D'Innocentes Infirmières

Informations sur Récit
Pas si innocente que cela?
2.7k mots
4.5
3k
0
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cela faisait longtemps que je m'interessais à la chasteté masculine. Depuis que, au gré de mes pérégrinations sur les sites X, j'étais tombé sur le sujet. Et c'est vite devenu mon principal vecteur de masturbation sur le net. J'adorais les "captions" sur le sujet, sauvegardant les plus excitantes, et notamment celles définissant par des jeux ou des défis le temps a passer encore dans la cage.

Au début, cela fait des années maintenant, les prix de ces cages étaient prohibitifs. Puis sont apparues les cages plastique, moins chères. Je m'en procurais une, et jouais de temps en temps avec. Malgré tout, je n'étais pas un acharné. C'était plus une façon de m'exciter, et au bout d'un certain temps, bien échauffé, je la retirais pour me branler frénétiquement. La jouissance obtenue, je la rangeais dans sa boite. Je n'ai jamais passé ne serait-ce qu'une nuit entière dedans. Les érections nocturnes, trop douloureuses, me réveillaient, et je l'otais alors, sans quoi je n'aurais pas pu me lever le lendemain pour aller travailler.

Recemment, j'ai commencé à intensifier le port de la cage. J'ai réussi à la porter une nuit entière. J'ai pu ainsi constater que j'avais environ trois érections par nuit. J'étais réveillé à chaque fois par la douleur et la frustration.

Je ne l'avais encore jamais portée au travail. J'avais bien fait quelques "sorties" avec, du genre aller au supermarché, mais je n'osais pas au boulot. De peur que la journée soit trop longue, ou que quelq'un s'aperçoive de quelque chose.

Un jour je m'enhardis. Je la portais la matinée, mais des douleurs sous les testicules me firent la retirer avant de déjeuner le midi. Le lendemain, je retestais en ayant mis de la vaseline à l'endroit douloureux. Je réussis à la garder toute la journée.

Je pris désormais l'habitude de la porter tous les jours, et je m'autorisais de la retirer à la maison, pour la remettre la nuit.

Cela dura bien une quinzaine de jours, jusqu'à cet après-midi ou j'aidais une collègue aide-soignante à recoucher un malade difficile. Il tenait à peine sur ses jambes, était obèse et malheureusement le lève-malade était en panne. Nous nous y prîmes correctement, rapprochâmes le fauteuil au maximum du lit, mais vu la difficulté de la manoeuvre, nous n'eurent le choix pour que le patient ne finisse pas par terre que d'accélérer le mouvement pour l'asseoir un peu brutalement sur le bord du lit, en équilibre précaire. Ma collègue perdit l'équilibre et se retrouva à mon contact, une fesse au niveau de mon entrejambe. Cela m'était déjà arrivé quelquefois, et d'habitude cela entrainait des rires et une petite plaisanterie de circonstance.Cette fois, pas de rire, mais un regard furtif vers moi. Nous continuames la prise en charge du patient comme si de rien n'était, mais en silence.La journée se finit comme à l'accoutumée.

Le lendemain, j'hésitais à porter la cage. Ma collègue avait-elle compris de quoi il s'agissait?Avait-elle même senti quelque chose?

Dans le doute, je décidais de ne pas la mettre ce jour là, et de voir comment cette collègue se comporterait envers moi.Je me posais des tas de questions. Son comportement serait-il modifié?

Oserait-elle me poser des questions, ou à la manière féminine glisser une allusion furtive?

Mais la question qui me turlupinait le plus était de savoir si elle avait pu en glisser un mot à quelqu'un d'autre. Les rapports entre collègues aide-soignante et infirmières sont relativement spontanés, étant donné qu'elles passent beaucoup de temps ensemble et qu'elles aiment bien partager des confidences sur leurs vies respectives.

Ce jour suivant, j'étais donc à l'affût du comportement des unes et des autres à mon égard. Il y a bien quelques hommes dans le personnel, mais je pensais que si elle avait pu évoquer l'incident, ce serait davantage avec une copine avec laquelle elle aurait pu manifester davantage de connivence.

Je ne détectais rien de particulier. Celles qui me faisaient d'ordinaire la bise me la firent ce jour là ainsi que les suivants. Les autres me saluèrent normalement et la journée se passa comme les autres jours. La fameuse collègue se comporta également naturellement. Il me sembla que son salut fut plus fort que d'habitude, légèrement surjoué, mais sans en être certain.

Je ne portai pas la cage les jours qui suivirent non plus. Mais je m'empressais de la mettre sitôt arrivé chez moi, et la portai jusqu'au lendemain matin, la retirant avant de sortir de chez moi.

Il me fallut une semaine avant que je n'ose la remettre au travail, mais je la retirai au bout de deux heures, trop inquiet. Le lendemain, enfin, je la supportai toute la journée, et repris l'habitude de la porter tous les jours.

Il n'y eut rien de supect dans le comportement de mes collègues. J'eu parfois des doutes sur des regards légèrement obliques, mais j'attribuais cela à une paranoïa légitime après l'épisode malencontreux.

Un après-midi, une quinzaine de jours après le fugitif contact, une infirmière m'interpella alors que je passais dans le bureau infirmier. L'imprimante ne fonctionnait pas, et avant d'appeler le service informatique, elle me demanda si je ne pouvais pas essayer de voir d'où cela venait.

Je trouvais rapidement la solution et elle pu finir la tâche en cours. Elle me remerciat, avec une petite boutade sur mes talents de dépanneur, alors que ce n'était pas du tout mon métier.

Plus tard dans l'après-midi, je descendis fumer une cigarette, et retrouvais cette infirmière en train de vapoter, du côté des ambulances où nous avions l'habitude de faire nos pauses "aérosols".

Nous commençames à parler de chose et d'autre, puis elle revint sur le sujet de l'informatique.

-"tu t'y connais bien en informatique, quand même."

• "boh", je me débrouille, à force."

• "dis, j'ai un souci avec mon ordi, chez moi, tu crois que tu saurais y faire quelque chose?

Je me renseignai du problème en question. Ça n'avait pas l'air bien compliqué à solutionner.

-"ça t'embêrait de passer, à l'occasion?... tu me sauverais la vie" dit-elle avec un sourire charmant pour me motiver.

J'acceptais bien volontiers. J'aimais bien dépanner quand je le pouvais. Et puis elle était très jolie, ce qui motive forcement beaucoup plus un mâle de mon espèce.Elle s'appelait Céline, brune châtain aux yeux marrons très clairs et très expressifs, et j'avais souvent apprécié son cul lorsqu'elle marchait devant moi. Elle était fine mais son postérieur me semblait à peine plus dodu, légèrement ballotant. J'aurais adoré le voir sans sa blouse. Vu comme il ballotait, je m'imaginais qu'il devait être assez libre et qu'elle ne devait porter que des strings.

Nous convînmes du lendemain après ma journée de travail. Elle ne travaillait pas ce jour là, un vendredi, et m'attendrait aux alentours de 17 heures.

Je me présentais à l'heure dite, et elle m'accueuillit avec le sourire et une de ces plaisanteries facile dont nos contemporains ont la manie :

-"oh, mon sauveur... salut". Elle me fit une bise chaleureuse et me fit entrer.

Une de ses copines était là,Marion, que je connaissais également, une infirmière, avec laquelle elle essayait le plus souvent de travailler sur les mêmes quarts. Celle-ci me fit la bise également, mais plus distante. Elle ne me la faisait pas au boulot.

Elle m'offrirent un coca, puis, ne voulant pas m'incruster, je demandais à voir l'ordi, pour faire ce pourquoi j'étais venu.Je ne voulais pas importuner, essentiellement pour ne pas avoir l'air d'un gros lourd, un de ceux dont on se demande au bout d'un moment quand est-ce qu'il vont bien pouvoir déguerpir.

L'ordinateur s'alluma normalement, et je pus rapidement corriger le souci. J'en profitais, en ayant son accord, d'installer un ou deux logiciels pour pouvoir nettoyer un peu tout ça, et enfin prodiguais quelques conseils pour l'utilisation future de l'engin. Voilà, j'avais fini, j'allais prendre congé.

Je m'attendais à ce qu'elles me remercient et me raccompagnent à la porte avant de me souhaiter un bon week-end, afin de rester les deux ensemble et pouvoir continuer à discuter tranquillement entre elles.

Mais elles m'invitèrent à rester un petit peu, pour bavarder ;on n'avait guère l'occasion de bavarder davantage au boulot, c'était sympa de pouvoir se voir en dehors pour une fois. Je ne me fis pas prier et nous restâmes à parler boulot, des autres collègues, de leurs défauts, de petites anecdotes.

Nous écoutâmes de la musique sur youtube, y allant chacun de nos coups de coeurs, d'une découverte récente ou d'un tube bien pourri mais que nous aimions quand même.

Deux heures passèrent à toute vitesse. Elles me proposèrent de rester manger, un truc vite fait, juste pour pouvoir continuer à "délirer", le mot à la mode.

J'aimais bien ces deux filles. Je ne les connaissais pas bien, mais elles faisaient partie au boulot de celles que je préférais. Souriantes, sans histoires, et cette complicité qui les mettaient souvent de bonne humeur, une bonne humeur communicative.

Après le repas vite englouti, la discussion repris, moins vive. Elles me demandèrent ce que j'avais de prévu ce week-end. Rien de spécial. Elles commencèrent à plaisanter sur un ton plus grivois, le choix des clips sur l'ordi se firent plus suggestifs. Elles me questionnèrent sur mes goûts féminins, celles qui me plaisaient ou non au boulot. On se marrait vraiment.

-"tu restes avec nous ce soir"

la question, soudaine, m'interloqua une seconde.

-"on est bien, là. On pourrait continuer à s'amuser. "

je ne pouvais pas refuser. Je n'avais pas vécu cette situation depuis des années.

De fil en aiguilles, elles me réclamèrent un massage chacune. La première ôta son corsage, s'allongea sur le canapé, après m'avoir procuré de l'huile de massage. Rapidement, le soutien-gorge vint à gêner, et je le dégraffai. Je fis de mon mieux, lui prodiguant un massage le plus agréable possible, plus sensuel qu'un massage "professionnel", mais sans vouloir encore une fois être trop "lourd". Pendant ce temps, la deuxième mattait youtube, cherchant de la musique relaxante.

-"attends".

Elle esquissa le mouvement de se lever du canapé, attendit que je lui laisse la place puis elle s'assit, défit le bouton de son pantalon,et souleva juste les fesses pour ôter celui-ci. Elle acceptait ainsi d'offrir à ma vue sa poitrine. Un indice de connivence et de confiance supplémentaire. Je m'en délectait, sans en avoir l'air.Elle reprit place sur le canapé, sur le ventre, après avoir recalé un coussin sous le bassin pour n'être pas trop cambrée. Le soulevé de bassin pour passer le coussin fut divin.

-"tu m'ôtes mes chaussettes".

Ça peut paraitre con, mais lui ôter ses chaussettes me parut exquis, plus sensuel que le massage que je venais de lui prodiguer.

-"tu me masses les jambes?"dit'elle sur un ton candide et charmeur, le même qu'utiliserait une petite fille pour demander à son père :" tu m'achètes une glace, papa? ".

Je lui massai les jambes, lui massai les pieds, touchait ses mollets, palpai ses adducteurs. J'aurai pu la masser des heures.

La cage commençait à se rappeler à mon bon souvenir. Mon sexe commençait à s'y sentir à l'étroit.

Je l'endurais avec plaisir. Elle me renseignait sur mon début d'érection avant même que je n'aurais pu le sentir sans elle.Mes fantasmes de chasteté prenaient corps : j'étais avec deux jeunes femmes qui me plaisaient, à qui je semblais plaire également. La nuit était pleine de promesses et j'étais encagé. J'étais dans mes fantasmes, mais savais qu'au cas où je pouvais prétexter une envie pressante pour m'esquiver aux toilettes et retirer mon attirail.Courageux mais pas téméraire. Un petit joueur, en quelque sorte. Mais ça m'allait.

-"et mes fesses?" sur le même ton que "tu me masses les jambes?".

Je lui proposai de retirer la culotte, qui soit-disant m'aurait gêné.

Un nouveau soulevé de bassin, plus long que le premier, tout aussi divin, avec l'apparition brève de l'origine du monde.Toute nue, elle m'apparaissait sur le moment magnifique, plus belle qu'elle ne l'était en réalité. Bo Derek à poil et sous mes mains. Le paradis.

Je dus me concentrer pour continuer à la masser ailleurs que sur ces fesses qui m'attiraient les mains comme des aimants. Cela dura un bon moment. Sa collègue ironisait :-"faudrait pas que je vous laisse seuls tous les deux en ce moment, hein?"

Plus tard, elles interchangèrent. Marion se mis directement nue intégralement avant de s'installer pour son massage.

J'étais reparti à masser un nouveau corps. Céline ne s'était pas rhabillée et restait à côté de nous, me touchant souvent le bras lorsqu'elle me parlait, ou posant ses mains sur mon dos.

Elle disait qu'elle avait bien fait de me demander de venir depanner son ordinateur.Ce avec quoi j'étais totalement d'accord.

Je ne sais plus trop comment les choses ont évolué ensuite. L'une a proposé que je luis masse les seins, l'autre a entamé une danse érotique. Ma cage était désormais trop petite.

À un moment sans que je me souvienne exactement de comment elle en était arrivée là, elle m'a dit que ce qu'elle aimerait, ce serait de m'attacher et de profiter de moi, comme dans un scénario SM soft.

J'étais bien sûr partant. Je n'avais pas trop de craintes à avoir. Je les connaissais depuis plusieurs années, j'avais confiance en elles.

Le problème était la cage. Devais-je leur en parler tout de suite. Devais m'éclipser pour l'ôter.

-"ferme les yeux", sur un ton neutre.

Elles commencèrent à me faire des bisous sur les joues, et il fallait que je devine laquelle était-ce.

Après quelques instants, elles me dirent que nous serions mieux dans la chambre à coucher, mais que je n'avais pas le droit d'ouvrir les yeux et qu'elles allaient m'y guider. Une de chaque côté, elle me prire un bras pour m'accompagner dans le couloir.

.Arrivés dans la chambre, elles m'invitèrent à retirer mon tee-shirt, à garder mon pantalon et à m'allonger sur le lit, sur le dos. Je retirais mon tee-shirt, puis pretextait une précaution à prendre et demandais où étaient les toilettes. Elles me projetèrent sur le lit, me disant que cela ferait partie du scénario. En quelques secondes, dans une ambiance toujours aussi gaie, elles m'attachèrent les mains par deux paires de menottes aux barreaux en métal de la tête de lit, les bras bien écartés.

J'avais l'air malin. Plus moyen désormais d'aller retirer la cage et il allait me falloir leur avouer sa présence, le pourquoi de la chose, et mes fantasmes secrets.

-"il faut que je vous dise un truc..."

• "te fatigue pas, c'est au sujet de ta cage?"

Je tombais des nues.

-"surpris, hein. Ben oui, et on est pas mal dans le service à le savoir, depuis que la miss t'es tombée dessus.Maintenant tu vas nous la montrer?"me demanda-t-elle avec un grand sourire.

Je bredouillais quelques réponses idiotes.

-"aller, on te retire le fute, on a hâte de voir".

Elles me retirèrent le pantalon ainsi que les chaussettes. Mon slip boxer laissait désormais apparaitre une bosse dont les formes n'avaient rien de naturel.

Elles souriaient toutes deux.

-"écarte les jambes", me demanda Céline gentiment. Elles me lièrent les chevilles aux extrémités du pied de lit, en s'étant bien assurées que mes jambes étaient écartées au maximum.

Puis elles s'éclipsèrent. Céline revint avec un foulard avec lequel elle me banda les yeux.

-"on ne veut pas que tu voies notre tête quand on va voir la chose. On risque d'être ridicules".

Marion revint dans la chambre. Elles me demandèrent de soulever les fesses, et je les sentis glisser quelque chose sous mon dos. Le temps que je réalise, et elles fixaient autour de ma taille la ceinture passée dans mon dos.

-"très seyant", et elles rirent de plus belle.

Elles m'otêrent le foulard des yeux.

-"admire "

Ma taille était enserrée dans une de ces ceintures que l'on a à l'hopital, qui se ferment à la taille par un aimant, et qui servent à la contention des malades agités, et ne sont utilisées que sur prescription médicale.

Je commençais à m'inquiéter. Elles étaient bizarrement équipées, entre les menottes et la ceinture.

Le déroulement des opérations me fit penser que tout cela n'avait pu n'être que prémédité pour m'amener sans encombre dans cette situation.

-"ne t'inquiète pas", me dit gentiment la propriétaire des lieux, ayant senti mon stress.

-"on va passer une nuit torride dont on se souviendra "

-"c'est clair".

Sur ce, chacune de part et d'autre du lit, elle mirent en tension les extensions de la ceinture qui permettaient de fixer celle-ci aux bords de lit. Elles tirèrent au maximum.Céline

monta à quattre pattes sur le lit, et vint s'asseoir sur mon ventre. Marion vint s'asseoir sur mes cuisses.

-"tu aimes?"me fit-elle avec une petite moue des lèvres?

Ne voulant pas paraitre plus pleutre que je ne l'étais, je répondis que oui.

à suivre

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a moins d’une minute

Aaah mais c'est excellent ! La progression de l'histoire est très excitante et j'adore le ton. On aimerait connaître ces deux infirmières ! Merci et vite la suite

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Un Centre Pour Roux Ch. 01 Marguerite découvre des esclaves expérientées.
L'esclave Mystère Ch. 01 Peter découvre que ses désirs secrets sont connus...
La Seduction De La Baby-Sitter Ch. 01 Une étudiante est initiée au saphisme par une femme mariée
Les aventures de Patrice Patrice vie pour la première fois son fantasme.
La nouvelle vie de Christine Soumission d'une belle-mère.
Plus d'histoires