Emprise - Histoire de Leila Ch. 02

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Babacar, jusque-là plutôt calme saisit la gorge de la pute et l'étrangla en la fixant méchamment dans les yeux.

- Tu vas branler Kalb qui a été gentil avec toi sinon je te tue! grogna-t-il.

Accompagnée par Mme Diop qui n'avait pas lâché sa main, la beurette commença à branler le pénis canin comme elle le faisait pour un homme. Le membre était très long. Vers la base, elle distingua une sorte de boule, un bulbe pas très gonflé.

L'étranglement se desserra un peu mais maintenait sa capacité de persuasion. Mme Diop lâcha la main de Leila qui continuait à masturber le chien. De chaque côté de la beurette, le couple l'encourageait à soulager Kalb qui se tenait bien droit, gémissant la langue pendante avec dans l'œil, une sorte de reconnaissance.

Babacar serra à nouveau la gorge et le souffle se coupa.

- Tu vas le sucer maintenant petite pute sinon je t'étoufferai et je violerai ton cadavre après, balança l'homme dans une démence effrayante.

- Noonnnn, tenta de crier Leila en manque d'air.

- Mais si mon coeur, insista Mme Diop qui força la tête de l'algérienne à se baisser vers le grasset avant de passer sous les pattes.

Leila essayait de résister mais que faire quand le souffle manque et que deux fous vous tiennent. Sa bouche approchait difficilement vers le pénis toujours en érection que la vieille femme orientait.

- Tire ta langue de pute, guela Babacar qui contrôlait toujours le cou de la beurette.

Dans cet abîme de cruauté, les tortionnaires se complaisaient dans la souffrance de Leila, ignorant ses supplications et se réjouissant de sa détresse. Leurs regards dépourvus de compassion se teintaient d'une lueur sadique, tandis qu'ils trouvaient un malin plaisir dans chaque expression de douleur. Quand le bout de la langue frôla le sexe du chien, l'algérienne émit un long râle de dégout et de colère qui sortit directement de sa poitrine. Mais la puissance de Babacar eut raison de sa résistance et le pénis canin entra profondément dans la bouche de la beurette.

- Suce salope. Suce, hurlait Mme Diop complètement délirante à côté de sa proie.

La vieille femme tenait d'une main le sexe de Kalb et de l'autre elle se masturber devant le spectacle zoophile. Son abject désir envahissait toute sa raison, et sa raison la quittait. Alors, Leila qui manquait d'air capitula et commença à sucer le chien. Comme une danse trop souvent répétée, elle s'appliqua à entourer la chair de sa bouche et sa langue à lécher la tige canine. Le Braque de Weimar gémissait et sa queue se balançait de plus en plus rapidement de droite à gauche.

Comme hypnotisés par la scène qu'ils avaient orchestrée, le vieux couple s'extasia de la perversité qui se déroulait devant eux. C'est dans cette suspension, ce temps court où leur vigilance faillie que Leila se redressa d'un coup. Elle poussa violemment Babacar hors du lit et se leva comme une furie. C'est complètement dénudée qu'elle sortit de la chambre en ayant eu le réflexe de saisir ses vêtements. La jeune femme déboula dans les couloirs.

Babacar se leva avec peine du sol en éclatant de rire et regarda son épouse remplacer la pute. Elle enfonçait déjà le pénis de son chien au fond de sa bouche pour le faire rebander.

- On ne va pas le laisser comme ça! dit-elle entre deux succions à son mari, les yeux pleins de folies.

- Tu as raison mon amour, confirma Babacar qui remontait sur le lit.

Mme Diop s'allongea et écarta ses cuisses sans pudeur pour accueillir son chien. Kalb avait l'habitude. Envahi par des secousses frénétiques, le pénis canin s'enfonça dans la chatte de la black qui écarquilla les yeux quand le bulbe du sexe passa à l'intérieur de son vagin. La boule gonflée écarta ses chairs. Elle aimait cette sensation et goûtait toujours avec autant de délices ce mets si rare.

***

Leila, la petite Algérienne en fuite, se précipita dans les rues labyrinthiques de Porto Real, cherchant désespérément un refuge. Elle se faufilait entre les passants, son cœur battant la chamade dans sa poitrine. Son visage était masqué par la peur, ses yeux errant nerveusement à la recherche d'une échappatoire. Elle se sentait traquée, surveillée, comme une proie dans un jeu de chasse cruel.

Dans sa quête désespérée pour échapper à ses poursuivants, Leila repéra une petite boutique abandonnée sur le côté de la rue. Elle s'y glissa rapidement, espérant y trouver de quoi se changer et se fondre dans la foule. Les vêtements délaissés sur les cintres semblaient avoir été oubliés par le temps, mais pour Leila, ils représentaient une chance de dissimulation. Elle se dévêtit précipitamment, se revêtant des nouveaux habits qui camoufleraient son identité.

Pendant ce temps, les hommes de Dom Pietro, sous les ordres de Jacques Mousatir, sillonnaient la ville à la recherche de l'algérienne. Leur détermination était palpable, leurs gestes précis et calculés. Ils questionnaient les passants, fouillaient les lieux suspects, scrutant chaque recoin pour retrouver leur précieuse captive.

L'inspectrice Joséphine Charline, de son côté, avait une approche plus méthodique. Elle analysait les indices, recoupait les informations, déployant toutes ses compétences pour retrouver l'esclave de la Confrérie. Son esprit aiguisé traçait un profil de la fugitive, cherchant à comprendre ses possibles cachettes. Chaque piste la rapprochait un peu plus de sa proie.

Les destins de Leila, des hommes de Don Pietro, de Jacques Mousatir et de l'inspectrice Joséphine Charline s'entrelaçaient dans une danse dangereuse. Chacun avait son propre agenda, mais tous partageaient la même obsession : attraper la beurette. Dans les rues sombres de Porto Real, la chasse était lancée, une course contre la montre où la vie de Leila était en jeu.

Jacques Mousatir se dirigea d'un pas lourd vers l'HLM où vivaient les parents de Leila, Mohammed et Nora. L'immeuble se dressait comme un géant de béton au milieu du quartier populaire. Ses murs décrépits témoignaient des années passées, tandis que les escaliers étroits et sombres semblaient porter le poids des soucis quotidiens des résidents.

En atteignant le palier du troisième étage, Jacques frappa à la porte de l'appartement. Une forte odeur d'huile attaqua ses narines. Il toqua doucement et fut accueilli par Mohammed, un homme d'âge mûr, dont le visage était marqué par les épreuves de la vie. Nora, sa femme, beaucoup plus jeune, se tenait à ses côtés, les yeux rougis par les larmes.

-- Qui êtes-vous? Que voulez-vous? demanda l'arabe d'un air agressif.

- Excusez-moi pour cette intrusion, monsieur. Je m'appelle Jacques Mousatir. Je suis à la recherche de Leila, votre fille. Elle a disparu et j'espérais obtenir des informations qui pourraient nous aider à la retrouver.

- Leila? Qu'est-ce qui lui est arrivé? Nous ne savons rien, nous l'attendons.

- M'sieur Mousatir, aidez-nous, s'i'ous-plaît, lança craintivement Nora qui était tapie derrière son mari. Nous sommes peur. Leila est fille unique, nous savons pas où est elle.

Jacques regarda la femme sous son hijab. Les mêmes yeux de biche que sa fille. Le vieux pervers se demanda si le corps était le même mais l'abaya masquait sa silhouette.

- Je comprends votre inquiétude. Je suis ici pour vous poser quelques questions. Avez-vous remarqué quelque chose d'inhabituel ces derniers jours? Des indices qui pourraient nous aider à la retrouver?

- Non, Monsieur Mousatir, répondit Mohammed je ne peux pas vous aider. Je ne la comprends pas vraiment, elle était si différente de nous. Elle renie sa culture. Nora et moi avons un grand écart d'âge, vous savez. Mais nous l'aimons quand même.

- Oui, c'est vrai. Leila est âme libre, toujours aventures. Mais elle nous a jamais parlé de problèmes, ni personnes qui pourraient vouloir du mal.

Sans que le couple d'algériens ne pressente quoique ce soit, Jacques bondit sur les deux, les mains en avant en tenant des colliers de silicone. Il plaqua les appareillages miniatures sur les gorges des deux individus et lança rapidement :

- Ne bougez pas. Je vais mettre ces colliers autour de votre cou pour votre bien. Vous vous taisez. Vous vous laissez faire.

Jacques prit son temps pour accrocher les anneaux de silicones avec le nouveau dispositif de fermeture qui ne permettait qu'aux membres de la Confrérie de les enlever. Avec le concours des employés de Health Dynamic, start-up aux mains de la Confrérie depuis que la patronne fut écartée, Jacques avait perfectionné les capacités de contrôle de l'appareil. Une fois Mohammed et Nora équipés du dispositif de suggestion, Jacques leur demanda à nouveau si ils savaient où était leur fille. Le couple ne le savait vraiment pas.

- Si votre fille prend contact avec vous, vous m'appellerez sur ce numéro, commanda-t-il en déposant sa carte.

- Oui Maitre, dit le couple en chœur.

Dans leurs yeux, la peur de constater leurs actes leur échapper. Ils obéissaient au Maître sans le vouloir intérieurement. Avant de partir, l'homme aux cheveux blancs souleva l'abaya de Nora. La mère de Leila ne portait qu'une culotte noire. L'européen contempla le corps presque nu de la femme, ses seins encore bien dessinés, un ventre presque plat et une taille à peine esquissée.

- Je me la ferai bien celle-là! se dit-il, mais le temps presse.

Il posa sa main sur le sexe de Nora à travers le tissu noir.

- Je te mangerai la chatte la prochaine fois que nous nous verrons, déclara-t-il en se nourrissant de la stupeur de l'algérienne et de la colère noire du mari qui ne put dire un mot.

- Dis-moi que tu es d'accord!

- Oui... Maitre... Vous boufferez ma chatte.

Jacques quitta l'appartement, laissant Mohammed et Nora désemparés. Les bruits de la vie de quartier résonnaient dans ses oreilles alors qu'il continuait son enquête, déterminé à retrouver sa soumise. Nora sentit l'humidité envahir son intimité.

***

Leila, en quête éperdue de refuge, chercha désespérément un endroit où se cacher, un endroit où elle pourrait échapper à la traque. Ses pas la conduisirent finalement à travers les sentiers sinueux d'une forêt dense, là où les arbres majestueux semblaient veiller sur ses secrets. Dans un coin reculé, elle découvrit une petite cabane en bois, à l'aspect humble mais accueillant. C'était ici, autrefois, qu'elle avait rencontré son amante dans des étreintes nouvelles et passionnées et des moments de douceur. Un mélange d'excitation et de mélancolie s'empara de son être.

Leila s'approcha de la cabane, ses doigts effleurant le bois usé par le temps. Elle poussa la porte avec précaution, révélant un intérieur simple mais empreint de souvenirs chaleureux. L'air était imprégné de l'odeur boisée du lieu, et les rayons de soleil qui se faufilaient à travers les fissures créaient une atmosphère intimiste.

Elle s'installa sur le vieux fauteuil en cuir élimé, laissant son regard errer sur les traces de leur amour passé. Les souvenirs de Maëva affluaient, mêlant les émotions dans son esprit tourmenté. Les murmures de leurs échanges passionnés semblaient encore flotter dans l'air, rappelant à Leila les moments où elle découvrit son homosexualité.

Leila savait qu'elle ne pouvait s'éterniser ici, que son refuge ne pouvait être que temporaire. Avec un dernier regard chargé de nostalgie, elle se leva, prête à reprendre sa quête pour échapper à ses poursuivants.

Maëva, la secrétaire rousse aux yeux pétillants, avait réussi à retrouver la trace de Leila, son ex-petite amie, dans cette ville froide et impitoyable. Elle avait repéré les indices disséminés ici et là, suivant les souvenirs qui les reliaient autrefois. Avec un mélange de nervosité et d'excitation, elle poussa la porte vermoulue de la cabane et se présenta devant Leila, qui se tenait là, méfiante et incertaine.

- Leila, je t'en prie, viens avec moi. Je sais que tout cela est difficile à comprendre, mais je suis là pour t'aider. Jacques Mousatir ne saura rien de ta présence chez moi. Je te protégerai.

Leila hésita, ses pensées s'entrechoquant dans son esprit tourmenté. Elle se souvenait des moments de bonheur partagés avec Maëva, mais la douleur et la trahison étaient également ancrées en elle. Elle scrutait le visage de Maëva, cherchant des signes de sincérité. La chevelure flamboyante impressionnant toujours la maghrébine ainsi que les yeux verts. La secrétaire portait un curieux collier en silicone noir autour du cou et sa robe s'ouvrait sur un décolleté plongeant qui soulignait la poirtine avantageuse.

- Comment puis-je te faire confiance, Maëva?

- Je comprends tes doutes, Leila. Je suis ici maintenant, prête à te soutenir et à te protéger. Je veux rattraper le passé, te montrer que je suis différente. Laisse-moi te prouver que tu peux compter sur moi... mon amour.

Un instant de silence s'installa, empreint d'une tension palpable. Puis, la rousse prit doucement le visage de Leila entre ses mains et l'embrassa tendrement, comme autrefois. C'était un baiser chargé d'émotions contradictoires : la passion, la douceur, mais aussi la promesse d'un renouveau.

Leila sentit son cœur s'emballer, laissant place à une lueur d'espoir au creux de sa poitrine tourmentée. Peut-être que, malgré tout, elle pouvait accorder sa confiance à Maëva, saisir cette opportunité de retrouver un peu de réconfort et de sécurité. Avait-elle vraiment le choix?

Guidée par cet élan, Leila décida de suivre Maëva, la main dans la sienne, vers une destination incertaine mais porteuse d'une possible échappatoire à son cauchemar. Elles filèrent vers la lisière de la forêt où la voiture de Maëva attendait. Les deux jeunes femmes entrèrent dans l'appartement de la secrétaire après une heure de route. Leila retrouva les odeurs de son passé lesbien. La douceur ouatée de la décoration avait toujours charmée la beurette qui ne connaissait que le logement de ses parents.

- Prends une douche si tu veux. Tu ne sens pas la rose, proposa Maëva. Je n'irai pas te rejoindre.

Leila fixa son ex copine un instant et pénétra dans la salle de bain. L'eau chaude coulait sur son corps nu lorsque la rousse flamboyante pénétra la pièce. Leila cacha son sexe.

- Ne t'en fais pas. Je prends juste tes vêtements pour les laver.

Entre ses seins ronds, l'eau ruisselait comme une caresse rassurante. Ses longs cheveux noirs dégoulinant sur ses épaules et ses seins. Leila se laissait aller et les images affluèrent. La chatte rose de la vieille black plaquée sur son visage. La sensation du pénis canin dans sa main. La dureté de ce dernier dans sa bouche quand le vieil homme la contraignait. Une forme de nausée monta en elle mais les images se déversèrent encore plus puissantes, plus incontrôlables. Qu'auraient ils demandé ensuite? L'algérienne s'imaginait étendue de côté sur le lit de la chambre de l'Uber Sex, les cuisses complètement ouvertes. Le beau chien la chevauchant, pénétrait sa chatte et envahissait son vagin jusqu'au fond.

- Tu as terminé ma puce, lança Maëva derrière la porte. Je te prépare à manger dans la cuisine.

Leila coupa l'eau et se sécha. Pas de vêtements. Elle passa doucement sa tête par la porte à la recherche d'une robe ou d'un jogging. Rien. Enveloppée dans un drap de bain, elle traversa l'appartement vers la bonne odeur de pain grillé venant de la cuisine.

Deux pointes dures pointèrent dans le bas de son dos et, fulgurant, un éclair l'assomma. Debout devant le corps étendu de son esclave, Jacques Mousatir tenait un taser dans sa main.

- Mets lui le collier, ordonna Jacques.

Maëva passa l'anneau de silicone autour du cou de son ex-copine.

- Viens-là, dit le vieil homme qui s'installait dans le canapé en attendant que la maghrébine se réveille. Occupe-toi de ma queue.

À genoux devant le vieil homme, la rousse pulpeuse dégrafa les boutons de sa robe et dégagea ses deux obus. Puis, elle délivra le sexe de Jacques qui admirait le corps nu étendu sur le parquet. Ses deux seins entre ses mains, la secrétaire emprisonna la verge presque raide et la malaxa avec ses obus. De temps en temps, le gland s'échappait de cette prison mammaire et la langue de Maëva le léchait.

- Ta salope de copine va déguster. Je lui réserve un châtiment exemplaire.

Malgré son assujettissement à cause du collier de silicone, Maëva frémit de terreur en continuant de branler le sexe du tortionnaire avec ses deux énormes seins.

(à suivre)

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2 Commentaires
Alexandre1965Alexandre1965il y a 10 mois

Ce couple de vieux Africains, apparemment bienveillants, amène encore une perversité accrue dans le récit.

AurailiensAurailiensil y a 10 mois

Excellent... un vrai sentiment de proie dans la toile

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