Esclave de ma mère: Journée 02

Note: ceci est une oeuvre de fiction.

Le lendemain je fus réveillé par un pied posé dans ma figure. Je me réveillai en sursaut en me demandant où j'étais. Des images de la veille commencèrent à refaire surface dans mon esprit. Je redevins rapidement très dur au niveau du sexe. Quand ma nouvellement maîtresse vit cela, elle posa, non sans délicatesse, son autre pied dessus. Ce qui me fit sortir une légère plainte de ma gorge. Par la suite, ma mère se leva, avec toujours un pied dans ma figure et l'autre sur mon sexe.

-Je vais prendre ma douche et me préparer pour le travail, m'annonça-t-elle. Tu devrais faire pareil.

J'attendis donc qu'elle ait fini de prendre sa douche pour prendre la mienne. Ensuite je m'habillai pour aller à l'école et elle pour le travail. Quand elle fut prête à partir, elle s'assit sur la chaise dans l'entrée et m'appela.

-Que puis-je faire pour vous maîtresse? lui demandai-je.

-Pourrais-tu apporter mes belles bottes qui montent jusqu'aux genoux et me les mettre s'il-te-plait? Je lui apportai donc ses belles bottes de cuir noir, m'agenouillai devant elle et les lui mit. Elle croisa ses jambes, regarda ses bottes d'un air songeur et me sourit.

-Elle semble être un peu sales, non? me demanda-t-elle en parlant de ses bottes. Je compris donc immédiatement ce qu'elle voulait et me mis à lécher ses bottes. Je commençai par lécher le dessus, tout en montant vers le haut de sa botte, jusqu'à son genou. Je répétai le mouvement plusieurs fois pour m'assurer que la botte soit bien propre. Ensuite, elle décroisa sa jambe et mit l'autre jambe dans les airs pour que je puisse nettoyer son autre botte aisément. Je recommençai donc à lécher toute la botte en hauteur et en longueur.

- Où crois-tu aller comme cela jeune homme, me demanda-t-elle quand je m'apprêtai à me lever car je croyais avoir fini mon travail.

Je compris donc ce qu'elle voulait quand elle me présenta le dessous de sa botte droite. Je me ragenouillai donc et me mis à lécher vigoureusement le dessous de sa botte. Je suçai même le bout pointu de sa botte. Je refis le même manège à son autre botte quand elle décroisa sa jambe pour recroiser l'autre, me présentant ainsi l'autre botte.

-Tu as très bien fait ça, me félicita-t-elle, je vais faire de toi un homme dont toutes les femmes rêvent. Tu me remercieras plus tard. Maintenant je te conseil d'aller te laver la bouche avant de partir pour l'école. Je veux que tu m'attendes dans le salon quand tu vas être revenu de l'école, et, bien sûr, dans ta nouvelle tenue obligatoire, soit en boxer avec ta laisse. Elle s'apprêtait à franchir la porte quand elle se souvint de quelque chose.

-N'oublie pas de parler de ceci à personne, me rappela-t-elle en me montrant son téléphone, j'ai quelque chose que tu ne veux pas qui se ramasse partout sur internet, là où tes amis pourrait la voir.

Elle partit donc à son bureau, et moi, quelques minutes plus tard, après m'être lavé la bouche, à mon école.

La journée se passa sans aucun événement remarquable, sauf le fait que je ne posais de problème à personne, à la satisfaction de tout le monde, mais surtout mes professeurs. Je revins donc à la maison quelques heures plus tard, après avoir fini ma journée. Je me mis en boxer, enfilai ma laisse et partis m'asseoir dans le salon faire mes devoirs en attendant que ma maîtresse revienne de sa longue journée de travail. C'est seulement trente minutes après avoir fini mes devoirs que j'entendis la voiture se stationner. Ma mère entra dans la maison, enleva son manteau et vins me rejoindre dans le salon. Elle s'assit sur le divan, face à moi, croisa ses jambes et prit ma laisse dans ses mains.

-Wow tu es exactement là où je t'avais demandé t'attendre, me félicita-t-elle avec un sourire, comme tu es rendu docile! Je vois que tu as fait tes devoirs, très bonne initiative, je vais t'avoir pour moi plus longtemps! En passant très bon lavage de botte ce matin, tout le monde au bureau m'ont dit qu'elles étaient belles et bien étincelantes. Je crois que tu sais ce que tu as à faire.

Je pris donc ses bottes, les dézippai et les enleva. Je commençai à masser ses pieds, dont le nylon était légèrement mouillé de sueur.

-J'ai attendu ce moment toute la journée, me dit-elle, tu ne peux pas savoir comment il fait chaud dans ces bottes, en plus je devais me tenir sur mes pauvres pieds toute la journée parce que j'avais une présentation.

Elle devait effectivement avoir eu très chaud, car ses pieds sentaient énormément. Voyant mon air un peu dégoûté elle déposa le pied que je n'étais pas en train de masser dans ma figure.

-Oui ils sentent beaucoup, m'annonça-t-elle, mais je suis sûr que tu vas vite t'habituer à cette senteur, j'irais même jusqu'à dire que tu vas bientôt l'adorer!

Elle frotta donc son pied partout dans ma figure, pendant que je massai l'autre, prit mon nez entre ses orteils, et les mit même dans mes narines. Parfois, elle tirait même sur ma laisse pour que je renfonce un peu plus dans son pied. Elle semblait beaucoup apprécier le mélange massage et moi qui sentais son pied. En fait, elle semblait surtout adorer le fait que je sois complètement à sa merci et qu'elle ait enfin le contrôle sur moi depuis une dizaine d'année. J'irais pas jusqu'à dire que j'aimais la senteur de ses pieds, mais ce n'était pas autant désagréable que ça en avait l'air. Au bout d'une quinzaine de minutes, elle changea de pied. C'était maintenant l'autre pied qu'elle frottait partout dans ma figure.

-Va faire à souper, m'ordonna-t-elle une dizaine de minute après, en lâchant ma laisse.

Je parti donc faire cuire une lasagne et quand ce fut prêt, j'appelai ma maîtresse.

-Pendant que je mange, j'aimerais que tu ailles en dessous de la table, comme hier, m'annonça-t-elle, mais cette fois-ci, avec ton assiette. Ah, tu n'auras pas besoin d'ustensile.

Je compris pas trop où elle s'en allait avec ça, mais je ne la contredis pas. Je partis donc m'installer en dessous de la table, avec mon assiette. Au moment où j'ai déposé mon assiette par terre, ma mère mit ses deux pieds dedans, bien profondément, elle en avait même jusque sur le dessus des pieds.

-Oups, dit-elle, je crois que me suis mise les pieds dans les plats. Tu vas devoir manger ton repas directement de sur mes pieds, je crois. Je veux que mes pieds soit complètement propres, est-ce clair, esclave?

Pour réponse je commençai donc à manger la lasagne qui était sur le dessus de son pied. Ensuite, j'entrouvris ses orteils pour passer ma langue entre eux. Par la suite, je suçai ses orteils et léchai tout le dessous de son pied, je repassai souvent sur son arche et appliquai une plus grande pression dessus avec ma langue, car c'était là que le plus gros de la nourriture c'était ramassé. Quand j'eus fini avec un pied, je fis la même chose avec l'autre. Ma tâche accomplie, je refis le même cirque, au cas qu'il reste de la saleté, je ne voulais surtout pas que ma maîtresse se fâche.

-Merci esclave, c'était très bon, me dit-elle en se levant de table. Je vais me coucher, tu fais la vaisselle et tu viens me rejoindre dans ma chambre, compris?

Pour toute réponse, je pris la vaisselle et commençai à la laver. Quand j'eus fini, je la rejoignis dans sa chambre. Elle était couchée, pratiquement nue, avec seulement une paire de petite culotte, dans son lit. Elle se jouait tranquillement après les mamelons. En voyant cette scène de rêve, je devins automatiquement très dur.

-Viens opérer ta petite magie sur moi encore ce soir, m'ordonna-t-elle.

Je m'agenouillai donc au pied de son lit, pris ses pieds dans mes mains et commençai à masser.

-Non pas cette magie-là, jeune homme, l'autre, me dit-elle avec un clin d'œil coquin. Je mis donc délicatement ses beaux orteils légèrement dodus, mais pas trop, avec des ongles magnifiques de couleur rouge pas trop flash, dans ma bouche. Elle commença immédiatement à faire de petits couinements. Je pris ses orteils un à un dans ma bouche. Je commençai à apprécier cela, quand je vis que ma mère appréciait cela énormément aussi, car sa main lâchait son mamelon pour se diriger tranquillement vers son sexe. Je devins subitement encore plus excité et plein d'image pornographique me revint en mémoire. Je pris donc une initiative qui ne pouvait pas la déplaire, en pensant que peut-être elle allait me remercier en me libérant, pourquoi pas. Je glissai ma main le long de sa jambe, toujours avec son gros orteil dans ma bouche, jusqu'à atteindre sa petite culotte. Je la descendis tranquillement, jusqu'à l'enlevé. Je ne sais pas si ma mère avait remarqué mon petit manège, mais elle continuait toujours à faire de petits bruits de plaisir, tout en continuant tranquillement à descendre sa main vers son vagin. Ouhlala, je n'avais jamais de femme aussi belle de toute ma vie. J'étais tellement excité que je ne pouvais plus réfléchir concrètement. Je pris donc mon courage à deux mains, et glissai tranquillement ma main le long de sa jambe vers son sexe maintenant nu, toujours en léchant vigoureusement son pied. Une fois le but atteint, je caressai doucement le fruit interdit. Je senti tout à coup une tension dans le corps de ma maîtresse et elle me donna un coup dans la figure avec le pied que j'étais en train de lécher.

-Mais que fais-tu là esclave? me questionna-t-elle. Je ne t'ai jamais demandé de faire cela.

Elle me regarda bizarrement, puis tira sur ma laisse, vers son pied. Je recommençai donc à sucer son gros orteil.

- En fait, ce que tu as essayé de faire, personne ne me l'avait fait depuis des années, en fait, depuis ton père. Ça m'a seulement un peu surpris. Recommence, m'ordonna-t-elle.

Je reglissai donc tranquillement ma main le long de sa jambe, jusqu'à atteindre son sexe tout mouillé, elle était vraiment très excité!!! Tout en mangeant son pied, je lui caressai son sexe. Elle commençait à faire sérieusement beaucoup de bruit de plaisir. J'introduisis donc un doigt dans son vagin, ce qui lui fit lâcher un léger cri de plaisir. Je sentais que j'allais venir dans mon boxer sans même y toucher! Je la caressai donc de plus en plus rapidement.

-Mets mon pied dans bouche, m'ordonna-t-elle en mettant sa main sur la mienne, celle qui la caressait, vite, je vais venir!

Je mis donc son pied au complet dans ma bouche et le léchai rapidement, comme à son désir. Tout à coup un cri de jouissance, comme je n'en avais jamais entendu dans des films érotiques, sorti de sa bouche. Mes doigts devinrent tous mouillé par son sperme. C'est quand tout ce fût calmé que je remarquai que j'étais venu en même temps qu'elle dans mon boxer. Elle enleva son pied de ma bouche et me souria.

-Nettoie bien tes doigts plein de mon sperme s'il-te-plaît, j'ai envie de te voir lécher mon sperme. Ensuite vient te coucher par terre comme hier soir.

Je mis donc mes doigts dans ma bouche. Mon dieu que ça goûtait bon!!! Après, je me levai et ma maîtresse vit, avec étonnement, que j'avais mes boxer rempli de mon sperme.

-Enlève aussi tes boxers et donne-moi les, m'ordonna-t-elle, cela fait une éternité que je n'ai pas goûté à du sperme, surtout celui d'un beau jeune homme.

J'enlevai donc mon boxer et les lui tendis. Elle le prit, et lécha tout le sperme à l'intérieur, tout en me regardant dans les yeux. Je redevins immédiatement très dur.

-Bon, il est temps de faire dodo, maintenant, non? me dit-elle.

Je me couchai donc nu, par terre, proche du lit de ma maîtresse, qui était aussi ma mère.

Je dormi relativement bien cette nuit-là.