De Mari à Esclave Ch. 25

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De mari à esclave.
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Récit n'a pas de balises

Partie 25 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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Robert ouvre ses yeux et vois Maitresse Jennifer, lui offrant son sublime sourire tu sais mon chère Robert que tu commence à être important pour Corporation des Maitresse mondiales.

J'aimerais te poser une question Robert aimerait tu être l'esclave de Corporation des Maitresse mondiales. Robert ouvre grand ses yeux surprit de la question, il dit a Maitresse Jennifer mais vous savez pourtant que j'appartiens a Maitresse Patricia? Oui je sais dit Maitresse Jennifer j'ai parlé a Patricia. Et Elle dit qu'Elle t'aime énormément mais que pour bien être de la Corporation des Maitresse mondiales.

Elle est prête à te laisser a notre service alors a toi de décider normalement un esclave ne possède aucun droit, mais j'ai vraiment suivi ton parcoure depuis tes début comme esclave et je vois que tu a souvent été balloter, pas facile ton parcoure alors comme tous t'aime bien ici on veut te donner la chance de décider aux yeux de tous ici tu es un esclave spécial. Alors ta décision je la veux dans vingt quatre heures compris, Robert dit bien Maitresse Jennifer.

Bon Maintenant lève toi va prendre ta douche et déjeune car a treize heures une amie Lady Morrigan viens rende visite a la Corporation des Maitresse mondiales. Lady Morrigan est un Grande Maitresse qui fait parti de notre Corporation, depuis longtemps et Elle va surement t'aimer en plus attention on la surnomme la qui pique, Maitresse Jennifer avais dit sa avec un sourire surprenant qui disait tous au sujet de cette Lady Morrigan, robert fis gulp, lui souriant Maitresse Jennifer parti.

Robert se leva et entre dans la douche.

Il était dix heures Am il savourait sa douche qui lui fit un grand bien.

Natacha et Lyza les deux jolies esclaves de Maitresse Jennifer qui font partie aussi de Corporation des Maitresse mondiales arrive nu robert a une érection a leur vu ils lui sourire, il ajoute des bracelets a ses deux poignet les attache ensemble le tire a l'extérieur de la chambre.

Il arrive devant Maitresse Jennifer et reparte, Maitresse Jennifer souhaite le bonjour a Robert et lui dit une amie vient nous visiter fait lui honneur.

Voici que Lady Morrigan arrive les deux Maitresse s'embrasse et Maitresse Jennifer présente Robert à Maîtresse Morrigan Robert sera bientôt l'esclave officiel de Corporation des Maitresse mondiales Maitresse Morrigan lui souri et lui dit se que Elle aime faire Maitresse Jennifer dit a Robert suis la elle veut s'amuser avec toi.

Bonjours a toi Robert Jennifer ma bien parler de toi super Mazo ses bien car moi, dit-elle, ce que j'aime vraiment, c'est de piquer Chère Robert. C'est ce qui m'excite le plus.

- Plus que de fouetter?

- Oui. Oh, bien entendu, je fouette aussi avec plaisir. Mais pour moi, rien ne vaut une belle séance de pointes. Là, tu comprends, j'ai une sensation directe, l'aiguille que j'enfonce, la chair qui se contracte sous ma main, le cri que je déclenche et que je prolonge comme je veux. Souvent, rien qu'en le faisant ou en regardant faire, je jouis! Tout à l'heure, tu verras. Quand je lui en aurai mis encore une vingtaine, à ton esclave, ça m'étonnerait bien si... Et, sans finir sa phrase, Maitresse Jennifer serra nerveusement ses belles cuisses l'une contre l'autre.

- Déjà, dit Maitresse Morrigan en riant!

- Que veux-tu, d'en parler en même temps, ça me fait encore plus d'effet. Tiens, regarde. Celle-ci, je vais l'enfoncer d'un seul coup, pour commencer... Tu vois comme il se tord? Robert hurles de douleur ... Et puis lentement, maintenant, jusqu'au bout. Je la sens qui avance dans sa chair... Je force... je force encore Robert se met à hurler encore plus fort... c'est bon, tu sais!

- Quelle raffinée tu es!

- Pourquoi pas? Mais ce qui est dommage, c'est qu'ici on ne peut pas le laisser crier Maitresse Jennifer ajoute a Robert un baillons boule et le gonfle tout se qui sort ses des muffff. Ça manque. Un de ces jours, il faudra que tu viennes à la villa. Là, je suis installée. Pas besoin de bâillon. Je te ferai essayer... Tiens, regarde encore. Avec celle-ci, sans entrer, je vais lui faire des tas de petites piqûres, toutes rapprochées... et puis un peu plus fort... et encore un peu... Regarde bien ses muscles; moi je les sens... Maintenant je vais m'arrêter pour qu'il attende. Tu vois comme il reste contracté?... Oui, mon garçon, patience! Je recommence tout de suite. Tiens... je pose encore...j'appuie un peu... et cette fois j'y vais!

Le malheureux Robert eut un sursaut et gémit sous son bâillon.

- Chérie, tu as vu? Ce bond qu'il a fait! Ah, je viens seulement de commencer et je suis déjà toute mouillée...

- J'avoue que c'est excitant à voir, dit Maitresse Jennifer. Comme tu dis, ce contact direct...

- Bien sûr! C'est merveilleux. Et puis il y a ces réactions que tu obtiens et que tu diriges comme tu veux! Tu verras, chez moi, je te montrerai. J'ai des tas d'instruments exprès, tous les claquoirs à aiguilles, naturellement, et les rouleaux cloutés, mais aussi un piqueur à ressort qui est extraordinaire, et un petit maillet en buis avec un seul dard que je trouve follement excitant. Tu peux aussi chauffer tes aiguilles, évidemment, ou bien des fléchettes que tu lances. Si tu veux, nous commencerons par un peu de tir à la cible, et après, toi qui aimes fouetter, je te le ferai fouetter sur les pointes. Oui, couché tout nu sur les grandes pointes, ligoté, bien entendu! Alors, quand il se tortille sous le fouet, tu imagines...

- Oui, dit Maitresse Jennifer rêveuse, je m'imagine...

Et elle abaissa ses paupières sur ses candides yeux bleus.

- Hier encore dit la divine sublime Maitresse Morrigan avec Scarlett nous l'avons fait avec son esclave. Pendant qu'elle fouettait, moi j'avais le mien sous la grille, je le piquais à chaud, et je le forçais à bander quand même en son honneur!

- Comme tu aimes ça! Tes yeux brillent...

- Toi aussi, chérie, tu aimeras. Et tu sais, une fois qu'on y a goûté... Tiens, ces jours-ci, il y a une idée qui me travaille: ce serait de porter un maillot complètement hérissé de pointes très fines! Tu te représentes ta sensation, quand tu serrerais l'esclave contre toi ou que tu te roulerais sur lui dans son lit!... Rien que d'y penser... Mais d'ailleurs je ne veux plus attendre. Je vais te montrer quelque chose tout de suite. Défaisons-lui ses courroies. Tu vas voir.

Et nerveusement, Maitresse Jennifer se mit à délier Robert. Il descente au sous sol dans une chambre bien aménager.

- Allons, descends de Là dessus, maintenant.

Le malheureux, Robert étais a genoux, sans penser aux aiguilles qui restaient piquées en lui, commença le mouvement de quitter son support. Mais, sous la multiple douleur qui labourait sa chair, il s'arrêta aussitôt en poussant un cri que son bâillon n'étouffa pas entièrement.

- Eh bien? Tu descends? Si les épingles te gênent, je peux te les enlever à la cravache! C'est ça que tu veux?

A cette menace il se décida. Lentement, avec d'extrêmes précautions et en gémissant, il parvint à se mettre debout.

- Ah! Tout de même! Alors, avance le banc ici... et couche-toi dessus, sur le dos. Parfaitement! Tant pis pour les épingles, puisque tu n'as pas voulu que je les ôte! Et maintenant, enlève-moi ce bâillon.

- Tu vas le laisser sans Dit Maitresse Jennifer? - Sois tranquille! Je vais lui en donner un autre dit Maitresse Morrigan. Dès qu'elle eut été obéi, Maitresse Morrigan fit tomber robe et chemise et, enfourchant le banc, s'assit sur le visage de Robert qu'elle enserra entre ses cuisses puissantes.

- Comme ça, dit-elle en riant, il peut ouvrir la bouche tant qu'il voudra!

Puis, glissant une main sous chacun des genoux, elle souleva les deux jambes et d'un seul coup les amena vers elle. Labouré par les épingles, le malheureux Robert se contracta de douleur, et sans doute que sous le sexe de la tourmenteuse sa bouche s'ouvrit effectivement pour crier puisque Maitresse Morrigan dit:

- Sais-tu, ma chère, que ce petit vicieux me suce déjà? On croirait qu'il a compris le jeu.

- Ce n'est peut-être pas exprès!

- Alors, viens l'encourager. C'est le moment de faire tes premières armes. A ton tour de l'épingler. Mets-toi là. Tu devines le programme? Bon. Mais prends plutôt les punaises, c'est plus maniable pour une débutante. La pelote t'attend!

Et c'est ainsi que Maitresse Jennifer fit connaissance avec le délicat plaisir de piquer.

Le jeu charmant des deux femmes se prolongea près d'une demi-heure. Chaque pointe enfoncée provoquait chez le malheureux robert une réaction qui se transformait pour Maitresse Morrigan en une volupté d'autant plus perverse qu'elle était imprévisible et chaque fois différente. Mais la belle chevaucheuse se trouvait déjà si excitée qu'au bout de quelques minutes à peine elle dit à Jennifer:

- Tu sais, je ne peux plus supporter... il faut que je jouisse! Alors toi, dès que je vais te prévenir, tu commenceras à le piquer, vite, à beaucoup de petits coups, sans enfoncer. En même temps, prends-lui ses couilles, que je le voie bander bien droit! Tiens-toi prête... Ça va venir... Voilà! Maintenant vas-y! Ah... Encore... Va toujours... Ah...Continue... Aaahhh... Assez!

Quand elle eut ainsi pris tout son plaisir, elle quitta la place et s'offrit à relayer son amie devant leur pelote qui commençait d'être passablement garnie.

- A toi, chérie! Tu vas voir comme c'est bon. Et s'étant installée, Maitresse Jennifer à son tour, mais pas aussi vite, connut la perverse jouissance.

Pour se remettre de leurs émotions, ces Dames prirent ensuite le thé, et Robert, toujours lardé d'aiguilles qui à chaque mouvement renouvelaient son supplice, dut les servir. Bien entendu, la conversation se poursuivit sur le sujet qui tenait tant au cœur - c'est façon de parler - de Maitresse Morrigan Robert la regardais grande 6.3 pieds des seins xxx vraiment jolie mes sadique.

- Je suis cochonne, disait-elle, mais pas cruelle. Ce n'est pas comme une piqueuse que j'ai connue qui avait vécu en Belgique dans le bon temps. Ça c'était une sadique! Elle s'offrait des garçons comme elle voulait et, pour se faire jouir, elle leur enfonçait des aiguilles sous les ongles et en travers des tétons. Pour qu'ils bandent quand même sous elle, elle les droguait. Et ensuite elle les livrait à ses amis! Ce qui se passait alors...J'ai vu des photos formidables. Mais, une fois, elle l'a fait avec un jeune qui était amoureux d'elle. Après, ses amis ont exagéré. On l'a su, et il parait que ça a failli amener des histoires.

- Non! Tu es sûre de tout ça?

- Je te dis que j'ai vu les photos!

- C'était un peu beaucoup, tout de même...

- Oui. Moi je trouve que ce n'est pas la peine d'aller jusque là. On peut faire tellement de choses autrement. Ne tiens par exemple, rien qu'avec le jeu des fléchettes.

- Ah oui? Raconte.

- Il y a toutes les variantes. Ou bien tu installes ta cible en crapaudine. Les fesses en l'air, ou bien tu le laisses complètement libre, debout, tenu juste par un pied ou par sa laisse pour empêcher qu'il recule. Toi, pour tirer, ou bien tu te déplaces autour - c'est ce qui les affole le plus - ou bien tu t'assois devant ou derrière, à la bonne distance, et alors, tranquillement pendant que tu fais ta cible, tu te fais sucer par un autre. Tu peux aussi, pour aller et venir autour de la cible, te faire porter sur les épaules de l'autre. Ou bien encore, tu en couches un sur un tabouret et tu t'embroches sur sa queue. Si tu as une amie avec toi, tu peux lui demander, pendant que tu tires. Qu'elle tire sur la cible humaine, elle aussi sur celui qui te suce ou que tu violes. Ça, forcément, c'est le mieux de tout, puisqu'alors, à chaque piqûre, l'esclave dont tu te sers a une réaction que tu ressens dans ton sexe aussitôt et directement. Là, ce qui te fait jouir, on peut vraiment dire que c'est chaque sursaut de sa douleur. D'ailleurs, tu t'es un peu rendu compte tout à l'heure, il me semble avec Robert...

- Un peu, oui...

- Mais, naturellement, si on se trouve à plusieurs, c'est encore mieux. Chacune amène un esclave. On peut faire des échanges. On s'habille dans des tenues amusantes qui font contraste. Et puis surtout on organise des concours aux points après avoir marqué les cibles à la teinture d'iode. Le jeu, alors, c'est d'énerver la tireuse en faisant gigoter au bon moment celui qui la suce pour qu'elle vise mal! Souvent, chez l'une ou chez l'autre, nous nous réunissons à trois ou quatre qui aimons ça. Tu verras. Quand on s'excite ensemble, c'est bien plus fort! Quelquefois aussi nous arrangeons des séances d'escrime. Aux esclaves on donne un fleuret moucheté ou un sabre en bois moins long. Tu penses qu'ils ont l'air fin avec ça. On leur fixe le pied gauche sur les planches et le bras gauche à la taille. Et nous, bien entendu, nous prenons des épées à pointes nues. Ia y a tout un règlement pour les touches. Eux, ils ont tous les droits pour parer ou même nous désarmer s'ils peuvent. Ça arrive! C'est du beau sport. Et ça aussi, naturellement, ça prête à des costumes qui pour l'œil ajoutent beaucoup. Dans le genre, tu n'as pas idée de tout ce qu'on peut inventer de vicieux.

- Je crois que pour ça tu ne dois pas être en retard d'imagination!

- Oh non! D'ailleurs, tu vois, quand on me met sur le sujet je ne peux plus m'arrêter. Regarde, voilà qu'il est six heures... Et j'avais un rendez-vous! Ia faut absolument que je parte. Je vais vite m'arranger un peu, et puis je te dirai...

- ... à bientôt pour essayer!

- Ah, bravo! Je t'ai convaincue? Je suis contente. Eh bien, veux-tu samedi?

- Je veux! Entendu!

Et un peu plus tard, au moment où son initiatrice l'embrassait devant la porte. Maitresse Jennifer lui murmure:

- Je tâcherai d'être une bonne élève, tu verras!

- Oui, dit Maitresse Morrigan , je crois que vous tu es douée. A samedi!

Une fois seule, Maitresse Jennifer se sentit toute rêveuse. Son petit esclave Robert, en larmes dans un coin, la suppliait de lui ôter les horribles pointes. Elle avait bon cœur. Il fallut bien exaucer cette demande. Et d'ailleurs Maitresse Jennifer trouva qu'en somme cela aussi était assez excitant. Comme la douleur faisait se tortiller Robert. Elle le prit par les testicules pour qu'il se tienne tranquille. Mais alors, il se mit à bander un peu. La vue de cette queue qui réagissait fit venir à Maitresse Jennifer une idée.

- Tu as eu mal?

- Oh très, Maitresse.

- Est-ce que tu aimerais avoir un baiser, pour te récompenser?

- Oh oui... J'aimerais bien...

- Alors, viens-là.

- Où donc, Maitresse?

- Ici... sur le banc. Mets-toi à genoux, que je me rende compte...

En disant cette phrase, Maitresse Jennifer avait un drôle d'air... Elle s'était placée debout, devant lui, et l'avait attiré contre son corps. Presque aussitôt elle sentit que le membre durcissait tout à fait.

- Je vois que tu bandes quand même, petit vicieux! Alors nous allons faire quelque chose.

Et, s'écartant, elle fit glisser le pantalon de soie qui la gainait. Ainsi dégagée, elle revint contre lui et, cette fois, laissa la verge s'insinuer entre ses cuisses nues. Quand elle sentit le gland, entrer dans son sexe chaud, elle les serra pour l'emprisonner. Puis, posément, comme promis, elle commença de donner son baiser. Sous ce viol habile et insistant, Robert s'excita très vite. Maitresse Jennifer se rendait compte que le membre durcissait encore et qu'il essayait de remuer doucement dans sa prison.

Elle aussi, à la pensée de ce qu'elle projetait de faire bientôt, éprouvait une croissante excitation. Pendant deux ou trois minutes elle fit durer le plaisir de son attente et, tout en baisant les lèvres de Robert son nouveau esclave de plaisir exquisément abandonnées, laissa monter en elle le désir. Puis, quand elle fut prête, mais sans pour cela relâcher son étreinte, elle leva une main et prit dans son chignon la longue épingle qui retenait la masse de ses cheveux. Ils tombèrent sur ses épaules. C'était fort joli à voir. Lentement elle ramena sa main. Quelques secondes encore elle attendit. Enfin, bandant ses muscles pour bien maintenir le garçon jusqu'au bout, de toute sa force, elle lui enfonça dans une fesse, tel un stylet, la fibule d'or.

A l'instant même, une jouissance fulgurante, comme jamais elle n'en avait connue, traversa son corps et la fit se contracter tout entière: alors elle comprit qu'elle venait de trouver sa voie.

Pour savourer la piquante révélation, Maitresse Jennifer gardait clos ses beaux yeux candides. Sous ses lèvres Robert gémissait. Sans y penser, peut-être, elle appuyait encore l'aiguille dans la chair.

Et soudain elle sentit dans son sexe et tout au long de ses cuisses nues le sperme chaud qui coulait.

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