Un Étranger Dans Un Bus

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Histoire brève dans un bus.
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Traduction d'un texte de Cockhole.

*****

Le vol de Miami à notre domicile a duré deux heures environ. Mon mari et moi avons passé de très bonnes vacances aux Bahamas, une escapade tout compris qui fut romantique et agréable, une pause bien méritée dans notre routine quotidienne. Nous sommes restés quelques jours chez des amis à Miami, puis nous avons pris notre avion pour le retour. Après avoir débarqué nous sommes en chemin pour récupérer notre voiture.

- Trouvons le bus pour le parking ! Où sommes-nous garés ? Place 28 dans la zone D, non ? Me demande mon mari Stephen en essayant de se souvenir.

- Je crois, oui ! Dis-je en vérifiant dans mon portefeuille.

- Oui c'est ça, bonne mémoire mon chéri ! Ajouté-je en souriant.

Nous nous dirigeons vers l'extrémité du terminal. Nous sommes aux vacances de printemps et l'aéroport est très fréquenté. Il faut que nous prenions un bus qui fait la navette jusqu'au parking éloigné pour le stationnement longue durée. Ces bus, avec leurs conducteurs enfermés dans leur cabine insonorisée, tournent toute la journée et déposent ou ramassent des passagers pour la liaison entre l'aéroport et les différents parkings.

J'essaie du mieux que je peux de suivre mon mari sur mes talons de dix centimètres. Mes vêtements ne sont pas faits pour marcher vite. Je porte une robe d'été courte de couleur beige avec des tournesols. Elle est très décolletée et elle m'arrive à mi-cuisse. Je porte aussi une chemise bleu clair qui me sert de veste légère pour cacher mon décolleté vertigineux aux autres passagers. Stephen aime que je sois sexy en vacances et je sais que je le suis aujourd'hui, car je ne porte pas de soutien-gorge.

Alors que nous approchons des bus, Stephen se précipite en avant en supposant que je suis juste derrière lui. Il monte dans un bus et se retourne pour me voir à une dizaine de mètres alors que les portes se referment. Il fait la moue et me fait signe de l'appeler. Je lui envoie un texto : « Ne t'inquiète pas chéri ! Je prends le prochain, je sais où aller ! »

Il me répond avec une émoticône souriante.

Je me détends en me disant que je n'ai plus besoin de me presser. Je jette un coup d'œil autour de moi et je vois qu'un grand nombre de personnes se rapprochent de l'endroit où le prochain bus va s'arrêter. Je les accompagne.

Avec mon bagage à main derrière moi, je me précipite dans le bus quand il ouvre ses portes. Des passagers sortent d'un côté alors que nous entrons de l'autre. Comme je m'étais bien placé devant, je me dirige immédiatement vers l'arrière où il y a moins de personnes. Je passe mon bagage à main devant moi et je recule dans un coin du bus.

La sonnerie indique la fermeture des portes et un écran affiche la position du bus par rapport à l'aéroport. Je cherche le parking de la zone D. Le bus est actuellement dans la zone A. je me détends et je regarde autour de moi alors que le bus démarre.

Il y a au moins deux douzaines de personnes dans cet espace bondé : des hommes et femmes d'affaires qui regardent leur téléphone, une famille avec deux enfants qui semblent bien fatigués, deux paires d'étudiants en voyage... Il n'y a pas de place pour bouger et tout le monde est serré contre son voisin. c'est assez inconfortable.

Je regarde mon téléphone et je le remets dans une poche de mon sac à main. Puis je place celui-ci sur ma petite valise. C'est à ce moment que je me rends compte qu'il y a quelqu'un derrière moi.

Au début, c'est juste le sentiment de la présence de quelqu'un, puis une odeur d'eau de toilette forte et inconnu et la sensation d'un corps derrière le mien.

« Comment ai-je pu ne pas le remarquer ? » me demandé-je. Je me retourne un peu en ajustant ma chemise pour voir qui est derrière moi. Il s'agit d'un homme noir plus âgé en chemise noir et pantalon. Il se tient contre la paroi du bus et regarde par-dessus moi. Sa couleur de peau et ses vêtements font qu'il se fond dans l'ombre du coin du bus.

Je souris en ne voulant pas qu'il se sente gêné par le fait qu'il soit là, puis je me retourne pour faire face au reste du bus. Et je j'y pense plus.

Le trajet en bus est assez brutal et le véhicule oscille dans un rythme inconfortable. Je lève les yeux pour voir notre progression vers ma destination quand je sens quelque chose. Je sens deux mains se poser légèrement sur mes hanches.

Je me retourne un peu, mais cette fois je ne vois pas l'homme. Il s'est rapproché de moi. Mon cœur bat plus vite à chaque seconde qui passe où il n'enlève pas ses mains. La possibilité qu'il ne s'agisse que d'un simple accident (un homme âgé qui a perdu l'équilibre et tend la main pour se tenir) disparaît à chaque instant. Je comprends qu'il a volontairement posé ses mains et qu'il les y garde volontairement aussi.

Je prends quelques respirations profondes et je regarde dans le bus, mes yeux brillants recherchant frénétiquement quelqu'un qui peut voir ce qui se passe. « Quelqu'un me touche ! Vous ne le voyez pas ? » Crié-je dans ma tête. Puis je me calme. c'est un lieu public. Rien ne peut m'arriver ici. J'éclate presque de rire. Puis je pense : « Qu'est-ce qu'il fait de grave de toute façon ? ». Je suis perplexe face à deux choses : Premièrement, pourquoi me touche-t-il les hanches dans un bus public et deuxièmement, Pourquoi je le laisse faire, pourquoi je ne le remets pas à sa place ?

Les mains de l'homme ne sont sur mes hanches que depuis quelques instants, mais j'ai l'impression que mon esprit réfléchit depuis une heure sur cette situation. Je décide de ne rien faire. Ce n'est pas grave après tout, il tient juste mes hanches. Pas besoin d'envisager le pire. Je prends une profonde inspiration pour me détendre.

C'est alors que ses mains quittent ma taille. Je soupire de soulagement. Comme je le pensais, ce n'était rien. Je souris et je relève mon sac à main qui glisse du bagage à main.

Soudain, j'ai des frissons dans le dos. Ses mains sont de retour. Elles effleurent mes côtés, près de ma cage thoracique et elles caressent lentement mon torse.

« Oh mon Dieu non ! » Pensé-je. Il déplace ses mains de mes côtés jusqu'en dessous de mes omoplates. Je les sens bouger dans mon dos et le haut de mon corps.

Je respire plus rapidement. Maintenant il agrippe fermement les côtés de mes seins double-D qui n'ont pas la protection d'un soutien-gorge. Il tient les côtés de mes seins dans ses mains cachées entre ma robe et la chemise que je porte comme veste. Personne ne peut voir ses mains en dessous.

Je me retiens de pisser dans ma culotte. « Qu'est-ce qu'il veut ? » me demandé-je. Je tourne la tête pour essayer de le regarder, mais encore une fois, il est trop près. Mon cœur bat si vite que je peux l'entendre résonner dans ma tête. Mon corps me picote comme si je ressentais des petites décharges électriques.

Je regarde les gens dans le bus. Personne ne me regarde. Ils sont tous dans leur monde. Je n'arrive pas à croire que ce connard est autant de couilles. Putain, qui peut faire ça ?

Ses doigts ne sont pas encore au niveau de mes mamelons, mais s'il avait pu les toucher, il se rendait compte qu'ils sont d'une dureté embarrassante. Mais il se contente de bouger ses mains pour tâter les côtés incurvés de mes seins.

Je réagis en m'éloignant de lui. Je fais un pas vers la femme qui me tourne le dos, mais dès qu'il sent mon mouvement, il me tire encore plus près de lui.

Maintenant, je suis en pire posture qu'avant. Je suis encore plus dans le coin arrière qu'auparavant et son corps est pressé contre le mien. Je pousse un cri silencieux de désespoir. Pourquoi cela m'arrive-t-il ? Que dois-je faire ? Pourquoi je me sens si impuissante à réagir ? Je pourrais élever la voix et dire « Arrêtez de me toucher ! ». Il baisserait alors les mains alors que tout le monde regarderait et je pourrais m'éloigner.

Mais je ne le fais pas, et à ce moment-là, je ne comprends pas pourquoi.

Je lève les yeux vers l'écran et je vois que nous ne sommes qu'à mi-chemin de la zone B. Le temps semble s'être arrêté alors que je me fais tripoter. Pourquoi personne ne le remarque et ne fait quelque chose pour l'arrêter ?

Alors que des centaines de pensées traversent mon esprit, l'homme assure une fois de plus son emprise sur moi. Je sens clairement quelque chose d'épais et de ferme se presser contre mes fesses. En un instant, je réalise qu'il s'agit de sa grosse bite bien dure. Il presse son entrejambe contre moi alors qu'il tient mes seins.

Le bus rebondit sur une bosse et tout d'un coup son érection glisse entre mes fesses. Je peux le sentir palpiter dans ma raie.

J'essaie de m'éloigner de ses hanches, mais ce mouvement ne fait qu'écarter un peu plus mes fesses. Il en profite pour fermement loger son sexe entre elles. Même avec ma jupe et son pantalon, je peux sentir sa bite entre mes fesses. Je deviens folle. Il faut que je fasse quelque chose avant que quelqu'un le remarque. Je suis plus préoccupée par le fait d'être découverte que par la perspective d'être tripotée. « C'est fou » Pensé-je.

Puis je me dis que ça sera bientôt fini. Qu'il va simplement me toucher alors que nous sommes debout et qu'il me laissera tranquille ensuite. Cependant ce n'est pas ce qui se passe.

Le bus s'immobilise finalement dans la zone B. Je baisse la main pour saisir mon sac à main et ma petite valise tandis que la moitié des passagers sortent. Mon plan est de sortir, prendre le prochain bus et rejoindre mon mari dans la zone D.

Tandis que je commence à avancer, les grandes mains noires se déplacent pour couvrir entièrement mes seins sensibles. Il saisit chacun de mes globes à pleine main et il me tire en arrière et me tient immobile à l'arrière du bus.

Je ne crie pas. Non je ne crie pas. Et je n'utilise pas mon coude pour le frapper, pour essayer de me libérer. Je ne me débats pas non plus. Je ne fais rien. Je reste immobile. Je me fige alors que ses mains tripotent mes seins, les serrant et les pinçant. L'homme continue à enfoncer sa grosse bite entre mes fesses et je reste là comme une victime effrayée à l'autoriser de me toucher. Je ne bronche pas, je ne recule pas, je n'avance pas. Je suis figée comme une statue. Je n'ai aucune idée de ce qu'il va faire ensuite.

De nouveaux passagers montent dans le bus. Je cherche des yeux ceux qui pourraient voir le mouvement sous ma chemise de mains en train de malaxer mes seins. L'homme est assez brusque. Ma chemise bouge alors qu'il tripote ma poitrine sans vergogne. Mon mari ferait une crise cardiaque s'il me voyait.

Je sens un frisson parcourir ma jambe. Une brise fraîche semble pénétrer à l'intérieur de mes cuisses. Je me penche discrètement pour découvrir à ma grande horreur que je suis mouillée. Je mouille au point que du jus de ma chatte coule le long de ma jambe.

C'est à ce moment que je réalise que je suis excitée. Je sens une décharge électrique me traverser. Je gémis silencieusement et je ferme les yeux. J'ai le vertige. Je sens alors ses mains quitter mes seins, mais au lieu de me sentir soulagée, je sens comme un vide. « Où sont ses mains ? » Me demandé-je dans ma tête.

Je peux sentir un mouvement derrière moi. Le bas de ma robe courte se soulève et je sens un courant d'air sur la peau exposée de mon cul. Des doigts épais se glissent entre mes jambes. Ils écartent mon string et le tirent sur le côté.

Je respire plus vite et je ferme légèrement les yeux. J'écarte mes jambes. Qu'est-ce que je fais ?

Ensuite il est là et explore mon anatomie. Je sens le bout de son pouce se poser sur mon petit trou du cul alors que deux doigts géants pénètrent ma chatte inondée.

Je gémis de surprise, mais je couvre ce bruit avec une toux improvisée. Personne se semble s'apercevoir de ce qui se passe.

Je sens le souffle de l'homme près de mon cou. Sa voix vibre doucement près de mon oreille :

- Tu es à moi maintenant, jolie fille !

Sa voix m'envoie des frissons dans le dos. Je manque m'effondrer sur sa main alors que je la veux au plus profond de moi au lieu qu'il me taquine ainsi. Je regarde tout autour les touristes, les hommes d'affaires, les familles, personne ne regarde. Personne ne sait.

Son pouce quitte mon trou du cul, puis plonge dans ma chatte dégoulinante. Puis il le remet sur mon cul et pousse. Que dois-je faire ? Malgré la contraction de mon sphincter, son pouce mouillé de mon jus glisse à l'intérieur. Je sens mon petit trou s'adapter à cette intrusion autour de la première phalange de son pouce.

Puis les deux doigts dans ma chatte sont rejoints par un troisième. Je tremble. Bientôt ma chatte s'étire autour de quatre doigts épais et rugueux tandis que l'homme remue son pouce dans mon cul.

« Oh mon Dieu, c'est tellement horrible... Je ne peux pas croire à quel point je suis excitée » Pensé-je.

Je sais qu'à ce moment, je baiserai volontiers ce vieil homme noir devant toutes les personnes présentes. Je les pousserais tous sur le côté et je chevaucherai sa bite. Je crierai et j'adorerai ça.

Je ne suis pas et je n'ai jamais été une salope. Je peux contrôler mes désirs sexuels et j'ai toujours choisi mon partenaire. Je ne réponds jamais aux hommes qui flirtent avec moi tous les jours alors que je fais des courses ou que je boive un café. Je ne suis pas une femme dévergondée. Je suis une épouse dévouée.

Tout ça est bien vrai, mais à ce moment-là, dans ce bus bondé, je suis la salope de cet homme. Je suis totalement sous son contrôle et je consens volontairement à ses avances sexuelles.

A l'arrière du bus, je suis debout dans un coin et je pousse mes fesses contre sa main très habile. Il a de nouveau sa main gauche sur mes seins. J'attrape un poteau près duquel je suis et je pousse de nouveau mon bassin sur sa main. Je me prépare à un premier orgasme en tenant fermement le poteau.

En levant les yeux, je peux m'empêcher de regarder briller mon alliance sur ma main qui tient le poteau alors que je pousse mon cul sur la main noire.

Sentant ma chatte s'ouvrir en grand et accepter tout ce qu'il peut offrir, je fais pivoter mes hanches et je fléchis légèrement pour m'enfoncer sur ses doigts. Il faut pénétrer un peu plus son pouce dans mon cul et j'ai l'orgasme le plus silencieux, et pourtant le plus long et le plus intense de ma vie. Je frissonne et je convulse, je respire fort et je gémis le plus silencieusement possible. Mon jus coule sur sa main forte et j'en veux plus.

Tandis que je commence à reprendre mes esprits, je vois qu'il me soutient. Je vois aussi que le bus a ouvert ses portes. Sur l'écran, je peux lire « Zone C ».

D'autres personnes entrent. Je suis encore plus proche de l'étranger noir. Je sens ses mains me quitter. Ma robe est soulevée par-derrière. Une tige de chair brûlante glisse entre mes cuisses et bouge d'avant en arrière. Mon jus l'humidifie. Je lubrifie la bite qui est sur le point de me baiser dans le bus.

Il a sorti son sexe qui se trouve maintenant entre mes jambes et c'est foutrement bon. Ma robe doit être drapée sur son énorme membre dans mon dos. Je regarde tout autour pour voir si quelqu'un l'a remarqué. Mais personne ne nous regarde.

Je baisse les yeux. Il y a une grosse bosse sur le devant de ma robe. Elle remue et une tache sombre apparaît sur la fine étoffe. C'est sa bite et son liquide pré-éjaculatoire.

Ses deux mains sont sur mes seins, les pétrissant sans vergogne. Je suis à cheval sur sa bite et je frotte mon clitoris sensible et ma chatte contre elle. Ses doigts ont trouvé mes tétons qu'ils tordent et tirent. Je dois me mordre la lèvre pour ne pas crier.

Mon mari attend que je le rejoigne dans la zone D, mais mon corps ne veut pas bouger. Il ne franchit pas les portes ouvertes du bus lorsqu'il s'arrête et que l'affichage annonce la Zone D. Aucun autre passager ne monte, c'est la fin de la ligne. Le bus fait demi-tour et retourne vers les terminaux de l'aéroport pour récupérer d'autres passagers.

Je regarde les portes ouvertes. Je sais que mon mari m'attend au bas des escaliers juste en dessous du quai du bus, mais je suis incapable de bouger. Les portes se ferment. Maintenant nous sommes seuls dans le bus, à part le conducteur très loin de là, enfermé dans sa cabine insonorisée.

Je suis poussée au sol et je me retrouve sur mes mains et mes genoux. Je passe une main derrière moi et je soulève ma robe au-dessus de mes fesses et je la rassemble autour de ma taille. J'écarte largement les jambes pour mon amant noir.

Il attrape sa queue à la base et tapote mes petites lèvres dégoulinantes avec son gland. A chaque fois j'entends « splash ». On aurait dit que quelqu'un marche dans une flaque d'eau.

Il caresse ma chatte avec son gland avant de trouver l'ouverture. Il s'enfonce profondément en moi. Avec cette poussée, il met fin à dix années de fidélité à mon mari. Il me baise comme un homme qui sait ce qu'il fait. Il donne de longues et profondes poussées en moi, en saisissant mes fesses avec ses mains musclées. Je crie alors qu'il me remplit comme je ne l'ai jamais été auparavant.

- Baise-moi ! Crié-je, enfin capable de parler dans le vide du bus en mouvement.

- Prends cette bite, chérie ! Prends cette putain de bite ! Répond-il avec des mots que je n'ai pas l'habitude d'entendre pendant des rapports sexuels.

Ses mots me rappellent que nous sommes dans un monde à part, à part le partage de cet acte intime.

Son rythme devient plus rapide. Le sol du bus est usé, mais pas trop sale, alors j'appuie ma joue dessus. Le bas-ventre de l'homme tape contre ma chair douce. « C'est tellement mal! » Pensé-je avant de jouir.

J'ai un orgasme massif. Je me souviens regarder les fenêtres du bus à partir du sol, des claques sur mon cul, mais pas grand-chose de plus. Je ne sais pas pourquoi, mais je crie le nom de mon mari. L'homme ralentit la cadence. Lentement il s'enfonce en moi et se retire. Il n'a pas encore joui.

Je me relève et me tourne face à cet inconnu. Il me pousse précipitamment dans le coin. Il pousse mes épaules contre la paroi arrière du bus et il me coince.

Nous établissons un contact visuel pour la première fois alors qu'il me soulève légèrement, puis me repose sur son impressionnante bite. Il prend un moment pour baisser les bretelles de ma robe afin d'exposer mes seins lourds. Puis il commence à me baiser sérieusement contre la paroi.

Je le regarde droit dans les yeux. Il force sa bouche contre la mienne, mais je résiste. Mes gémissements étouffés nient notre intimité alors que sa bite claque dans ma chatte. Sa langue gluante mouille mes lèvres en cherchant à entrer dans ma bouche. Son haleine sent l'alcool et la cigarette.

Je cède enfin et nous nous embrassons. En pleurant des larmes de plaisir lubrique, je balance mon bassin sur son énorme bite noire. Nos langues virevoltent et glissent l'une contre l'autre. Il interrompt ce baiser et pose sa bouche sur mes tétons gonflés et dressé. Il suce chacun d'eux, appliquant assez de pression pour me provoquer un autre orgasme.

- Oh, oh, putain ! Baise-moi ! Baise-moi encore ! Pleuré-je en jouissant sur sa bite noire.

Ses coups deviennent plus profonds el la circonférence de sa bite devient plus large. j'ai l'impression d'avoir une tige d'acier brûlante dans ma chatte alors qu'il me pilonne. Je pose mes mains sur ses épaules ainsi que ma tête alors qu'il me remplit de son sperme.

- Oh c'est.. Tu... Putain... femme !

Il gémit encore plus mais ses paroles sont inintelligibles. Ses cris sont accompagnés de la sensation chaude de son sperme injecté dans mon ventre. Giclée après coups de rein, il me remplit sans relâche de son foutre. Je jouis une nouvelle fois alors qu'il gicle une dernière fois dans mon corps.

Nous nous embrassons une dernière fois avant qu'il ne se retire. d'un mouvement expert, il range sa bite dans son pantalon, ferme sa braguette et se rend de l'autre côté du bus.

J'utilise mon string pour éponger tout ce que je peux, mais il faut que j'ouvre ma petite valise pour trouver un tee-shirt et nettoyer le reste. Je sens le foutre de cet homme alors que je suis debout, accrochée au poteau du bus.

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