Emilie decouvre le Maroc - Part 04

Nous suivîmes les deux hommes dans le petit bureau/chambre qui était attenant. Le thé nous fit du bien, Amir s'était assis sur le sol, et Emilie à côté de lui. Il lui caressait les seins gentiment, s'égarant par moment jusque dans sa fente.

- Mets-toi nu toi aussi Marc--dit Ahmed

Je ne résistais pas, Emilie semblait rayonnante et même les machines bizarres qui nous entouraient ne paraissaient pas la rendre nerveuse. J'enlevais mon short, et mon caleçon de toile, et mon polo Lacoste noir. Emilie se moquait gentiment de mon look « 16eme » mais je m'en foutais.

J'étais nu, et les deux hommes et ma femme me regardaient avec un sourire. Ma bite était un peu dressée, et je la couvrais de mes mains, comme pour m'excuser de bander.

- Emilie, suces un peu ton ami il faut qu'il bande dur

Emilie prit mon pénis entre ses lèvres et lécha mon gland avidement, en branlant ma hampe habilement. Elle ne m'avait jamais sucé comme ça, en quelques jours elle suçait comme une vraie pute.

Je bandais presque immédiatement, un joli douze centimètres. J'étais fier de montrer ma queue à ces deux hommes, ce sentiment me révulsait mais la vérité était que j'aimais que ces hommes voient ma queue en érection.

Puis ils nous ordonnèrent de les suivre dans l'étable, c'était un centre de traite et les trayeuses à chèvres étaient installés. Les chèvres entraient du côté attenant au corral, huit par huit, et la traite se faisait semi-automatique ment, ensuite les chèvres passaient dans l'autre enclos.

Amir prépara une seule chèvre sur le quai de traites, et il la connecta au système qu'il activa.

Ahmed m'attacha les mains dans le dos.

- Mets-toi derrière cette chèvre et enfiles la dans la chatte.

- Quoi!!?

- Fais pas l'idiot, tu as envie de baiser non?

- Oui mais ma femme! Pas cette chèvre!

- T inquiètes pas pour elle, elle aura ce qu'il faut de son côté. Allez plantes ta bite dans son trou, je vais lubrifier avec cette graisse à traire.

Il étala de la graisse autour du trou poilu de la chatte de l'animal. Pendant ce temps, Emilie prit place à quatre pattes, sur le deuxième quai de traite. Ahmed l'attacha par le cou symboliquement à un poteau. Il connecta le système de trayeuse sur ses jolis seins qui pendaient, comme s'ils attendaient d'être traits.

- Ohhhh, cela pince fort!!!

- Oui les chèvres ont des petites mamelles, mais tu as des tétons assez longs et tendus, cela devrait le faire.

- Ohhhh.

La machine démarra lentement, pinçant et aspirant les mamelles d'Emilie.

- Ohhhh! oh non! cela tire sur les seins!

- Attends un peu, cela va venir, tes tétons vont s'allonger et s'ouvrir lentement.

- Ohhhh....

La machine pompait les seins d'Emilie mais ils ne produisaient pas de lait. Les pincements, et l'aspiration créaient une sensation nouvelle pour la petite blonde.

Le coup de fouet tomba sur mes reins, et je sentis une brulure me zébrer le dos.

- Ahhhhh

- Enfiles cette chèvre Marc! On fait tous ça ici, tu es en vacances pour découvrir le Maroc!

J'enfilai la chèvre devant moi, plus par peur du fouet que du désir d'en finir. La chèvre essaya de bouger mais prisonnière dans sa cage de traite, elle ne pouvait aller nulle part. Mon pénis entra dans la chatte serrée, je sentis comme des bosses à intérieur. Je me mis à limer le pauvre animal comme je pus, Ahmed m'assenant des coups de fouet sur les fesses, et même sur mes testicules.

J'étais écœuré mais j'éprouvais du plaisir à baiser ce vagin humide.

Amir prit place derrière Emilie, il baissa son pantalon, et sortit cette bite que j'avais tant avalé. Il prit de la graisse à traire et enduisit le trou du cul de la blonde. Je regardais avec effarement, Emilie comprit ce qu'il se passait.

- Ohhh? mon trou du cul va y passer?? Amir?

- Oui petite pute, tu vas me donner du plaisir comme ton mari en donne à cette chèvre.

Il pénétra sans attendre la rondelle serrée et qui avait servi la veille. Mais Amir ce n'était pas les deux vieux, sa bite était épaisse et dure comme du bois.

- Ahhhhh! oh non.... C'est.... trop...... gros.... Ahhhhh

- Mais non petite pute, ta rondelle est déjà dilatée.

- Ah!!! et mes seins!! oh non!!

La machine venait d'extraire les premières gouttes de lait transparent que produisaient maintenant les jolis tétons de ma scandinave.

Je limais ma chèvre jusqu' à la garde, cela clapotait là-dedans. Je voyais ma queue disparaitre et ressortir toute trempée. Ahmed me mettait les fesses et les couilles en feu, avec son fouet.

Amir ramonait le conduit d'Emilie à toute vitesse, sa verge éclatait sa rondelle brunie, parfois sortant complétement et replongeant avec vitesse dans le trou béant. Emilie jouit alors, la pression sur ces seins et cet homme qui l'enculait sauvagement, elle sentit son anus se contracter, serrant la bite de l'homme, et partit dans un orgasme long et profond.

- La petite pute, tu prends ton pied avec ma bite hein?

- Oh oui... défonces moi, prends ton temps. Je veux sentir mon cul comme un étui autours de ton membre. Oh oui!

- Ahhhhh

Amir commença à jouir à son tour, abreuvant l'anus d'un sperme chaud et presque transparent car très récemment produit par ses bourses un peu fatiguées. Il termina par un élan brutal vers le fond de son cul, poussant merde et sperme au plus profond de son colon.

Je jouis à mon tour, voyant ma jolie copine le cul démonté, et attachée à un poteau, et dont les seins étaient traits. La machine avait extrait un petit verre de lait jaune. Je giclais près de dix fois dans le vagin animal.

- Ah tu aimes ça hein Marc? mieux que le vagin tout ouvert de ta zawja?

- Ohhh je ne sais pas mais c'était intense!!

- Marc, ces gars sont incroyables.... Dit-elle

Ahmed détacha la chèvre et la conduisit dans l'enclos séparé. Puis il revint vers moi, me détacha les mains, et me demanda de prendre sa place.

- A la place de la chèvre???

- Bah oui, Emilie fait pas tout un pataquès, regardes la.

Emilie dont les tétons subissaient une traite implacable, était dans un demi-comas de jouissance. Constamment titillée, sa poitrine avait doublé de volume. Je pris place à cote d'elle, dans une position identique à quatre pattes, puis il m'attacha comme elle au poteau. Nous étions à la merci de ces deux lascars. Ma bite qui avait craché quelques minutes plus tôt, était en train de durcir.

Amir fixa le tube de la trayeuse sur ma bite molle. J'eus une douleur intense quand le mécanisme se loqua sur mon gland.

- Aieeee! Oh non!! Amir!!

- Tu vas aimer tu vas voir, on va te faire cracher comme ta nana, elle a déjà rempli un verre de lait.

J'entendis des bruits derrière moi, et quand je puis tourner la tête, je vis quatre ou cinq hommes, tous leur sexe à la main, en train de se masturber derrière Emilie et moi.

- Vous allez avoir le traitement marocain, une bite par personne dans le cul ou la chatte, jusqu' à ce que vous remplissiez un litre de sperme ou lait. Allez les gars et surtout les n'épargnez pas! la petite adore le cul, et lui j'en sais rien mais on va voir

- Non Ahmed!!! hurlais-je

- Mais si mon petit! tu vas voir que tu vas adorer ça.

Et il me fouetta très fort le cul, une dizaine de fois, j'étais entre ses mains. La machine commença à serrer mon gland.

- Ahhhh non!!! c'est très serré!

- Mais non si tu jouis ta bite deviendra molle, et tu auras moins mal

- Ah mais je ne peux pas jouir quand je veux!! ahhhhh

La machine serrait alternativement mon gland, et tentait d'aspirer le suc de mes couilles. Alors qu'Emilie avait maintenant un flot fin de lait qui s'écoulait de ses tétons meurtris.

- Bien Emilie, tu as fait 20cl, vous avec encore 80% à faire! A deux!

Le premier homme que je ne pouvais pas voir, me mit de la graisse à traire et mit un doigt long et dur dans mon cul.

- Ah mon dieu!! c'est trop gros!

- Mais non imbécile! c'est juste un doigt!

Puis l'homme ayant astiqué son membre pour être parfaitement dur, commença à pousser sur mon anus qui s'ouvrit progressivement.

- Ahhhh, pitié!! et ma bite qui gonfle me fait mal encore plus!

- Ah tu vois que tu aimes ça la bite dans ton cul, mais pas de bol pour toi!

Contre ma volonté, je ressentais un immense plaisir de cet homme qui essayait de planter en moi son membre dressé. Ma bite tentait de gonfler, rendant la traite douloureuse. Pourtant il fallait que je jouisse au plus vite!

- Mets là au fond par pitié que je jouisse!!

- Tiens, petit pédé!! Je te défonce ton cul tout serré.

- Ahhhh

Il enfonça son pieu à la moitié, je faillis perdre connaissance. Mais quel plaisir soudainement!

Pendant ce temps, je voyais qu'Emilie avait été enculée par un autre homme jeune, qui la ramonait sans se soucier de sa rondelle explosée. Ses tétons étaient gonflés et laissaient passer un flot ininterrompu de lait maternel. C'était beau, je l'imaginais nourrir mes enfants un jour de cette façon. Pour l'instant, elle avait une bite au cul, et l'homme ne la ménageait pas. Enfonçant sa bite longue jusqu' à la garde. Les autres hommes regardaient la scène, bite en main, se demandant quel trou ils allaient pouvoir prendre possession : une jolie blonde sexy aux trous bien ouverts et finement épilés, ou ce français qui avait un cul tout neuf poilu et bien serré.

Alors que l'homme avait pénétré mon cul pleinement, et commençait ses allers-retours douloureux, je sentis le plaisir monter en moi, entrainant une douleur supplémentaire dans ma bite qui gonflait. Mais le plaisir était plus fort, l'homme me prit par les épaules et commença à jouir dans mon colon, un jus chaud et gluant. Je jouis à mon tour, libérant quelques centilitres de sperme qui s'ajoutèrent au lait des mamelles d'Emilie.

- Ahhhh!

- Bien Marc! ta bite va avoir un peu de repos.

Il coupa la machine après que la dernière goutte de foutre soit aspirée, me donnant un repos de quelques minutes. Derrière Emilie, le deuxième homme avait pris place et plongeait sa bite dans sa jolie fente exposée sans plus attendre. Alors qu'un autre baissait son slip un peu sale devant elle, et elle le prit dans sa bouche pour le sucer.

Un autre bite dure tapait à la porte de mon cul qui devait être légèrement ouvert car il n'hésita pas une seconde et m'enfila d'une traite. Ahmed avait aussi regagné de l'énergie car il était nu et bandant devant moi, je compris ce qu'il attendait et j entrepris de lécher le gland du vieil arabe. Amir redémarra la machine et la pince agrippa mon gland et commença à me traire. La douleur s'estompait, une bite dans la bouche, une autre qui coulissait dans mon anus bien lubrifié et ma bite intubée sur la trayeuse qui me suçait intensément le gland.

Emilie avait trois hommes autour d'elle qui profitaient de son corps en sueur, les genoux râpés, son dos et ses fesses zébrées des coups de fouets, et dont la machine extrayait un jus jaune de ses seins tendus et de ses tetons en feu. L'homme derrière elle utilisait sa chatte, appréciant de voir cette jolie nana se faire baiser comme une pute. L'autre homme lui jouit dans sa bouche, et presque immédiatement celui derrière elle, rua et remplit son vagin de foutre. Ils ne résistaient pas longtemps devant le corps magnifique de la belle danoise, comme un diamant qui serait dans un lit de boue, irrésistible.

Deux hommes prirent leurs rotations dans mon cul, jouissant au plus profond de moi, je jouis à mon tour mais cela était maigre, car mes testicules étaient épuisés. Alors que je nettoyais une queue sale qui venait de mon cul, je commençais à pisser dans la trayeuse, comme par soulagement.

- C'est bien Marc, tu as rempli ton quota, on a presque un litre de jus de vous deux là-dedans.

Le dernier homme déchargea dans mon cul et l'autre plus âgé dans la chatte d'Emilie. Nous avions des anus éclatés, suintant de merde et de sperme. Amir débrancha alors la machine des tétons meurtris d'Emilie, et la mienne aussi relâchant la pression sur mon gland rouge vif.

- Regardez ce travail! Dit Amir

Il tenait la bouteille transparente devant nos yeux, un mélange infâme de sperme, de merde, de lait et de pisse.

- Il reste encore un peu à récupérer ici.

Il plaça la bouteille au niveau de l'entrejambe d'Emilie toujours à quatre pattes, et Emilia expulsa de son cul et de sa chatte l'équivalent d'un verre de jus marron. Il fit de même avec moi, je préférais ne pas voir le résultat...

- Maintenant, à votre santé!

Il me planta la bouteille entre mes lèvres et je bus, ou plutôt avalai l'intégralité du mélange. Je sentais le sperme coller au paroi de mon palais, et l'odeur de merde et de pisse par-dessus. Emilie me regardait avec un grand sourire.

Ensuite, les hommes, Amir et Ahmed nous congratulèrent et nous repartîmes, nus, vers la ferme.