De Mari à Esclave Ch. 10

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De mari à esclave.
2.7k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 10 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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Les premiers invités commencèrent à arriver vers dix neuf heures. Je leur ouvris la porte et les conduisis vers Angela: il s'agissait de deux jeunes couples, mais l'on ne m'indiqua que le nom des deux femmes, Daphné et Annie, les deux hommes étant considérés comme quantité négligeable. Je pus comprendre que Daphné et Annie étaient des nièces d'Angela, et je les entendis dire que leur mère ne tarderait pas.

Avant longtemps une vingtaine de personnes s'étaient rassemblées et la soirée commençait à s'animer. Je passais au milieu des invités avec un plateau de boissons, et retournais régulièrement remplir les coupes vides.

Deux esclaves avaient été envoyés en cuisine, et le mari d'Angela les avaient affectés à la vaisselle. J'aperçus Sandy dans le salon, qui me

vit également mais ne sembla pas me reconnaître jusqu'à ce que Angela lui dise qui j'étais.

"Viens ici," ordonna Angela. Je fis une révérence comme j'avais appris à le faire.

"Dis à Maîtresse Sandy qui tu es."

"Je suis Robert l'esclave de Maîtresse Mélanie, Maîtresse Sandy," répondis- je.

Sandy éclata de rire : "je ne t'avais pas reconnu. Tu as l'air si... différent!"

"Merci Maîtresse Sandy."

Sandy remonta le haut de ma jupe et agrippa mes testicules ainsi que l'étui emprisonnant mon pénis.

Elle rit à nouveau : "c'est bien, je vois que tu continues à la porter." Elle se mit alors à expliquer comment elle s'était amusée à m'exciter quand Mélanie m'avait mis pour la première fois cette ceinture de chasteté. J'étais très intimidé et mal à l'aise face à ces deux femmes, pendant qu'elles parlaient de moi de façon humiliante et dégradante, et je ne pouvais qu'approuver leurs paroles avec un sourire stupide.

Sandy était une femme plutôt petite physiquement, elle devait mesurer moins de cinq pieds, pieds nus, et peser moins de cent dix livres, mais je savais qu'elle pouvait être une véritable petite peste,

vicieuse et sadique. Elle m'avait déjà réduit à l'état d'épave sanguinolente en l'espace de quelques secondes, et je ne souhaitais pas lui donner le moindre motif pour recommencer ce soir. Elle remarqua mon malaise devant elle, ce qu'elle parut savourer. Elle était habillée en tenue bleu marine, qui la mettait en valeur.

"Dégage maintenant," dit enfin Angela, et j'obéis avec soulagement.

Quand je revins de la cuisine après avoir pris de nouveaux verres, je vis que Mélanie était arrivée. Elle déambulait tranquillement au milieu des invités avec un homme à son bras, et je ne peux décrire l'émotion que je ressentis. Je ne m'étais jamais senti aussi bouleversé de ma vie : je la connaissais depuis presque vingt ans, c'était la seule femme que j'avais réellement aimée, et la voir ainsi si proche d'un autre homme était une catastrophe pour moi. Je leur proposai une boisson, et elle ne me reconnut pas jusqu'à ce que je parle.

"Mon dieu!" dit-elle avec incrédulité, "quelle transformation!"

Je partis avant qu'elle ne puisse ajouter quelque chose.

Il y avait deux sortes d'esclaves à cette soirée. Les esclaves de compagnie, totalement nus et qui pour la plupart restaient agenouillés à côté de leur Maîtresse, et les soubrettes, des hommes travestis en servantes comme moi. Il y avait en tout quatre soubrettes : le mari de Angela, celui de Sandy, qui s'appelait Charles mais qui avait été rebaptisé Marie, moi et un dernier avec lequel je n'avais pas encore parlé.

Je servis un verre à une femme assise près du feu, et elle m'informa que son nom était Dorothée, et celui de son esclave de compagnie, Toto. De façon générale, les esclaves n'étaient pas autorisés à manger ou boire à moins que ce ne soit sur ordre de leur Maîtresse, et Dorothée donnait à manger à son esclave en lui tendant des bouchées dans sa main. Elle me demanda une écuelle de façon à ce que Toto puisse boire également. Tous les esclaves de compagnie étaient de beaux garçons musclés, âgés d'une vingtaine d'années, et semblaient en excellente forme physique et bien membrés. Ils se ressemblaient tellement que j'avais du mal à connaître leur nombre exact, car j'en comptais certains plusieurs fois.

Je tombai à un moment sur Maîtresse Scarlett, probablement l'invitée la plus âgée de l'assistance, je sus la que ses la maman de Daphné et Annie, qui présenta son esclave qui était la dernière soubrette avec laquelle je n'avais pas encore parlé. Scarlett devait avoir à peine plus de quarante ans, et son mari et esclave avait presque cinquante ans, mais il ne paraissait pas être en si mauvaise santé, en considérant tout ce qu'elle devait lui faire endurer. Scarlett était impatiente de regarder sous ma jupe, et elle parut déçue quand elle s'aperçut que je portais une ceinture de chasteté.

"Qui a la clé?" me demanda-telle.

"Maîtresse Angela," répondis-je.

"Tu fais partie de son cheptel?" s'enquit-elle.

"Non Maîtresse Scarlett, j'appartiens à Maîtresse Mélanie, mais elle m'a prêté à Maîtresse Angela pour le week-end."

"Intéressant, je t'utiliserai peut-être tout à l'heure."

"Merci Maîtresse Scarlett," et je repartis avec mon plateau.

J'entendis les voix des nièces d'Angela provenant d'une des chambres du bas, qui en principe ne devaient pas être utilisées lors de cette soirée.

J'allais les en informer, mais ce que j'entendis de leur conversation me fit m'arrêter et je ne dis pas un mot.

"Ne me force pas à te déshabiller, David," entendis-je dire une des filles.

"Pitié, je ne suis pas prêt à ça," tenta le jeune homme, mais les deux filles perdirent patience et se jetèrent sur lui.

L'homme étais plus grand et probablement plus fort que les deux furies, mais elles avaient tant d'autorité et de détermination qu'en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire elles l'avaient maîtrisé et amené à implorer leur pitié. Daphné était une jeune femme assez grande et mince, avec des cheveux tombant sur les épaules. Elle enserrait la tête de l'infortuné garçon entre ses jambes et le soulevait par les hanches sans efforts apparents, tandis qu'Annie, sa sœur, déboutonnait son pantalon pour prendre à pleines mains ses testicules. Elle se mit à serrer et tirer, le faisant crier de douleur et supplier.

"Déshabillons-le, Annie!" et sans plus de résistance de sa part les deux jeunes femmes lui enlevèrent ses vêtements. Quand je partis il se retrouvait entièrement nu et à genoux, docile.

Je retournai vers la cuisine, où je retrouvai Angela et Patricia en train de punir le mari d'Angela pour quelque écart de conduite. Patricia était le modèle réduit d'Angela, et il était évident qu'elles étaient sœurs. Patricia était un peu plus petite et légère qu'Angela, mais elle paraissait aussi forte et solide qu'elle. Elles avaient toutes deux un teint mat. Patricia avait un fier regard noir et elle me regarda entrer dans la pièce, pendant que Angela ordonnait à son esclave de baisser sa culotte et de s'allonger sur la table.

"Dis donc, qu'est que tu as là Angela?" demanda Patricia à sa sœur, me parcourant du regard en quelques instants.

"Une amie n'en voulait plus, elle m'a demandé si je voulais le prendre.

Je lui ai dit que je verrai si je peux l'utiliser."

C'était la première fois que j'entendais la vérité à mon sujet.

Angela saisit une canne posée sur une armoire, et la fit siffler en l'air.

"Et tu l'as fait?" demanda Patricia.

"Fait quoi?"

"L'utiliser."

"On en n'est encore qu'au début, il y a encore beaucoup de dressage à faire avant que je ne puisse me faire une opinion définitive." Patricia souleva le bas de ma jupe et baissa le devant de ma culotte, comme cela semblait être le standard pour une inspection rapide. Patricia, comme Scarlett précédemment, parut déçue de voir que je portais une ceinture de chasteté.

"Qui a la clé?" demanda-telle.

"Moi," répondit Angela. Elle installa son mari sur la table en disant "quelqu'un pour le tenir".

"Toi va tenir l'esclave de Angela sur la table," m'ordonna Patricia. Je fis ce qu'elle m'avait dit, puis Angela asséna un coup de canne sur ses fesses.

"Un! Merci Maîtresse Angela!" hurla-t-il.

Toutes les soubrettes avaient reçu l'ordre d'assister à cette séance, et Angela donna devant nous dix coups de canne. Puis ce fut au tour de Patricia, qui infligea la même punition au pauvre esclave. Je le maintenais sur la table pendant qu'il pleurait, subissant en silence son terrible calvaire. Son dos était devenu de la chair à pâté quand Patricia lui infligea son dernier coup.

"Je t'en donnerais bien encore un entre les jambes si tu avais encore quelque chose à cet endroit," se moqua Patricia.

"Tourne-toi et montre aux autres soubrettes ce qui arrive quand un de mes esclaves me désobéit," ordonna Angela. Toujours sur la table, l'esclave roula sur son dos et nous pûmes tous voir avec horreur ce que Angela lui avait fait : il n'avait plus qu'un pénis minuscule, peut-être moins de deux pouces, et il n'avait plus de testicules. Elle l'avait castré!

"On essaye de me baiser une fois : je prends une boule. Ca suffit en général, la plupart des esclaves, même des abrutis aussi stupides que vous, peuvent comprendre cet avertissement. Essayez de me baiser une deuxième fois, et je vous transformerai en eunuque, et je vous préviens que je ne le fais pas sous anesthésie!"

Puis elle remit la canne à sa place sur l'armoire. Elle était vêtue d'un ensemble bleu marine, qui laissait entrevoir sa poitrine opulente, sa jupe était fendue presque jusqu'aux hanches, et j'étais comme hypnotisé par le haut de ses bas noirs. Il régnait un silence total dans la cuisine.

Angela me regarda.

"Je vais vous dresser pour m'obéir sans réfléchir, jamais plus vous n'oserez me désobéir, discuter les ordres, hésiter ou faire la moindre chose qui puisse me paraître désagréable. Vous serez dressés méticuleusement, et toute désobéissance sera sévèrement châtiée. Est-ce que j'ai été parfaitement claire?"

"Oui Maîtresse Angela," répondîmes-nous tous.

Et regarder ici sur mur ses écris que Maitresse Angela fait parti de l'association des Maitresse Mondiale et est secrétaire pour eux. On peut vous vendre ou on veut alors décevez Maitresse Angela ou sa famille vous aller voir ses clair la?

"Maintenant retournez au boulot."

Je pris plusieurs bouteilles de bières ouvertes et j'allai les porter au salon quand Patricia me rappela.

"A genoux," m'ordonna Patricia. J'obéis immédiatement. "Peux-tu me passer la clé Angela?" demanda-telle. Angela prit un trousseau de son sac et en tendit une des clés à Patricia. Mon sexe se détendit en dehors de sa cage de plastique quand Patricia me délivra, puis il se mit à se dresser alors qu'Angela commençait à me caresser.

"Il en a une belle, Angy," commenta Patricia alors qu'elle m'amenait à l'érection. Patricia, la version en taille réduite d'Angela, se tenait debout au-dessus de moi, vêtue d'une jupe noire et d'une chemise grise, juste assez entrouverte pour laisser deviner l'échancrure provocante de son corsage. Ses cheveux étaient coupés mi-courts, couvrant ses oreilles et s'arrêtant au cou. Elle avait les mêmes yeux fiers que sa sœur, et elle me défiait du regard alors qu'elle me masturbait, m'amenant à la limite de l'éjaculation. Angela regardait sa sœur pendant ce temps, puis tout à coup Patricia s'arrêta.

"Je vais l'essayer dans une des chambres. Lesquelles sont disponibles?"

"Toutes les chambres du premier ont été faites, choisis celle que tu veux, à part la mienne," lui répondit Angela. Patricia attacha une laisse à mon collier, et je me mis à la suivre à quatre pattes.

Patricia me fit monter ainsi l'escalier, puis me guida le long du couloir pour entrer dans une des chambres.

Elle ferma la porte et alluma une des lampes de chevet.

"Debout," ordonna-telle. "Déshabille-moi."

C'était une grande femme, probablement dans les six pieds trois pouces pieds nus, mais avec ses talons elle atteignait six pieds cinq pouces, et nous étions quasiment yeux contre yeux pendant que je déboutonnais sa chemise de soie. Une fois tous les boutons défaits, je tirai la chemise en dehors de sa jupe, puis allai la suspendre à un cintre. Elle portait dessous un soutien-gorge de satin gris. Je défis le bouton et baissai-la fermeture éclair sur le côté de sa jupe, qui tomba en tas à ses pieds.

"Va la suspendre." J'obéis et allai accrocher la jupe sur le même cintre que celui de la chemise. Puis je revins m'agenouiller devant elle pour lui ôter sa délicate petite culotte de satin gris, lacée sur les côtés. Je la fis glisser sur ses hanches puis elle tomba à terre. Elle leva les pieds l'un après l'autre afin de me permettre de prendre sa culotte, et j'allai la poser sur une chaise, en la pliant soigneusement. Elle se tenait maintenant devant moi, magnifique dans ses sous-vêtements. Mon sexe se mit à tressaillir sous ma jupe, et je commençai à la désirer ardemment. Elle portait un porte-jarretelle de satin gris, lacé sur les côtés également.

Je défis la première puis la seconde attache de son bas gauche, puis le fis glisser le long de sa jambe. J'enlevai ensuite de même son autre bas.

Je défis les fins lacets sur le côté de son porte-jarretelle, qui tomba doucement. Je le pris pour le plier sur la chaise où j'avais déjà disposé sa petite culotte, puis je revins pour lui dégrafer son soutien-gorge.

Nous n'avions échangé aucun mot durant tous ces instants, et quand ses seins jaillirent de leur gaine, j'en eus le souffle coupé : ils étaient superbes, volumineux, avec des aréoles de couleur café au lait et de larges seins dressés. Je tombai à genoux devant elle, puis elle passa une jambe par-dessus moi pour se diriger vers le lit et s'allongea sur le dos.

"Fais travailler ta langue," commanda-telle. Je lui obéis immédiatement en enfouissant ma tête dans sa chatte bien raser et en cherchant son clitoris avec ma langue.

Je passai ainsi un long moment entre ses jambes, m'occupant de son clitoris et de son anus. Je dus la sucer et la lécher jusqu'à ce que ma langue et mes lèvres deviennent douloureuses ; elle semblait insatiable.

Je n'avais jusqu'ici connu réellement qu'une femme, et elle était devenue mon épouse. J'avais perfectionné mes pratiques amoureuses avec Mélanie, et je lui avais procuré de nombreux orgasmes, mais ce n'était pas du tout la même chose avec Patricia : Patricia était une vicieuse, avide de sexe, extrêmement exigeante, et j'étais terrifié à l'idée de la décevoir. Elle chevaucha mon visage, se frottant sans retenue, me tirant et me tordant la tête, et j'arrivais avec peine à suivre son rythme.

Puis elle s'arrêta et commanda : "mets-toi sur le dos!" Elle souleva ma jupe et saisit mon sexe dans sa main : il était dur comme de la pierre, et j'espérai avec anxiété que ce qu'elle voyait la satisferait. Elle s'empala sans ménagement sur mon pénis et commença à me chevaucher.

"Suce mes seins!" cria-telle. Je pris un de ses magnifiques globes entre mes lèvres et lui suçai le téton comme un bébé assoiffé. Je la sentis frissonner tandis qu'elle continuait son va-et-vient sur moi, et elle se mit à jouir. Puis elle eut un deuxième orgasme, puis encore un troisième. J'étais heureux de pouvoir lui donner ce plaisir, mais le temps passait et j'avais de plus en plus peur de ne plus pouvoir me retenir. Bien sûr, j'avais subi ces derniers temps toute une série de masturbations abominables, mais ce que je vivais était différent, très différent : même si ce n'était certainement pas de l'amour, c'était tout de même une expérience beaucoup plus agréable que ce que je venais d'endurer dans l'écurie. Alors que je commençais à me dire que je n'arriverai plus à me retenir de jouir, heureusement ses cris cessèrent, puis elle s'arrêta et se détacha doucement de moi.

Elle roula sur le dos et resta allongée à côté de moi.

"Merci Maîtresse" murmurai-je. J'avais réellement apprécié ces instants. J'avais réussi à ne pas jouir, et mon petit doigt me disait que si je n'avais pas pu me contrôler cela aurait peut-être été la dernière fois de ma vie que je profitais de mon sexe.

Nous restâmes allongés ainsi en silence, côte à côte, pendant quelques minutes. J'étais toujours en érection, et j'aurais désespérément voulu me soulager, mais Patricia semblait satisfaite et mon érection ne l'intéressait plus.

"Va faire couler la douche," ordonna-telle. J'étais redevenu la soubrette.

Cela me prit un petit moment, après avoir lavé et rhabillé Patricia, pour me redonner un aspect présentable. Quand j'eus fini, je retournai vers la cuisine pour continuer mon service.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Encore un très bon chapitre, merci.

Rudy.

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