Être vachue s'est merveilleux 17

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Stépanie retrouve sa protégée.
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Partie 17 de la série de 22 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/16/2019
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Être vachue c'est merveilleux --

  1. Des retrouvailles difficiles

Après une traite réconfortante Stéphanie retourne dans sa chambre. Elle prend une bonne douche. L'eau chaude glisse le long de son corps. Elle utilise aussi la douchette portative pour bien nettoyer toutes ses parties intimes, qu'elle savonne copieusement. Elle s'attarde sur ses deux seins, qui ont été soulagés de la pression interne exercée par sa production laitière. Elle étire ses tétons en les pinçant énergiquement. Elle les triture, les roule entre ses doigts. Elle tient les globes mammaires et fait glisser ses mains vers les mamelons. Ses pis sont allongés et rougis par le traitement qu'elle leurs a fait subir à la traite. Elle lave aussi ses cheveux et pense les laisse sécher à l'air. Elle se rince copieusement et s'essuie en frottant rigoureusement avec sa serviette de bain. Elle s'allonge sur le lit et reste songeuse, avec un large sourire sur les lèvres. . <Ah! quel bonheur de retrouver la trayeuse industrielle de la laiterie,> pense-t-elle. Puis à l'heure du souper elle se dirige vers le réfectoire. Elle espère y retrouver toutes ses amies et en particulier Sylvie, qu'elle n'a pas revu depuis un mois, date de son départ de la laiterie. Claudine, qui s'assoie près d'elle à table lui demande :

Comment as-tu apprécié ta traite?

Très bien. J'ai retrouvé les sensations d'antan. Le plaisir de sentir mes pis aspirés par la trayeuse, la vision de voir mon lait couler à gros jets et de sentir mes mamelles se décharger graduellement.

Et les jouets?

Ah! oui, ça aussi cela me manquait. Les miens à la maison ne sont pas comparables. Ceux-là sont vraiment fait pour nous les femmes.

Ils ont été conçus par des femmes, justement. Leurs designers étaient venues nous consulter il y a un an. Elles ont même participé à nos ébats. Il y en a une même qui nous a demandé de la convertir en vachue. Elle est mariée et a deux enfants. Depuis elle alimente toute sa famille avec son lait, aux petits déjeuners. Elle revient régulièrement passer une semaine parmi nous pour une mise à niveau. Elle aime tellement sa condition qu'elle ne veut pas perdre une goutte de sa production. La mise à niveau lui permet de garder son rendement au maximum.

Dis-moi as-tu vu Sylvie? je ne l'ai pas rencontré ni à la traite, ni dans notre chambre, demande Stéphanie

Actuellement elle passe sa soirée avec la comtesse. Elle ne rentrera pas avant minuit. Tu la verras demain!

Ah! bon.

Les deux vachues terminent leur souper et Stéphanie va dans sa chambre. Elle veut regarder un peu la télévision avant de s'endormir. Après le visionnement de quelques programmes, elle éteint le poste de télévision. Elle laisse sa lumière allumée et ferme les yeux, allongée dans son lit. Vers une heure du matin la porte de la chambre s'ouvre. Cela la sort de son sommeil. Elle voit alors Sylvie qui entre dans la pièce. Sans un mot celle-ci se dirige vers son lit. Elle est toute nue, et semble pleinement satisfaite de sa veillée.

Bonjour Sylvie, dit alors Stéphanie

Son amie ne répond pas

Sylvie, comment vas-tu?

Toujours aucune réponse. Stéphanie se lève du lit et s'approche de celui de Sylvie.

Ne t'approche pas, lance Sylvie d'un ton sec. Je suis fâchée contre toi.

Hein? et pourquoi

Pourquoi? Tu me le demandes?

Oui, pourquoi es-tu fâchée contre moi?

Et bien parce que tu m'as laissé tomber. Tu es partie sans rien me dire, sans même me dire au revoir ou me demandé si je ne voulais pas aller avec toi. Moi j'avais confiance en toi. Tu m'as déçu. Je pensais que je représentais quelque chose pour toi. Mais madame m'a laissé seule ici! Tu m'as trahi. Quelques larmes coulent des yeux de la jeune vachue.

Sylvie, je t'avais expliqué ce qui me tracassait à ce moment-là. Il fallait que je parte. Je devais retourner chez-moi.

Oui! tu m'as dit que tu devais écrire un article. L'as-tu fait?

Oui! Je l'ai écrit

Et alors, il a été publié?

Non! Il ne le sera pas.

En entendant ces mots, Sylvie se met à sangloter plus fortement.

Donc tout ce mois où tu m'as laissée seule, n'aura servi à rien?

Bien au contraire, j'ai pris conscience que ma place est ici, que je suis faite pour ça, et que je ne veux plus partir ni te quitter.

Sylvie sanglote à chaudes larmes. Stéphanie s'assoit près de Sylvie et la prend dans ses bras.

Shhuuuuttttt! lui fait-elle.

Elle attire la tête de la jeune femme en pleurs et la pose sur sa poitrine. Elle lui caresse les cheveux en essayant de la réconforter le mieux qu'elle peut. Sylvie éclate alors en gros sanglots. Stéphanie se rend compte qu'elle a blessé sa jeune compagne. Elle approche sa bouche à celle de Sylvie et lui donne un doux baiser sur les lèvres. Celle-ci se laisse amadouer et desserre ses lèvres laissant ainsi la langue de Stéphanie pénétrer dans sa bouche. La poitrine de Sylvie est secouée par les pleurs qu'elle essaie d'étouffer. Stéphanie la serre fortement dans ses bras, et leur baiser dure ainsi quelques minutes. C'est le temps suffisant pour que Sylvie s'apaise et reprenne ses esprits.

Jure-moi que tu me quitteras plus! dit-elle

Mais oui je te le jure! Je suis revenue pour de vrai. Je ne te laisserai plus seule.

Elle caresse le dos de Sylvie, sachant qu'elle doit réconforter sa jeune amie. Elle oriente la tête de Sylvie vers sa mamelle droite et la force à s'accrocher à son sein. Sylvie ne se fait pas prier, elle ouvre toute grande la bouche et aspire le trayon érigé. Elle commence à téter le doux lait de sa bienfaitrice, celle qui a su la protéger, la cajoler et s'occuper d'elle depuis qu'elles se sont rencontrées dans la salle de traite de préparation à être vachue.

Là! tète-moi comme ça!

Sylvie avale à grande gorgée le liquide tiède qui pénètre dans sa bouche. Ce geste maternel la tranquillise. Stéphanie sèche les larmes qui ont coulé des beaux yeux bleus de sa protégée. Elle lui caresse les cheveux. Sylvie continue de téter avidement, comme une enfant assoiffée. En fait elle a besoin de se désaltérer après la merveilleuse soirée passée avec la comtesse. Après quelques minutes, Stéphanie allonge sa main vers le sexe de Sylvie, et d'un geste précis, elle passe les doigts entre les lèvres du vagin, encore humides par les attouchements subis quelques instants auparavant avec la comtesse. Sylvie glousse doucement en ressentant les gestes de tendresse de Stéphanie. Celle-ci cherche de son index le petit bouton érigé situé au haut du vagin. Elle le caresse de mouvements circulaires, ce qui fait monter l'excitation dans tout le corps de Sylvie, qui augmente la séquence de succion. Stéphanie continue à flatter le clitoris de la jeune vachue, et sent monter en elle un état de réconfort. Sa jeune amie n'a pas oublié ses cajoleries. L'amour qu'elle a pour cette superbe jeune créature stimule son sentiment maternel inné. Sylvie, allongée de tout son long sur les genoux de Stéphanie, écarte largement les jambes pour laisser plus de place au doigt inquisiteur qui lui fait sentir son plaisir de femme. Son corps a des soubresauts de jouissance. Ses membres inférieurs tremblent lors de la montée de son orgasme. Elle quitte le téton qui emplissait sa bouche.

Aaahhh! oui, je jouis. Continue! Fais-moi mourir bonheur!

Stéphanie en profite pour l'embrasser à nouveau sur la bouche. Elle entre sa langue profondément dans le gouffre de la jeune jouisseuse. Les langues s'entremêlent, se tortillent une avec l'autre. L'orgasme de Sylvie dure plusieurs minutes, puis tous les muscles de son corps se relâchent complètement. Elle est entièrement apaisée. Elle se détache des lèvres de Stéphanie. Elle a les yeux fermés, humidifiés par ce moment d'extase, et s'endort sur la poitrine de Stéphanie. Après quelques instants, celle-ci soulève le corps tout mou de la jeune femme comblée de plaisirs, et l'allonge sur le lit. Elle la borde et lui caresse la chevelure, comme le faisait sa mère lorsque, jeune enfant, elle l'apprêtait à dormir. Elle éteint la veilleuse de la table de nuit de Sylvie et se couche à côté d'elle, avec un large sourire aux lèvres. Sylvie l'a pardonné! Elle se colle sur le corps de la jeune vachue, et l'enserre dans ses bras fermement. Le contact de la peau du corps de Sylvie, la chaleur qui s'y dégage, le fait de retrouver sa jeune protégée, comme avant, tout cela la rassurent et l'apaisent totalement. Elle s'endort à son tour.

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