De la Chimie des Corps Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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Pour la première fois, Cardinal perdit un peu de son flegme. Entre les gémissements et cris de jouissance qui émaillaient le spectacle érotique que lui offrait son groupe et la bouche diaboliquement habile de la jeune africaine, il haletait et avait posé ses mains sur la tête de la jeune fille qui lui prodiguait cette somptueuse fellation.

Son visage lui étant caché, il ne pouvait admirer que le côté pile de son corps d'ébène dont les magnifiques fesses rondes à la cambrure callipyge qui lui rappelait tellement son adorable tante ; la seule femme qu'il ait aimé passionnément .

Il palpa le fessier de la jeune fille, ravi de sa fermeté. Il mit son majeur dans sa bouche pour l'humecter de salive puis chercha l'anus de sa partenaire. Il força le sphincter avec une facilité déconcertante (« Soit elle est bien entraînée, soit c'est de famille » se dit-il, se rappelant avec nostalgie ses merveilleuses séances de sodomie avec Marie-Ange ; son cul magnifiquement cambré avait toujours eu la capacité à le faire crier de plaisir)

« J'adore ton cul petite » dit-il à Gabi. « Dès que en nous aurons l'occasion, il faudra que je le visite, à fond! Peut-être déjà ce soir ..»

« Mmhiii .. on .. lo..el ... aa.. e .. lai..ir.. » lui répondit-elle, la bouche pleine.

Son majeur toujours dans le rectum de la splendide jeune femme contribuait à faire monter le niveau d'excitation de Cardinal à un point insupportable et, à sa propre surprise, il mugit un sonore « AAAAH » au moment où il se vidait dans la belle bouche aux lèvres rouge rubis. Gabi lui massa les bourses avec une douceur extrême, multipliant les giclées qui se déversaient dans sa gorge et ne le laissa pas s'échapper tant qu'elle ne fut pas certaine d'avoir absorbé la dernière goutte de son liquide séminal.

Léa et Walter en avaient eux aussi terminé et regardaient Loïc qui 'achevait' une Maureen à moitié inconsciente sur la table , parachevant son œuvre d'une puissante éjaculation alors qu'il s'était engoncé au plus profond du vagin complètement exténué de la belle britannique.

Ulla, de son côté, avait perdu définitivement son match contre Toussaint lorsque ce dernier avait réussi à la prendre sous lui et lui faire subir le 'Toussaint Spécial' , faisant passer le score de 4 à 1 à 7 à 2 et obtenant effectivement la capitulation de la pulpeuse blonde.

Les quatre couples se rhabillèrent et le Colonel reprit la parole

« J'ai constaté avec plaisir que nos jeunes Sergents font preuve d'une forme à toute épreuve et d'un beau potentiel . Par contre, je pense que vous Ulla et surtout vous, Lieutenant Maureen, vous allez avoir besoin d'entraînement pour vous mettre à niveau! »

« Oui mon Colonel! » « Bien mon Colonel »

« Toussaint et Loïc, dès ce soir, vous serez assignés à l'entraînement de vos chefs d'équipe. Léa, j'aurai besoin de vous pour remplacer les chefs auprès des gardes. Quant à vous Gabi, vous vous partagerez entre le Major Walter et moi. Nous ne pouvons négliger aucune occasion de nous préparer à la première phase de l'opération anti-Goules»

« A vos ordres mon Colonel » répondirent les quatre Sergents en chœur

« Ceci dit, il nous reste juste le temps de voir la fin de l'enregistrement. Ulla, vous l'avez déjà vu. Auriez-vous l'amabilité de soulager le chauffeur qui se tortille désespérément sur son siège au risque de nous envoyer au fossé? »

Il relança le DVD.

Les deux blancs-blonds aux couilles gigantesques avaient jeté les deux corps en bas du lit. La femelle s'y étendit de tout son long. L'un après l'autre, ils se couchèrent sur elle et pénétrèrent le vagin béant de leur compagne toujours inondé de la semence de l'humain décédé. L'un après l'autre, ils vidèrent leurs couilles massives dans la femelle complice de leurs accouplements forcés. Lorsque les deux mâles eurent joui, dans son réceptacle, le Colonel fit un zoom sur leurs bourses qui avaient repris leurs ridicules dimensions de départ puis sur la chatte de la femelle-réceptacle qui semblait avoir disparu tant les chairs s'étaient étroitement refermées.

« En résumé » dit le colonel, nous pensons que toute cette scène est un rituel de fécondation des femelles de leur espèce. Nos propres congénères leur servent à stimuler la production de semence de leurs mâles qui peuvent alors inséminer leurs femelles. Pourquoi doivent-ils s'y prendre à deux, nous n'en savons rien. C'est peut-être une simple coïncidence! »

Le Major Ulla revint en s'essuyant la bouche

« Nous arrivons à la base, mon Colonel!»

Le car s'enfonça sous terre et s'arrêta dans un énorme parking souterrain. Ulla mena le petit groupe à travers un dédale de couloirs parmi lesquels Walter crut reconnaître le code de celui qui menait à la chambre d'interrogatoire des terroristes mais il n'était pas encore assez familiarisé avec les lieux pour en être certain. Ses soupçons se renforcèrent quand le Colonel lui dit

« A propos Major, nos deux prisonnières se sont mises à chanter comme leurs ordures de mâles La seule différence c'est qu'elles préfèrent rester entr'elles maintenant, même sans la potion « L » . Nous allons bientôt avoir une avalanche de commandes des autres Services et je vais renforcer l'équipe qui va produire vos potions pendant que vous serez affecté à la Force S.E.X. Et ne vous en faites pas pour vos royalties, vous aurez les 25% comme promis! »

« Vous ne préférez pas que je dirige la production? Après tout, je ne suis pas xénobiologiste .. »

« Non, vous êtes le seul de nos scientifiques à avoir maîtrisé le contrôle d'êtres humains par des canaux sexuels. Nous avons besoin de votre expertise pour venir à bout de ces créatures et protéger notre espèce. Soyez assuré que nous ne lésinerons sur aucun moyen technique , financier ou humain pour vous permettre d'atteindre le but fixé! »

« De toute façon, je n'ai pas le choix ... »

« Non pas vraiment ... et une dernière chose Major Walter, ... Archevêque, , à première vue, cette .. race a déjà tué une dizaine d'êtres humains sans défense mais aussi une demi-douzaine d'agents entraînés. C'est le prix que nous avons payé pour les arrêter. Ils sont terriblement dangereux! Pendant que le Major Ulla montre leurs quartiers aux jeunes gens, je vais vous faire voir d'autres enregistrements qui vous en convaincront si besoin en est»

Ulla prit un couloir à droite qui menait aux chambres des officiers et sous-officiers tandis que le Colonel emmenait Walter vers le PC de l'équipe. Les enregistrements des premiers interrogatoires étaient en effet édifiants : les créatures -- les Goules- arrivaient, sans bouger le moindre cil à transformer les hommes et femmes qui essayaient de les interroger en loques esclaves de leur propres désirs lubriques. Une partie des humains ne parvenaient à s'empêcher de copuler à mort avec les Goules tandis que ceux qui n'avaient pas l'opportunité de s'accoupler avec les créatures se livraient sans discontinuer à l'onanisme. Walter fut particulièrement fasciné par la vision d'un homme athlétique dans la trentaine qui se masturbait, éjaculait, se remasturbait, éjaculait et ainsi de suite jusqu'à créer devant lui une flaque de sperme d'une importance que Walter n'aurait jamais pu imaginer être produite par des gonades humaines.

La même scène se reproduisait avec les interrogatrices qui soit se laissaient baiser à mort par les goules mâles, soit se caressaient sans se laisser distraire par les orgasmes qui les ravageaient avec une régularité de métronome.

Une première tentative pour libérer les agents et agents prises à ce piège échoua : des gardes protégés par des masques à gaz se joignirent à l'orgie involontaire et il fallut l'intervention d'autres gardes, entièrement revêtus de combinaisons hermétiques autonomes de laboratoire pour dégager une à une les victimes. Certaines étaient malheureusement déjà définitivement inertes tandis que d'autres semblaient reprendre leurs esprits après une douche de décontamination.

Le colonel arrêta l'enregistrement.

« Voici où nous en sommes, Walter, est-ce que nos agents ont été atteints par des nanoparticules semblables aux vôtre ou s'agit-il d'un phénomène psychique, ce sera à vous de le déterminer ..... pour l'heure, il est temps d'apporter notre contribution à l'entraînement de nos jeunes recrues»

Ils refirent le chemin inverse et se retrouvèrent dans le couloir des chambres et dortoirs. Le colonel se dirigea vers une chambre qui portait une plaquette « Sgt Gabi » et frappa. La voix de Gabi les invita à entrer. Si l'insonorisation des portes donnant sur le couloir était excellente, les cloisons entre les chambres étaient nettement moins efficaces car on entendait d'un côté la voix d'Ulla et de l'autre celle de Maureen qui semblaient en proie à une excitation sexuelle intense.

Gabi ne portait plus que son short-slip et son soutien et semblait marquée par les sons qui lui parvenaient à travers les parois.

« Ravie de vous voir messieurs ; je me demandais si j'allais devoir subir cette torture longtemps! »

Elle embrassa d'abord le Colonel qui en profita pour lui palper les fesses avec une gourmandise qui la fit gémir avant de céder sa place à Walter qui fut ravi de la passion qu'elle mit à dévorer sa bouche tout en écrasant sa ferme poitrine contre son torse. Elle se coucha sur le lit et le chimiste fit glisser son bustier par-dessus sa tête, redécouvrant la magnifique poitrine noire et brune avec délectation. Il goûta pour la première fois aux mamelons érigés, découvrant un musc qu'il n'avait encore jamais connu chez ses maîtresses blanches et ses mains se repurent de cette chair fraîche. Le Colonel faisait subir le même sort à l'autre sein et sa main s'était glissée sous le shlip pour vérifier l'était de la vulve de la jeune femme qui s'avéra aussi ouverte que possible. Il céda ensuite sa place sous le tissu à la main de Walter qui caressa le clitoris érigé de la jeune afro-européenne qui ne put résister plus longtemps à cette avalanche de caresses bienvenues après le concert de gémissements des voisins.

« HIII AAAHHH!... EN.. FIN ... AAAHHHHH! »

Les deux hommes n'insistèrent pas et mirent à propos l'orgasme de Gabi pour se dévêtir avant de la rejoindre sur le lit. Le plan de bataille du Colonel était d'une lumineuse simplicité : Il fit signe au scientifique de s'étendre sur le dos puis les deux hommes hissèrent le corps de Gabi sur lui ; le plus gradé se chargeant lui-même de l'introduction de la verge de son subordonné dans le vagin palpitant puis, avec la certitude qu'apporte les belles organisations, ouvrit le tiroir de la table de nuit pour en retirer un tube de lubrifiant.

Il s'en enduisit copieusement la verge et écarta les fesses noires pour en déposer une couche à l'entrée du sphincter de la jeune femme. Il s'accroupit ensuite au-dessus d'elle et s'enfonça sans coup férir entre les reins de sa partenaire. Walter sentit contre sa propre bite l'invasion anale de sa partenaire et, très excité à cette idée, se mit à lui envoyer coup de bite après coup de bite pour répondre aux mouvements déterminés du Colonel. Il se sentait un peu trop à l'aise dans le fourreau rompu à d'autres calibres mais le frottement de ses tétons sur sa poitrine le mettait dans tous ses états.

La jeune franco-malienne était transportée par cette double pénétration autrement plus confortable qu'avec les deux bites géantes de ses amants habituels et répondait avec enthousiasme à la sodomie que lui infligeait le Colonel. Elle finit même par crier

« ALLEZ-Y! DEFONCEZ-MOI! ... PLUS FORT ... PLUS LOIN! »

Perrin n'hésita pas et se déchaîna entre ses fesses, obligeant Walter à arrêter ses propres mouvements. Un peu frustré, il se vengea sur les seins de leur amante, pinçant mamelons et tétons jusqu'à ce qu'il entende le Colonel crier

« AAAHH MARIE-ANGE! ... C'EST TROP ... OOOH TON .. CUL ...! »

L'homme fut agité de tremblements et se vida dans le rectum de la jeune femme qui éclata à son tour, laissant Walter douloureusement raide dans son vagin en fusion et écrasé par le poids de ses deux partenaires. Heureusement, le Colonel se dégagea assez vite, affichant toujours une semi-érection de bon aloi et sans dire un mot, se dirigea vers le lavabo pour laver soigneusement sa verge. Lorsqu'il revint, Gabi s'était couchée à côté de Walter et lui caressait doucement la verge, les yeux clos. Elle finit par lui dire

«Walt, tu veux aussi jouir dans mon cul? »

Walter n'eut pas besoin de répondre ; les soubresauts de son membre viril répondirent pour lui. Le Colonel se masturbait lentement à leur côté, ayant retrouvé en un temps remarquablement court la pleine possession de ses moyens et le chimiste se souvint des explications de Anne-Sophie sur l'approvisionnement en Tadalafil.

Ce fut au tour du gradé de s'allonger et Gabi vint s'empaler sur lui, appréciant le diamètre plus imposant qui lui convenait mieux tandis que Walter profitait de l'onctueuse lubrification de l'anus de la jeune femme pour s'enfoncer entre les fesses cambrées avec un plaisir extrême. Arc-bouté aux hanches noires, Il se mit immédiatement à la pistonner avec une ardeur retrouvée, la propulsant à la rencontre de la verge du militaire qui occupait son vagin. Il sentit rapidement monter la sève dans sa bite compressée par le rectum de Gabi et ahana comme un forcené pour arriver à l'extase. Les dents serrées, il éjacula à plusieurs reprises, lui témoignant de l'intense plaisir que lui donnaient ses fesses rebondies et son anus contracté. Il eut une pensée pleine de remords pour son épouse qui devait être tellement occupée avec les triplés qu'elle n'avait pas l'occasion de se livrer aux joies du sexe.

Il roula ensuite sur le côté, laissant le champ libre au Colonel qui redressa Gabi pour s'emparer de ses seins et la perforer de puissants coups de reins qui la transportaient de bonheur.

« CO.. LO...NEL » sanglota t'elle. L'homme ne baissa pas son rythme pour autant; ses mains agrippées à la poitrine de sa jeune amante, il ne cessait de la labourer, l'amenant sans faillir vers une nouvelle jouissance.

Walter se débarbouilla à son tour et se rhabilla ; maintenant qu'il s'était tellement agréablement vidé les bourses dans la jeune africaine, son esprit libéré---- revenait aux Goules et il voulait vérifier certaines intuitions. Il sortit dans le couloir et tomba sur Ulla et Maureen complètement nues qui changeaient de chambre en titubant un peu. Du sperme, probablement mêlé à leurs propres sécrétions s'écoulait de leur vulves boursouflées après avoir été pilonnées par les énormes verges s de leurs jeune amants.

« Heureusement qu'il n'y en pas six autres comme eux » disait Maureen

« Lieber Gott ; je ne sais pas comment je vais pouvoir affronter de nouveau Toussaint après ce que Loïc m'a mis! »

Walter les abandonna à leur épreuve et retourna vers son laboratoire. Carmen l'attendait impatiemment.

« Ah Professeur! Enfin! Je dois vous emmener dans notre nouveau laboratoire. Anne-Sophie s'y trouve déjà »

La jeune laborantine embrassa gentiment Walter dès qu'ils la retrouvèrent et lui montra son nouvel environnement de travail, complètement aseptisé, cloisonné, sécurisé. Walter se mit aussitôt au travail. Les tenues hermétiques avaient déjà été passées à l'autoclave et n'offraient plus le moindre intérêt.

Malgré les avertissements du Colonel, Walter prit alors un risque : il se coiffa d'un des masques à gaz conservés dans des sacs scellés et inspira profondément. Après quelques secondes, il sentit sa verge se gonfler à en éclater tandis que tout son être se tendait vers la satisfaction d'un désir hallucinant.

Il défit fébrilement son pantalon et se rua sur Anne-So, la verge à l'air. Il ouvrit d'un coup sec la blouse de labo de la jeune femme, arrachant tous les boutons au passage. Il la poussa sur une table et les mains tremblantes d'un besoin maladif de jouir, il s'attaqua à son slip qu'il mit en lambeaux à la seule force de ses doigts. Il ne se rendit même pas compte, emporté par sa fureur génésique, que Carmen avait sauté sur son dos et essayait, en vain, de le retenir. D'un énorme coup de reins, il pénétra la vulve à peine humide de sa jeune assistante et se mit à la labourer frénétiquement. Celle-ci hurla désespérément

« PRRROOOOOOF! ... WALTER!... AAAÏÏÏÏ E! .. TU ME FAIS MAL! SALAUD ...! TU ME VIOLES!»

Rien à faire, le gentil et timide Walter Lévèque avait place à un monstre hypersexué que nulle barrière morale ne pouvait arrêter dans l'assouvissement de ses instincts sexuels les plus primitifs.

Il jouit en moins d'une minute mais son membre resta d'une raideur insupportable et il recommença à la baiser sans répit malgré les cris de douleur de la jeune femme. Carmen essaya de le faire tomber mais il démontrait soudainement une force colossale, accroché aux cuisses d'Anne-So comme s'il était fixé à elle par du béton.

Les hurlements d'Anne-So étaient malheureusement étouffés par les murs insonorisés de leur nouveau laboratoire et Carmen n'arrivait pas à arrêter le violeur. En désespoir de cause, elle se déshabilla elle aussi et exhiba son sexe rasé à la brute. Walter jouit une seconde fois et eut un bref éclair de lucidité. Il arracha le masque et le jeta au loin. Mais cela ne coupa pas son élan. Il continua à prendre Anne-So comme une mécanique jusqu'à une troisième éjaculation au même rythme forcené. Alors seulement il retrouva pleinement ses esprits bien que sa verge n'ait rien perdu de son érection démesurée. Il se retira à regret du vagin martyrisé tout en réalisant soudainement l'énormité de ce qu'il venait de commettre. Il parvint à articuler

« Anne-Sophie, ... je ... je ne sais pas .. quoi dire... ce n'était pas moi! Pardon .. ; je suis désolé! »

Anne-So se tenait le sexe à deux mains en gémissant.

« Tais-toi Walter! Je sais bien que tu n'es pas responsable ; juste idiot! Shit, j'ai l'impression qu'on m'a passé les muqueuses au papier de verre . Passe-moi mon sac, j'ai une crème intime qui devrait atténuer cette sensation de brûlure! »

Walter fouilla le sac à main de la jeune femme et lui ramena le tube désiré. Mais sa verge l'élançait à nouveau douloureusement. Très gêné, il commença à se branler pendant qu'Anne-So s'enduisait le sexe de pommade, la mélangeant en fait avec l'impressionnant volume de sperme qu'il y avait laissé.

« Ne me dis pas que cela t'excite? »

« Non, non ... mais .. c'est de nouveau .. intenable... il faut que je me fasse ... jouir ... sinon je risque de ... recommencer ... Carmen! Qu'est-ce que tu fais???»

La jeune sergent avait récupéré le masque à gaz et sans vraiment le mettre, elle avait respiré à deux ou trois reprises à travers les filtres du masque. Presqu'immédiatement, elle tomba à genoux et se mit à se masturber comme une folle en lâchant le masque. En moins d'une minute, elle jouit elle aussi, cassée en deux par l'intensité de son plaisir. Sans cesser de se caresser, elle rampa vers Walter, trop préoccupé par ses propres besoins et finit par l'atteindre, le faisant tomber au sol . Elle parvint à se jucher sur lui et trouva la force de décramponner la main de l'homme de son sexe roide et s'empala sur lui.

« AAAAHHHHYAAAAHHH! »

Leurs deux cris de contentement se mélangèrent et sous les yeux effarés d'Anne-So, ils se lancèrent dans une gigue effrénée ; leurs bas-ventres soudés l'un à l'autre, ils ne vivaient plus que pour atteindre un assouvissement ultra-rapide. Contrairement à ses goûts personnels, Walter n'essaya même pas d'atteindre la poitrine de sa cavalière ; il ne vivait que pour satisfaire sa colonne de chair qui s'enfonçait et ressortait du vagin en ébullition de Carmen.

Celle-ci, sans doute parce qu'elle avait été plus fraîchement 'inoculée' que Walter, jouit à nouveau en se cramponnant à la poitrine de l'homme mais cela ne les freina pas. Leurs pubis s'entrechoquèrent à nouveau sans aucune retenue et ils repartirent pour une nouvelle chevauchée.

Anne-Sophie avait oublié sa propre vulve ravagée et commençait à s'inquiéter pour ses collègues dont elle craignait une défaillance fatale alors que Walter émettait à nos nouveaux une série de sons gutturaux annonciateurs d'une nouvelle éjaculation.