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Cliquez iciSes trois orifices comblés, elle connaissait spasmes sur spasmes, orgasme sur orgasme, son vagin s'emplit le premier, elle continua de téter le chibre de Mi-loud, par mimétisme son cul se mit à l'œuvre, il trayait véritablement le vit
de Charles.
Bientôt ils ne purent plus résister et simultanément ils se vidèrent à gros bouil-lons qui dans son cul, qui dans sa bouche.
Epuisés tous trois tombèrent sur le lit ou encore emmêlés ils restèrent dix bon-nes minutes dans cette position à la recherche de leur souffle .
Enfin les trois voyous se relevèrent .
Comme Françoise fourbue restait allongée, Miloud l'invita à les raccompagner sur le pas de porte .
Là à poil et à genoux elle embrassa une dernière fois leurs queues luisantes
tandis que Miloud lui fixait ses dernières recommandations :
- A l'avenir, au boulot, bas et porte-jarretelles, mais toujours cul nu, toujours disponible. Profite de ces deux jours pour te reposer, vendredi dès ton arri-vée à l'IME tu viendras dans sa chambre que je vérifie ta tenu!
Sur ces derniers mots ils la quittèrent .
Il lui restait une petite heure pour remettre de l'ordre, laver le jeté de lit couvert de foutre, aérer pour chasser cette odeur lancinante de baise, prendre son bain, relaxer son corps et surtout réfléchir à ce qui lui arrivait et aux façons de s'en sortir au moindre mal .
Elle terminait à peine lorsque Francis ramena ses enfants.
- Fatiguée? Lui lança-t-il avec une pointe d'insolence tout à fait inhabituelle, au vu de ses yeux largement cernés de bistre.
Etonnée de cette familiarité soudaine de la part de ce grand dadais habituelle-ment timide, elle rougit et soupira :
- Oui... Le travail... Les enfants... se promettant de se remaquiller rapidement.
Cette grande bringue de Francis, en toute innocence?, avait mis le doigt sur un détail qui pourrait bien intriguer son mari plus soupçonneux, plus retors que ce jeune puceau, et ça, il ne le fallait à aucun prix.
Coulybaca
Texte personnel