Être vachue s'est merveilleux 16

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Stéphanie retourne à la ferme.
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Partie 16 de la série de 22 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/16/2019
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Être vachue c'est merveilleux -- Chapitre 16

Retour au bercail

Martine, réceptionniste de la laiterie Au Bon Sein, est au téléphone.

Allo? Oui Mr Walker. Non! Claudine n'est pas encore rentrée, mais elle ne devrait pas tarder....

Attendez! je la vois arriver en ce moment précis. Pouvez-vous patienter quelques instants?

Effectivement, Claudine traverse la porte d'entrée et pénètre dans la réception de la laiterie, suivie par Stéphanie et par Pierre, qui soutient cette dernière par le bras. Martine a les yeux écarquillés en voyant Stéphanie. Elle lui sourit largement et se lève pour embrasser la nouvelle revenue, puis dit à Claudine :

C'est Mr Walker de la compagnie Puro Latte. Cela fait trois fois qu'il appelle et comme Claude n'est pas là, il a demandé à te parler.

Merci Martine. Transfère-le-moi sur ce téléphone,

Claudine s'approche de la petite table de la réception, où se trouve le téléphone à usage pour les visiteurs, et aussi quelques magazines et pamphlets publicitaires détaillant les vertus de la laiterie. Elle décroche le téléphone et s'assoit sur le fauteuil adjacent.

Martine prend Stéphanie dans se bras et l'embrasse tendrement. Les poitrines des deux femmes s'écrasent l'une contre l'autre durant l'étreinte.

Enfin tu nous es revenue! dit-elle. Je suis contente de te revoir, tu nous as manqué à toutes.

Elle lui caresse la chevelure et place une main sur la poitrine de Stéphanie.

Tu as toujours ta belle paire de mamelles! Mais tu as l'air d'être très fatiguée.

Stéphanie a vécu des expériences très épuisantes ces derniers jours, lui dit Pierre. Elle a besoin de se reposer. Il faut la mettre au lit dans sa chambre. Elle nous revient, et ce définitivement. Ce sera comme avant, notre meilleure productrice, comme elle l'était avant de nous quitter.

Nous avons changé de chambre pour Sylvie et pour elle. Nous savions toutes qu'elle reviendrait. Elles ne sont plus dans la chambre des débutantes, mais dans la chambre 26 dans le quartier des productrices affermies, répond Martine. Et elle rajoute en regardant Stéphanie dans les yeux: c'est Sylvie qui sera contente! Elle a beaucoup souffert durant ton absence. Elle est en traite en ce moment, mais je vais la prévenir dès qu'elle aura fini.

Non! répond Pierre, laissons notre Stéphanie se reposer avant. Elle en a grandement besoin! tu l'avertiras plus tard. Stéphanie doit dormir un peu avant.

Pierre aide Stéphanie à rejoindre sa nouvelle chambre. Il l'aide à se déshabiller, lui passe sa culotte-réveil, l'aide à s'allonger et lui place les deux ventouses- aspirantes, une sur chaque pis. Il l'embrasse sur la bouche et lui dit :

Allez! repose-toi maintenant. Ta petite culotte te réveillera pour la dernière traite du jour et pour le souper.

Il éteint la lumière et quitte la chambre, laissant Stéphanie qui s'endort aussitôt, épuisée de cette journée particulière.

Il retourne vers la réception et retrouve Claudine qui lui dit :

C'était Mr Walker, un propriétaire d'une laiterie classique. Il nous fait une proposition intéressante. Il voudrait que nous construisions ensemble, dans son pays, une laiterie comme la nôtre. Il a eu vent de l'existence de notre institution et il a l'aval de son gouvernement qui pense que notre programme pourrait satisfaire pleinement la rééducation de certaines jeunes femmes chez eux. Il propose de venir nous rendre visite et de passer quelques jours ici pour conclure les conditions d'un contrat de joint-venture. Je lui aie proposé de venir la semaine prochaine pour arranger les termes de notre collaboration et offrir toute notre assistance. Il est très impatient de nous rencontrer.

Très bien, dit Pierre. Je vais prévenir Claire et Claude. Nos affaires prospèrent rondement. Nous pourrons démarrer notre phase 3 de croissance, avec l'international.

Deux heures plus tard, la surface rugueuse appliquée sur le vagin de Stéphanie, dans sa petite culotte-réveil, se met à vibrer. Les frémissements ressentis sur son clitoris, sortent la belle vachue de son sommeil profond. Elle baille, étire ses bras en l'air et ouvre les yeux avec un large sourire. Le repos a été réconfortant et surtout réparateur. Elle se sent à nouveau pleine d'énergie, et heureuse de se retrouver entre les murs de l'institution, son vrai chez-soi, maintenant. Elle va pouvoir enfin donner tout son corps et retrouver les épreuves jouissives qui lui ont fait défaut pendant tout le mois qu'elle a passé dehors, dans son ancien appartement. Ici elle peut s'épanouir en tant que femme, retrouver ses amies qui lui ont manqué et revivre les moments de volupté dans les bras de Sapho, d'Aphrodite et d'Adonis : traverser à nouveau les beaux chemins de la jouissance, ces orgasmes festifs et répétés, soulager ses seins avec les traites périodiques et régulières qui atténuent la pression interne provoquée par la production de lait qu'elle fournit en abondance. Cette production copieuse qui lui a permis le développement de sa poitrine opulente qui la remplit d'orgueil car elle est devenue la meilleure laitière de l'établissement.

D'abord, elle se lève du lit, passe ses mamelles dans les ouvertures d'un soutien-gorge ajouré. Elle peigne ses longs cheveux en queue de cheval réglementaire, et enfile la blouse transparente des vachues, puis sort de sa chambre. Dans le couloir elle rencontre Claudine, qui l'embrasse et lui prend la main :

Tu t'es bien reposée? Lui demande Claudine. Stéphanie donne sa réponse en hochant le tête en signe d'affirmation

Bien, à partir d'aujourd'hui, ta traite a lieu dans notre Étable

Ah? Fait Stéphanie

Oui, maintenant tu es une vachue affirmée. Tu ne vas plus dans le quartier des débutantes. Tu ne seras plus toute seule pendant ta traite, mais en compagnie de nous toutes, tes amies et compagnes. D'ailleurs je vais t'y accompagner. C'est aussi l'heure de ma traite. Lorsque tu es venue chez nous, la première fois, tu as connu notre laiterie. C'était pour ton article. Tu te souviens?

Oui! fait Stéphanie.

Nous t'avons alors préparé et tu es devenue une très bonne productrice! Et bien ça c'est le passé! Maintenant que tu es devenue une vraie vachue, tu vas te joindre à nous dans la Ferme. C'est l'édifice qui se trouvent un peu plus loin. Viens! Je vais t'y conduire.

Claudine et Stéphanie quittent la laiterie à pied et se dirigent vers un grand bâtiment portant un écriteau au-dessus de la porte cochère avec la légende : Ferme au Bon Sein. Elles traversent la grande porte et se dirigent, bras dessus bras dessous, vers une grande salle allongée. Deux rangées de sièges en cuir se font face. Chaque rangée comporte, côte à côte plus de trente fauteuils. Du plafond pendent les tuyauteries flexibles munies de leurs téterelles correspondantes. Les sièges ont une ouverture au centre, et deux étriers pour allonger les jambes en hauteur. Chaque fauteuil a deux appui-bras dont un est muni d'un petit écran de TV, comme dans les avions. L'écran est du type tactile. Il permet de choisir le type de programme définissant la cadence d'extraction, la pression d'aspiration, le choix des jouets sexuels a insérer dans les orifices des vachues, leurs rythmes et profondeur de pénétration, etc... L'autre appui-bras a un pilier où sont fixés des biberons à grosses tétines pour désaltérer les productrices durant l'extraction de leur lait. Une paire d'écouteurs complète l'équipement de chaque fauteuil. Elle permet de diffuser de la musique douce, expressément sélectionnée pour apaiser les vachues et augmenter leurs productions. Enfin, une manette fixée sur le côté du fauteuil, permet de choisir l'inclinaison du dossier dans des positions adaptée pour une bonne relaxation de la vachue durant sa traite.

La salle est hygiénisée régulièrement; les murs, le sol et le plafond sont dallés avec du carrelage aux motifs évocateurs, représentant des femmes ensembles et des couples dans différentes positions sensuelles et érotiques. On dirait le Kamasutra illustré. Certaines vachues prennent même en notes certaines positions méconnues, pour leurs ébats nocturnes et intimes. Claudine conduit Stéphanie jusqu'au siège numéro 24.

Voici le fauteuil qui t'est assigné. A côté de toi il y a celui de Sylvie et en face, ceux de Caroline et de Françoise. Vous pourrez discuter ensembles, exprimer vos sensations et même vous voir pendant vos jouissances et vos orgasmes! C'est très émouvant de voir d'autres femmes s'exhibant durant leurs orgasmes!

Elle explique tous les maniements de l'équipement et Stéphanie écoute attentivement. Elle assoit Stéphanie sur son siège, l'ayant au préalable, aidé à se déshabiller. Le soutien-gorge n'est pas ôté, car les ouvertures de ses bonnets laissent les mamelles de la vachue à l'air libre. Ensuite elle aide Stéphanie à placer les différents gadgets que celle-ci a choisi pour sa séance de traite Elle les enduit de crème, et les insère dans les orifices de la vachue. La taille des téterelles transparentes s'adapte aisément à la grosseur de ses pis, les coupelles mammaires s'ajustent parfaitement autour des mamelles et exercent une pression adéquate pour aider le lait à passer à travers les canaux galactophores vers les trayons et sortir par les orifices au bout des tétons. Avec le traitement intensif suivi par les vachues, leurs trayons possèdent plus de 18 orifices qui permettent au lait d'être exprimé et dirigé vers les contenants de récupération.

Claudine a choisi pour Stéphanie, le programme pour débutante, car l'ex-journaliste, ayant quitté la laiterie pendant un mois, a besoin d'une remise à niveau et exercer à nouveau ses mamelles à la traite industrielle. La séance de traite durera 45 minutes et sera agrémentée de jouissances sexuelles nécessaires pour induire une production abondante et ainsi redevenir la meilleure productrice de l'institution, ce qui lui permettra, en tant que championne, d'être éligible automatiquement, au concours mensuel : récompense ultime pour leur bonne conduite et alloué à toutes les vachues ayant bien produit durant tout le mois et tirées au sort, pour satisfaire leurs propres besoins sexuels et ceux des clients de la laiterie. Une fois Stéphanie installée, Claudine l'embrasse sur le front et s'éloigne vers son siège de traite au numéro 52, en laissant la revenante aux plaisirs de la traite.

Stéphanie est allongée sur le siège de traite, les pieds dans les étriers, le plug inséré dans son canal anal, le godemiché faisant son parcours de va-et-vient dans son vagin, les écouteurs sur ses oreilles et les gobelets trayeurs sur ses mamelles.

Stéphanie est confortablement allongée dans son fauteuil. Elle approche sa main à l'écran tactile et appui avec son index l'icône <Musique>. Elle choisit une cantate de Bach qui lui plaît beaucoup. La douce musique relaxante est diffusée dans les écouteurs. Maintenant elle appui sur la touche <ON> pour mettre en marche la trayeuse. La pompe à vide commence l'aspiration de l'air dans les gobelets trayeurs. Stéphanie regarde médusée, ses trayons, aspirés et relâchés alternativement. Chaque téton s'allonge dans la téterelle, grossit sous l'effet du vide, et un jet puissant de lait sort des orifices situés au bout du trayon. Le lait cogne au fond de la coupelle en faisant des bulles avant d'être aspiré dans la tuyauterie transparente et dirigé vers le lactoduc central qui mène le liquide chaud extrait des mamelles de toute les vachues vers les réservoirs réfrigérés contenant la production journalière. Stéphanie a un large sourire aux lèvres en regardant chaque cycle d'aspiration-détente, sentant enfin la pression interne dans ses seins, diminuer graduellement.

<Enfin, pense-t-elle, ça me manquait! Une bonne extraction qui ne se compare pas avec le petit tire-lait électrique que j'avais acheté. C'est tellement bon sentir le lait jaillir de mes pis. Voir mes trayons s'étirer démesurément dans les téterelles, sentir le courant électrique me traverser le corps. Sentir mon clitoris gonflé palpiter de plaisir >.

Stéphanie a maintenant pris l'attitude d'une vraie vachue. Elle parle, raisonne et agit comme ses compagnes. C'est une vachue contente et satisfaite de produire son lait. Elle jouit de sentir ce doux liquide sortir de ses trayons. Il faut aussi dire que Stéphanie a toujours été très sensibles au niveau des tétons. Elle aimait que ses conquêtes, fussent-elles féminines ou masculines, s'attardent sur ces petits bouts de chaire, les pincent entre leurs doigts, les étirent avec un mouvement rotatif, les aspirent dans leur bouche et les mordillent et en croquent la pointe, tout en s'occupant de ses autres atouts sensuels. Maintenant ces petits bouts de chair ont grossi, se sont allongés et sont devenus encore plus sensibles. Quelle satisfaction, maintenant, de pouvoir se les faire triturer, mordiller, étirer.

Elle ferme les yeux et se laisse bercer dans ses rêves érotiques. Le souvenir de nuits de plaisirs intenses passées avec ses partenaires de la laiterie. Tout en rêvant, elle ressent le godemiché pénétrer et ressortir alternativement de son vagin, guidé par le plug vers son point le plus sensible, le point qui lui fait perdre tout contact avec la réalité, celui qui l'emmène inexorablement, vers le sommet culminant du plaisir charnel : l'Extase avec un grand E. Celui où l'on revient complètement ramolli, où tous nos membres ne finissent pas de trembler, involontairement et sans contrôle, où tout autour de soi semble plus beau. Tout ceci lui a fait défaut pendant un mois. Un mois perdu, sans jouissance extrême, sans sentir la chaleur qui nous envahit lors de l'excitation sensuelle, du contact avec un autre corps qui ressent la même chose, la chaleur qui nous transporte dans les nuages de la volupté, et qui retarde notre retour à la réalité, la vraie vie de notre quotidien. Chez Stéphanie, cette chaleur est devenue une vraie drogue, un besoin vital. Ses rêveries la conduisent vers l'extase. Elle passe sa main droite sur son clitoris et commence à le masser impérieusement. Ce massage efficace, que l'on nomme aussi masturbation, et qui se fait en solitaire, la mène au bord d'un orgasme débordant. Elle lance des petits cris aigus de jouissance. Caroline, qui est assise en face d'elle et qui se fait traire aussi, assiste avec un large sourire à ce spectacle érotique et sensuel à la fois. Elle ne dit mot, pour ne pas perturber Stéphanie dans ses moments de plaisirs et d'orgasmes. Mais cette vision, un peu voyeuriste, l'excite à son tour. Les deux vachues, émettent ensembles, des cris de bonheur sous l'applaudissement des autres vachues en pleine séance de traite. A ce moment, Stéphanie ouvre les yeux et sourit à tout le cheptel. Elle est heureuse d'être de retour à la ferme. C'est chez elle maintenant. Elle l'a bien compris. Elle est faite pour ça. Et toutes ses compagnes du cheptel son ses sœurs. C'est son bonheur et elle compte bien en profiter!

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