Emprise sur la Ville - Acte 07

BÊTA PUBLIQUE

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***

C'était le milieu de l'après-midi, Lucie rentrait chez elle et remarqua la petite Mini de Charline sur le parking de la résidence. Elle se disait qu'elle lui ferait une petite visite. Sentir la langue de la petite rousse sur ses lèvres lui manquait. Elle sonna à la porte de l'appartement et la réponse de sa voisine la laissa sans voix.

- Lucie, on ne peut plus se voir, dit-elle sans comprendre pourquoi elle le disait.

- Mais... mais! Charline... qu'est-ce qu'il y a?

- Rien. C'est fini entre nous, dit Charline en lui fermant la porte au nez.

Lucie resta, quelques minutes, interloquée devant la porte close, avant de rentrer dans son appartement.

Désirant aimer et être aimée, elle composa le numéro de Joséphine.

***

Quelques minutes plus tard, l'avocate sonnait à la porte de Joséphine. La policière portait juste une jupe et un soutien gorge en cuir, chaussée de cuissardes noires. Lucie découvrit avec surprise que sa nouvelle amante, maîtresse, n'était pas seule. Une femme brune lui souriait, elle était nue sauf une paire de bas et des talons.

- Entre ma chérie, voici Isabelle! Montre lui comme tu es belle, déshabille-toi!

Lucie hésita un instant, mais elle finit par retirer sa robe pour apparaître dans le plus simple appareil. Seule sa longue chevelure brune cachait légèrement son sein droit.

- Qu'en penses-tu Isabelle? Que penses-tu de cette poitrine, de ces fesses? dit Joséphine en faisant tourner Lucie.

- De belles formes à fouetter...

- Oui mais avant, elle va venir nous lécher, n'est ce pas Lucie?

- Oui, bien sûr...

Lucie était un peu perdue, elle était venue en espérant se faire câliner par son amie, et là, elle allait devoir commencer par lécher cette inconnue. Elle vint s'installer à genou devant les deux femmes. Isabelle écarta ses cuisses et Lucie découvrit l'intimité de la pharmacienne. En approchant son visage elle vit le tatouage de servitude S-73.

- Allez ma chérie, lèche-la, donne du plaisir à mon amie, dit Joséphine.

La jeune avocate commença à lécher la fente déjà bien humide d'Isabelle. Elle entendait la policière demander à son amie si elle appréciait cette caresse. Les gémissements d'Isabelle répondaient à sa place. Lucie léchait avec application comme elle le faisait avant avec Charline. Elle savait que la femme allait jouir, elle se préparait à gouter au plaisir de la pharmacienne quand celle-ci lui recula la tête, éloigant sa bouche de son puits d'amour. Lucie vit Isabelle jouir devant elle.

- Reste à quatre pattes! lui dit Joséphine. Tu as mérité une récompense.

Un peu étonnée, Lucie regarda Isabelle se lever et venir derrière elle. Joséphine dans le dos de la pharmacienne guidait la main qui tenait un martinet. Soudain, Lucie sentit les lanières venir lui caresser les fesses. Une fois... deux fois... trois fois... elle tortillait son cul. Ses fesses la brûlaient. Isabelle ne retenait plus ses coups et alternait, fesses droite, fesse gauche... parfois deux fois de suite sur la même...

Lucie suppliait les deux femmes. Joséphine vint devant elle et en se penchant elle l'embrassa avec volupté. Lucie ferma les yeux.

Les coups avaient cessé. Un baiser d'Isabelle remplaça celui de Joséphine qui caressait avec tendresse les fesses rougies de l'avocate. Les doigts de la policière se firent plus explorateurs et commencèrent à entrer dans la fente trempée.

- Mais tu es trempée ma chérie... Tu as aimé cela, n'est ce pas!

- Oui Maîtresse Joséphine j'ai aimé cela... J'aime quand vous vous occupez de moi de cette manière.

Lucie gémissait, les doigts de Joséphine allaient et venaient dans son vagin. Deux puis trois et finalement la main. Lucie était fistée par sa maîtresse et elle aimait cela.

***

Une nouvelle fois, Lucie avait accepté l'invitation de Dom Pietro à venir prendre un verre dans son club. Elle avait passé la journée à étudier divers dossiers de son nouvel employeur et ceux-ci étaient particulièrement complexes. Elle allait devoir mettre tout son art oratoire au service de la défense de ces hommes. Les affaires financières étaient bien plus difficiles à défendre que les affaires les vols ou autres exactions.

Elle admirait les deux jeunes femmes qui dansaient lascivement sur la scène. Elle savait que ces femmes finiraient la soirée dans une des chambres à l'étage afin de satisfaire la libido de certains clients. La plupart des filles étaient des étudiantes qui pouvaient ainsi se procurer un supplément de revenus et une soirée dans le club de Dom Pietro rapportait plus qu'un mois de travail dans les fast-foods de la ville. Et au moins, on ne rentrait pas en sentant l'huile de friture.

- Alors ma chère, que pensez-vous de ces deux nouvelles?

- Elles sont magnifiques! Des étudiantes?

- Oui pour la rousse, une étudiante irlandaise mais la brune, c'est une touriste qui veut montrer à son mari qu'elle sait être sexy...

- Le mari est dans la salle?

- Oui, c'est le type un peu rondouillard dans le coin qui à le nez dans sa bière... il ne s'attendait pas à ce que sa femme ose s'exhiber...

Lucie regardait les deux femmes qui simulaient une relation lesbienne, enfin, il était clair qu'elles allaient au delà de la simulation aux gémissements que la salle pouvait entendre.

- Et si tu allais les rejoindre? proposa goguenard Dom Pietro

- Mais Monsieur!

- Allez, ne faites pas cette tête là! je sais que la petite rousse te fait envie...

Lucie baissa les yeux et après quelques secondes d'hésitation, elle se leva et se dirigea vers la scène. L'animateur de la salle présenta la nouvelle venue sous les applaudissements du public, ravit de découvrir une nouvelle fille. Au son de la musique et encouragée par ses compagnes de scènes, Lucie dévoila lentement et sensuellement son corps. Quand il ne lui resta plus que son string, la femme mariée passa dans son dos et commença à lui caresser la poitrine en la présentant à la petite rouse qui vint s'accroupir devant Lucie.

Devant tout le monde, l'étudiante ôta la dernière barrière qui recouvrait l'intimité de Lucie et embrassa son pubis lisse. Quand elle glissa sa langue, les lumières de la scène s'éteignirent et les trois femmes quittèrent la scène.

Dom Pietro les félicita et remit une enveloppe au deux premières avec le cachet de leur prestation.

- Tu étais superbe! Tu devrais le faire plus souvent! dit-il en fixant Lucie.

- Oui Monsieur, peut-être.

*** Fodé ***

Peut-on imaginer plus belle vie pour un jeune de cité, sans aucune règle, sans aucun avenir hormis le deal, que d'avoir le pouvoir d'imposer à sa proviseure et à sa prof des faveurs sexuelles?

Souvent le matin quand il arrivait au lycée, Fodé passait dans le bureau d'Eléonore Bascoul, la proviseure. Il entrait sans frapper et immédiatement, la femme de 45 ans s'agenouillait et se prostèrnait devant l'élève. Quelle belle perspective que ce visage contre terre et ce joli cul de bourgeoise bien relevé! La blonde se relevait et se déshabillait devant le jeune black. Le lycéen aimait prendre son temps, laisser la patience de la femme s'émousser et se transformer en angoisse d'être découverte. Il appréciait également reluquer les courbes d'Eléonore. Il n'avait jamais vu de cambrure sans penser que ses mains s'y poseraient, ni une poitrine sans songer les malaxer, ni un sexe sans consevoir de le pénétrer.

Il la prenait rapidement dans le sexe et dans l'anus pour bien lui imposer sa dominance. Pas besoin de jouir. Juste lui montrer chaque jour que le pouvoir, c'est lui qui le possédait.

Pour Camille De Charette, Fodé se jouait créatif. Il changeait chaque jour de traitement pour sa prof de philo. Il l'appelait à sa table prétextant de ne pas réussir l'exercice. Et il la tripotait discrètement et jouait avec le plug qui était planté dans son cul. Ou alors, après le cours, il la baisait sur le bureau ou contre le tableau à grands coups de reins. Ou encore, en fin de journée, il s'amusait à réunir les deux femmes et il se payait une belle double fellation en ne manquant jamais d'éjaculer sur leur poitrine pour qu'elles se lèchent ensuite.

Mais l'existence de Fodé au lycée ne se réduisait pas à soumettre S-123 et S-51. La Confrérie lui avait donné une mission. L'appétit des membres ne tarissait pas et de nouvelles proies leurs étaient nécessaires. Compter quelques étudiantes dans leur cheptel de soumises imposait un rabatteur spécifique que Fodé endossa.

Outre ses petites aventures avec les BTS action commerciale, il affectionnait particulièrement les filles de prépa, surtout celles d'hypokhâgne. A 18 ans, ces naïves subissaient un tel rythme de travail quotidien, que leur besoin de décompresser rendait la tâche facile au charismatique jeune black. Fodé jetta son dévolu sur les trois plus belles étudiantes : Jade, une grande brune à la poitrine ronde et à la taille fine. Aya, une marocaine d'origine, au grand yeux noir et à la bouche pulpeuse, des rondeurs pleines de charme. Et Jia, une coréenne adoptée, typique asiatique d'1m55, sans poitrine et sans fesses mais dont la douceur du visage avait séduit le prédateur.

Aya fut facilement soumise. La marocaine pompa le dard du black avec tellement d'entrain dès leur première rencontre qu'il pû rapidement la dominer par la suite. La chaudasse aimait la bite et elle aimait également qu'on la dirige. Elle prêta allégeance et pour la tester, Fodé la donna à deux de ses copains qui la défoncèrent dans tous les trous.

Pour Jade, la manœuvre fut différente. Des prémices de sentiments brillaient dans les yeux de la grande brune. Fodé jouait le chaud et le froid pour la maintenir dans un état de dépendance. Au troisième rendez-vous, au cinéma, alors qu'ils ne s'étaient qu'à peine embrassés à leur deuxième rencontre, le black lui ordonna qu'elle enlève sa jupe.

- Mais on est au cinéma.... il y a plein de monde, chuchota Jade timidement.

- Tu obéis ou je m'en vais. J'aime les filles qui m'obéissent.

Après un moment de réflexion, l'étudiante se contorsionna le plus discrètement possible pour faire glisser sa jupe à ses pieds.

- Ta culotte aussi!

- Mais Fodé... je ne veux pas comme ça.

Le garçon ne bougea pas et continuait à regarder le film tandis que la jeune fille demeurait dans l'expectative. La peur de le perdre ou l'excitation de l'interdit? Nul ne le saura mais elle obtempéra. Le black se tourna et l'embrassa. Elle fondit littéralement. Puis, le prédateur entra ses doigts dans la chatte poilue. Elle coulait. Leur langue jouait ensemble et les gémissements de l'étudiante montaient. Alors que Fodé reprit sa place. Il lui dit tout haut :

- J'aime pas les poils. La prochaine fois tu t'épiles.

Jade remit sa culotte et sa jupe en pleurant. Humiliée, elle conçut un sentiment de culpabilité quant à sa propre niaiserie et se promit d'être parfaite pour son homme.

La petite Jia, derrière ses lunettes d'intello, excitait particulièrement Fodé. Il l'imaginait déjà attachée dans tous les sens et la fouettant avant de la prendre. Ses différentes approches furent des échecs. Rien n'y faisait, elle demeurait hermétique à son charme et la chose sexuelle ne devait guère la passionner. Il s'en ouvrit à Joséphine Cherline qui l'épaulait dans sa nouvelle entrée dans la Confrérie. L'inspectrice lui donna un flacon de la drogue d'Isabelle en lui expliquant le procédé.

A la bibliothèque du lycée, lieu où Fodé ne traînait jamais, il s'attabla devant la pile de livres derrière lesquels Jia travaillait. Il lui offrit un verre de coca prétextant qu'il s'excusait de l'avoir embêté pendant quelques jours.

- Ce n'était pas la peine, murmura la petite asiatique en fronçant les sourcils derrière ses lunettes d'intello. Je n'ai pas le temps pour trainer avec des garçons.

- Ok. Pas de problème, dit Fodé en observant la coréenne boire son verre. Je me suis rapproché de toi car tu me plaisais.

- C'est gentil mais je n'ai pas....

L'étudiante ne termina pas sa phrase. Le black sus que la drogue agissait.

- Retire tes lunettes sale pute d'intello!

Jia ôta ses verres en fixant le black avec un regard d'effroi.

- Ben ouais, ma petite pute. Tu aurais mieux fait d'avoir du temps pour moi. Car maintenant, tu vas faire tout ce que je te dis mais... sans le vouloir! rit Fodé en caressant le superbe visage de la coréenne.

Elle le suivit dans une étroite travée de la bibliothèque. Obéissant aux ordres, la jeune étudiante saisit le sexe en érection de son Maitre et le masturba. La détresse du regard excitait le garçon.

- Plus vite, salope. Sers plus.

Au doigt et à l'œil, Jia obtempérait. Un jet de sperme vint éclabousser son tee-shirt. Un frisson parcourut son corps. Sa volonté à l'intérieur et à l'extérieur sa soumission, Fodé adorait cette drogue mais on lui avait dit de ne pas trop subvertir de monde avec elle pour des raisons de sécurité.

- Écoute bien maintenant, sale pute. Tu porteras des micro shorts tous les jours avec des chaussures à talons. Pour le haut, un débardeur blanc sans manche. Tu ne porteras pas de sous-vêtement.

Pendant qu'il énumérait les contraintes de la nouvelle vie de Jia, il triturait les tétons à travers le soutien-gorge qui ne devait pas servir à grand chose.

- Dès qu'un black te drague, tu lui proposeras de le sucer. De plus, tu viendras à 7h30 dans le bureau de la proviseure. Tu t'épiles entièrement.

Fodé plongea sa main sous la jupe et enfonça ses doigts dans la chatte poilue. Jia émit un couinement de plaisir quand Fodé pinça son clitoris entre son pouce et son index.

- Enfin, un homme va venir te voir. Il s'appelle Dom Pietro. Tu lui obéiras en tout.

***

Le manoir s'élevait majestueusement dans la nuit, tandis que la lune montait dans un ciel d'un bleu profond. L'édifice, niché au cœur de la forêt, se distinguait par sa discrétion, dévoilant toute sa richesse intérieure. Perdu en pleine campagne, éloigné de la route communale, le domaine offrait toutes les garanties d'un secret bien gardé. Comme chaque mois, les véhicules arrivaient les uns après les autres, se faufilant dans l'allée bordée d'arbres centenaires, tels des pèlerins en quête d'une révélation.

Les invités, vêtus de longues toges noires ornées d'une broche à l'effigie de deux anneaux entrelacés, descendaient de leur voiture pour revêtir un masque blanc, cachant leur visage à la vue de tous. Telles des ombres, ils se dirigeaient vers la petite chapelle accrochée au pignon Est du manoir, guidés par des rangées de cierges. L'intérieur de la chapelle était plongé dans une semi-obscurité, éclairé seulement par les bougies qui crépitaient au gré des courants d'air. L'atmosphère était lourde, chargée d'encens aux senteurs capiteuses.

Les membres de l'organisation secrète entraient un par un, au son de la cloche qui résonnait dans l'espace. Derrière eux, les portes de la chapelle se refermaient, laissant place au silence. Chacun prenait place sur les larges fauteuils en cuir disposés en U autour de l'autel, où trônaient deux immenses anneaux entrelacés, symbole de leur fraternité.

Des soumises nues, chaussées de hauts talons, se déplaçaient avec grâce et discrétion, leurs plateaux d'argent chargés de verres remplis d'une boisson ambrée.

Fodé remarqua deux jumelles à la beauté altière. Il banda sur le champ. C'était sa première fois après son initiation.

La voix grave et puissante de leur leader résonnait alors dans la chapelle, annonçant le début de la réunion. Les membres prenaient tour à tour la parole, exposant leurs avancées dans le monde de la finance, de la justice ou de la pègre. Puis, Marie Mousatir se leva, telle une déesse surgie de l'ombre, son masque blanc ajoutant encore à son aura mystérieuse. Sa voix, claire et limpide, résonnait dans tout l'espace de l'édifice, comme une offrande à leurs désirs les plus secrets.

Comme un rituel ancestral, tous les membres finirent les uns dans les autres. Une mêlée de chair, de seins et de bites se mouvaient. Fodé s'était jeté sur les deux sœurs leur éclatant le cul. Il se promit de les avoir pour lui tout seul une autre fois pour en baiser une et torturer l'autre pour les rendre folles, en ayant le désir pour l'une et pour l'autre la fureur. Il vit Joséphine Cherline nue pour la première fois qui se faisait lécher par une vieille vietnamienne dont le cul était rempli de la queue d'un homme à l'air italien. Il reconnut le maire avec un collier à pointe qui besognait une obèse. Sa professeur de philosophie léchait une vieille blonde du nom de Marie. L'esclave chauve à la peau d'ébène fouettait une jeune arabe qui n'avait gardé que son hijab pendant qu'elle suçait deux hommes au masque blanc. La proviseure du lycée branlait un vieil homme aux cheveux blanc. Elle avait plein de sperme sur les seins. Un homme du nom de Martial, leur hôte, ordonna aux jumelles d'aller nettoyer la poitrine de leur mère. Fodé n'en revenait pas. Il avait baisé les filles de sa proviseure et celle-ci léchait leur maman. La débauche et la perversité de cette Confrérie l'enthousiasma.

Quand les corps furent repus de sexe, d'alcool et de mets, les membres s'installèrent sur leur fauteuil tandis que les esclaves et les soumis sortirent de la chapelle. Le Grand Ordonnateur avait une annonce importante. On entendit sa voix résonner dans l'édifice religieux mais Fodé ne le voyait pas et comprit qu'il n'était pas présent.

" Mes chères Soeurs, Mes chers Frères, je suis heureux de votre plaisir et de votre perversité. Nos projets progressent. Bientôt, grâce aux actions coordonnées de nos membres nous allons ouvrir un nouveau lieu de débauche. Certains le savent mais d'autres l'ignorent, un immeuble va être construit dans l'hyper centre. Dans les sous-sol, seront installés de nombreux cachots pour nos esclaves avec un vaste donjon pour les souffrances. Donnant sur la rue, le rez-de-chaussée accueillera un centre de santé avec des médecins, des kinés, une pharmacie, un laboratoire d'analyse biologique, un psychologue. Ce ne seront que des membres de notre Confrérie qui pervertiront leurs patients. A l'étage, nous allons construire une mini résidence universitaire n'accueillant que des étudiantes en mode sororité. Une membre de notre ordre, en sera la gardienne. Je vois déjà dans vos yeux l'appétit pour la chair fraîche. Au deuxième et troisième étages il y aura des chambres avec des salles de bain. De l'extérieur, il semblera que ce sont des appartements. Mais en réalité, ces chambres serviront un projet plus vaste de prostitution qui nous rendra très riche.

En effet, un système de prostitution au format Uber va naître. Les clients réserveront une passe sur une application. Une soumise ou une esclave viendra dans la chambre réservée pour honorer le contrat."

Fodé sentait l'excitation parmi ses frères et ses sœurs. Il jubilait d'appartenir à cette Confrérie. De plus, au cours de cette soirée, un homme l'avait approché et lui avait promis qu'à la fin de ses études, il lui offrirait un travail bien rémunéré. Mais, il avait ajouté : "Tu as les capacités pour faire de bonnes études supérieures, je te les paye! Ne me déçois pas!..."

*** Jacques Mousatir ***

Les jours passaient et Jacques s'inquiéta de l'absence de Laura. Elle ne venait plus chez lui pour rendre hommage à sa femme. A Dynamics Health, il remarqua son air maussade et sa propension à l'éviter.

Il décida d'installer un mouchard sur son téléphone et sur son PC. En lisant les courriels envoyés depuis deux jours, la correspondance avec une journaliste et un juge l'interpella. Jacques comprit rapidement que Laura voulait porter plainte. La soumise voulait s'affranchir de son état!

Le vieil homme appela Xavier Brémont, le juge appartenant à la Confrérie. Il allait s'occuper de cette affaire.

Dans l'après-midi, il gara sa voiture près du lycée. Il resta un peu sur son siège à observer les grappes d'étudiantes agglutinées en se félicitant que la Confrérie avait recruté un nouveau rabatteur pour cette population. Dans son rétroviseur, il distingua sa proie marcher sur le trottoir. Il sortit de l'habitacle.

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