Dégénérescence Régénérée Pt. 02

BÊTA PUBLIQUE

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— Madame, il y a un drôle de type qui demande après vous dans le magasin.

— Vous savez qui c'est?

— Non, il a pas dit son nom. Il a juste dit qu'il avait quelque chose pour vous. Il a pas dit ce que c'est.

— Et à quoi il ressemble?

— Ben, il est un peu plus grand que vous, d'une tête environ, mais il est très maigre et... il a un visage en lame de couteau. On dirait...

— ... un épouvantail?

— Oui, c'est ça. Vous voulez que je lui dise que vous n'êtes pas là?

— Non, il reviendra. Faites-le patienter.

.

.

Bertrand.

Pourquoi était-il là? Comment m'avait-il trouvée? Que voulait-il? Que ME voulait-il? Comment allait-il me traiter devant mes employées?

Je passais par différents états, surprise, panique, questionnement... D'autant que cela faisait quoi? Trois jours? Non, quatre... nous étions jeudi, donc cinq jours s'étaient écoulés depuis... Mes tétons étaient toujours sensibles. Je ne pouvais pas porter de soutien-gorge et je veillais à ce que la pointe de mes seins touche le moins possible le tissu de mon chemisier. Heureusement, ce tissu était opaque, pour éviter que les filles ne distinguent quoi que ce soit. Bien que le volume de ma poitrine ne pouvait leur laisser de doute sur la liberté de mes seins. Mais après tout, la chaleur de l'été pouvait l'expliquer... cependant cette fouine... Oh, non, voilà que je me remettais à fantasmer!

J'ouvris la porte de mon bureau. Bertrand discutait avec Armelle. La pauvre fille semblait faire de son mieux pour cacher son envie d'être ailleurs. Je me dirigeai vers eux. En me voyant, Armelle s'empressa de rejoindre son étal et les clientes. Bertrand sourit, de ce sourire étrange que j'avais du mal à qualifier, mais qui contenait un mélange d'intelligence perverse et de promesse de sexualité déviante. Son regard ne me laissa aucun doute, il resta planté quelques secondes sur mes nichons dont la lourdeur et la liberté provoquaient un balancement évident lorsque je marchais d'un pas vif et décidé comme présentement. Ce regard lubrique me rappela que je devais me déplacer avec lenteur sur mes hauts talons.

— Bonjour, Emy, me dit-il. Toujours aussi avenante!

— Que voulez-vous?

— Pourrait-on se parler, et disons, se tutoyer en privé?

— Suivez-moi.

— Cette mixture de parfums et d'odeurs, c'est plus qu'entêtant, ça cocotte! Je sais pas comment vous faites pour pas avoir mal à la tête à la fin de la journée.

— Personne ne t'oblige à venir.

Je fermai la porte derrière lui et je lui désignai le fauteuil devant mon bureau, fauteuil dans lequel il se vautra. Je fis le tour du bureau, mais, dans l'attente de ce qu'il avait à me dire, je restai debout signifiant la volonté d'un entretien court. Tout d'abord, je lui posai la question qui me taraudait.

— Comment tu m'as trouvée?

— Amélie me doit quelques services. Enfin, elle les doit à Margot...

Il sourit, de son sourire caractéristique, mais je le compris comme un sourire entendu. Car ces "services" expliquaient l'insistance de Margot à réclamer cet esclave le samedi précédent, ainsi que le fait qu'Amélie ne l'ait pas mise à la porte malgré son comportement ignoble. D'une manière ou d'une autre, Amélie était redevable envers Margot, plus que redevable probablement pour accepter de subir ce que lui avait imposé Margot.

— Ça y est, tu as fait le tour? ironisa Bertrand.

— Ça ne me dit pas pourquoi tu es ici.

— Pour te faire lire ceci.

Il me tendit un smartphone. Je vis un texte affiché.

— Qu'est-ce que c'est?

— Le résultat de l'orgasme de Margot avec ton cher mari! Lis, vas-y, insista Bertrand en soulignant ses dires de gestes des mains qui le firent ressembler encore plus à un épouvantail, mais animé celui-là.

Je m'assis et commençai à lire.

.

.

.

— Non! Lis à HAUTE voix! fit-il en accentuant la sonorité "O" de haute.

Je repris en ânonnant.

.

« À cet instant, je ressens tout à la fois le besoin de les humilier, de les asservir et de les briser. Ils doivent m'appartenir. C'est un besoin primaire de domination bestiale sur ces corps nus, offerts et consentants, une nécessité que l'alcool exacerbe au plus haut point. Cet appartement n'est pas un donjon, mais deux crochets au plafond du séjour permettent d'accrocher des cordes. Bertrand a tôt fait d'en faire pendre une paire, je commence un bondage sommaire des poignets du mâle. Cela suffira. Je fais pareil avec la femelle.

Je sors un sac d'accessoires. J'entrave les chevilles des deux esclaves avec des barres d'écartement, je veux garder leur sexe accessible. Je choisis une sorte de chat à neuf queues terminé par des nœuds de cuir. Je teste la résistance du mâle sur ses fesses. Je frappe sans trop de force. Il ne dit rien. J'augmente l'intensité des coups gardant le rythme. Au dixième, il gémit. Je garde cette force, mais j'augmente la cadence. J'exige le rouge du sang sur cette paire de fesses. Le mâle geint mais ne crie pas. Au trentième coup, je lui accorde une pause. »

.

.

Je m'interrompis.

— Mais ce n'est pas arrivé, ce n'est pas com...

— Lis! coupa Bertrand. Continue! Et un peu plus fort, je n'entends rien.

Je craignais qu'une fille rentre dans le bureau en coup de vent. Certaines avaient pris la fâcheuse habitude de ne pas frapper, et, ne sachant pas que je recevais quelqu'un, elles ne dérogeraient pas à la règle. Je repris en haussant légèrement le ton.

.

.

« Je m'occupe de la femelle de la même manière. Je ne suis pas surprise, elle supporte le fouet aussi bien que la mâle, ses râles ressemblent presque à des gémissements de plaisir. Je m'arrête au dixième coup. Ses fesses sont chaudes, son sexe est bouillant et moite. Je me place face à elle et vise sa paire de nibards lourde, tombante mais aguichante. Salope aguicheuse. Je frappe sans trop de force, ses miches dansent sous le coup, une sarabande provocatrice. J'ai touché les aréoles et leurs petits diables carnivores. Elle crie, elle pleure, enfin! Je m'approche, je prends son visage dans ma main et lui crache à la figure, satisfaite. Je ne peux me retenir de lui gifler mon mépris d'aimer cette larve machiste.

Elle baisse la tête et renifle. J'accentue le mouvement de sa tête vers le sol pour lui montrer que je la domine. Elle est la femelle dont je veux asservir le mâle. Je la fesse de dix coups, forts. Elle ne peut s'empêcher de crier au premier. Bertrand la bâillonne pour éviter d'ameuter le voisinage. La salope aime gueuler, je n'ose l'imaginer montée par la bête en train de se laisser aller à rugir sa jouissance ignoble. La force de mes coups va crescendo, inutile de le nier, j'y prends plaisir, je mouille en voyant les fesses de la chienne rougir et quelques gouttes de sang perler. Le rouge m'excite, plus encore il m'emballe, je suis d'ascendance taureau. Je dépasse les vingt coups et j'ai du mal à stopper au bout de trente tant je jouis de la correction que j'administre à cette chienne soumise à un mâle. Seul un frisson électrique qui me parcourt l'échine en me secouant d'un plaisir lubrique réussit à stopper mon élan.

La tête de la femelle est toujours penchée vers l'avant, le corps est mou comme si elle avait perdu connaissance. Bertrand la gifle et la secoue, lui tire les seins. Elle revient à elle. Je dis à Bertrand de l'enfiler par-derrière, de bien se frotter à ses fesses cramoisies, longtemps, pour accroitre l'irritation, pour qu'elle ressente la souffrance de sa jouissance. L'idée le séduit. Il l'exécute. La femelle miaule, gémit, soupire. Le pauvre sexe mâle est entré en elle sans effort. Le bas ventre frotte contre son cul en feu, mais le brasier qui la consume brule bien plus fort. Pour peu, elle remercierait et supplierait qu'on l'encule plus fort. Elle s'agite, gigote, se tortille, d'avant en arrière, de gauche à droite. Peu importe la douleur qu'elle aura demain, celle qu'elle dont elle jouit maintenant lui promet l'orgasme.

Je me plante sous le nez de l'esclave mâle. Il est en érection. Je le saisis fermement par la hampe et le soulève comme un sac. Je lui demande si la vision de culs fouettés jusqu'au sang le fait bander. Il me répond par l'affirmative sans hésiter. Tirant son engin un peu plus vers le haut, je le hisse sur la pointe des pieds en lui souriant et le félicite pour son honnêteté, mais le punis avec plus de plaisir. Il a l'air d'apprécier, mais je ne sais si c'est pour l'élévation ou les félicitations. Je lui demande s'il veut que son propre cul soit fouetté jusqu'au sang... L'esclave ne répond pas. Avec le manche du chat à neuf queues, je le frappe sur les couilles. Il accuse le coup, mais ne peut guère se plier. J'insiste et multiplie les coups. J'arrête soudain de lui martyriser le sexe et tire violemment sur la chaine reliant les pinces lui mordant les tétons, les pinces s'arrachent. Il hurle, fort. Je me repais de ces cris qui électrisent mes sens. Mon plaisir... mon plaisir est indescriptible. Les marques sur ses nichons sont très nettes, violettes, presque noires, le sang s'est accumulé. Ses nichons saignent, telle une vampire, je m'abreuve de leur saignement. La victime souffre de cet allaitement contre nature. Je lui soulève le menton et lui demande s'il a mal. Il hoche légèrement la tête. Ce n'est pas une réponse, je le gifle. Il répond qu'il a mal. Je lui tords les tétons, ces tétons rendus si sensibles que mon simple souffle les fait réagir. Je jouis. Je lui demande à nouveau s'il a mal. Il répond clairement qu'il a très mal. Je lui tapote la joue. Je souris.

Je lui administre encore vingt coups de fouet sur les fesses en augmentant nettement la puissance. Quelle exaltation de voir ses fesses rougir de honte et de douleur! Je veux voir le contraste de son cul en sang et de sa bite dure comme de l'acier. Je veux mettre mon godemichet dans le cul en feu de cet esclave tout en le branlant jusqu'à ce qu'il éjacule son venin et jouisse d'être dominé et enculé. Je veux qu'il rampe à mes pieds en léchant sa souillure sur le sol avant que je ne le foule, qu'il me précède ainsi, larve docile et soumise, prête à exécuter tous mes ordres avant que je n'aie même songé à les commander.

J'extirpe un gode-ceinture de mon sac. Pour le porter et pouvoir profiter de la partie réservée à celle qui le porte, il me faut être nue en dessous de la ceinture, car ce jouet est pourvu d'une extension pour la femme avec vibreur qui s'active pour les deux usagers. Je me retrouve les fesses à l'air. Je prépare un peu mon vagin. J'attache la ceinture, passe la courroie entre mes jambes ce qui fait pénétrer un appendice dans ma chatte et un autre qui appuie contre mon clitoris. J'essaie le vibreur en position douce. Agréable. Sur le godemichet, effet notable, je sens la vibration. Ce godemichet est impressionnant. Quarante centimètres de long minimum pour un diamètre difficile à estimer, mais bien supérieur à huit centimètres. Je passe à peine de vaseline sur le gland et c'est tout, je veux que l'esclave souffre. Je détends la corde qui le hisse vers le plafond et le force à plier les genoux pour que ses fesses soient à bonne hauteur.

J'enduis l'anus du mâle d'un doigt de salive. J'appuie le gland de latex sur son trou et je pousse légèrement. J'accroche l'esclave par l'avant de son entrejambe. Ne pouvant résister, je lui agrippe la verge. Tendue. L'idée de se faire défoncer ne l'a pas fait débander. Bien au contraire, il sait ce qui l'attend. Il le souhaite, il l'espère, son désir est à nu, sa passion est à vif. Rouge sang. Je me frotte contre son dos, contre ses fesses. Il gémit. De mes ongles je griffe les marques du fouet tout en branlant sa queue. Gémissements encore une fois. Douleur et plaisir. J'appuie le gland et force le passage. Il geint et soupire, gémit encore. Aucun rejet. Le gland commence à rentrer. Je pousse d'un coup sec. Le mâle râle rauque et approuve. Le passage est fait. Je pense, « maintenant je vais te posséder, je vais jouir de ta douleur, tu vas jouir du plaisir d'être pris et souffrir d'être possédé ». Je lui dis que je vais le défoncer, lui éclater le cul. Non seulement il approuve, mais il m'encourage, il connait sa véritable destinée. Je la lui ai indiquée, il l'a admise de toute éternité.

J'appuie plus fort et je pousse. Je sens le godemichet s'introduire sans effort dans son cul. Il crie, mais se retient de hurler. Sentiment de puissance. C'est bon, excellent, jouissif. Je remue entre ses fesses. Je masturbe sa queue, plus fort. Je lui dis que je l'encule, fort, qu'il va aimer être enculé, profondément, de tout son être. Je pousse encore, le gode rentre sans mal, mais lui a mal, pourtant dans son enfer, je le sens jouir comme un damné. Je le branle plus vite plus fort pour éviter qu'il débande. Je lui dis des mots orduriers. Je l'insulte, le dégrade. Je l'avilis. Il en jouit. Il le faut, car il est mon esclave, il n'est rien sans moi, je suis tout pour lui. En toutes circonstances, obéissance. Il doit bander quand je le sodomise, il doit bander quand je l'encule. Il doit bander dégradé, souillé, avili, humilié. Son cul est ville ouverte et jamais il ne lui est permis de débander, cela lui est interdit. Sinon il sera violé, tous les jours par une armée d'hétaïres en folie, puis fouetté par celles qu'il n'aura pas pu satisfaire, et ce sans fin, jusqu'à ce qu'elles aient toutes atteint l'orgasme. Il bande à nouveau. Ah, le pourceau! L'idée d'être perpétuellement violé par une bande de femmes affamées, avides de sexe, suffit à le faire bander. Avilissement et déchéance sont ses seuls mantras.

Je m'enfonce plus profondément en lui. Mon sexe est inondé. Mes propres mots, mon nouveau sexe de latex, cette puissance qu'il me donne, m'ont euphorisé. Je suis en ébullition. J'active le vibreur directement en position médiane. Mon clitoris et mon vagin partent au quart de tour, je me mets à gémir et à miauler comme une vraie chatte en chaleur. Je halète. L'effet sur mon esclave est aussi spectaculaire. Ses reins s'agitent secoués par les vibrations de l'organe mécanique. Puis le pantin désarticulé se coordonne et oscille en harmonie, vers l'avant et vers l'arrière pour accentuer ma possession et prouver qu'il m'appartient sans discussion. Il reste plus de quinze bons centimètres de latex avant que mon bas-ventre touche ses fesses. Je me mets le vibreur en position maxi. Je ressens immédiatement l'effet. Je ne vais pas tarder à jouir. L'esclave gigote, il éructe, il échappe des cris de donzelle, il va avoir un orgasme de femelle en rut. Sans hésiter, je donne de puissants coups de reins et j'enfonce le restant de latex dans le cul servile. Un sentiment de puissance infinie m'envahit tandis que le mâle rend les armes dans un orgasme de chienne soumise. Ses cris de jouissance n'ont rien de masculin. Pourtant son foutre coule sur ma main qui étire encore sa bite. Je le branle, je le tord, je l'essore pour en extraire tout le jus. Il agonise quelques mots de jouissance épuisée, devant, derrière, partout son corps et son esprit jouissent d'être conquis et soumis. Un spasme me soulève, une bourrasque, une tornade, un ouragan m'emporte. Je jouis! Scotchée sur son dos, enfoncée dans son cul, la main pleine de son jus, je tremble comme une feuille dans la tempête. Je ne veux pas me décoller de lui.

Cet esclave mâle dompté m'appartient. Encore. Plus que jamais. »

.

.

Je levai les yeux du smartphone. Je regardai Bertrand, un peu ébahie. Je ne savais quoi penser de ce délire. Il devait y avoir beaucoup de questions dans mon regard lorsque je levai les yeux.

— C'est moi qui réécris ces textes. Qui les écris serait plus exact. Au départ, ce ne sont que borborygmes quasi incompréhensibles. C'est pour ça qu'elle m'a épousé, qu'elle me supporte, parce que je peux écrire ses fantasmes à partir de mots jetés aléatoirement, de grognements indistincts... je transforme en textes les délires et désirs qui naissent dans sa tête quand elle est bourrée complet et qu'elle jouit d'un mec.

— Et tu avais besoin de me faire lire ça pour me prouver que tu n'es pas aussi minable qu'elle veut le faire croire?

— Non, je voulais te montrer à quoi servent les enregistrements auxquels vous avez participé...

— Mais alors, d'après ce que tu dis... les smartphones, les enregistrements?...

— ...ne servent à rien ou presque... sauf pour moi, bien sûr! Car ce qu'elle ne sait pas, c'est que j'enregistre en vidéo, ce qui me sert... et donc, je lui laisse seulement entendre l'audio. Ces sons et ces mots étranges sans suite, et inutiles que je transforme en texte.

Il eut un rire sarcastique avant de continuer.

— Ou si elle s'en doute, elle ne dit rien, car je suppose qu'elle ne supporterait pas de se voir. Et puis, le produit fini, ce texte, suffit à la faire jouir ou à lui trouver une nana avec qui partager son excitation.

— Mais... pourquoi? Pourquoi tu fais ça?

— Aaaah! Aah! Aah! rigola-t-il. Pourquoi? Tu m'as bien regardé? Mais pour avoir l'occasion d'approcher des femmes telles que toi. Et parfois, de les alpaguer.

Il se déplia pour s'extraire de son siège, plus escogriffe que jamais. Il ressemblait vraiment à un épouvantail. Un épouvantail inquiétant, mais terriblement fascinant.

— On a un portable chacun, ajouta Bertrand. Voilà ce que celui de Margot a enregistré.

Il fit le tour du bureau. Il se pencha sur mon épaule. Sa main pleine de longs doigts effleura la mienne. D'un index habile, il lança la lecture sur le smartphone que je tenais toujours entre les mains. On ne voyait ni sa femme, ni mon mari. En revanche, on distinguait très bien, et l'on entendait parfaitement, Bertrand et ses longues mains d'escogriffe maigre, en train de me tordre d'un plaisir indécent. Et moi de crier, de hurler, et de jouir.

Comme une damnée.

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3 Commentaires
marco_solomarco_soloil y a 9 moisAuteur

Merci à tous ceux qui ont laissé des commentaires sur cette histoire.

Pour répondre spécifiquement

J’ai envisagé d’expliciter le rôle de Bertrand l’épouvantail-écrivain, car c’est un personnage intéressant à écrire. J’ai écrit plusieurs pages "pour voir", mais à côté, ça délaie les autres et on perd le fil principal. Et puis pendant que j’écris, je ne fais rien d’autre (ici) pour éviter d’éparpiller mes idées.

Pour les mots orduriers, sauf à être spécifique, je ne peux expliquer le pourquoi (pour autant que je les considère comme tels).

AurailiensAurailiensil y a 9 mois

Je vois que c'était la fin... c'est très bien comme ça

AurailiensAurailiensil y a 9 mois

J'aime beaucoup... Une relation à cinq aussi excitante qu'intéressante, originale et très bien racontée. Je ne sais pas si elle va se développer mais on en a envie. Un petit regret, "des mots orduriers" me frustre un peu...

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