De Mari à Esclave Ch. 21

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De mari à esclave.
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Récit n'a pas de balises

Partie 21 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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et pourtant elle avait pleinement conscience de l'importance de ce rendez vous. Elle se dépêcha de parfaire son rouge à lèvre et sortit de son petit studio. Elle s'assit à l'arrière du taxi, annonça sa destination au pilote et l'aérodyne décolla rapidement.

Après avoir survolé Montréal en quelques minutes, le pilote entama sa descente vers l'aéroport.

La sonnerie se fit entendre Maitresse Patricia ordonne a Robert de aller ouvrir.

, - Que puis-je faire pour vous aider, Madame?

- Je suis Jennifer Parker, j'ai rendez vous avec Patricia Ritter-Jones,

- Un instant s'il vous plaît, lui répondit Robert en souriant, Si vous voulez bien me suivre, Madame Parker.

Il la fit asseoir dans un petit salon jouxtant le hall, où Jennifer avait vue sur les bureaux, sur un mur d'images qui projetaient des scènes où l'on voyant Maîtres, Maîtresses et esclaves en pleine action, et surtout sur deux esclaves érotiquement attachées à deux piliers au milieu du hall. L'une d'elle portait une cagoule de cuir noir enserrant totalement sa tête, une chaînette tendue vers le haut reliée aux pincettes serrant ses mamelons l'obligeant à se tenir en extension sur la pointe des pieds.

- Veuillez patientez quelques instant, Madame, dit Robert avant de laisser Jennifer seule.

Jennifer attendit donc, Très à l'aise, regardant les images pornographiques sur écran géant, images qui semblaient tout à fait normales en un tel lieu, et surtout les deux esclaves, immobilisées et impuissantes.

- Madame Parker? Bonjour, je suis Patricia Ritter-Jones, je ne vous ai fait pas trop attendre?

Lisa sortit brusquement de sa rêverie, se leva et serra la main machinalement à la femme qui se tenait en face d'elle. Elle était grande, élancée, ses cheveux roux coiffés en un élégant mais simple chignon, vêtue d'un élégant ensemble gris et noir.

- Bonjour, Patricia Jennifer Parker, ravie de vous rencontrer.

Immédiatement, Jennifer se sentit en position inférieure face à son interlocutrice, certes sa beauté égalait la sienne, mais elle était vêtue beaucoup plus humblement et n'avait rien de l'assurance de Lisa, parfaite exécutive-women sûre d'elle et habituée à commander.

- Bien, et bien, allons donc dans mon bureau, nous y serons plus à l'aise pour l'entretien.

Après son interlude punitif, interlude qui lui avait fait un bien inespéré, Patricia regagnant son bureau. Ils discutaient longuement pendant que Robert fessait la navette de la cuisine au bureau sans le savoir il parlait de lui.

- Bon, entrons dans le vif du sujet si tu le veux? Je suppose naturellement que tu t'es renseignée sur notre corporation, mais je vais quand même te faire une brève présentation.

Patricia acquiesça du chef, la laissant poursuivre.

- La Corporation des Maitresse mondiales existe depuis bientôt trente ans et propose la location d'esclaves sexuelles, féminines et Masculin, à ses clients. Nos clients peuvent donc jouir de leur partenaire à leur guise, à des fins sexuelles naturellement et dans la plupart du temps dans des jeux de Domination.

Jennifer ne dit rien, mais ne put s'empêcher de frissonner légèrement.

- Bien sûr, nous posons des règles strictes quand à ce qu'on peut faire ou non avec nos esclaves. C'est bien simple : tout ce qui met en danger la vie et la santé des esclaves est formellement interdit, ainsi que les mutilations, modifications cyber et bio, utilisation de pouvoirs psi, etc. Je te fournirai un exemplaire du règlement, lequel engage la Corporation des Maitresse mondiales, l'esclave et le client. En cas de violation de ces règles, le client s'expose à de lourdes poursuites et si nécessaire nous n'hésitons pas à faire appel à nos forces de sécurité. Pour mémoire je te rappelle l'affaire de la Corporation des Maitresse mondiales No 2117, où nous avons eu à intervenir directement contre la Maitresse sur l'ile qui avait acheté un esclave et la fait opéré pour devenir femme de cette affaire la Elle c'est donner la mort et abandonner ses esclave on devait intervenir vite.

- Oui, j'ai entendu parler de cette affaire. Mais ça fait un peu peur, non je tien a la santé de Robert mon esclave je l'aime?

- Rassure toi, l'immense majorité de nos clients sont des gens sains et si il y a une infime minorité de détraqués, nous avons les moyens d'intervenir, c'est tout. Je tiens à te dire cela pour que tu sache que te tenons à nos esclaves. Mais hors de ces règles, l'esclave n'a aucun droit. Et la pose de piercings, les tatouages et le branding sont autorisés.

- Pardon, le branding?

Jennifer sourit un instant et répondit :

- Le marquage au fer rouge.

- Oh!

- Oui, il faut que tu te rendre compte que si Robert deviens un des esclaves, il ne sera guère plus qu'un objet, à la disposition de nos clients. Et justement, nous louons nos esclaves à nos clients pour des périodes allant de quelques heures à plusieurs mois, et nos clients sont aussi bien des hommes que des femmes, voire dans certains cas d'autres sociétés qui veulent utiliser nos services. Des questions?

Comme Patricia n'en avait pas, Jennifer continua :

Robert est officiellement inscris dans le Registre de la Corporation des Maitresse mondiales.

Patricia appela Robert.

Il s'installa à genoux devant Maitresse Patricia et Dame Jennifer

- Bien, mais parlons de toi à présent. Tu as 40 ans et tu à étudier en astrophysique, c'est cela?

- Oui, j'ai une maîtrise en sciences spatiales et une licence en astrophysique, option physique du continuum espace temps.

Jennifer haussa les sourcils. Certes on demandait aux esclaves d'avoir un minimum d'éducation mais les candidates avec un tel bagage étaient rarissimes.

- Bien, mais pourquoi, avec de telles études, vouloir devenir une esclave?

- C'est que il n'y a pas tellement de débouchés, dans ma branche et que tous les emplois son en chine, et ...

La voyant hésiter, Jennifer le trouvant charmant ainsi, sûre de lui et serviteur un instant, puis honteux comme un petit garçon l'instant d'après.

- ... et puis c'est mon EX Femme devenu Maitresse qui ma vendu a Maitresse Patricia, dit-il en rougissant.

- C'est une excellente raison...

- Bien sûr, il y a aussi l'argent. En fait, cela compte pour beaucoup.

- Évidemment, les 15 000$ que ta Maitresse paye a la Corporation des Maitresse mondiales pour un contrat de trois ans sont une belle somme, mais c'est bien naturel, vu ce que nous affront.

- En effet, cela se comprend, mais justement, peux-tu me dire pourquoi penses-tu que êtres un bon esclave?

Jennifer le laissa s'expliquer sur ses motivations, ses fantasmes, ce qu'elle entendait par « esclave », discutant de ces choses pendant encore une demi-heure. Puis comme l'entretien touchait à sa fin, Jennifer aborda encore quelques détails.

- Comme tu le sais, vu que c'est la première fois que tu t'engage avec nous, tu devras servir d'esclave jusqu'au bout, tu comprends? Ta Maitresse s'engage pour toi Robert tu dois lui faire honneur

- Oui, parfaitement. Et après Dame Jennifer

- Et bien, tu - OK, on verra bien. Soit tu revins à ta Maitresse ou on te prête pour un autre contrat

- Bien sûr. Maintenant une dernière chose : il me faudrait te voir nue. Tu peux te déshabiller s'il te plaît?

- Heu... Oui, bien sûr. Jennifer souriait a Patricia complice Robert savait qu'on allait en arriver là, mais il ne pouvait s'empêcher de se sentir gênée, ce qui était complément irrationnel, vu la raison de sa présence ici, se dit il. Mais après tout.

Néanmoins, il quitta rapidement ses habits, en les posant sur sa chaise. Il termina en enlevant sa culotte blanche.

- Tu es très beau Robert. Peux-tu te mettre sur ce cercle lumineux, là.

- Oui, c'est quoi?

- Juste un scanner holographique, je dois prendre une photo de toi en 3D haute- résolution, pour le dossier.

Pendant que le cercle lumineux s'élevait lentement autour de Robert, Jennifer admira son corps : il était mince et élancée pour son âge, de longues jambes, des chevilles fines, la tailles plate. Une jolie queue très droite, Jennifer le masturba quelque seconde avec un sourire et se lichant ses lèvres Maitresse Patricia sourie a Jennifer si tu le désire il est a toi.

Après qu'il se fut rhabillé, Patricia et Jennifer elles discutèrent encore de certains points. Patricia fut ravie de savoir que la corporation pouvait s'occuper de Robert.

Maitresse Patricia dit a Robert des Maintenant tu appelleras Maitresse Jennifer aller va au Donjon met toi nu Maitresse Jennifer va s'amuser un peut avec toi aller va a genoux Robert dit bien il quitte.

L'esclave s'avança d'un pas, leva les yeux sur la Maîtresse.

- A votre service, Maîtresse.

Jennifer se laissa aller en arrière et leva un pied vers l'esclave Robert, qui comprit ce que sa Maîtresse voulait. Il saisit son pied et doucement lui retira sa chaussure et fit de même avec l'autre pied. Pendant ce temps, Jennifer déboutonna son chemisier.

- Ouvre cette valise, il y a à l'intérieur un écrin avec mes instruments, sors le et présente le moi.

L'esclave Robert sortit de la valise en question une boite longue de quelques vingt pouces, large de trente, épaisse en cuir noir. Il ouvrit la boite et la présenta à Jennifer. L'esclave n'eut pas besoin de regarder ce qu'elle contenait, il le savait : Robert présentait à sa Maîtresse les cravaches, martinet, badines, pinces avec lesquels il allait être suppliciée.

- Enlève tes chaussures et approche-toi, dit Jennifer en tapotant sur le lit à coté d'elle.

L'esclave monta sur le lit après avoir retiré ses chaussures et se mit à genoux devant Jennifer, lui présentant toujours l'écrin. Jennifer se pencha sur le coté et fit mine de jeter un coup d'œil à l'intérieur de la boite.

- Voyons, voyons, mon petit, avec quoi je vais bien pouvoir te torturer, mon petit Robert? La cravache? Cette badine en rotin? Pourquoi pas? Ce serait agréable de cingler tes petits seins avec... J'aime bien aussi ce martinet aux lanières de latex... Je suis sûre que tu hurleras si je te fouette la queue avec... Qu'en penses-tu, Robert?

- Comme Maîtresse le voudra. J'endurerai tous les supplices que vous m'infligerez, pour votre seul plaisir.

- Bien sûr, bien sûr, vous dites tous cela, chien... dit Jennifer, d'une voix lasse. Mais après, dès qu'on commence à vous travailler un peu au corps, vous implorez pitié comme des petits pisseurs... Finalement je vais prendre ça, dit Jennifer en désignant sans équivoque un des ustensiles. Donne le moi!

L'esclave Robert se mordit la lèvre : la Maîtresse avait choisit une des choses que les esclaves craignait le plus.

- Voilà l'aiguillon électrique, Maîtresse, dit l'esclave avec respect en sortant l'instrument de son écrin, le tenant par les extrémités, l'offrant ainsi à Jennifer.

L'aiguillon électrique ressemblait à une courte badine rigide, longue de quelques vingt pouces, en latex noir, dont le manche était orné d'un petit sélecteur destiné à graduer l'intensité de la décharge et d'un interrupteur miniature. A l'extrémité se trouvait deux petits ergots métalliques, arrondis et espacés d'à peine un petit pouce. C'est de là que sortaient les douloureuses décharges, mais la Corporation des Maitresse mondiales avait conçu l'objet tel qu'intensité et tension électrique ne présentaient aucun risque de brûlures ou d'électrocution, mais infligeaient uniquement une douleur qui pouvait aller d'un simple picotement au summum de la souffrance.

Jennifer pris l'aiguillon des mains de l'esclave et lui sourit.

- Tu sais ce qui est bien avec l'aiguillon? C'est qu'on peut torturer un esclave sans le moindre effort, pas besoin de lever le bras, on appuie juste sur ce petit bouton et tu subis de délicieuses souffrances... Bon, range l'écrin et va me chercher un verre d'eau.

Pendant que l'esclave posait l'écrin sur une commode et allait à la cuisine, Jennifer ouvrit le tiroir de la table de chevet et y trouva ce qu'elle cherchait : un flacon de somnifères légers. Quand l'esclave lui apporta son verre d'eau, elle prit deux comprimés : dans une heure, quand elle se sera bien amusée, elle aura l'assurance de dormir d'un sommeil profond et réparateur et donc d'être en pleine forme pour demain!

- Bien! A nous deux, mon petit... Tu vas faire des étincelles pendant une petite heure!!! Viens là, près de moi...

Jennifer fit coucher l'esclave à coté d'elle, sur le dos, lui fit passer les bras sous le corps et avec les mousquetons de ses bracelets, lia poignets et chevilles ensemble. Ainsi l'esclave est offerte, cuisses bien écartées, ne pouvant pas trop se débattre. Jennifer se leva, déboutonna lentement son chemisier, et fit glisser sa jupe et ôta ses bas. Puis, juste en petite culotte et soutien-gorge, elle se coucha à la droite de sa victime, telle un prédateur qui s'apprête à jouer avec sa proie avant de la dévorer.

Maitresse Jennifer ajoute un préservatif sur sa queue a Robert et ensuite s'empalais sur son sexe, sa chatte était déjà bien humide et son sexe n'eu aucun mal à la pénétrer, Elle fis de lent vas et viens sur son sexe, avec son bassin suivant le rythme du vas et vient, Elle gémissait à chaque entrée de son sexe en Elle, son corps était très sensible mes tétons était en érection, il ne pouvait bouger bien attacher.

Maitresse Jennifer détache Robert il ne me fallu pas longtemps avant de jouir une première fois, il la suça et lui mordilla les tétons, l'enlaçais, il la rendais complètement folle, il la fit basculer en arrière écarta bien ses jambes et accéléra nettement ses coup de reins, il mis ses jambes par-dessus ses épaules, il entrais bien profondément dans sa chatte, Maitresse Jennifer criais de plaisir en se caressant les seins, Elle s'abandonnais complètement à lui, il s'enfonça bien en

Elle et fini par jouir en même temps quelle. Il sortit de sa chatte, et Maitresse Jennifer enleva son préservatif, le retourna et m'ordonna de boire mon sperme que le préservatif avait retenu.

Le somnifères fit son effet Robert se retrouve de nouveau attacher prêt de Maitresse Jennifer le sommeil l'enveloppa a son tour.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Episode un peu chaotique, il semble manquer des parties (au moins au debut), et à des moments ça parle de Lisa alors qu'il y a Patricia et Jennifer... Bref on a un peu de mal à comprendre

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