Elle se découvre à San Francisco

BÊTA PUBLIQUE

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Anne s'est assise en tirant sa jupe sous ses fesses, et regarde la salle un peu nerveusement. Après qu'on nous ait apporté les menus, je lui dis :

"Tu devrais relever l'arrière de ta jupe, tu vas faire des faux plis dans le cuir. Ça serait dommage."

Elle se fige, pose le menu sur la table. Je prends sa main qui tremble et la serre à mon tour. Après un moment d'hésitation, elle lâche ma main, puis porte ses deux mains à sa taille, se relève un peu sur sa chaise, et tire l'arrière de sa jupe vers le dossier avant de se rasseoir. Elle lisse le devant par-dessus ses jambes. La longueur de la jupe permet assez facilement de recouvrir le haut de ses bas sur le dessus de ses cuisses, mais le drapé et les plis de la jupe font en sorte que les côtés se déploient en éventail, dévoilant la bande de dentelle et une bonne partie de la cuisse en diagonale jusqu'au coussin du siège.

"Tu devrais aussi enlever le blouson, il fait assez chaud ici sur la mezzanine."

"Non, je n'ose pas ."

"On avait parlé de renouveau. Moi je vois une fleur qui demande à éclore."

Elle s'exécute et pose le blouson sur le dossier de sa chaise, les épaules tremblantes, se mordant la lèvre. A chacune de ses profondes respirations les pointes de ses seins tendent le fin tissu. Son soutien-gorge ajouré en dentelle noire est magnifique, même si ce n'est pas celui que je lui ai choisi.

Le service est excellent, le serveur prend tout son temps pour nous expliquer chaque plat et la carte des vins en grand détail, penché par-dessus l'épaule d'Anne, qui a les genoux serrés et me dit d'une voix peu assurée de commander pour elle.

En nous quittant, le serveur qui tout bien noté s'arrête sur le palier pour vérifier un peu longuement son calepin. Ses yeux sont au niveau des cuisses d'Anne.

"Tu as l'air crispée, avec tes genoux serrés. Détends-toi. On passe un très beau moment."

Elle croise les jambes. Un peu plus du côté de sa cuisse se dévoile, jusqu'à la culotte. Le serveur a complété l'examen de ses notes et poursuit vers la salle, en sifflotant.

"Tout le monde ici passe un très beau moment, en fait."

Elle se détend un peu pendant le repas, sa conversation reprend avec de plus en plus d'aisance.

"Je trouve que ton désir de renouveau commence à se manifester. Comment trouves-tu que ça se passe, jusqu'ici?"

"C'est vrai que je me trouve belle dans ce nouveau look, mais je ne suis pas à l'aise. Je me sens paniquée qu'on me juge, qu'on me prenne pour une traînée."

"Personne ne te juge, ou te prends pour une traînée. Ils admirent une belle femme sexy qui ose affirmer fièrement sa féminité."

Un des convives d'un groupe bruyant au rez-de-chaussée prends des photos de sa tablée vers la rue. Un de ses collègues qui regarde vers nous lui parle, et monte vers la mezzanine. Il fait lui aussi une longue pause sur le palier pour régler son téléphone.

"Écarte tes jambes." lui dis-je en lui serrant la main de nouveau. Elle redevient nerveuse, mais s'exécute, obéissante.

Dans la salle en bas, ce sont maintenant les convives attablés qui prennent des photos de leur collègue resté sur le palier au niveau de l'entrejambe d'Anne. Ou ils prennent des photos de l'entrejambe d'Anne qui est à côté de leur collègue. Question de point de vue.

"Je pense que ton désir de renouveau va plus loin que juste un changement de garde-robe. Je pense que tu veux être exhibée. Tu le sais mais tu veux qu'on te pousse à franchir le pas, que ce ne soit pas de ta faute. Tu m'a obéi jusqu'ici en sachant que les clients et les serveurs matent sous ta jupe. Et tu aimes ça même si tu te prétends le contraire. Je remarque que tu ne m'a pas demandé de changer de place avec toi. Ça confirme ce que je dis."

Elle a un petit rire nerveux, puis me dis :

"Peut-être, oui. Je pense que j'en rêve depuis longtemps sans l'avoir osé, mais ici, dans le contexte, loin de chez moi, dans un endroit où personne ne me connaît..." Elle ne finit pas sa phrase.

"C'est ce que je pense aussi. Et je suis ravi de t'aider à te découvrir..."

Quel altruisme de ma part. Je gagne mon ciel à tous les jours.

On quitte le restaurant. Je l'emmène à un autre établissement, pas loin d'ici, le Grant & Green Saloon. Facile à trouver : c'est à l'intersection de Grant et Green. Je suis tombé dessus par hasard il y a plus de trente ans, et j'essaie d'y aller à chaque séjour. C'est un classique bar de quartier, un peu défraîchi mais propre, où les choses ne changent jamais trop. Ils n'investissent pas tellement sur le décor, les consommations n'y sont pas chères et la clientèle est très variée. C'est San Francisco, alors on y trouve des touristes, des jeunes bohêmes, des marins, des militaires en permission, des millionnaires de la techno habillés plus relax que chic, des barbus, des tatoués, tous les sexes y sont représentés, pas juste les deux classiques. L'ambiance y est sympathique et bon enfant.

Il n'y a pas trop de monde, peut-être à moitié plein. Un petit groupe rock joue une excellente musique live sur la scène qui est dans un coin de la salle en L. Devant la salle, une petite foule pas trop compacte regarde le groupe, certaines personnes dansent sur place. Le long du mur à droite en entrant il y a pas mal de monde au bar, dont la plupart regardent la scène, un verre à la main. Au fond de la salle, à l'autre bout du L, une table de billard ou un petit groupe regarde à la fois les joueurs et le spectacle.

La tenue d'Anne ne passe pas inaperçue, il y a quelques sourires entendus, quelques paires d'yeux écarquillés, des têtes qui se retournent, mais rien d'inconvenant ou de lourd. L'endroit en a vu d'autres.

Pas de place pour s'asseoir au bar, tous les tabourets sont occupés -- dommage! -- mais on se fait un chemin jusqu'au bar en restant debout. Je commande deux whiskys Jack Daniels et deux pintes de Anchor Steam, une bière locale.

"Avale ça" dis-je à Anne en lui tendant un des Jack Daniels. "Tu vas en avoir besoin." Je fais cul sec avec le mien. Elle hésite, j'attrape le bord de sa jupe avec ma main et la regarde dans les yeux. Elle vide son petit verre en grimaçant, puis le repose sur le bar. Le barman sourit en la voyant faire.

Je lui tends sa pinte de bière, ma main a lâché sa jupe qui est restée en place, pas si sagement. Je me relance dans mon exposé commencé au restaurant :

"La meilleure façon de surmonter ta peur de te montrer, c'est que ce soit le hasard qui décide, pas toi directement. Il faut provoquer des occasions où ce hasard puisse se manifester."

Le groupe de musique a terminé son "set", le chanteur passe le chapeau dans la salle, la plupart des clients donnent un peu d'argent. Il semble même avoir un bidule pour recevoir de l'argent par téléphone, ce n'était pas comme ça il y a trente ans... Il bavarde avec des personnes du public, reçoit quelques tapes amicales dans le dos.

Au fond de la salle, les deux joueurs ont l'air d'avoir fini une partie et en commencent une autre. J'entraîne Anne vers le billard, emportant nos bières avec nous.

"On va faire une partie, mais ta performance au jeu va avoir une influence sur ta tenue. Tu connais les règles du billard américain?" Elle hocha faiblement la tête, craintive et hésitante, mais affirmativement.

"A chaque coup que tu rate, c'est maintenant à mon tour, comme d'habitude. Mais si tu rate ton coup deux fois de suite, ou que tu rentres la blanche, j'ai droit à un gage. Par exemple, je pourrais te demander de défaire des boutons de ton chemisier, ou de raccourcir ta jupe. Je verrai selon mon humeur du moment," lui dis-je avec un sourire en glissant ma main sur le bas de son dos sous le tissu, la faisant frissonner.

"Et si toi tu rates deux fois de suite? Qu'est-ce qui arrive?" demanda-t-elle, tremblante d'inquiétude mais curieuse. Bon signe.

"Si tu gagnes, tu décides si le jeu s'arrête, ou que l'on continue la partie. C'est tout. Je suis assez confiant que tu voudras continuer. Après tout, si ton fantasme c'est d'être exhibée et le mien de te voir t'exhiber, tout va bien. C'est win-win comme on dit ici."

Je dis à un des joueurs qu'on aimerait bien jouer une partie après la leur. Il répond que peut-être plus tard, ils veulent en jouer d'autres. Je n'insiste pas, on reste à regarder la partie en buvant notre bière, mais Anne attire un peu l'attention.

Comme je vois que leur partie achève, je prends la pinte de bière d'Anne, la dépose sur la tablette le long du mur, me place derrière ses épaules et lui enlève lentement son blouson. Le petit haut gris perle, le soutien-gorge noir, et les seins refont leur apparition.

Le gars qui vient de gagner n'a pas raté mon geste, et me dit ok, ils font une pause, on peut avoir la table. Les deux restent pour nous voir jouer, ainsi que le petit groupe de spectateurs qui était déjà là.

Je place les boules avec le triangle, laisse Anne commencer. Elle donne le coup de casse, et rentre une des couleurs pleines. Elle vise pour son prochain coup. Le coup d'œil est très joli : comme elle n'est pas très grande, elle doit se pencher et ça découvre le haut de ses bas à tout coup. Sans le blouson, même si le chemisier est boutonné, ses seins bien ronds sont mis en évidence quand elle manipule la queue. Ce qu'elle fait assez bien, bon présage pour la suite.

Elle rate le prochain coup, c'est mon tour. Je rentre deux des boules à ligne blanche, puis rate la troisième. C'est à nouveau le tout d'Anne.

Elle vise un coup simple pour une boule près du coin, mais son mouvement est nerveux et elle rate de peu. Un échec.

J'en rentre une seule, mais loupe l'autre par exprès. Je ne veux pas que ça se finisse trop vite.

Elle vise de nouveau, mais la pression est plus forte, les conséquences d'un échec sont en tête. Et elle réussit son coup, mais la blanche suit la boule de couleur dans le panier. Deuxième faute.

Elle se tourne vers moi, livide, tremblante.

"Tu détaches un bouton du haut."

Les spectateurs commencent à comprendre que quelque chose d'intéressant se passe. La conversation en français, qu'ils ne comprennent pas, pique également leur curiosité.

Anne pose sa baguette, puis lentement, en regardant le plancher, défait le bouton. Le tissu élastique se détend tout de suite, ce qui fait apparaître un peu du décolleté. Apparaître n'est pas le mot exact, en fait. C'est juste que ce qui était visible en transparence est maintenant mis en lumière.

Parmi les spectateurs, quelques conversations à voix basse, de petits rires. On reprend.

Je refais mon petit manège, j'en rentre une mais fais exprès de rater l'autre. Anne reprend la baguette, mais déjà on peut remarquer que le bout tremble dans ses doigts. Tellement qu'elle ne fait qu'effleurer la blanche qui roule quelques centimètres et s'arrête. Encore un échec.

Je vise à mon tour, rate sans le vouloir. Moi aussi cette situation me trouble.

Au tour d'Anne. Cette fois ci le coup part droit, mais la boule frappée rate le panier. Oups. Deuxième échec. Elle se retourne vers moi, je la regarde sans rien dire. Tout le monde autour la regarde, en fait.

Elle me regarde dans les yeux, je hoche la tête. Elle défait un autre bouton.

Le tissu se détend de plus en plus, il ne reste que deux boutons. Le soutien-gorge et les seins ont l'air contents d'être un peu plus à l'air libre, c'est vrai qu'il fait chaud ici.

Le groupe de spectateurs est un peu plus dense autour de nous. À mon tour de nouveau. Encore une, puis à mon deuxième coup c'est moi qui empoche la blanche. Je me tourne vers Anne avec un sourire et un regard d'interrogation.

Un bon trente secondes de silence, puis elle se mord la lèvre en me regardant, tremblante, et reprend le jeu. Sa tête lui dit non, mais sa chatte lui dit oui.

Pour son prochain coup, la boule blanche est assez loin du bord de la table pour qu'elle soit obligée de se pencher loin devant, la croupe bien cambrée, les coudes sur le feutre. Les quelques joueurs de l'autre côté de la table sourient de voir son soutien-gorge noir déborder largement du chemisier partiellement déboutonnée alors qu'elle se penche pour aligner son coup. Derrière elle, le barman et moi avions une très excitante vue de ses cuisses au dessus des bas, jusqu'à la culotte, la jupe remontant inexorablement alors qu'elle cherche à se hisser sur la pointe des pieds pour mieux viser.

"Si tu lèves cette jambe là et que tu tends celle-ci," lui dis-je en frôlant délicatement l'intérieur de chacune de ses cuisses sous la jupe avec le bout de ma baguette, déclenchant un frisson et un petit hoquet surpris de sa part, "tu pourras mieux te placer pour viser".

Son coup part, bien assuré, mais après que la blanche aie frappé la 7 pour l'envoyer dans le panier du coin, elle continue doucement son chemin vers l'autre coté au centre, pour venir s'appuyer sur la noire qui était restée au bord du panier latéral, et la fait tomber à l'intérieur.

Elle hésite, se retourne vers moi, tremblante d'excitation honteuse, et demande :

"Euh... Encore un bouton comme tout à l'heure?"

"Non. Ça c'était la noire. C'est une faute majeure qui termine la partie. Mais je suis bon prince, je te laisse le choix. Ton soutien-gorge ou ta culotte. C'est toi qui décide."

Elle a les yeux écarquillés de surprise et tremble, ses bras ont la chair de poule. Les spectateurs qui observent notre partie ne comprennent pas notre conversation mais devinent la tension sexuelle dans l'air. Elle pose sa baguette et fait quelques pas hésitants en direction des toilettes.

"Non Anne, pas par là. Ici."

Elle est figée. Je la prends par la main pour la ramener à côté de la table. Les musiciens qui se venus se joindre au groupe se spectateurs ainsi que les autres clients l'observent attentivement. Puis, avec ses yeux mouillés fixés dans les miens mais en évitant de croiser le regard des autres, elle glisse ses deux mains sous le rebord de sa jupe, dévoilant la lisière de ses bas. Elle descend lentement sa petite culotte noire le long de ses jambes, les genoux collés, un pied un peu devant l'autre, puis fait un pas pour la dégager de ses bottillons. De la part des admirateurs autour, quelques sifflements discrets, quelques grognements d'appréciation, des sourires. S'assurer de ne pas trop attirer l'attention, pour ne pas que ça s'arrête. Mais ne rien rater du spectacle.

La jupe est retombée en place à la lisière des bas. C'est dans les limites de la décence. Pour l'instant. Je prends sa culotte de sa main et la plie comme un mouchoir de soie, que je glisse dans la poche de la poitrine de ma veste. Anne est morte de honte, elle tient son visage dans ses mains. Mais j'ai remarqué, en la pliant, que sa culotte est mouillée. Honteuse, certes. Mais excitée.

Je regarde le gars qui nous a laissé jouer plus tôt, et je lui demande :

"Mind if we play another one? (3)"

"Be my guest," qu'il répond avec un sourire carnassier.

Je place les boules de nouveau avec le triangle. Pendant que je fais ça, une grande fille ronde habillée en cuir avec des bas résille, du rouge à lèvres noir et un piercing dans le nez, accompagnée d'un colosse barbu, s'approche pour caresser une des cuisses d'Anne de la main, et me dit :

"Nice. Is she your slut? (4)"

Je lui réponds :

"I don't know that she's anybody's slut, we met only recently"

Elle se penche à l'oreille d'Anne, toujours une main sur la cuisse, et lui dit:

"Well sweety, if it doesn't work out with him, perhaps you could be my slut. I would like that."

Elle s'écarte en souriant mais reste pour observer la suite.

Deuxième partie. Je casse, et entre deux boules avant de rater ma troisième. Anne doit se placer du côté de la table face au bar pour son coup. Elle essaye tant bien que mal de ne pas se hisser trop sur ses jambes de peur de dévoiler un peu trop son intimité. Je remarque que quelques clients assis se penchent vers l'avant pour tenter de voir sous la jupe. Il y en a même un qui tient son téléphone près du sol pour essayer d'avoir une contre-plongée.

Anne rate son premier coup, trop nerveuse. J'en rentre encore deux, rate ma troisième. Anne en entre une mais la blanche suit la boule visée jusque dans la poche.

Elle me regarde, porte ses mains au troisième bouton. La tension autour est palpable.

"Non. Remonte la taille de ta jupe de cinq centimètres."

Ses yeux sont pleins d'eau, elle me regarde, tétanisée, puis porte ses mains à ses hanches et fait remonter la taille de sa jupe par petits coups successifs. La lisière de ses bas est maintenant complètement découverte, ainsi que deux centimètres de peau. Il y a pas mal de téléphones sortis maintenant, quelques flashes, certains ont la petite lumière allumée pour le mode vidéo.

Je reprends. Encore une de rentrée, puis je rate. Au tour d'Anne. Elle doit encore se pencher et se hisser sur la pointe de ses bottillons. Certaines personnes se déplacent de son côté de la table pour mieux voir. La jupe est remontée assez pour dévoiler la naissance de jolies fesses rondes, et on devine dans la pénombre la fente de sa chatte alors qu'elle se penche. Avec la lueur d'un flash de téléphone, on voit un reflet luisant de cyprine qui coule entre ses cuisses.

Elle tremble tellement qu'elle effleure encore la blanche sans effet. Dès que son coup est manqué, elle se redresse, tire sa jupe vers le bas et serre les cuisses. Une larme de honte coule sur sa joue.

J'en rentre encore une mais je rate la suivante.

Anne reprend la partie, elle n'a pas trop à se pencher et son coup est un peu mieux assuré. Elle en rentre une, puis à son tout fait entrer la blanche à la suite de son deuxième coup.

"Défait le bouton du bas cette fois".

La rumeur s'est propagée, presque tous les clients sont autour de la table pour regarder Anne défaire le bouton. Maintenant, le chemisier ne tient plus que par un seul à la base de ses seins. Le ventre est découvert jusqu'à la taille de sa jupe, le léger chemisier de tissu extensible s'est naturellement rétréci, le bas de son dos est également dénudé.

C'est à mon tour, j'en rentre deux. Il ne me reste que la noire. Elle est difficile à manquer, près d'un panier latéral, la voie dégagée. Je m'aligne pour viser, puis je tourne mon regard vers Anne, fixe mes yeux dans les siens. Cinq secondes de délai, et je tire sans même regarder. J'entends le choc de la blanche sur la noire, et j'entends la noire tomber. Anne a un sursaut, et porte ses mains à sa bouche pour étouffer un "Haaanh!" d'excitation honteuse.

"J'ai gagné. Enlève ton soutien-gorge."

Elle n'ose pas bouger, elle tremble fort. Je me rapproche d'elle. Je défais son dernier bouton, puis en me collant contre son torse, offrant un semblant d'intimité, je lui retire son chemisier. Elle a caché son visage sur mon épaule alors que je dégrafe son soutien-gorge, puis fait glisser les bretelles en caressant ses épaules.

Je prends le soutien-gorge dans une main, toujours collé contre elle, puis lui repasse son chemisier, un bras à la fois. Dès qu'elle le peut, elle me prend par la taille pour se coller à mon torse. Je lui dépose un petit baiser dans la nuque.

Je ramène mes mains sur ses seins, et je rattache son troisième bouton tout en les caressant.

"Le dernier bouton a résisté au combat. Bravo."

Ses seins lourds et bien ronds sont parfaitement dessinés à travers le fin tissu tendu. Ses mamelons sont tellement durs qu'on dirait qu'ils vont percer le tissu.

Elle relève la tête vers moi, des larmes dans les yeux. Je penche mon visage vers elle, je lèche une de ses larmes sur sa joue et l'embrasse. Elle colle sa bouche contre la mienne très fort, sa langue pénètre mes lèvres et vient trouver la mienne. Son corps est agité de spasmes alors qu'elle me serre très fort par la taille. Je prends la taille de sa jupe dans mes mains et la remets en place délicatement. Le jeu est fini. Je suis fier d'elle.

J'aide Anne à enfiler son blouson, qu'elle zippe. Le public comprend que le spectacle est fini. Des applaudissements, des sifflements plus du tout discrets. Je prends Anne par la main pour l'emmener vers la sortie. Le barman me dit au passage :

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