait-il. Je n'ai jamais rien vu de pareil!

 Oui, répond Claudine. C'est surprenant et en même temps d'une beauté érotique, qui nous fait ressentir de la jalousie, n'est-ce pas?

 Oui! C'est remarquable. Et combien de lait produit cette merveilleuse petite?

 Pour l'instant elle n'en est qu'à ses début, répond Amélie. Aujourd'hui nous allons en tirer environ 200 ml pour toute la séance de traite de la journée. Mais d'ici quelques jours je pense qu'elle nous fournira au moins 1,5 à 2 litres.

 Formidable, répond John.

 Bien, dit alors Claudine, retournons au bureau de Claude pour continuer nos discussions.

 Merci Amélie, dit John.

Claudine et lui sortent de la pièce pour se diriger vers le bureau de Claude où avec Claire et Pierre ils révisent les termes du contrat d'association avec John et ses partenaires.