Elle se découvre à San Francisco

"It's good you stopped there, but I'm glad it went as far as it did. Come back anytime. (5)"

Dehors dans la rue, un Uber vient de débarquer des clients, je lui fait signe, il nous indique de monter. Je lui demande de nous emmener au Marriott Marquis.

Pendant le trajet, Anne ne parle pas mais se colle contre moi, le visage dans mon cou. Les émotions l'ont terrassée. Je la serre fort, un bras autour de ses épaules, sa main est chaude dans la mienne.

En traversant le hall du Marriott vers les ascenseurs, la tenue d'Anne a repris son look sexy mais raisonnablement décent. Le blouson zippé garde les seins à l'abri, on ne peut pas s'apercevoir que sa culotte et son soutien-gorge sont dans ma poche.

Dans l'ascenseur, nous sommes seuls. Elle se colle à nouveau contre moi, me roule une pelle d'enfer. Je glisse ma main entre ses cuisses, trois doigts entre ses lèvres trempées.

Dans ma chambre, la porte s'est à peine refermée qu'elle me plaque contre le cadre, se jette à genoux devant moi, défait rapidement ma ceinture, les boutons de mon jeans, qu'elle baisse avec mon boxer. Ma queue qui était restée à demi dure toute la soirée est revenue au garde à vous dans le trajet dans l'ascenseur. Anne aspire mon gland, puis avale presque toute ma queue, elle se cramponne à moi, les ongles longs dans mes fesses. Elle suce frénétiquement, bruyamment, la salive dégoute, elle fait des "Mmmmh! Mmmh! Mmh!" du plus bel effet.

Ça ne va pas durer trop longtemps à ce rythme-là. Je la prends par les épaules, la relève, puis l'entraîne au bord du lit, devant la fenêtre dont les rideaux sont ouverts sur les lumières de la ville. Je lui dézippe son blouson, l'enlève, je baisse sa jupe. Je la retourne vers le lit et la bascule vers l'avant, sur le lit, mais debout. Elle ne porte que ses bottillons, ses bas, son léger chemisier, et ses lunettes. J'écarte ses jambes avec mon pied, et la pénètre par derrière, lui déclenchant un râle de soulagement. Une de ses mains s'agite furieusement sur son clito pendant que la baise. Je recueille un peu de sa mouille avec mes doigts et lui enfonce mon majeur dans le cul. Elle gémit et s'agite à nouveau de spasmes, traversée par ce que je soupçonne être son deuxième orgasme de la soirée.

Je finis de me déshabiller, et m'étends sur le dos sur le lit. Elle me lèche le torse, les poils du bas ventre, la hampe de mon sexe. Elle se redresse, monte sur le lit et vient s'empaler, toujours avec ses bas et ses bottillons. Pendant qu'elle me chevauche, je défais le dernier bouton du chemisier et roule le bout de ses seins entre mes doigts. Elle se penche en avant pour que je puisse lui effleurer les pointes des seins de la langue à chacun de ses mouvements. J'avale et suce ses mamelons un après l'autre.

On est tous les deux tellement excités qu'après une ou deux minutes seulement, je sens mon orgasme venir. Je me vide dans sa chatte à grands jets, pendant qu'elle bascule la tête en arrière avec un cri. Je sens les contractions des muscles de son vagin sur ma queue alors qu'elle repart à son tour.

On est tous les deux épuisés par les émotions et nos efforts. Je lui enlève ses bottillons, retire délicatement ses bas, ses lunettes, puis vient me lover dans son dos, queue entre ses fesses, une paume autour d'un sein, et je rabats la lourde couette sur nous.

Elle souhaitait du changement dans sa vie, je crois bien qu'elle l'a obtenu.

1 - Mon amie cherche une jupe au moins aussi sexy que celle que vous portez. Elle m'a demandé de ne pas traduire ça, elle est timide.

Absolument! On a de nouveaux arrivages qui devraient la brancher, ainsi que vous!

2 - Elle aime la jupe de cuir mais dit que c'est une pointure trop long. Avez-vous le même tout de taille, mais plus court?

3 - Ça te va si on en fait une autre?

- Je t'en prie

4 - Joli. Est-ce que c'est ta salope?

- Je ne sais pas si c'est ma salope ou celle de qui que ce soit, on s'est rencontré tout récemment.

- En tout cas, ma belle, si ça ne marche pas avec lui, peut-être que tu pourrais être ma salope. J'aimerais ça.

5 -- C'est bon que tu arrêtes, mais je suis content que ce soit allé jusque-là. Revenez quand vous voudrez.