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BÊTA PUBLIQUE

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— Gifle-moi.

J'avais osé. Je n'étais pas du genre soumise. Pas même du genre à aimer me faire baiser durement. J'étais féministe, consciente et parfaitement équilibrée, mais j'avais toujours rêvé d'être, dans les bras d'un homme doux et aimant, réduite à l'état de petite pute que l'on maltraite. Je sais, c'est franchement vulgaire et mes propos pourraient choquer certaines d'entre vous. J'avais aussi le bonheur de ne jamais avoir été abusée, car je n'avais connu que Louis qui était un homme respectueux. Mais j'avais en moi, cette envie d'être un jour, l'objet sexuel d'un homme, la victime de sa dureté, la cible de sa rudesse. C'était là le privilège extrême de mettre la main sur un homme comme Georges. Avec lui, j'ai senti que c'était un fantasme réalisable, car il ne me ferait jamais plus de mal que celui que je lui aurai demandé. Alors, pendant son silence éloquent, j'ai ajouté :

— Gifle-moi, maintenant, j'en ai toujours eu envie...

Et timidement, il me gifla, sa main droite venant fouetter ma joue gauche.

— Plus fort, mon chéri...

Et il recommença, un peu plus fort. Voyant son appréhension, et tombant presque amoureuse de cet homme à la douceur inépuisable, je me suis à nouveau penchée sur lui pour l'embrasser tendrement, puis en me redressant, je l'ai encouragé à recommencer. Alors il me gifla, une troisième fois. Et ma chatte trembla d'envie et de désir.

— Encore, ça me fait mouiller !

Il me gifla une fois de plus. Ma joue rougissait, mes lèvres tremblaient et je sentais encore les vibrations de cette délicieuse gifle.

J'ai posé mes mains en arrière sur ses genoux, tendant mon imposante poitrine devant son visage :

— Gifle-moi les seins...

Chaque fois, il m'obéissait, il me giflait, parfois deux fois, pour régler la force de ses coups, pour s'assurer que la frontière entre le plaisir et la douleur n'était pas franchie. Moi, j'étais absolument transie de plaisir. Il frappa mes seins une troisième fois et mes tétons frémirent comme le reste de mon corps. Sur les traces rouges de ses coups, dessinant les formes confuses de ses doigts, je l'encourageai à recommencer.

— Tu me fais du bien, putain !

Et pendant qu'il me giflait le visage et les seins, je m'empalai avec gourmandise sur sa bite dressée. Quand mon dos me fit souffrir, quand la position fut inconfortable, j'ai ramené mes jambes vers l'avant pour bondir plus aisément sur son sexe. Et mes cuisses ainsi offertes me donnèrent encore une idée :

— Mets une claque sur ma cuisse !

Il gifla la peau tendre à l'intérieur de ma cuisse gauche, créant une déflagration qui fit trembler mes lèvres et mon clitoris. Je crus défaillir, l'orgasme guettait, le plaisir me submergeait et lorsqu'il réitéra sa gifle sur ma cuisse, les vibrations atteignirent suffisamment mon clitoris pour me faire jouir. Mon corps tout entier fut traversé, comme un séisme terrible, mes yeux roulèrent vers l'arrière, mes bras se serrèrent autour de son cou et, comble du bonheur, c'est le moment que choisit Georges pour prendre sa première initiative. Lorsque l'orgasme m'attrapa, mon amant me gifla, plus fort encore que la fois précédente, et lorsqu'un cri vint naître au fond de ma gorge pour accompagner mon plaisir et son paroxysme, Georges plaça sa main sur ma bouche et gifla ma poitrine. Putain de bordel de merde ! C'était divin, c'était presque trop divin. Je crus presque manquer d'air tant l'orgasme emportait tout. Puis je m'écroulai contre mon amant, embrassant sa clavicule et son cou avec amour.

Après trois minutes d'un silence tendre ponctuées de quelques baisers, Georges me dit :

— Merci... j'avais oublié le bonheur de faire l'amour.

Il avait raison, nous avions fait l'amour.

— Merci à toi, mon Georges, c'était parfait... tu as été parfait.

Il m'embrassa tendrement sur la bouche puis m'aida à me lever. Nous nous sommes rhabillés puis j'ai proposé à Georges d'aller se faire un brin de toilette. Il a dissimulé les preuves de nos ébats puis il est allé chercher son épouse dans la chambre pour la ramener chez eux.

Et plus jamais je n'ai fait l'amour avec Georges.

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Aussi bien en français qu’en anglais. Bien écrit avec une eroticism digne d’Anaïs Nin.

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Très bon

APVapvAPVapvil y a 7 mois

Très belle progression et un ébat infidèle bien décrit.

marco_solomarco_soloil y a 7 mois

Excellemment bien écrit.

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