Être vachue s'est merveilleux 02

Être Vachue c'est merveilleux- Chapitre 2, par Lemaringouin

Première salle de traite

Claudine ouvre la porte et laisse pénétrer Stéphanie dans la première salle en lui tenant toujours la main. Stéphanie ressent la chaleur de cette main amicale. Elle imagine déjà serrer le corps de Claudine contre le sien, pouvoir la faire jouir et ressentir l'extase avec cette belle grande blonde. Claudine se retourne alors vers Stéphanie et lui donne un baiser sur la bouche, puis elle recule en disant :

 Excuse-moi, j'en avait tellement envie.

 Ne t'excuse pas, moi aussi j'en avais envie.

Elle approche alors sa bouche à celle de Claudine qui ouvre la sienne pour échanger leur baiser fougueux. Elle fait pénétrer sa langue dans la bouche offerte. Les deux jeunes femmes s'embrassent longuement sous le regard amusé des femmes présentes dans la salle. Claudine se retourne alors et présente Stéphanie

 Bonjour les filles, voici Stéphanie la journaliste qui vient faire un reportage sur notre activité.

Elle présente alors à Stéphanie une grande brune, d'environ 35 ans, habillée d'une blouse blanche comme la sienne, qui se trouve debout près d'une des tables de traite.

 Voici Amélie, C'est la responsable de cette salle. Au début c'était une vachue. Après quatre ans de production constante, ses mamelles se sont taries. Elle a demandé de rester parmi nous. Elle s'occupe maintenant des filles qui viennent ici donner le lait nature, sans ajout de vitamines. Les filles l'adorent, car elle a l'expérience et le doigté.

Amélie sourit et tend la main à Stéphanie. Elle aussi possède une poitrine imposante. Elle a les cheveux coiffés en queue de cheval, a de grands yeux noisette, une bouche attirante et surtout deux seins qui pointent. Sa taille est mince, ce qui fait ressortir encore plus ses deux seins 36 G. Le soutien-gorge qu'elle porte possède aussi ces petit embouts qui tirent les tétons par succion pour leur donner plus de fermeté. Dans son cas ces embouts sont verts.

 Dans cette salle il y a cinq tables, comme tu peux le voir, dit Claudine

Les cinq tables font face à la porte d'entrée par où Claudine et Stéphanie sont entrées, ce qui fait que Stéphanie se retrouve juste en face d'elles. Sur une des tables il y a une jolie rousse d'environ 25 ans, toute nue et à quatre pattes sur un tapis mousse pour protéger ses membres.

 Voici Caroline. Cela fait un an qu'elle est avec nous. Elle été recueillie dans la rue où elle se prostituait. Elle a été condamnée et avait le choix soit de faire de la prison, soit de venir rejoindre notre cheptel. Elle a choisi la deuxième option. Depuis, elle produit très bien.

Stéphanie aperçoit alors que la poitrine de Caroline est reliée au moyen de deux ventouses comme celles utilisées pour traire les vaches, à une machine industrielle, à une exception près, celles-ci sont transparentes. Caroline a les yeux fermés et émet des petits sons aigus, comme ceux que les femmes émettent lors de leur jouissance.

 Approche-toi d'elle et caresse-la, elle est en train de jouir et le contact d'une main féminine augmente la sensation de plaisir. Cela la rapprochera encore plus vite de l'extase.

Stéphanie approche sa main à la tête de la vachue avec hésitation. Claudine lui prend alors la main et la guide vers la chevelure de Caroline qui ouvre alors les yeux et sourit. Stéphanie commence elle aussi à ressentir de l'excitation. Elle voit que les seins de Claudine se balancent sous l'effet de la succion créée par la trayeuse. Proche de la tête de Caroline il y a une grosse tétine reliée à un récipient qui ressemble à un biberon. Caroline attrape la tétine avec la bouche et tète avidement. Stéphanie regarde alors Claudine en signe d'interrogation

 Les vachues ont besoin de beaucoup de liquide pour pouvoir produire leur lait. Nous leur fournissons une solution additionnée des ingrédients nécessaires pour permettre d'activer leurs glandes mammaires, que l'on nomme ici mamelles, et ainsi produire tout le lait requis pour la production. Le jus est sucré et elles adorent téter. C'est une fonction primaire que les vachues redéveloppent.

Effectivement Caroline tète avec ardeur tout en émettant des gloussements de jouissance.

 Viens, caresses lui le dos, elles adorent le contact féminin.

Stéphanie s'approche sur le côté de la table pour passer sa main dans le dos de la jeune vachue. En descendant la colonne vertébrale sa main approche les fesses de Caroline, et Stéphanie aperçoit un godemiché relié à un arbre, qui fait un mouvement de va-et-vient dans l'anus de la jeune fille. Claudine se rend compte de la surprise de Stéphanie.

 Ce godemiché procure un énorme plaisir à nos vachues. Vois-tu, il pénètre dans le rectum tout en se gonflant. De cette façon le colon augmente son volume. Si tu regardes en dessous, tu verras un phallus qui a aussi un mouvement de va-et-vient. La combinaison des deux artefacts procure aux vachues un état d'extase constant durant toute la période de la traite. Elles ont des orgasmes continuels. Ils sont moyennement intenses, mais permettent la production d'un lait de haute qualité et un volume plus que raisonnable. C'est pour cela que tu l'entends gémir de plaisir. Ce ne sont pas des cris de jouissance suprême comme lorsque deux êtres font l'amour. C'est ce qui est recherché ici, un plaisir soutenu, qui ne fatigue pas la vachue, mais qui la rend plus productive.

Stéphanie, avec cette vision, ces cris de jouissance et l'odeur dégagée par la vachue en rut, ressent des frissons dans son échine et une excitation montante. Elle aimerait se caresser pour soulager cette sensation de besoin sexuel. Son sexe commence à mouiller et le jus vaginal dégouline le long de l'entre-cuisse. Claudine perçoit la perturbation ressentie par Stéphanie. Elle s'en approche et passe sa main sous la blouse de la journaliste à hauteur de l'entre-jambe.

 Oh, toi tu es en train de mouiller.

Stéphanie, honteuse, recule et fait un geste pour ôter la main investigatrice.

 Ne t'en fais pas, nous avons ressenti toutes le même effet la première fois. Même encore aujourd'hui nous avons des frissons de plaisir en voyant une de nos consœurs pendant la traite. Regarde, Amélie aussi est dans tous ses états. Le parfum vaginal et la vision de la séance de traite nous perturbent toutes.

Elle prend la main de Stéphanie et la passe sur le sexe d'Amélie, dans l'ouverture de sa blouse. Stéphanie sent la mouille du sexe de la responsable de la salle numéro 1, et Caroline lui dirige la main humectée vers le nez.

 Sens, c'est le doux parfum de la femme excitée.

Stéphanie ne peut s'empêcher de renifler ses doigts et sentir les effluves d'une femme en chaleur. Aussitôt elle ressent sa propre excitation augmenter. Elle rougit car des frissons la traversent de la pointe des seins jusqu'à son vagin en passant par ses entrailles. Sa respiration devient plus haletante, ce que Claudine perçoit facilement. Elle passe alors sa main dans la blouse de Stéphanie et caresse ses tétons qui ont durci. Elle sourit et approchant sa bouche à celle de Stéphanie l'embrasse en y faisant pénétrer sa langue. Les deux femmes restent ainsi connectées pendant plusieurs secondes. Stéphanie a les yeux fermés. Sa respiration est saccadée. Elle se sent emportée par le désir sensuel de sa guide, qui elle aussi a la respiration courte. Les deux femmes se dégagent, et Stéphanie a les joues rougies par son excitation montante.

 J'adore ton parfum. Ta peau est douce et cela m'excite beaucoup moi aussi.

Elle a toujours la main sur le sein de Stéphanie qu'elle soupèse à travers le soutien-gorge que la journaliste porte.

 J'ai envie de sucé tes tétons, lui souffle-t-elle à l'oreille. Je les aspirerai par petits à coups pour te faire ressentir l'effet d'une trayeuse tandis que ma langue les emprisonnerait et mes dents mordilleraient leurs petits bouts.

Elle se dégage de l'étreinte et dit

 Bon, allons maintenant vers la salle numéro 2. C'est là que nous produisons le lait amélioré. Nous avons pour toi une petite surprise.