De Mari à Esclave Ch. 11

Informations sur Récit
De mari à esclave.
2.1k mots
4.25
2k
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Récit n'a pas de balises

Partie 11 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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La soirée arrive à la fin je termine le ménage de la cuisine vaisselles, et laver les comptoir je continu quand on m'appelle robert au salon vite, j'arrive et voit Mélanie je tombe a genoux et dit on part Maitresse Mélanie, mais soudain, je voit que Mélanie a un papier a la main et me dit signe vite, se que je fis vite lui remis le papier, elle me dit sa ses des papier de divorce, la on me prend par mes cheveux ses Patricia qui me sourie et jette un papier a terre signe vite celui la aussi, se que je fis vite encore.

Patricia me prend par les cheveux et dit lève toi tu viens de signer ton papier d'esclave tu es a moi maintenant, je vois Mélanie partir avec son amant je suis pétrifier, que m'arrive il je me sens perdu. Patricia dit continu le ménages se que je fis.

Des tâches de réfection de certains articles de cuir me furent attribuées. J'y passais un temps indéfini. Puis enfin, de nouveau la porte de la salle s'ouvrit. Maîtresse Patricia jaillit littéralement d'un pas rapide, telle une furie jusqu'à moi alors que je me trouvais assis par terre nettoyant des cuirs de Maitresse Angela. Ses yeux brillaient d'une tension nerveuse et le ton sec de sa voix ne souffrait aucune contradiction. La façon dont elle m'ordonna de me mettre à quatre pattes, de relever ma jupe, baisser ma culotte aurait pu paraître inquiétante, si je n'étais déjà pas excité à l'idée de ce qui allait suivre.

Ouvrant un pot de vaseline, elle m'en badigeonna la raie des fesses et en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire je sentais le bout d'un énorme Plug rétréci à l'embase pour rester "dans la place" me dilater et me couper le souffle. Quittant presque aussi vite la pièce, et suivant ses ordres, je repris mon travail. Je compris le but de cette dilatation anale, qui n'était nullement pour mon simple plaisir, lorsqu'elle vint me chercher pour me tirer par la laisse comme une "chienne" dans le salon contigu ou deux autres esclaves nus celui d'Angela se et celui de Daphné-Annie David qui se trouvaient yeux bandés. Ils étaient tous deux attachés sur le dos, l'un sur un banc, l'autre sur une table équipée d'entraves. La lumière était tamisée.

Me positionnant à quatre pattes dans un coin, Maîtresse Patricia me fit ôter définitivement ma petite culotte et entreprit un savant ligotage de mes couilles et mon sexe. C'était la première fois que l'on me faisait ce genre de bondage et après quelques tours avec une simple cravate sur l'embase de mes couille, je me retrouvais avec une paire de couilles si bien étirées qu'elles frottaient délicieusement contre mes bas entre mes cuisses et que mon sexe était gonflé par une érection, qui me faisait dire que j'étais près à n'importe quoi pour offrir du plaisir a cette femme tellement. Elle me fessait peur mes de la a sucée un homme je refusais ses yeux lance des éclairs.

Je ne croyais pas se qui arriva, car je me retrouvais quelques minutes plus tard en train de sucée le premier soumis lié sur la table David sous les ordres de Maîtresse Patricia qui me prenant par les cheveux me pince le nez en ouvrant ma bouche la queue entre. Puis comme ensuite je m'y attendais Maîtresse Patricia libéra mon petit trou bien élargi du Plug pour me faire enculer comme une salope par le soumis de Maitresse Angela tout en me branlant de sa main de Dominatrice. Je ne sais même plus lequel de nous deux joui le premier, mais ce fut le signal pour que Maîtresse Patricia m'envoie prendre une douche une deuxième fois. L'ordre tombe suis moi Roberta me dit Maitresse Patricia avec son sourire sadique.

Mes ces bagages dans l'auto assis toi coté passager Maitresse Patricia venais de poser sa main sur ma cuisse, caressante et menaçante à la fois. Je sentais une douleur dans le ventre qui accompagnait une érection indésirable. Sa main effleura la bosse sur mon pantalon, elle s'éclaffa et se fit grossière: "et tu bandes encore en plus salope tu ah hâte de arriver chez moi tu t'y crois déjà?" "Je...je reste à condition que..." articula-il avec difficulté, perturbé par l'attitude provocante de la Dominatrice. On eut dit qu'elle jouait avec lui comme un chat avec sa souris. Elle le coupa sèchement: "Pas de conditions!! C'est moi qui décide toi tu obéis, c'est tout!" "C'est...c'est d'accord" fit Robert dans un souffle... "Je ne t'entends pas bien minette" fit Maitresse Patricia moqueuse. "Je-res-te" articulaire difficilement finalement. Car cette femme me fessait peur"

Bien, tu es sûre de toi ma mignonne, hein?" Maîtresse Patricia prenait un plaisir sadique devant ma gène ma croissante. Elle en frissonnait d'avance. "Oui.oui», fit-il malgré lui, ça le troublait qu'Elle le traite en fille. "Je ne suis pas une fille, pensait-il, mais cela m'excite qu'elle me considère comme une femme." Maitresse Patricia ajoute des menotte à mes mains.

"On voit que tu n'as jamais subi une vraie Dominatrice", observa Maitresse Patricia. Robert tressaillit en voyant que la femme lisait presque dans ses pensées.

"C'est un oubli que tu vas réparer, après tu ne pourras même plus t'en passer ma poulette. Une vraie salope tu vas devenir une pute pour mes soirées, tu verras." Je serrais mes poings et tirait, impuissant, sur les menottes.

La voix se fit sèche: "Assez jouée! Mets ta tête contre l'appuie-tête."

Elle me noua une sorte de tissu, un foulard sans doute, autour du cou tout contre l'appuie-tête. En serrant elle l'immobilisait ainsi dos contre le dossier du siège. Une forte odeur de parfum bas de gamme me prit les narines et me donnait envie de vomir. Seul son bas-ventre semblait apprécier cette faveur intime. Je pensais a Maitresse Mélanie une l'arme coula de ma joue. Puis elle démarra le moteur grâce à ses propres clés et ricana: "Essaye donc de t'échapper ça fait partie de ton plaisir, je crois..."

L'auto s'ébranla, et je sentis qu'elle leur faisait regagner la route nationale.

L'angoisse me tenaillait car je n'avais pas envisagé qu'elle m'emmène ailleurs. Mais cette angoisse stimulait ses sens. Je me sentais durcir malgré moi. Ils roulèrent une bonne demi-heure, Robert avait perdu le sens de la direction et du temps. La voiture s'engagea dans une pente raide, probablement une descente de garage dont il entendit jouer le mécanisme de porte. "Un portail électrique se désola-t-il, me voici dans l'antre du loup! Livré fagoté à domicile, prêt à être consommé..." Il se sentait totalement pris au piège, moucheron dans la toile de l'araignée, ce dont mon sexe paraissait, lui, se réjouir... il était évident que c'était à son sexe, bête de plaisir, qu'il devait d'être là, et non à son cerveau et à la raison.

Une sonnerie de portable retentit. Maitresse Patricia coupa calmement le moteur. La porte de garage se refermait derrière eux sur toute liberté... Puis elle prit la communication. "Allo? Oui! Salut Claudie,... ça va oui,... non..., mais tu peux venir quand même. J'ai un invité adorable qui sera tout content de faire ta connaissance. J'ai déjà du monde à midi, viens plutôt cet après-midi...Oui?... ...Oh! Oui, un joli p'tit lot, super mignon...Tu dis? Non, on t'en laissera un morceau n'aie pas peur...Pardon?...Apporter ton appareil numérique? Ah oui tiens, super idée...A tantôt? Allez Ciao!!"

Le sang de Robert se glaçait! Des invités? Des photos? Son cœur battait la chamade. Il était vraiment piégé, il se sentit déstabilisé, affolé, son cerveau s'emballait...son intimité elle -même avait des regrets d'être là! "Heu, je. Laissez-moi! Je ne veux pas de photos!... et puis j'ai changé d'avis, je ne veux plus vous suivre relâchez-moi, soyez sympa..." supplia-t-il. Je veux revoir Maitresse Mélanie

Maitresse Patricia ricana; "Le dessert qui veut se barrer!...c'est trop tard ma poulette je t'ai acheté a ma sœur Angela tu es a moi Robert corps et âme, maintenant tu obéis ou je me fâche..."

"A l'aide... hurla-t-il faiblement, coupé dans son élan par une main plaquée sur la bouche. Maitresse Patricia chercha quelque chose dans sa poche puis relâcha ma bouche et me pinça le nez.

Robert ouvrit bien grand le bec pour avaler une bouffée d'air (et crier ensuite...) mais un objet dur, froid et rond vint me river mon clou. Elle relâcha sa pression sur mes narines et serra la lanière très forte sur ma nuque. "Ooohmmh" "Et là tu peux encore crier?" "Mmff...Mmff" fit-je totalement affolé. Mes mouvements désordonnés et vains réveillèrent son érection tarie. Maitresse Patricia me souffla dans l'oreille:" Tu sais si tu ne m'obéis pas ta punition sera très sévère, je vais déjà devoir te punir pour tes cris." Je sentis sa main se glisser sous ma robe et remonter jusqu'à mon seins droit, son souffle contre sa joue. "Il y a des endroits sensibles, très sensibles..."

Un léger frottement de ses doigts lui faisait pointer l'extrémité, Robert gémit. Puis le frottement se fit plus fort et se mua en pincement. Le plaisir se teinta de douleur peu à peu. De l'autre main, elle tâta la bosse de mon pantalon. "Tu aimes souffrir, je le sens bien" susurrait-elle à mon oreille. Tu vas être bien servi, je vais te soigner. Le pincement se mit morsure, déchirure, elle tirait en pinçant très fort. Impuissant à l'empêcher de continuer, des larmes de panique me vinrent. Loin de calmer Maitresse Patricia, ce là semblait l'exciter. "Voyons avec une pince..." Et un objet froid vint remplacer ses doigts, tandis qu'elle soulevait la robe pour dégager mon torse. " Waaah, aucun poil! C'est rare, je sens que tu as un corps de rêve salope. On va faire des photos sensas" Sa bouche s'empara de mon sein gauche demeuré libre.

De la même façon, il subit le passage de la succion voluptueuse (jamais une fille ne lu avait fait ça!) à un mordillement, puis à une morsure. Il ne pouvait crier alors qu'il le voulait de toutes ses forces! Une seconde pince vint clore la punition cotée gauche. Il allait les porter quelques temps, mais le plus dur, ce serait de supporter le moment où on les lui enlèverait... "Il faut bien que tu te mettes dans la tête ceci: c'est moi qui décide quand tu dois souffrir et quand tu peux prendre ton pied. Toi tu ne peux rien faire, rien empêcher, rien! Un seul mouvement de révolte et il t'en cuira beaucoup plus que ça! C'est bien clair maintenant?" Ma tête baissée valait un assentiment.

Elle se pencha sur ses genoux et défit les menottes. "Soulève ton cul!" Tant bien que mal je décollai le derrière de la banquette. Maitresse Patricia dégrafa et enleva ma robe mon slip. Elle remplaça les menottes par une cordelette qui serrait mes deux cuisses juste au dessus du genou. Libéré du foulard, ma robe passa par-dessus ma tête et descendit derrière le siège jusqu'à mes poignets toujours liés. Elle allait devoir me libérer les mains et c'est là que Robert avait décidé d'agir. Malheureusement, les menottes larges à mes pieds me furent installées sur les bras nus juste au dessus des coudes. Elle ouvrit alors les menottes de ses mains d'un seul côté et tira le maillot d'un geste vif. Robert tenta sa chance: basculant en avant pour pouvoir atteindre la poignée de la portière, il arracha ensuite les lunettes noires de la main gauche. La portière s'ouvrit sans encombre. Ruade en avant. Sous ses pieds, le contact froid d'un sol carrelé.

D'un coup d'œil il vit un garage plongé dans la pénombre et au fond une porte qui lui paraissait toute proche, proche. Quelle que pieds de course maladroite... Maitresse Patricia grogna en sortant de la voiture à son tour, une lampe torche à la main. Robert voyait assez bien, dans le noir...mais ses genoux entravés le gênaient. Il était incapable de les atteindre et les délier à cause des menottes aux coudes. Il entendit courir sur ses pas nus.

Robert atteignit la porte le premier mais peine perdue elle était fermée! Maitresse Patricia était juste derrière moi, elle m'attrapa durement par les cheveux et me braqua la lampe-torche dans les yeux. Je ne pus distinguer ses traits, tout juste je devinais un grand front et des cheveux courts. "A genoux idiote " cria Maitresse Patricia en me tirant en avant. Une bourrade dans le dos acheva de me déséquilibrer. Je basculai sur le côté et je me fis remettre à genoux d'une traction sur la tignasse: "C'était bien tenté mais tu sais, j'avais pensé à tout! Dommage que tu ne veuilles pas le comprendre tu es a moi ta pas compris. Je vois que tu aimes les punitions; ça tombe bien, moi aussi!!..."

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Orthographe calamiteuse…

AurailiensAurailiensil y a 6 mois

Trop difficile à lire et à comprendre

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