De Mari à Esclave Ch. 12

Informations sur Récit
De mari à esclave.
2.3k mots
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1.7k
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Récit n'a pas de balises

Partie 12 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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Un gémissement. Maitresse Patricia venait de me pincer les narines d'une main: "Serre les poignets dans le dos!" Robert obéit la rage au cœur. Un collier de serrage rapide cliqueta dans son dos, réunissant ses poignets et mettant un point final à mes espoirs de libération. Mais son sexe recommença à se dresser malgré lui par saccades. L'apnée se prolongeait à présent. Il entendait Maitresse Patricia fouiller dans ses poches de sa main libre. Puis il y eut un bruit de plastique. Alors l'étreinte sur son nez cessa un instant, et il se retrouva coiffé d'un sachet plastique (celui qui avait contenu le foulard ...vu l'odeur!). Il avait le cœur brisé et la verge en l'air.

Mais ce n'était pas fini... Il fut traîné quelques pieds au sol sur le carrelage glacé et se sentit passer une corde autour des chevilles. La corde fut tendue jusqu'à une poulie... Il comprit ce qui lui arrivait au fur et à mesure que mes jambes s'élevaient. "MfMMM..!!" fis-il, tandis que il se retrouvait suspendu la tête en bas. Un premier coup de cravache sur les cuisses vint m'informer que sa tentative avortée allait être sanctionnée. La douleur était cinglante. Maitresse Patricia sourit et gratifia ma peau bronzée et duveteuse d'une punition qu'elle voulait exploratoire. Le clitoris de Maîtresse Patricia durcissait à chaque gémissement de l'esclave Robert pendu. Je reçus une dizaine de coups sur les parties les plus sensibles: dos, fesses, mollets et cuisses. Je haletais et suffoquait du nez, ma salive s'accumulait derrière le baillons et il déglutissait avec peine. Impuissant, l'air devenait chaud et irrespirable dans le sac.

Maitresse Patricia n'y tenait plus, elle baissa sa robe, coiffa son gode à double gland prestement d'un préservatif puis l'enfonça lentement dans la raie offerte mais serrée du bel éphèbe. Ensuite elle s'approcha de l'autre extrémité du sexe de plastique dressé vers mon intimité et se l'introduisit avec précaution. Elle était parfaitement lubrifiée... D'un coup de genou elle me bouscula les reins. Je me sentis partir d'avant en arrière... alors, elle exploita habilement le balancement du pendule humain pour que mon corps vienne buter progressivement jusqu'à sur son ventre à intervalles réguliers. Elle soupira d'aise en en râlant. Pour Robert, le d'art était froid et fin, il fouillait ses entrailles et heurtait jusque contre sa prostate.

Robert n'avait encore rien ressenti de tel. Brusquement, les chevilles de Maîtresse Patricia se serrèrent autour de ma tête qui se trouvait au ras du sol, l'immobilisant. J'entendis ses râles et ressentit de fortes saccades dans son intimité troublée par la situation. Maitresse Patricia n'y tenant plus accélérait elle même la cadence en se masturbant le clitoris de la main droite. Elle finit par émettre un cri et se raidit. Enfin, Maitresse Patricia retira le gode d'un coup sec me laissant une sensation de froid et de vide. Je n'aurais pas tardé à jouir à ce train-là, ...mais ce n'était absolument pas dans les intentions de la jeune femme! Déjà elle se rajustait. Ma verge se tendait désespérément. Sa quête de plaisir serait vaine.

A présent, l'air était brûlant dans le sac, je transpirais à grosses gouttes, haletant, au bord de l'asphyxie... les pinces me broyaient les seins... "Je devrais te laisser comme ça, lança Maitresse Patricia, mais tu serais mort en cinq minutes! Alors je vais être bonne Princesse encore cette fois-ci... Tu vois, je t'aime bien quand même. J'ai même un gros faible pour toi saloperie. Elle fit un trou juste sous ses narines qu'elle chercha à tâtons à travers le sac. Un filet d'air frais me parvint faiblement. Et elle me laissa ainsi, perdu comme un enfant kidnappé, dans son sac étouffant, la tête en bas.

Robert lutta pour ne pas emballer sa respiration. Sa tête semblait vouloir éclater sous la pression du sang tandis que ses pieds, glacés, se couvraient peu à peu de fourmis.

Au bout d'un quart d'heure, Robert avait réussi à régulariser sa respiration; mais la position pieds en l'air et tête en bas commençait en revanche à devenir insupportable.

Son érection allait aussi en croissant, se nourrissant de sa crainte...

Il pensait qu'il ne tiendrait pas une heure... Maitresse Patricia devait sûrement lire dans son esprit -encore!- car il entendit des pas et sentit un contact. "Mmmh" implora-t-il en secouant la tête.

"C'est une punition méritée, n'est-ce pas?" "Mmmh" accepta Robert "Je vais y mettre fin à condition que tu sois docile et coopérant." La femme s'était placée dans son dos et avait ôté le sac en plastique. L'air lui parut soudain glacé! Mais je redevins rapidement aveugle car Maitresse Patricia était en train de me fixer une cagoule qui sentait bon le cuir neuf. Après avoir fixé la lanière de serrage autour du cou, elle m'ôta les pinces et le bâillon-boule pour pouvoir fixer les autres attaches de la cagoule. "Je ne te remets pas le bâillon si tu acceptes de ne plus crier" fit doucement sa tortionnaire.

Robert était brisé moralement et physiquement: "...Oui, c'est promis..."

"Oui qui?" fit une voix sèche. "Oui Maîtresse!" s'empressa Robert.

"J'ai une bonne surprise pour toi ma poulette, nous allons avoir une dizaine d'invitées au lieu de deux à midi... qu'en dis-tu?" le ton était sadique et mielleux, très bien calculé...

"Je vous en supplie, pas ça..." implora Robert. "Pardon?" "Je vous en supplie, pitié Maîtresse"

"Je veux entendre: merci, Maîtresse!!" asséna Maitresse Patricia et un coup de cravache lui cingla les testicules qui pendaient sur son ventre, vu sa position. "Aaahhoo!" fit Robert. "Alors qu'est-ce qu'on dit?" et Maitresse Patricia administra un second coup au même endroit puis un troisième... sa volonté était anéantie, il aurait tout donné pour ne plus recevoir de coups et pour être dépendu.

Il craqua: "Merci! Merci Maîtresse!...je ferai tout ce que vous voudrez! Je le jure!..." Calmement, la sadique alla décrocher la corde et le fit redescendre. J'était à présent allongé à ses pieds.

Elle le tira par la lanière de la cagoule pour me remettre à genoux. Puis libéra ses pieds du lasso et revint se placer face à lui. Incapable de bouger Robert perçut le bruit d'un froissement de tissu et un glissement de fermeture éclair. "Suce salope!" ordonna Maitresse Patricia. Maladroitement, Robert avança la tête dans la direction de la voix. Il frissonna. Avait-il vraiment le choix? Sa joue effleura la vulve chaude et offerte, ouvrant la bouche, il sortit sa langue pour explorer...

"Mmm! ...pas mal. Encore!" gémissait-elle. Elle écartait ses lèvres avec ses doigts et Robert put lécher d'un lent va et vient son clitoris qui se durcissait à chaque passage. Son odeur intime, forte et pénétrante emplissait ses sens égarés. "Oh plus vite, petit salaud!" cria-telle. La langue meurtrie de courbatures, Robert accéléra la cadence. Son sexe se durcit et se tendit vainement. Il n'en pouvait plus de frustration!

Les poings liés dans le dos et les genoux et les chevilles entravées, il ne pouvait pas faire autre chose que d'obéir... il DEVAIT la satisfaire au plus vite car ses forces déclinaient, des tiraillements annonçaient la défaillance prochaine de sa langue.... Comme elle tardait à venir, il changea de tactique, abandonnant le léchage et amorçant un mouvement de succion et de pompage de ses lèvres autour du clitoris de la Patricia... Un grognement de cette dernière lui signifia qu'elle appréciait ce nouveau jeu. Elle ne résista pas plus de deux minutes à ce traitement et explosa dans un feulement sauvage.

"Waouh! J'ai tiré le bon numéro! T'as un coup de langue redoutable, un véritable salope; quand les copines vont voir ça!" gloussa Maitresse Patricia et en plus du va me rapporte un gros montant de $ en se rajustant. Elle détacha les chevilles de Robert et le fit remettre debout. Elle le poussa devant elle, glissant sa main droite entre les fesses du garçon et lui plotant les testicules. "Avance poulette! Tu vas faire ta toilette!" Le pauvre avançait avec difficulté du fait de ses genoux entravés par une cordelette. Il ne pouvait faire que des petits pas. La Patricia lui serrait les choses de plus en plus fortes et il gémit. "Pitié Maîtresse..." Mais elle n'en avait cure, appréciant d'un œil expert le résultat de ses massages. Ils remontèrent un escalier et se retrouvèrent sur une terrasse au bord de la piscine.

Elle était juste derrière lui et se serra contre son dos, léchant son cou bronzé et duveteux. Elle glissa sa main gauche le long du ventre de Robert et empoigna sa verge durcie, sans cesser de lui travailler les boules de la main droite. Robert le souffle court souffla: «Pitié, je vais jouir Maîtresse!" Elle le coupa sèchement "Ca, je te le déconseille! PAS sans mon accord" et elle coiffa son membre déployé d'un préservatif.

Brusquement elle poussa Robert en avant et celui-ci déséquilibré par l'étreinte de ses liens, bascula dans le bassin, soulevant des vaguelettes qui ridèrent la surface bleue... En d'autres circonstances, il aurait crié de bonheur...

"L'eau va te rafraîchir ton Moineau, rit la Maîtresse Patricia en ôtant ses habits." Robert paniquait totalement, se débattant dans ses liens. "Je vais... me ... n...noyer!" Son cerveau s'emballait constatant qu'il n'avait pas pied. Il se contenta d'ondoyer du corps entier en se mettant autant que possible sur le dos. Le souffle court, il arrivait à peine à maintenir sa bouche à fleur d'eau.

Soudain Patricia fut à côté de lui. Il crut qu'elle venait lui porter secours. Mais il comprit rapidement qu'elle n'en avait pas l'intention. Elle ne l'aidait pas, au contraire! Elle constata avec dépit que le contact avec l'eau froide et sa périlleuse situation l'avait fait entièrement débander!

Elle se mit à l'œuvre: elle empoigna son sexe de la main droite, nageant de la gauche. Lorsqu'il comprit qu'elle entendait rallumer sa flamme malgré le danger de noyade qui le menaçait, son esprit s'embrouilla... il se sentait acculé, au bord du gouffre. Malgré ses mouvements serpentins pour se maintenir à la surface, elle parvenait à travailler ses testicules et son gland de ses doigts fermes et habiles. Elle sentait renaître l'érection, tandis qu'il se préparait à l'agonie. "Mais où me suis-je fourré?" songea-t-il...

Elle se rapprocha jusqu'à être toute proche, joue contre joue, au dessus de lui. Son poids avait tendance à alourdir Robert qui dut onduler plus rapidement pour garder une chance de respirer à la surface. Patricia fit habilement glisser le membre raide entre ses cuisses puis vers sa fente. Elle savourait cette situation où le mâle en perdition émettait des mouvements désordonnés, désespérés même... qui lui procuraient un bonheur immense. Il tentait de survivre et sa lutte se répercutait dans son ventre en vagues de plaisir.

Cette fois, trop alourdi, Robert but une première tasse. Un soubresaut agita son corps au bord de la débâcle, tirant à Patricia un râle de plaisir. Elle palma des jambes et tira sur le masque de cuir vers le haut pour lui permettre de sortir la tête et de reprendre une goulée d'air entre deux toussotements. Puis féline et souriante s'arrêta de palmer et s'appuya plus fort sur son bas-ventre le faisant plonger à nouveau.

En apnée cette fois Robert accéléra désespérément ses ondulations s'appliquant à la pénétrer profondément à chaque remontée de son bassin. Le marché était clair à présent: du plaisir contre de l'air! Le glissement de son sexe était amélioré par le fait d'être dans l'eau, il butait vivement au fond de son vagin à chaque secousse. Elle lui tira à nouveau la tête hors de l'eau satisfaite par la tournure des événements. Il exécuta plusieurs respirations rapides et elle se remit en selle sur lui en souriant, le faisant replonger pour la troisième fois. Le coït surréaliste se prolongea quelques minutes qui lui parurent une éternité arrachée à la mort.

Mais l'asphyxie gagnait du terrain. Ses temps de respiration gérés par Patricia étaient trop courts! Robert se sentait faiblir et se dit qu'il ne tiendrait plus très longtemps à ce rythme: il sentait la mort toute proche... Jetant ses dernières forces en avant il la gratifia d'allers et retours rapides et profonds tandis que son corps s'enfonçait peu à peu dans l'eau, sous le poids de la jeune sirène.

Soudain il sentit le sol carrelé du fond sous ses orteils. Prenant appui des deux pieds il lui imprima dans un dernier élan de vie des spasmes très forts. Maitresse Patricia en apnée elle aussi, sentit déferler un puissant orgasme qui la libéra de son énergie dévastatrice.

D'un rapide mouvement du bassin elle se dégagea du sexe de Robert et l'attrapa par son harnais pour le hisser jusqu'à la surface par de vifs mouvements des jambes. Il respirait difficilement. Elle le remorqua jusqu'à l'échelle, révélant ses talents d'excellente nageuse. Même libre, Robert n'aurait pas été plus fort qu'elle dans l'eau. Il eut une forte toux croyant même vomir. Puis sa respiration, d'abord rapide et courte, redevint normale en quelques minutes. "ca va mieux minus?" fit-elle mi-inquiète mi-moqueuse, mais ravie. Robert hocha de la tête pour approuver. "Bien! Alors je te laisse là un moment pour aller faire quelques préparatifs. Surtout ne te sauve pas! " Ironisa-t-elle.

Évidemment Robert ne risquait pas de sortir du bassin. Les mains serrés dans le dos et entravées par le collier en plastique ne pouvaient lui être d'aucun secours pour se hisser à l'échelle. Tout au plus pourrait-il s'accrocher en position "dos à un barreau" pour soulager son effort de sustentation dans l'eau. Il attendit donc, n'ayant pas d'autre choix.

Elle arriva enfin pour le sortir Robert s'aperçu que Maitresse Patricia étais plus forte qu'il ne le pensait. Elle l'aida a se séché. Ensuite l'amena dans une chambre lui dit repose toi tu va en avoir besoin. Il ferma les yeux et tous devins noirs.

Maitresse Patricia vient me réveiller, me détache une main et me tend un sandwich. Sur la table de chevet, elle dépose un verre que je dois impérativement boire car c'est un Gates rade ultra vitaminé. Une fois ma collation terminée je me lève pour qu'elle puisse me préparer pour la visite des lieux.

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