Des Vacances Inoubliables

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Une partie de plaisirs.
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Rainett
Rainett
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Quand j'ai épousé Bérengère, une jolie jeune fille de 18 ans, j'avais déjà 30 ans. Mon inquiétude, à l'époque, c'était qu'elle se détourne de moi pour aller avec un garçon de son âge. Mais, après deux ans de mariage, nous sommes parfaitement heureux ensemble. Bien que mon inquiétude initiale soit encore présente, même atténuée, cette pensée nocive s'est muée en fantasme. Sans que je souhaite réellement que cela se produise, je n'arrête pas de l'imaginer dans les bras d'un autre.

Ce fantasme a grandi dans mon esprit pervers, et j'aime l'envisager subissant le joug d'hommes musclés qui la baisent durement. Ces images sont parfaitement claires, elle s'offre avec volupté, et moi je bande comme un taureau en l'évoquant ravie d'être prise sauvagement. Chaque fois que nous allons au lit, je ne pense qu'à ça, et je la baise en fantasmant qu'elle se donne à un inconnu, ce qui renforce mon désir.

Nous avons pris l'habitude de sortir pour aller danser chaque fin de semaine. Elle adore danser. Quelques verres d'alcool lui suffisent pour être pompette, elle devient tendre sur la piste de danse, et elle pose sa tête sur mon épaule pendant les musiques lentes. J'encourage son vice, et j'en profite pour la peloter sans vergogne. Elle semble vraiment aimer cela, et se laisse tripoter docilement.

Pendant les grandes vacances à Djerba la Douce, nous passions de merveilleux moments à la plage ou en balade, quand elle m'a rappelé que je ne l'avais pas emmenée danser de toute la semaine. J'ai demandé à la réception de l'hôtel s'ils pouvaient me recommander un endroit pour l'emmener danser. Le concierge, un jeune noir, m'a parlé d'un endroit qui était à moins d'un quart d'heure de marche à pied. Mais, il m'a prévenu qu'il y avait beaucoup de monde et que, sur la piste de danse bondée, de jeunes gars s'amusaient à tripoter les femmes pendant qu'elles dansaient.

Étrangement, cela m'a semblé plutôt amusant, mais j'ai pensé que je ferais mieux de cacher cette information à Bérengère. Elle était vraiment ravie quand je lui ai annoncé que je l'emmenais danser ce soir-là. Elle s'est habillée très sexy, une mini-jupe noire évasée, et un chemisier blanc très décolleté. Et des hauts talons. Pas de soutien-gorge, elle n'en a nul besoin, car ses seins sont petits et très fermes.

L'endroit était assez agréable, pas bondé, car il était encore tôt. Nous avons passé un bon moment à danser et à boire. Plus la soirée avançait, plus Bérengère devenait "guillerette" avec tous les cocktails qu'elle s'enfilait. L'endroit se remplissait peu à peu et, vers 22 heures, c'était aussi bondé que le gars l'avait prédit.

Nous étions serrés comme des sardines sur la piste de danse, alors j'ai profité d'un slow pour caresser ma chérie au milieu de la foule des danseurs. Dans la semi-pénombre propice, cernés par des couples qui oscillaient sur place, je nous pensais à l'abri des voyeurs. Peut-être à cause de l'heure tardive les chansons lentes s'enchaînaient, et la plupart des couples autour de nous s'embrassaient et se caressaient plus qu'ils ne dansaient.

La piste de danse était devenue un véritable baisodrome vertical. J'avais glissé une main entre nous, dans la mini jupe de Bérengère. Je massais doucement sa chatte par-dessus son string. Pas assez pour la faire jouir, juste assez pour l'exciter et la faire ronronner, tandis qu'elle s'abandonnait, les yeux fermés, la tête sur mon épaule. Je voulais la chauffer pour que, de retour à notre chambre d'hôtel, je puisse profiter d'une femme au paroxysme de la passion.

Mais moi, je ne fermais pas les yeux, surveillant les alentours pour ne pas être surpris en pleine action par un fâcheux qui pourrait rallumer les lumières. Soudain, j'ai pris conscience du manège d'un type debout derrière Bérengère. Je ne l'avais pas remarqué plus tôt parce qu'il tournait le dos à Bérengère et ne semblait représenter un danger pour nous.

Il s'était coincé dans l'espace étroit entre Bérengère et un couple derrière, il leur faisait face, et je pouvais distinguer dans la semi-pénombre le mouvement de ses bras, donc je pouvais logiquement supposer qu'il était en train de caresser la femme devant lui.

Le cavalier de la fille a dû en avoir assez et, d'une brusque volte-face, il a soudainement mis la fille à l'abri, hors de portée des mains du pervers. Le type ne s'est pas dégonflé, il s'est retourné et m'a fait face en se collant contre le dos de Bérengère. Eh bien, la situation n'était pas banale. On a beau fantasmer et imaginer sa douce dans les bras d'un autre homme, quand ça se produit, on se retrouve désemparé. Je souhaitais qu'il entreprenne Bérengère, et je redoutais sa réaction.

Mais en fait, le temps que je réfléchisse à la conduite à tenir, il se frottait déjà contre les fesses de ma chérie. Dans sa soûlerie, elle semblait ignorer que ce qui se passait dans son dos n'était pas de mon fait. Du coup, je n'ai rien dit ni rien fait pour arrêter les agissements du type. Ma bite s'est dressée lorsque j'ai compris qu'il soulevait la minijupe et qu'il lui caressait les fesses.

Il ne restait que la ficelle de son string pour lui barrer la route. J'avais encore mes doigts sur son string quand j'ai sentis qu'il était tiré sur le côté. Il dégageait le chemin qui menait à sa chatte. J'avais maintenant mes doigts sur son pubis rasé, car le string avait été écarté. Il a dû plier un peu ses genoux, car je l'ai vu se rapetisser.

Visiblement, il semblait aligner sa bite sur l'ouverture de la chatte. Il s'est ensuite hissé un peu, et a commencé à monter et descendre sur un rythme paisible. Cela ne pouvait signifier qu'une seule chose. Il avait trouvé son chemin et sa bite était maintenant logée à l'intérieur de ma belle épouse. Ma bite était si dure qu'elle en était douloureuse.

J'avais toujours mes doigts sur le pubis de Bérengère. Doucement, j'ai glissé mes doigts un peu plus bas, sur la chatte juteuse de ma chérie. Bien sûr, j'ai touché sa bite qui coulissait dans la chatte de Bérengère. Elle entrait et sortait sur un rythme régulier, et ma femme respirait lourdement. C'est alors que j'ai senti la main du gars se glisser entre nous pour empoigner le sein de Bérengère et le presser fortement.

J'aurais tellement aimé pouvoir sortir ma propre bite et me branler en le regardant baiser ma femme. J'avais tellement besoin de jouir. Cela allait tellement plus loin que tous les fantasmes que j'avais pu imaginer. Ma femme respirait un peu plus fort, et elle a gémi plusieurs fois sous ses poussées. Bien qu'assez ivre, elle éprouvait du plaisir avec cette bite qui la baisait.

Puis, à un moment, j'ai entendu Bérengère essayer d'étouffer un petit cri, tandis qu'il était manifestement en train de jouir, d'éjaculer dans ma belle épouse. Il crachait son foutre en elle, debout au milieu de la piste de danse. Il la prenait comme une vulgaire salope, comme une fille de rien. Du bout des doigts, je pouvais sentir leurs jus mêlées suinter de sa chatte et couler sur sa queue. C'en était trop pour moi, et je suis venu dans mon pantalon sans me toucher.

Pendant qu'il se retirait de sa chatte, j'ai mis la main dans ma poche, j'ai pris mon mouchoir et j'ai tenté de lui essuyer la chatte. Je la serrais contre moi, plus amoureux que jamais, je me sentais si comblé d'avoir vécu cette expérience merveilleuse. Bérengère ne semblait pas consciente de ce qu'elle avait subi. Elle semblait même avoir apprécié la situation dans son état d'ébriété.

J'étais sur le point de l'entraîner hors de la piste de danse quand soudain un autre homme s'est faufilé derrière elle. J'ai jeté un coup d'œil circulaire pour voir si d'autres couples subissaient des assauts comme nous, quand j'ai remarqué le gars qui venait de baiser Bérengère. Il parlait avec deux autres gars en pointant son doigt dans notre direction. J'ai supposé qu'il passait le mot à ses potes qu'il y avait une fille facile à baiser. En surveillant son manège, je n'avais pas remarqué que le nouveau mec était déjà en position pour entreprendre ma tendre épouse. Ma bite est redevenue dure instantanément à la pensée qu'une autre bite allait utiliser ma femme.

J'ai rapidement remis ma main entre les jambes de Bérengère et j'ai senti la bite du gars la pénétrer. Il m'a stupéfait en me parlant crûment :

- Tiens-moi les couilles !

- Hein... Quoi !?

- Tiens-moi les couilles pendant que je baise ta gazelle !

C'était plus un ordre qu'une demande, et j'ai fait ce qu'il demandait. J'ai caressé ses couilles poilues.

- Ouais ! Comme ça ! C'est bien ! Il gémissait en jouissant, et en jutant dans la chatte de Bérengère.

À ce moment-là, un autre gars s'est coulé tout contre nous pour tripoter les seins de Bérengère. Ça devenait n'importe quoi. Un attroupement se formait au milieu de la piste de danse, et nous allions attirer l'attention. J'ai profité du répit que m'offrait le gars qui retirait sa bite de la chatte de Bérengère pour la saisir à bras le corps et l'entraîner hors de ce cloaque.

Je l'ai poussée et je l'ai traînée jusque dans un coin tranquille, près du dancing, et j'ai sorti un mouchoir pour l'essuyer sommairement. C'est alors que les quatre gars sont venus nous entourer. Il y avait là les deux qui l'avaient baisée, celui qui lui avait peloté les seins, et un autre mec, le réceptionniste noir de l'hôtel.

- Je vous avais bien dit que la gazelle était bonne à baiser ! Il disait aux trois autres gars.

Brièvement, je suis demandé d'où lui venait cette information. Le gars qui avait été le premier à baiser Bérengère a pris la parole :

- Tu es un mec vraiment chanceux de pouvoir te taper une si douce gazelle. Merci de me l'avoir prêtée, mais mes copains n'ont rien eu? Il désignait celui qui lui avait peloté les seins et le concierge de l'hôtel.

- Ils n'ont pas eu la chance de tremper leur biscuit dans sa douceur. Tu ne vas pas faire le radin, n'est-ce pas? Tu vas les laisser la baiser, n'est-ce pas? Tu as bien vu comment elle aime nos bites, ta gazelle ! Et toi, tu as aimé la voir se faire baiser? Bien sûr, tu as aimé ! Et deux bites de plus, ça ne fera pas de différence !

Avant que j'aie eu le temps de protester, il m'avait saisi par le cou pour m'entraîner un peu plus loin dans les buissons :

- Viens avec moi, j'ai envie de pisser. Viens pisser avec moi !

J'ai jeté un coup d'œil vers Bérengère. Les trois autres prenaient soin d'elle en l'entraînant vers une table de pique-nique, à l'abri des regards. Je devais bien admettre qu'il y avait une certaine logique là-dedans. De plus, j'étais vraiment excité, plus que jamais auparavant. Je lui ai raconté que j'avais éjaculé dans mon pantalon en le voyant baiser Bérengère.

- T'es un mec sympa, vraiment cool. Tiens, je t'offre une cigarette pour te remercier !

Je savais qu'il voulait me garder à l'écart pour que ses potes puissent baiser Bérengère tranquillement. Cela ne me dérangeait pas de ne pas pouvoir assister aux ébats, l'idée de revenir et de les attraper en pleine action était tout aussi excitante. Alors j'ai accompagné mon nouveau pote.

Nous sommes revenus environ un quart d'heure plus tard. Ils se tenaient autour de Bérengère, allongée sur le dos, sur la table, les bras en croix, les jambes relevées, les mollets posés sur les épaules du jeune réceptionniste noir de l'hôtel qui la baisait vigoureusement. Elle geignait et gémissait en haletant lourdement, comme si elle souffrait. Mais je savais qu'elle jouissait en voyant sa tête osciller de gauche à droite.

Le jeune gars s'est retiré pour éjaculer sur le ventre de Bérengère. C'est à ce moment-là que j'ai réalisé que le jeune noir ne sortait pas sa bite de la chatte de Bérengère, mais de son cul. Ma bite s'est redressée d'un bond. Le gars qui m'avait accompagné pour fumer une cigarette me tenait par le cou. Il a sorti ma bite pour me caresser. En riant, il m'a embrassé dans le cou, juste sous l'oreille.

Puis, ils se sont écartés de Bérengère et m'ont poussé vers elle. Ils m'ont penché sur la table, juste à côté de ma femme, et m'ont baissé mon pantalon. Elle me souriait, ravie. Cela ne m'a pas fait vraiment mal, juste une douleur vive, au début, pendant la pénétration. Ensuite, ils nous ont baisés à tour de rôle. L'un d'eux à même joui dans ma bouche.

Puis, ils nous ont remerciés en prenant congé. Ils nous ont proposé de se retrouver le lendemain soir, sur la plage, près de l'hôtel. J'ai entendu, abasourdi, Bérengère accepter leur offre. Épuisés mais heureux, nous avons regagné notre chambre d'hôtel pour un repos bien mérité.

Le lendemain, nous avons passé la journée au bord de la piscine, trop fatigués pour faire autre chose. En fin d'après-midi, nous avons pris la direction de la plage, distante de quelques centaines de mètres. Inutile de partir plus tôt, le sable est brûlant sur la plage. Même la mer est chaude, une vraie soupe. En passant devant les boutiques, Bérengère flâne un peu devant les étalages. Je patiente, je ne suis pas pressé d'arriver.

On s'installe sur la plage, un peu à l'écart. On arrive au moment où les gens s'en vont, mais on n'est jamais trop prudent. On se trempe un peu, puis on s'étale mutuellement de la crème. D'habitude, je profite de ces moments d'intimité pour peloter ma femme, mais ce soir le cœur n'y est pas.

Après un moment, Bérengère veut retourner vers les boutiques, elle y aurait vu des trucs intéressants, en passant, tout à l'heure. J'ai préféré aller nager, alors on s'est séparés. Presque une heure qu'elle est partie quand elle revient, flanquée de deux gars. Elle a changé son maillot trop sage pour un bikini jaune minimaliste. Les bonnets peinent à cacher ses tétons. Et la culotte, c'est un string, avec la ficelle enfoncée dans la raie des fesses.

Un des gars, celui qui la tient par la taille, c'est le mec qui l'a baisée en premier hier soir, celui-là même qui m'a cassé la rondelle. Il dit qu'il s'appelle Franck. Il lâche Bérengère pour se précipiter vers moi, allongé sur mon drap de bain. Il semble heureux de me revoir, comme si on était les meilleurs amis du monde. Il m'embrasse dans le cou, à plusieurs reprises, et me caresse. Il met ses mains partout, on croirait qu'il a quatre mains.

Je me redresse et le repousse un peu. Bérengère me présente le grand escogriffe qui l'enlace en la pelotant. Celui-là s'appellerait Bruno. Pourquoi pas? Je ne me rappelle pas de lui, mais on me dit qu'il n'a pas participé à la virée de la veille. Bérengère s'installe sur son drap de bain, avec Bruno collé à elle comme une moule à son rocher.

Elle me raconte qu'elle a été obligée d'acheter un autre maillot, parce que le sien était dans un triste état. Elle a rencontré nos deux amis dans une boutique, et Franck l'a accompagné dans la cabine d'essayage. Il était tellement pressé que le maillot n'a pas résisté. Franck rit comme s'il avait fait une bonne blague.

Un gars qui n'est pas patient, c'est Bruno. Ses mains s'aventurent entre les cuisses écartées de ma femme, sous le mince tissu. Bientôt, ses doigts s'enfoncent dans les chairs humides. Il me jette un rapide coup d'œil, par prudence. On a dû lui dire que je n'étais pas jaloux, mais il veut s'en assurer. Bérengère pose ses mains sur les épaules du gars pour l'embrasser à pleine bouche.

Rapidement, elle quitte son maillot tout neuf pour qu'il ne subisse pas le même sort que l'ancien. Elle me le tend pour que je le range. Franck profite du mouvement pour m'ôter mon slip de bain. Pendant que je range les maillots dans le sac, Bruno s'allonge sur Bérengère qui écarte les jambes pour l'accueillir. Mon sexe se dresse en voyant le tableau.

Mais Franck est impatient. Ses doigts roulent mes bourses dans le creux de sa paume. Sa bouche cherche la mienne. Je cède à ses avances et je m'allonge sur le dos, acceptant sa tendre domination. J'entends Bérengère pousser de petits cris bien féminins tandis que Bruno commence à la besogner. Bientôt, Franck veut me pénétrer. Il m'installe à quatre pattes, face à Bérengère qui exulte. Il me pénètre sans douceur.

Après quelques minutes, Bruno se retire et installe Bérengère à quatre pattes, face à moi. Nos têtes sont à moins d'un mètre. Elle me tend la main et je la saisis. Bruno la prend en levrette, mais j'ai eu le temps de voir son sexe. Un manche de pioche d'une belle longueur. Pas étonnant que Bérengère soit si bruyante, avec un pareil outil qui lui heurte le fond de la matrice. Ils nous ont baisés, avec de courtes pauses pour changer de position, jusqu'à ce que le reste de la bande arrive.

Les deux gars qui nous avaient rejoints hier soir, Michel et Alain, que des prénoms bien français qui ne correspondent pas à leurs faciès, sont arrivés accompagnés d'une superbe déesse, Djamila. Une grande brune, mince, avec des yeux de braise, un corps de rêve, et une paire de sein inoubliable. Des ogives à tête nucléaire, même dans les magazines que je feuilletais par inadvertance, gamin, je n'avais jamais rien vu d'aussi époustouflant que ses seins. J'en bavais d'envie.

Elle a ôté son tee-shirt, me permettant de m'assurant que ses seins n'étaient pas factices. Elle s'est penchée sur Bérengère, assise sur son drap de bain, et l'a embrassée à pleine bouche. Sans quitter sa jupe, elle est venue se pencher sur moi. Sa langue dans ma bouche s'est mise à tournoyer en pourchassant ma langue, me faisant bien comprendre que cette fille était une dominatrice.

Je n'ai pas pu résister à l'envie de caresser sa merveilleuse poitrine. Ses seins étaient doux, élastiques et fermes. Ses tétons s'érigeaient en durcissant. J'étais amoureux quand, d'un mouvement désinvolte, elle a quitté sa jupe, me dévoilant son sexe dressé, un bâton de berger de belle dimension. Ma déesse, c'était un travelo. Parfaitement bandé, elle m'a présenté son sexe pour que je le suce.

Nous avons baisé avec nos camarades de jeux jusqu'à une heure avancée de la soirée. J'ai dû subir les assauts répétés de Franck et de Djamila. Bérengère a été très populaire, elle s'est dévouée pour satisfaire tous les participants, sauf moi. Nous sommes rentrés à notre chambre en traversant les jardins de l'hôtel pour raccourcir le trajet parce que nous étions crevés. En passant près du jacuzzi, Bérengère a voulu absolument profiter du bain à remous pour se relaxer.

- J'ai les reins brisés et le ventre en marmelade, plaida-t-elle, ça me fera du bien. Je n'étais pas d'accord, j'étais pressé de rentrer à la chambre pour baiser enfin ma charmante épouse, mais comment refuser?

Le temps de trouver comment mettre en marche l'installation de faire jaillir les bulles, Bérengère s'était déjà dénudée et assise dans l'eau. Je me suis déshabillé, j'ai rangé nos affaires dans un coin, et je l'ai rejointe, bien décidé à ne pas attendre plus longtemps pour profiter des charmes de ma femme. Malheureusement, à peine installé entre les jambes écartées de Bérengère, j'ai entendu des bruits de voix.

J'ai compris instantanément qu'il s'agissait des vigiles chargés d'assurer la sécurité des lieux. Ces gaillards étaient chargés de patrouiller toute la nuit autour de l'hôtel pour préserver la tranquillité des clients. Probablement alertés par le bruit des pompes, ils venaient voir ce qui se passait. J'ai sauté hors du bain à remous, j'ai attrapé nos affaires, et je me suis enfui pour me cacher dans les fourrés.

Mais Bérengère ne m'a pas suivi. Elle est restée en place. Pourquoi? Pensait-elle qu'elle était devenue invisible? Que les gardes n'allaient rien lui dire? Je m'éloignais prudemment, tandis qu'elle attendait les vigiles de pied ferme. J'ai entendu quelques éclats de voix, mais je n'ai pas pu comprendre la totalité du discours, tenu dans un charabia de français approximatif. J'ai réalisé qu'ils voulaient l'emmener au PC sécurité pour vérifier son identité. Je savais où était le bâtiment, et je me suis précipité pour les devancer.

Installé près de la porte d'entrée, j'ai attendu leur arrivée. Patiemment, j'ai attendu, et attendu, presque une heure. Existait-il une seconde entrée? L'avaient-ils emmenée ailleurs pour la baiser? Avais-je bien compris leurs intentions? Je devais en avoir le cœur net, alors j'ai été taper à la porte du PC sécurité.

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