Emprise sur la Ville - Acte 05

BÊTA PUBLIQUE

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Ce n'est pas qu'elle n'aimait pas faire l'amour, être baisée par des hommes depuis qu'elle avait pris du poids, pour une raison mystérieuse, lui était insupportable. Un dérèglement hormonal lui avait dit son médecin. En un peu plus d'un an, son poids avait doublé et elle continuait de grossir. Cela avait commencé quelques semaines après sa rencontre avec Maîtresse Marie.

La secrétaire médicale, paroissienne assidue, était tombée sous le charme de cette blonde lors d'une soirée qu'elle organisait pour récupérer des dons pour son association caritative. Lorsque Marie vint vers elle, le petit bout de femme, assez mignonne, avait eu des papillons dans le ventre. Jamais, elle n'avait ressenti cela pour une femme, mais là elle le savait, entre elle et cette femme, il se passait quelque chose. Tout au long de la soirée, Marie ne s'éloignait jamais beaucoup d'Aurélie, les deux femmes discutaient et riaient. Aurélie appréciait quand Marie posait sa main sur son bras nu. Elle ne refusait pas le contact.

A la fin de la soirée, quand Aurélie allait rentrer chez elle, Marie s'approcha d'elle.

- Quelle belle soirée, n'est ce pas? demanda Marie à la jolie brune.

- Oh, oui. Je suis assez satisfaite, nous avons eu de généreux donateurs.

- Tant mieux... Je me présente, Marie Musatir...

- Aurélie Robin, je suis ravie de vous rencontrer. J'ai beaucoup entendu parlé de vous.

- Ah oui?

- Oui par madame Labrosse, la pharmacienne...

- Ah, Isabelle! Une très bonne amie, en effet. Vous la connaissez un peu?

- Pas plus que cela, mais elle m'a dit que... continuait Aurélie en se mettant à rougir.

- Qu'avez vous Aurélie?

- C'est-à-dire que, je ne sais pas comment vous le dire, mais...

- Vous vous sentez seule, et vous avez besoin de compagnie, n'est ce pas?

- Oui, c'est cela...

- Venez me voir demain après-midi, vous pourrez profiter de la piscine!

- Vraiment,? Cela me fait tellement plaisir...

- C'est un plaisir pour moi aussi, et venez avec votre mari.

- Oh vous savez, il est encore absent, son métier lui prend tout son temps...

- Tant pis! Venez quand même!

- Oui bien sûr.

Le lendemain après-midi, Aurélie se baignait en compagnie de Marie dans la piscine du couple. Marie s'approcha d'elle et posa ses mains sur les hanches menues de la petite brune qui se retourna en souriant. Elle accepta avec plaisir le baiser de la blonde et quelques minutes plus tard, les deux femmes s'embrassaient nues sur le bord de la piscine. Marie guidait Aurélie qui découvrait pour la première fois le plaisir de lécher et d'être léchée par une femme. Marie, en experte, fit rapidement jouir la secrétaire médicale. C'était une femme au physique commun mais non dénuée de charmes.

Quand elles eurent récupéré de leur jouissance, Marie demanda à Aurélie si elle acceptait de leur servir de quoi se désaltérer. Aurélie accepta avec plaisir et c'est ainsi que commença sa soumission.

Aurélie passait de plus en plus fréquemment voir Marie et naturellement, une fois où elle et Jacques furent seuls, elle ne se refusa pas à cet homme qui semblait si sympathique au premier abord malgré son âge avancé.

Un soir, Marie voyant Aurélie triste en raison de l'absence de son mari et qui n'avait pas le cœur à la bagatelle lui proposa une mixture pour lui redonner son tonus et son moral. Sans se méfier, Aurélie accepta le mélange, préparé par Isabelle Labrosse, ce mélange qui malignieusement allait entraîner la prise de poids de la petite brune.

Quelques semaines plus tard, Aurélie constata avec dépit que ses vêtements commençaient à la serrer. Elle se pesa et remarqua avec effarement qu'elle avait pris presque dix kilos depuis la dernière fois qu'elle était montée sur sa balance. Pas de doute, elle allait devoir refaire sa garde-robe et surtout penser à surveiller son alimentation.

Quand elle s'en ouvrit à Marie qu'elle voyait régulièrement, celle-ci la rassura, en lui disant qu'elle l'aimerait toujours même si elle devenait une grosse vache. Cette réflexion vexa Aurélie mais Marie sut comment consoler la secrétaire médicale. Elle lui ordonna de venir se mettre à quatre pattes entre ses cuisses et de la faire jouir avec sa langue. Pendant qu'elle était dans cette position, Aurélie sentit les mains de Jacques soulever sa jupe pour découvrir ses grosses fesses nues. Quand elle venait voir Marie, Aurélie venait toujours nue sous sa jupe. Elle n'osa pas bouger et quelques instant plus tard, le sexe de Jacques pénétrait son vagin accueillant avant de visiter son anus étroit. Aurélie découvrait le plaisir d'être aimée par deux personnes en même temps et cela décupla sa jouissance.

Malgré sa prise de poids, elle ne pouvait plus se passer de Marie et Jacques qui, même s'ils se moquaient de son apparence, lui donnaient autant de plaisir. Plus les semaines passaient et plus elle venait s'offrir chez ce couple dont la perversité lui permettait de jouir sans retenue, malgré son apparence qui se détériorait. Jacques la prenait sans aucune retenue et Marie lui faisait faire les actes les plus dégradants comme il convenait à une truie comme elle. Mais Aurélie en redemandait. Elle en voulait toujours plus, cela compensait l'éloignement progressif de son mari qui ne la touchait plus.

*** Jacques Mousatir ***

Maxime et Jacques Mousatir travaillaient bien ensemble. Bien que les collaborateurs de Laura Mucadam s'interrogeaient sur la présence du vieil homme à Dynamic Health, ils aimaient bien ce vieux bonhomme très calé en technologie. Et puis, la patronne lui avait laissé carte blanche. A partir du bracelet en développement qui devait capter des paramètres physiologiques, Jacques avait dans un premier temps miniaturisé la technologie pour qu'elle tienne dans un petit rectangle d'un centimètres carré. La prouesse lui valut l'admiration de Carlos et de Maxime mais surtout de la jeune Justine qui s'ébahissait en présence de Monsieur Mousatir. Jacques réalisa l'impression qu'il faisait sur la petite geek. Il en joua un peu, mais la jeune femme était vraiment moche avec ses boutons d'acnée, ses lunettes cerclées et ses cheveux gras.

Plus tard, Jacques transféra une technologie d'induction cérébrale que la Confrérie avait obtenue dans les laboratoires du CNRS à Paris dans son petit rectangle. Il lui fallut collaborer plus étroitement avec Justine pour des extrapolations que seule l'intelligence artificielle pouvait calculer. Malgré sa laideur, Jacques joua avec la geek qui était en couple apprit-il. Sous son charme de dominateur, Justine cherchait souvent à être près de lui.

***

Ce jour-là, Jacques Mousatir convoqua sa dernière prise chez lui. La petite musulmane arriva dans sa vieille polo. Avec une mini-jupe que Maëva lui avait offert et un maillot trop serré qui moulait ses seins dont l'absence de soutien-gorge exposait les deux tétons. Jacques la félicita de sa ponctualité et de sa tenue. Ils descendirent au sous-sol et Jacques s'amusa de l'impression que fit le lieu sur la jeune femme.

- La dernière fois, tu as joui comme une salope. Aujourd'hui, tu vas souffrir et servir.

- Oui Maître, hésita Leila qui se déshabillait, toujours en gardant son hijab.

Attachée à une croix de Saint André, Jacques s'avança et saisit un téton qu'il tordit doucement. La petite rebeu gémit de douleur. Il pinça plus fort en maintenant la pression. Leila hurla les larmes aux yeux.

Jacques changea de téton pour le lécher doucement. Il l'embrassait tendrement et le suça délicatement. Le bout de son pouce effleura l'aréole gonflée et massa le téton. Le vieil homme pénétra deux doigts dans la chatte.

- Tu mouilles sale petite pute. Tu aimes ça?

- Euh... oui Maître Jacques, répondit peureusement la fille.

Le bourreau ressaisit le premier téton avec dureté. Il le pinça en augmentant lentement la pression. Malgré les hurlements de sa soumise, Jacques amplifiait la force. Puis, il passa à l'autre téton qui reçut toute la douceur qu'une petite vierge peut espérer. Le manège entre la torture et le plaisir continua un bon moment.

La porte du donjon s'ouvrit. Marie Mousatir était accompagnée de Jean-Charles De Charette. L'épouse de Jacques regarda avec dégoût Leila. Elle la gifla et arracha d'un coup le hijab qui se déchira. Marie sortit laissant son époux avec les deux soumis. Le Maire se déshabilla et Jacques ouvrit la cage de chasteté.

- Tu as joui, petite lopette?

- Non Maître Jacques.

Dès que le maire vit la jeune beurette nue sur la croix de Saint André, son sexe se leva à la verticale.

- Détache cette soumise sans toucher la moindre partie de sa peau.

Jean-Charles s'appliqua. Délivrée, Leila se mit à genoux entre les deux érections. Sans la moindre résistance, elle saisit les verges et les lécha à tour de rôle. Jacques pinçait les tétons de sa lopette pour ne pas qu'il éjacule trop vite. Son abstinence devait le rendre trop sensible.

Leila suça les deux queues avec une application touchante sachant qu'elle préférait les minous. Jacques en fut touché et se dit qu'elle ne devait pas être si exclusive que ça. Sa soumission acceptée lui indiquait également qu'elle aimait cela.

Jacques tendit une longue corde de chanvre qui traversa toute la grandeur du donjon à une hauteur d'un mètre environ. Des doubles nœuds s'espaçaient tous les trente centimètres. A califourchon, les grandes lèvres de Leila se fendaient sur la corde.

- A genou lopette. Va au pied de la soumise.

Jean-Charles se colla aux mollets de Leila. Une cordelette serra la bourse de la lopette et fut reliée au cou de la soumise. Jacques observa les deux soumis avancer. Le premier noeud entra dans le sexe de la beurette qui se crispa. Le chanvre de la corde commençait à brûler ses chairs et le nœud martyrisait l'intérieur de ses petites lèvres. Pour diminuer sa douleur, Leila avança sur les pointes de pied. C'est alors que la cordelette serra fortement les testicules de Jean-Charles qui cria. Jacques s'amusait beaucoup. Il en profitait pour fouetter ses deux proies qui cheminaient doucement au rythme de chaque nœud. Le sexe de la musulmane rougissait de plus en plus et pourtant, le clitoris sortaint de son capuchon.

- Tu es vraiment une salope. Tu es excitée par une corde! ricana Jacques en fouettant le dos du maire.

La traversée mit vingt bonnes minutes. Jean-Charles s'allongea sur un banc un peu large et Leila, à force de fouet, d'insultes et de menaces, s'empala finalement sur la bite du maire. La jeune maghrébine hurla pendant sa défloraison mais quand Jacques l'encula sans ménagement, elle faillit s'évanouir. La cordelette serra toujours la base des testicules du soumis l'empêchant de jouir. Jacques sodomisait sa soumise avec violence. Il sentait la dureté de la bite de Jean-Charles. Bientôt, les gémissements de la beurette trahirent son excitation.

- Tu es bien une pute. Tu vas jouir ma petite. Je sais que ta petite secrétaire d'amante ne te fait plus d'effet. Tu veux du violent, du hard, de la douleur. Tu es à moi salope!

- Ouiiiiiiii Maître, jouit l'arabe entendant cette odieuse vérité.

La vérité peut être amère mais l'amertume peut aider à supporter ses vices. Jacques prit sa queue dans la main et se posta devant les visages des deux soumis.

- Prenez ça, salopes et n'en perdez pas une goutte, dit le vieil homme en éjaculant sur Leila et Jean-Charles qui se léchèrent pour tout récupérer.

*** Fodé ***

La photo de la chatte nue de sa prof de philo excita Fodé pendant des jours. Il aimerait bien la coincer dans un coin et lui foutre sa queue dans la bouche. Elle le cherchait. La salope s'habillait comme une pute! Le jeune black se demanda si elle portait des sous-vêtements à l'église le dimanche. Il la voyait à la messe avec son époux au premier rang. Lui, en plus d'aider le prêtre à l'autel, était chargé de la sono. Le Père Stéphane aimait la modernité, comme il disait. D'un orgue désuet, une platine DJ, il changea. Fodé fut le metteur en musique des messes.

Le lycéen chercha de plus en plus à croiser sa prof dans les couloirs du lycée. Cette dernière lui souriait de plus en plus. Elle lui adressait la parole même! En cours, elle écartait de plus en plus ses cuisses quand elle était assise devant lui. A chaque rencontre, le black se demandait si elle ne le draguait pas.

- Fodé, 5/20. Vous resterez après le cours.

Ce jour-là, il se retrouva seul dans la classe close.

- Vous avez des résultats catastrophiques. Je vous propose de vous aider à remonter vos notes.

- Euh... ouais. Ok c'est sympa, sourit le garçon de toutes ses dents.

Il vit la gêne de la femme et adora cette hésitation. Il lui aurait bien sauté dessus. Sa queue gonflait dans son pantalon.

- Je vous donne rendez-vous à la salle paroissiale, mercredi après-midi, après le catéchisme. Nous serons tranquilles.

***

Mercredi, vers 17h, le lycéen entra par la porte arrière de la paroisse. Il connaissait bien les lieux pour y venir tous les dimanches. Fodé faisait partie d'un projet de réinsertion. La paroisse l'employait comme DJ le dimanche et également, il venait réparer de petites choses de temps en temps.

Il chercha sa professeure de philosophie dans la salle de réunion mais personne n'y était. De toute façon, à cette heure, il n'y avait personne dans la paroisse et dans l'église. Père Stéphane s'occupait de la paroisse de la ville voisine ce jour-là. Le jeune homme déambula. Il s'interrogeait sur la proposition de sa prof. S'était-elle dégonflée? Pourquoi se voir ici pour du rattrapage scolaire? Son petit cerveau de pervers fantasmait sur tout autre chose.

Lorsqu'il entra dans l'église par la petite porte donnant dans le transept nord, il entendit de petits bruits résonner dans l'espace vide de l'édifice. Il aperçut Madame De Charette dans le chœur nettoyant le repose cierge.

- Ah! Te voilà, lança-t-elle en regardant Fodé avancer vers elle.

Fin observateur, le black remarqua qu'elle rougissait. Toujours habillée comme une pute, le lycéen détailla la tenue de la trentenaire : jupe légère et évasée trop courte pour cacher la moitié des cuisses, un maillot hyper moulant. Il se posta devant elle.

- Je,... euh... on m'a ordonné de...

Fodé ne comprenait pas les atermoiements de sa prof. C'est elle qui l'a invité à venir ici! Voudrait-elle me baiser mais elle n'ose pas?

Fodé. On m'a ordonné de me livrer à toi. déclara Camille pleine de détermination.

- Quoi?

- Tu as parfaitement compris, ajouta la blonde toute gênée, les mains derrière le dos.

- Non, je ne comprends pas? Vous me draguez?

- Je ne te drague pas, Fodé. Des gens m'ont donné l'ordre de m'offrir à toi, murmura la femme écartant les bras de son corps. Sexuellement, précisa-t-elle.

Dos à l'autel, face au vaisseau central, dans ce vaste édifice religieux vide, Fodé comprit que sa prof de philo s'offrait sexuellement à lui. Il ne s'interrogea pas plus longtemps et son instinct de prédateur le poussa à avancer. Il prit directement un sein dans sa main, pour en apprécier le volume et la fermeté. Bien sûr, cette salope ne portait pas de soutien-gorge! Il le pressa et observa la réaction de sa prof.

- Vous allez faire tout ce que je veux? demanda le black en malaxant le sein.

- Oui Fodé, souffla Camille le rouge aux joues et les larmes dans les yeux.

Le garçon posa ses lèvres charnues dans le cou de la femme et l'embrassa pendant que ses mains retroussaient le maillot pour s'emparer de la poitrine. Il suça les tétons un bon moment. Il n'en revenait pas mais ses pulsions de mâle alpha ne s'en soucièrent pas vraiment.

- Reculez.

La blonde, le maillot retroussé et les seins dénudés, recula pour venir toucher le bord de l'autel. Elle déglutissait et sa respiration s'accélérait.

- Tout ce que je veux? insista Fodé qui sentait sa queue dure.

- Oui Fodé, tout.

- Mais qui vous ordonne cela?

-Tu le sauras.

Le black contempla sa prof et ses seins tout ronds. Le ventre n'était pas arrondi et la taille encore un peu marquée. Il n'avait jamais encore baisé une femme de trentre ans. Hormis les étudiantes de son lycée et les filles de sa cité, Fodé n'avait pas encore trempé son sexe dans du plus mature. C'est bon pour mon tableau de chasse, se dit-il.

- Désape-toi.

Légère hésitation et respiration bruyante, Camille intégra l'information. Elle ôta complètement son maillot et baissa sa jupe. Fodé contempla une pure beauté nue au milieu de l'église. Les longs cheveux blonds cascadaient sur les épaules.

- A genoux, commanda-t-il en sortant sa queue de son pantalon.

En position sur le sol froid de l'église, Camille prit le beau sexe de son élève dans la bouche. Elle le suça consciencieusement, n'omettant aucune zone. Aux anges, Fodé observait le visage de la blonde sur sa bite. Les seins lourds se balançaient un peu. Il apercevait les fesses nues, objets de ses fantasmes nocturnes.

- Assieds-toi sur l'autel et écarte.

Camille De Charette obéit. Le tissu blanc étalé sur le marbre glacé, atténuait la température. L'humidité de la chatte de la prof excita le black. Il prit possession de la femme dans une poussée puissante et déterminée.

- Prends ça salope. Tu t'habilles comme une pute depuis des mois à nous exciter. Maintenant tu vas payer.

La prof perdit l'équilibre et se retrouva allongée sur l'autel comme un sacrifice blasphématoire. Les jambes blanches ouvertes à la fureur noire, les bras en croix en totale soumission, Camille se donnait entièrement. Un orgasme s'ébruita dans l'église vide.

- Tourne-toi sale pute.

La trentenaire se positionna sur le ventre, les seins écrasés sur l'autel glacé, le visage vers l'immense crucifix trônant au fond du chœur. Fodé sépara les globes fessiers et posa sa queue sur l'anneau qui ne résista pas à la pression. Toute la longueur du lycéen pénétra d'un coup. Le cri de Camille résonna dans le vaste espace de l'église. Il n'en revenait pas. Sa bite entrait comme dans du beurre dans le cul de la blonde, malgré son cri. L'anus le serrait juste comme il aimait, ni trop serré, ni trop distendu. Le black fourragea longuement sa prof en se tenant aux larges hanches à la peau blanche.

- Prends-ça! cria-t-il en éjaculant finalement au fond du ventre.

Essoufflé, il se pencha sur le corps de la blonde qui jouissait encore. Des applaudissements résonnèrent dans l'édifice. Fodé se redressa d'un coup. Son cœur défaillit quand il vit deux personnes remonter le vaisseau central vers l'autel.

- Bravo mon petit, lança une voix féminine. Tu as su rapidement la dominer.

- Joli spectacle, ajouta l'homme noire qui suivait la brune.

Fodé reconnut l'inspectrice de police qui l'avait contrôlé.

*** Camille De Charette ***

Maîtresse Marie avait fouetté Camille De Charette jusqu'à la rupture. Le sang coulait dans le dos de la femme du maire. Les deux mains suspendues vers le plafond du donjon, le corps offert aux perversité de sa Maîtresse, la soumise bouillait de douleur et ses défenses psychologiques s'étaient rompues.

- Je veux que tu séduises ton élève Fodé. Tu vois de qui je parle?

- Oui, maîtresse.

- Pendant quelques jours, tu vas le chauffer. Puis, tu l'inviteras à l'église où tu te donneras à lui.

- Oui Maîtresse, souffla Camille épuisée par le traitement et sans vraiment réaliser l'ordre qu'elle venait de recevoir.

Marie Mousatir doigta sa victime et la fit rapidement jouir. La femme du Maire hurla de plaisir.

***

A la maison, depuis plusieurs jours, Camille et Jean-Charles De Charette ne dormaient plus ensemble. Chacun sa chambre avait décidé l'homme. Camille trouva étrange de la part de son époux si câlin et tellement en demande de sexe. Mais finalement, ça l'arrangeait. Cela facilitait son obéissance aux ordres de sa Maîtresse. Ne plus toucher son mari. Toutefois, elle s'interrogea car son époux s'enfermait dans la salle de bain et ne venait plus inopinément quand elle se douchait.

Au lycée, une sorte de tendresse naquit entre la proviseure et la professeure de philosophie. Les deux soumises, les deux sœurs d'obéissance devaient s'embrasser chaque jour. Elles ne pouvaient pas échanger autour de leur condition mais une intimité naquit de cette proximité. Parfois, alors qu'elles s'étreignaient dans le bureau de la proviseure, l'œuf dans sa chatte vibrait. Comme cela devenait de plus en plus rare, elle s'étonnait toujours que cela arrive juste à ce moment-là!