Des Cours Très Particuliers, E05

BÊTA PUBLIQUE

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Paola était restée dans cette position encore de longues minutes. Elle se fixait dans les reflets de la grande baie vitrée. Mélange fabuleux de stupre, le corps encore baignant de la sueur de la fornication avec un homme qui était en train de prendre toutes les virginités de sa fille.

Elle était comme fascinée par son image, par sa tenue indécente. Sans son chemisier, ses petits seins pointaient. Sa jupe était tirebouchonnée autour de ses hanches et son entrejambe était totalement nu. Elle ne portait plus que ses talons aiguilles et se dit qu'elle était encore plus obscène que si elle avait été totalement réellement nue.

Elle se méprisait d'avoir accepté de jouer ce jeu et surtout de le continuer. Que lui dirait Mégane lundi quand tout serait fini? Mais est-ce que tout serait fini? Elle savait que non et surtout elle savait qu'elle ne voulait pas que ça s'arrêtât.

CHAPITRE 9

Fernand Denau se posait beaucoup moins de questions existentielles. Il n'était pas encore midi et il avait faim. Il se baladait sur le cours principal de la ville, parallèle à la mer. Il eut alors envie de friture et connaissait un restaurant de poisson non loin de là.

Il traversa donc plusieurs petites ruelles toutes piétonnes. Cela faisait longtemps que la municipalité s'était mise en tête de chasser les voitures du centre-ville.

Le restaurant en question se trouvait dans une petite impasse à quelques rues du port. Il était plutôt connu des habitués et on avait rarement des places mais il avait ses entrées partout.

Le serveur le reconnut immédiatement et lui proposa une table, certes un peu excentrée, mais, compte tenu du fait que la salle était bondée, il prit cela comme un privilège.

En attendant son repas, il consulta la liste de ses élèves. Avec Alexandra il avait donc huit jeunes femmes. Il n'avait pas signé de contrat avec toute loin de là. Il ne travaillait effectivement qu'avec des jeunes femmes par plaisir mais, quand il voyait de vrais potentiels, qui se voyaient privés de s'exprimer faute de moyens financiers, une certaine fibre sociale se réveiller en lui.

Il leur offrait la chance d'exprimer ces potentiels. Il n'y avait aucun plaisir à profiter de la faiblesse des gens aisés. Que des Mégane ou des Alexandra se sentirent humiliées de devoir se soumettre à un homme n'était pour lui qu'un juste retour des choses compte tenu des chances qu'elles avaient dans la vie et qu'elles étaient en train de gâche.

Qu'une Yasmina se vit refuser l'entrée à des écoles dont elle avait parfaitement le niveau juste parce qu'elle avait le mauvais nom parce ou que certains directeurs s'imaginaient faire pression pour obtenir des avantages en nature le dégoûtait. Cela pouvait paraître totalement illogique compte tenu de ce qu'il imposaient à celles qui avaient accepté ses contrats mais il était comme ça et ne cherchait plus à s'expliquer son fonctionnement.

Il termina de lister ses élèves alors que le serveur lui apportait son premier plat. Ce fut à ce moment-là qu'il remarqua les deux jeunes femmes qui venaient de rentrer. Elles étaient proches de la trentaine et l'une d'entre elles se fixa en le voyant.

Il sourit simplement en reconnaissant l'une de ses anciennes élèves qui avait signé un contrat. La jeune femme se transforma en statut de sel le voyant et il put voir de loin que ses mains tremblaient. Elle se retourna vers son amie, lui glissa quelques mots dans l'oreille et les deux firent immédiatement volte-face.

Certaines de ses élèves comme Sophie continuaient le jeu même quand elles n'étaient plus liées par le contrat et d'autre préféraient rapidement l'oublier mais cela ne le dérangeait pas plus que ça. Cette jeune femme qui avait réussi de belles études pouvaient tout faire pour l'ignorer maintenant mais, durant toutes les années il avait été son élève, elle s'était soumise à toutes ses volontés et elles avaient été plus que variées.

CHAPITRE 10

Mégane ne resta pas toute la journée dans sa chambre à pleurer. Aux alentours de midi, Charles vint la chercher et lui proposa de venir de déjeuner dans le grand jardin. Elle retourna donc à proximité de ce grand lac où, la veille, elle avait vécu un de ces moments féeriques qui alternait souvent avec des moments plus douloureux.

On lui servit un nouveau un repas copieux dont elle apprécia chaque bouchée mais gardait quand même la mine sombre en pensant ce qui l'attendait dans la soirée.

Une fois le repas terminé, elle se mit à flâner un peu dans cet immense jardin. En l'arpentant, elle se dit que sa maison aurait pu tenir trois fois dans un tel lieu et réalisa à quel point le luxe vous pouvez devenir exagéré. Elle avait été élevée dans une famille aisée et n'avait jamais manqué de rien mais elle réalisait à ce moment-là qu'il y avait des personnes beaucoup plus riches et puissantes.

Elle se dit alors que tout ce luxe n'était peut-être pas seulement un moyen de frimer pour Fernand Dernau mais, au contraire, un moyen de montrer à ces élèves à quel point il leur était supérieur. De les faire se sentir toutes petites. Est-ce que sa mère avait ressenti la même chose la première fois qu'elle était venue en ce lieu?

Une idée étonnante lui traversa l'esprit. Est-ce que sa mère, qu'elle avait toujours cru amoureuse de ton père, ressentait autant de plaisir qu'elle quand elle faisait l'amour avec Fernand Dernau? Étrangement, cela la choquait plus encore que tout ce qu'elle avait elle-même dû subir.

Le soir arriva trop vite et, vers dix-huit heures, Mégane retourna dans la chambre. Elle ne savait pas vraiment ce qu'elle devait faire mais Sophie lui avait dit qu'elle viendrait à dix-neuf heures trente.

La jeune femme se contenta donc d'allumer la télé et de la regarder sans vraiment se concentrer sur ce qui se passait à l'écran.

À l'heure dite, on tapa à la porte et Sophie attendit sagement le « entrer » pour la pousser. Elle affichait toujours ce sourire réconfortant mais semblait bien plus à l'aise que dans la matinée. Mégane avait accepté et elle ne se posait plus de question. La jeune lycéenne était toujours assise sur le lit, indécise.

Vous allez devoir enlever votre robe et votre culotte si vous en avez une, dit-elle presque clinique. Allongez-vous ensuite sur le ventre! Je m'occupe du reste. »

La jeune femme s'exécuta. Elle retira la robe qu'elle portait et le petit string en dessous. Elle s'allongea sur le lit en la tête sur le côté, évitant de croiser le regard de la fausse servante.

Sophie s'approcha et s'assit à côté d'elle sur le lit. Elle prit le flacon de pommade et, doucement, commença à induire le fessier de la jeune femme. Une douce de chaleur envahit celles-ci puis Mégane sentit des doigts qui s'insinuaient entre ses fesses. Elle releva un peu la tête quand ils vinrent cogner contre son anus et poussa un petit cri quand ils s'enfoncèrent.

Ne vous contractez pas! Conseilla Sophie. Il faut que j'induise l'intérieur de votre anus sinon cela ne servira à rien. C'est là que la douleur sera maximale. »

Sophie gardait un ton très anodin. Mégane ne devinait aucune perversité ni aucun plaisir dans ses propos mais non plus aucune gêne. Elle était en train de lui enfoncer le doigt dans les fesses mais prenait cela comme un acte professionnel. De nouveaux, Mégane se demanda ce que cette jeune femme avait pu connaître avec Fernand Dernau pour être ainsi et elle se rappela aussi qu'elle était désormais là sans aucun contrat. Par pur plaisir.

Elle sentit la chaleur qui envahissait le contour de son anus mais aussi l'intérieur de ses intestins indiquant que Sophie y avait déposé la pommade. La jeune servante ne mentait pas. Mégane ressentit une étrange impression. Ces régions de son corps n'étaient pas particulièrement sensibles mais elles venaient de s'endormir et elle eut presque l'impression qu'elles avaient disparues.

Fernand ne va pas tarder, dit-elle alors qu'elle retirait ses doigts de l'anus de la jeune lycéenne. Préparez-vous! Ne mettez pas de culotte! Ce sera mieux. La pommade devrait agir pendant trois ou quatre heures. Je pense que, de toute manière, tout sera fini dans une heure. »

Elle eut alors un geste qui aurait pu paraître obscène. Elle passa les mains sur les fesses de la jeune femme mais ce fut juste un frôlement comme une sorte de gestes de réconfort comme quand elle posait sa main sur son épaule.

Mégane serra les dents mais ne dit rien. Sophie quitta prestement la chambre et elle se dirigea dans l'immense dressing attenant. Charles lui avait précisé dans la journée que toutes les robes déposées dans ce dressing étaient à sa taille et qu'elle pouvait choisir celle qu'elle voulait pour la soirée qui devait être la dernière de ce week-end.

CHAPITRE 11

Toutes les robes étaient magnifiques, fabuleusement décolletées et très ajustées. Dernau ne lui laissait pas vraiment le choix et tenait à ce qu'elle fût, une nouvelle, fois très sexy.

Elle choisit une robe de couleur sombre avec un décolleté qui mettait pleinement en évidence sa poitrine. Si le bas de la robe descendait jusqu'à ses chevilles, elle était terriblement ajustée. Elle lui collait littéralement à la peau et le dessin de son string, elle avait décidé de ne pas écouter les conseils de Sophie et ainsi de défier la volonté de cet homme, apparaissait nettement au travers du fin tissu. Elle avait un peu l'impression d'être nue avec ce vêtement.

La seconde servante dont elle ne connaissait pas le nom vint la chercher un peu après vingt heures. Comme annoncé par Sophie, Dernau était arrivé et le repas devait se tenir rapidement. Il était le maître. Celui que l'on ne faisait pas attendre. La jeune lycéenne emboita le pas de cette servante, la mine sombre.

Les deux jeunes femmes descendirent donc le grand escalier pour se rendre dans le grand salon. Pas de sortie romantique pour cette dernière soirée mais un grand repas fastueux dans cette immense salle qui pouvait certainement accueillir des centaines de convives.

Dernau était assis à sa place habituelle en tête de la grande table et l'assiette de Mégane avait été posé au même endroit que lors du petit déjeuner la veille à quelques centimètres de lui.

La jeune femme, qui ne l'avait pas vu de la journée, vint s'asseoir en gardant les yeux baissés. Le professeur ne releva pas ce geste d'impolitesse et se contenta de se tourner vers Charles. D'un signe de tête, il lui indiqua qu'on pouvait les servir.

Ils n'étaient pas au restaurant mais la nourriture était de la même qualité. Mégane se demanda s'il avait fait appel à un traiteur ou s'il avait un cuisinier personnel. Ce qui n'aurait pas été surprenant vu l'étalage de luxe dont il l'avait gratifiée durant tout le week-end, presque jusqu'à la nausée. Elle se demanda s'il trouvait cela si impressionnant ou s'il jouait encore avec elle.

On leur apporta les entrées. Un ensemble de crudités parmi celles que préféraient la jeune femme. Elle n'était plus étonnée par la capacité de cet homme à connaître à tous ses goûts mais elle avait du mal cependant à profiter de ce qu'elle mangeait.

Je vois que tu es bien sombre, lança-t-il alors entre deux bouchées. C'est l'expectative du dessert, je présume.

Comme si le fait de se faire enculer peut donner envie, rétorqua-t-elle sur un ton sec. »

Il eut alors un étrange sourire et sembla même se perdre un petit peu dans ses souvenirs.

J'aime tout ce qui est sexe, expliqua-t-il. Toutes les pratiques doivent être essayées et, crois-moi, certaines sont surprises de ce qu'elles découvrent.

J'en doute. Il y a des choses qu'on ne peut faire.

Il y a énormément de choses que tu peux faire sans que tu t'en crois capable.

Si je refuse? vous ne pouvez pas me forcer. Il y a des lois pour ça.

Tu peux te lever partir maintenant. Cela mettra fin à notre contrat en tout cas entre toi et moi. Parce que si tu fais cela maintenant, j'appelle ta mère pour qu'elle te remplace immédiatement. »

Mégane, qui ne savait pas ce qui s'était passé l'après-midi ni les réels penchants de sa mère, trembla devant cette menace. Bien sûr, Dernau ne mentait pas.

Dis ainsi cela pouvait paraître effrayant mais il savait parfaitement que Paola serait venue en courant. Non seulement par bonté d'âme mais aussi parce qu'elle ne rêvait de se faire sodomiser une nouvelle fois. Cela Mégane ne le savait pas et Fernand Dernau ne comptait pas le lui dire pour l'instant. Il offrait juste un jeune femme une sorte de porte de sortie tout en savant qu'elle ne la prendrait pas.

En acceptant, la fille imaginait sauver une mère qui ne demandait que ça. Une mère qui prenait l'excuse de sauver sa fille pour continuer à faire ce qu'elle aimait. Au milieu, il se comportait comme un marionnettiste qui tirait les ficelles. C'était parfois grisant d'être lui.

D'accord, abandonna la jeune fille. Vous aurez de moi ce que vous voulez mais ce sera la dernière car demain je romps le contrat.

Comme tu le voudras. En attendant! Debout! »

Mégane fut prise de court. Elle s'était imaginée qu'ils mangeraient normalement et que tout se passerait ensuite, dans la chambre. Avait-il changé d'avis devant sa réaction ou s'était-il toujours imaginé lui faire subir cette horreur au milieu du salon sous le regard des employés? Les deux solutions étaient possibles tant son comportement était imprévisible.

En tout cas, elle avait compris une chose depuis longtemps. Quand il donnait un ordre, il fallait obéir. Il ne revenait jamais en arrière. Elle repoussa sa chaise et se leva de me mettre droite devant la table.

Il la regarda, impérieux, et elle comprit qu'il ne comptait pas lui donner d'autre ordre mais qu'il attendait de la voir réagir. Elle tirebouchonna le bas de sa robe jusqu'au dévoilant son string serré.

Il restait toujours, assis les bras croisés à la regarder. Il ne fit aucune remarque sur le fait qu'elle portait une culotte et elle comprit que cette marque de défi avait fait chou blanc. Elle fit glisser son string et le fit descendre jusqu'à ses chevilles. D'un coup de jambe, elle l'envoya derrière elle. Elle se pencha alors en avant.

Elle adoptait cette position grâce au souvenir d'un ces films pornographiques qu'elle avait vu lors de ses pires années mais semblait bien maladroite.

Il en fut cependant satisfait car il abandonna sa chaise et vint se placer derrière dans son dos. Il pressa doucement pour l'inciter à se cambrer encore plus. Elle prit appui sur la table pour ne pas s'effondrer lamentablement et serra les dents en prévision de ce qui l'attendait. Elle sentit qu'il commençait à écarter ses fesses.

Comme l'avait fait Sophie moins d'une heure auparavant, il glissa son doigt doucement dans son petit anus. L'appendice glissa sans s'enfoncer et elle comprit qu'il était en train de tester la résistance de son orifice.

Sophie a bien fait son travail, déclara-t-il. Tu as bien fait de lui faire confiance. Ce sera moins douloureux pour toi. »

Il continua à jouer doucement avec son anus l'étirant un peu plus en y insérant un second doigt. Il avait les doigts plus larges que Sophie et la pénétration fut bien plus désagréable pour la jeune lycéenne.

À un moment donné, elle entendit un bruit de succion et il lui fallut quelques secondes pour comprendre que quelqu'un était en train de prodiguer une fellation. Elle tenta de se retourner pour voir la scène qui se déroulait dans son dos mais il avait toujours gardé la main posée sur son dos et lui imposa de rester ainsi. Elle ne vit simplement qu'une femme en tenue de soubrette agenouillée aux pieds de Dernau.

Dans cette position, il était incapable de déterminer s'il s'agissait de Sophie ou de l'autre servante. Les employées de cet endroit étaient-elles tous des esclaves volontaires de cet homme?

Le bruit de succion continua quelques minutes. Pendant ce temps, Mégane sentait toujours les deux doigts qui se baladaient doucement dans ses intestins.

À un moment donné, elle entendit un « block » un peu ridicule et les deux doigts sortirent de son anus. Terrorisée, elle voulut se retourner mais, cette fois-ci, il posa la main sur son cou et lui imposa une totale immobilité. Elle sentit alors un objet beaucoup plus grand que ses doigts qui repoussait ses fesses pour s'insinuer entre elles.

Elle tenta de se libérer de sa poigne alors qu'elle sentait une pression beaucoup plus rude à l'entrée de son anus. Il était cependant beaucoup plus fort et, de toute manière, elle s'était mise elle-même dans cette situation. Elle serra les poings alors qu'il forçait pour s'insinuer en elle.

L'effet de la pommade lui parut bien ridicule quand le membre réussit enfin à force la résistance de son petit anneau. Elle eut l'impression qu'une épée la pourfendait et elle ne put retenir un cri.

Un anus bien vierge, lança-t-il alors. C'est une sensation fantastique. »

Mégane ne répondit rien. Elle était concentrée sur toute la douleur qui émanait du bas de son dos et ce fut à peine si elle entendit cette espèce de compliment pervers.

Il força une seconde fois et s'enfonça en elle de quelques centimètres. La douleur devint insupportable pour la jeune femme qui réussit à se libérer de la pression qui pesait sur son cou et se redressa d'un coup brusque en poussant un hurlement. Cette réaction ne le gênait pas plus que ça, au contraire, car il l'emprisonna à ce moment-là entre ses bras.

Il était désormais figé en elle et elle était comme prisonnière. Il en profita. Elle sentait le poids de sa poitrine contre son dos et ses mains qui s'étaient déplacées pour déchirer le haut de sa robe et libérer sa poitrine avec laquelle il se mit à jouer tout en forçant à nouveau pour la pénétrer encore plus.

Elle continua à crier et à pleurer mais elle entendait aussi son souffle contre son cou, indiquant qu'il profitait pleinement ce qui se passait. Elle se sentait tellement épuisées qu'elle tentant de s'effondrer sur la table mais il la retint fermement. Dans cette position, il était plus facile pour lui de donner des coups de rein mais plus douloureux à elle de le supporter.

Finalement il la libéra et elle s'écroula sur la table. Elle posa la joue sur le bois dur et elle fixa du regard un point fixe sur le mur alors que la douleur continuait à se répandre en elle.

Le coït ne dura que quelques minutes mais elles parurent des heures à la jeune fille. En réalité, il ne pouvait s'enfoncer en elle que de quelques centimètres et ni la pistonner comme il l'aurait voulu. C'était une virginité qui était particulièrement compliquée à prendre et il le savait. Il ne voulait pas non plus la blesser mais seulement lui faire dépasser ses limites tout en tirant plaisir.

À un moment donné, la douleur s'estompa et elle comprit qu'il s'était retiré. Elle n'avait pas senti d'écoulement. Il n'avait pas joui. Puis elle entendit de nouveau ce bruit de succion et comprit que la servante recommençait sa fellation. Elle était tellement épuisée qu'elle n'avait pas la force de se relever pour voir qui elle était. Elle resta allongée sur le bois de la table, le souffle court et l'anus en feu. Elle avait subi l'ultime outrage, elle était désormais une enculée.

Puis il poussa un long râle et Mégane entendit le bruit d'une gorge qui déglutissait. Quelques secondes après elle sentit le contact d'une main sur ses fesses puis il se pencha vers elle.

Voilà, lui c'est sera-t-il à l'oreille. Tu n'as plus aucune virginité même si celle-là est un petit peu trop résistante pour l'instant. Ce soir, je vais te laisser tranquille car demain tu as école. Réfléchis bien et si tu veux vraiment rompre le contrat, tu n'as qu'à m'appeler demain soir et on arrêtera!»

Megan avait compris à peu près la moitié de ce qu'il lui disait tant elle était harassée. Elle sentit alors qu'on la soulevait du sol. Il l'avait prise dans ses bras et la conduisait jusqu'à la chambre. A ce moment-là, à sa plus grande horreur, elle regretta ce qu'il venait de lui dire car, en sentant ses mains sur son corps et la puissance de cet homme capable de la soulever comme un fétu de paille, elle eut terriblement envie qu'il la prît comme il l'avait fait la veille. Elle en oublia même jusqu'à la douleur qui irradiait toujours de son anus.

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