De la Chimie des Corps Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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« CAR... MEN ... AAARGH ... JE VAIS ... AAARGH ... JOUIR! »

« SI ...! ME .. VENGO! JE .. VIENS .. TAMBIEN! »

La verge de Walter expulsa à nouveau une énorme quantité de foutre au fond de la chatte en folie qui se contractait spasmodiquement sous l'effet d'une nouvelle jouissance. Il ressentit un forte douleur aux testicules et se déhancha pour faire tomber Carmen. A son tour, il se roula en boule en se tenant le bas-ventre. La douleur disparut petit à petit tandis que sa verge perdait enfin son invraisemblable raideur.

Mais Carmen n'était pas encore au bout de ses peines et l'absence d'un corps étranger dans sa grotte vaginale était tout simplement devenue insoutenable. Elle empoigna la main d'Anne-So encore imbibée de pommade et haleta

« Vite ; ...fiste-moi! A fond!... Viole-moi!... Viiite! »

Impressionnée par l'urgence de la supplique, la jeune laborantine s'exécuta, profitant de pommade grasse pour enfourner sa main en un seul coup dans le vagin palpitant. Une fois enfoncée jusqu'au poignet, elle referma le poing et commença à aller et venir dans l'intimité de Carmen comme une verge de la taille de celle de Loïc.

« AAAAHHHH ... OUIIII ... OH CA ... FAIT ... DU ... BIEN ... ENCORE ...! ME .. VENGO ..! ... N'ARRETE PAS ... «

L'avant-bras d'Anne-So était maintenant trempé par les sécrétions de la militaire. Elle avait posé une main à plat sur le ventre de cette dernière, juste au-dessus de son Mont de Vénus et sentait son autre main qui se mouvait dans la cavité vaginale. Walter s'était affalé sur une chaise, les jambes écartées. Le souvenir de la cuisante douleur qu'il avait éprouvée aux couilles le dissuadait de tenter de remettre slip et pantalon.

« OOOHHH! .. Je ... viens ... encore ...une fois ... je n'en ... peux plus ... ARRETE! PITIE! ... Retire ... ta main! Ooooh merci! »

Walter et les deux jeunes femmes finirent par surmonter la crise et le scientifique reprit le dessus sur la bête de sexe. Il remit le masque dans le sac en prenant bien garde à ne pas le toucher puis s'enquit de l'état de ses collègues. Carmen agita faiblement la main en faisant 'OK' avec le pouce et l'index mais semblait encore fort éprouvée. Quant à Anne-So, elle avait presqu'oublié sa mésaventure, se contentant de dire à son patron .

« Quand on aura maîtrisé le dosage de ce truc, je veux l'essayer! Trois orgasmes en moins de trois minutes ...miam! »

Après avoir enfilé des tenues hermétiques, ils nettoyèrent un autre masque dans une salle scellée et après de longues recherches , finirent par isoler des nanoparticules d'une composition qu'ils ne connaissaient pas. Entretemps, ils avaient décortiqué les événements par radio avec Carmen restée dans la salle principale

« Ces nanos sont aérosols et accélèrent fantastiquement le fonctionnement sexuel des humains avec lesquels elles entrent en contact ; même si elles sont restées des jours entiers sur une surface non accueillante comme ces masques» avait commencé Walter

« La contamination de la première escouade de gardes est sans doute venue par les surfaces de peau à nu » ajouta Anne-Sophie

« Ou alors elles sont passées à travers les filtres respiratoires mais je me demande de quel genre de particules il s'agit ; elles influencent les deux sexes sans discrimination! Ce ne sont certainement pas des phéromones qui elles sont sexuées! N'est-ce pas Carmencita?»

« Ne vous moquez pas Prof ; j'ai fait cela pour vous empêcher de continuer à violer la pauvre Anne-So! »

Walter rougit mais n'en resta pas là.

« Je vais prévenir le Colonel que nous avons isolé l'agent de contamination. Il reste à son équipe à déterminer quand et qui le produit dans quelles circonstances ... »

« Il faudrait aussi trouver le moyen de protéger nos gens ; vous avez vu à quel point vous souffriez, Prof! Et vous n'avez été que légèrement 'inoculé'! »

Ulla avait indiqué à Léa la porte du dortoir des gardes

« Voilà ton assignement Sergent Léa. Je te préviens, une fois que tu auras franchi cette porte, tu ne seras plus Sergent et encore moins une demoiselle. Juste une fille à soldats! Tu entres là pour leur permettre de se vider les couilles dans ton joli corps. C'est leur plaisir à EUX qui compte ; pas le tien, quoique ce n'est pas interdit. Compris Sergent? »

« Compris Major! Est-ce que Gabi devra y aller aussi? »

« Si elle n'a pas de d'autre mission, oui. Toutes les soldates de cette base, quel que soit leur grade, se relayent pour satisfaire les gardes. Maureen et moi aussi . C'est important pour le moral! »

Un peu intimidée, Léa frappa à la porte et attendit qu'on l'invite pour entrer. Un grand silence l'accueillit. Huit hommes étaient assis autour d'une table ou sur leur couchette mais tous les regards se tournèrent vers elle. Elle se sentit déshabillée par huit paires d'yeux avides.

« De la chair fraîche! » s'exclama l'un d'eux

« Bienvenue jeune inconnue! » cria un autre

Ils semblaient tous avoir entre vingt et trente ans et à voir les biceps qui saillaient hors des T-shirts ou les cuisses qui jaillissaient de leurs shorts, ils étaient en parfaite condition physique. Léa se demanda si elle pourrait venir à bout de sa mission face à une telle horde de mâles en pleine forme. L'un d'eux, un blond de taille moyenne, se leva et s'approcha d'elle . Sa verge en érection était parfaitement visible sous son short et elle fut un peu rassurée. L'engin était de taille convenable mais normale. On était loin de Touss' et de Lolo!

L'homme la contourna et vint se coller à son dos ; ils avaient à peu près la même taille et sa bite vint se loger dans la raie des fesses de la jeune fille. Un de ses compagnons s'écria

« Sven, ne nous fait pas languir, déballe la marchandise »

Le garde prit le treillis de Léa à deux mains et tira, faisant sauter tous les bouton-pressions. Il lui ôta la veste et elle apparut en T-Shirt kaki. Les hommes sifflèrent et applaudirent . Autant les seins de Léa n'étaient pas mis en valeur par la veste informe, autant le T-Shirt moulant les faisait ressortir tels deux montagnes dominant la vallée de son ventre plat. Encouragé par le reste de la troupe, Sven tira le vêtement hors du pantalon et le passa par-dessus la tête de Léa déclenchant une nouvelle salve de sifflets.

L'homme prit son temps, caressant son ventre et ses hanches à plusieurs reprises avant de venir se loger sous le bustier. Il marqua une pause, déclenchant les protestations

« Si tu ne sais pas comment t'y prendre, je vais te remplacer ; montre-nous ses nichons! » aboya un des plus jeunes

Sans répondre, Sven passa ses mains sous le bustier de Léa. Il palpa sa poitrine, enfonçant ses doigts musculeux dans la tendre chair et il commenta

« Faites gaffe les gars! C'est pas pour des gamins! Et c'est du vrai nibard ; pas du silicone comme au cinéma! »

Il fit également passer le bustier par-dessus la tête de la jeune fille et ses seins apparurent dans toute leur splendeur. Malgré leur taille, ils avaient une fermeté à faire pâlir plus d'une adolescente à peine formée. Quant aux mamelons hérissés et les tétons dardés, ils semblaient appeler tous les mâles des alentours à venir s'en repaître. Trois des hommes furent plus rapides que les autres. Tandis que les deux premiers arrivés s'emparaient chacun d'un sein pour le sucer, le troisième s'attaquait à la fermeture de son pantalon de treillis. Lorsqu'il tomba sur ses chevilles, l'homme derrière elle la souleva sous les aisselles et le troisième nouvel arrivant la débarrassa du pantalon.

Léa était submergée par la vague de désir animal qui se levait autour d'elle. Elle réalisa que son sexe s'ouvrait et qu'une humidité familière se développait dans son intimité Pendant ce temps, deux hommes avaient jeté un matelas sur la table et les deux derniers se déshabillaient déjà. Les hommes qui l'entouraient la portèrent alors sur la table matelassée et une demi-mêlée s'organisa pour retirer ses bottillons avant que toute l'équipe ne se retrouve rassemblé autour d'elle pour assister à l'effeuillage de son short-slip. Sven semblait avoir l'ascendant sur le groupe et personne ne lui disputa le privilège du lever de rideau. La main de l'homme vint d'abord explorer son entrejambe et Léa gémit lorsque ses doigts découvrirent sa chatte béante sous le tissu.

« Bon sang les gars, cette fille est la plus chaude que nous ayons reçu jusqu'ici! Même Ulla a l'air d'une banquise à côté d'elle! »

Il s'empara du shlip et le lui enleva d'un seul mouvement tandis que deux de ses comparses se jetaient à leur tour sur les seins de Léa ,es suçant, les mordillant et les malaxant en même temps. Débordée par cette débauche de virilité exacerbée, elle ouvrit les cuisses et prononça ses premiers mots depuis qu'elle était entrée dans le dortoir

« Prenez-moi! Tous! Je vous veux tous en moi! Je suis à vous, je suis votre chose! »

Deux hommes se saisirent de ses jambes et attirèrent son bassin au bord de la table ; sa vulve luisante était grand ouverte, comme appelant la verge de Sven qui venait de faire tomber son short et son caleçon à ses pieds. Il dirigea sa bite vers entre les grandes lèvres et s'enfonça en elle comme dans un motte de beurre fondu.

« WAAAOOU! Vas-y soldat, prends ton pied ; baise-moi! »

« Humpf... humpf .. han .. HAN .. HAN » Sven la baisait en effet avec une totale insouciance du plaisir de la jeune femme bouleversée, transportée, surexcitée par cette négation totale de sa féminité . Elle était au service du plaisir de la soldatesque, leur objet sexuel, une vraie fille à soldats comme l'avait dit Ulla.

Sven ne tint pas très longtemps et jouit en elle avant même qu'elle ait le temps de se sentir frustrée par cette éjaculation trop rapide. L'homme ne semblait pas trouver sa performance inhabituelle et commenta simplement

« Aaah, ça fait du bien! Jean, à toi! »

L'homme qui tenait sa jambe gauche fut relayé par son collègue du sein gauche tandis qu'un 'réserviste' venait déguster à son tour la tendre chair. Jean pris la place de Sven et la baisa à son tour tandis que le premier de ses 'amants' contournait le groupe pour s'installer à côté du visage de la jeune fille. Il lui présenta sa verge ramollie et dit « nettoie-moi ». Elle prit sa verge en bouche et la suça avec application jusqu'à ce qu'elle fut à nouveau raide. Juste à temps pour sentir Jean se vider en elle avec un « humpf » tonitruant . A ce moment, elle imagina que c'étaient Touss' et Lolo, ses hommes à elle qui la traitaient de la sorte et elle lâcha la verge pour hurler sa jouissance

« AAAAHHHH! ... OUI ...! JE VEUX VOTRE ... FOUTRE ... INONDEZ-MOI!!! »

Jean se précipita pour prendre la place de Sven et la bâillonner de sa bite flaccide alors que le premier lui disait d'un ton sévère

« Silence femme, tes cris vont distraire les Guerriers! »

Le groupe semblait avoir un drill parfaitement au point et, tournant dans le sens des aiguilles d'une montre, ils abusèrent l'un après l'autre de ses deux seins, de son vagin et de sa bouche. Lorsqu'il eurent fait le tour complet, elle crut que la fête était terminée et que ses quatre orgasmes feraient le compte mais Sven revint avec un tube de lubrifiant dont il oignit son anus. Lorsqu'il eut fait pénétrer assez de produit dans son rectum, les hommes la redressèrent . Ils avaient mis un second matelas à terre et l'un d'entre eux -- Luis? -- l'attendait le sexe dressé. Ils la firent s'empaler sur lui et Sven , décidément le leader, s'agenouilla derrière elle, joua un instant avec ses fesses puis la sodomisa, toujours avec la même absence d'intérêt pour la femme qui se retrouvait ainsi prise en sandwich entre les bites des deux soudards.

Léa se félicita un instant d'avoir déjà pratiqué le sandwich avec ses deux amants surdimensionnés puis se rendit compte que la taille plus modeste des soldats était beaucoup plus confortable et allait l'amener à l'orgasme beaucoup plus rapidement. Elle gémit intérieurement (« s'ils me font encore jouir quatre fois, je vais partir en morceaux! »)

Elle rassembla toute sa volonté pour résister à la montée du plaisir mais rien n'y fit ; ses amants calmés par leur première éjaculation réussirent à briser tous ses efforts et la firent jouir bien avant de rendre les armes eux-mêmes. A nouveau, un ballet de corps musclés s'organisa autour d'elle ; elle fut relevée, rabaissée sur des bites roides, baisée, sodomisée, enculée à en perdre le compte de ses orgasmes plus nombreux qu'elle ne l'avait anticipé. Son seul soulagement venait de ses seins martyrisés que sa position au milieu du sandwich protégeait de nouvelles succions ou morsures. Lorsqu'ils se furent tous vidés en elle pour la deuxième fois, ils la retournèrent sur le dos et elle découvrit à son grand désespoir qu'ils bandaient à nouveau tous comme des taureaux.

Mais il était dit qu'elle survivrait à cette orgie kaki car ils se contentèrent de se branler au-dessus d'elle , éjaculant l'un après l'autre, tantôt sur son visage, tantôt sur ses seins et même son sexe qui relâchait pourtant déjà une quantité impressionnante de sperme qui se mélangeait à celui qui s'échappait de son anus .

Chaque fois que l'un d'entre eux avait joui, il se rhabillait et se rasseyait, qui sur une chaise, qui sur un lit. Lorsqu'ils eurent tous soulagé une dernière fois sur elle, ils la regardèrent avec intérêt. Sven dit « William, Luis, ramenez la à sa chambre » mais elle leva la main et entreprit de se relever, un peu comme le boxeur qui lutte contre le fatal compte à 10. S'appuyant sur une chaise, elle ramassa ses sous-vêtements et les enfila péniblement ; ses grandes lèvres enflées et surtout ses seins envoyant des signaux douloureux lorsque les tissus élastiques se refermèrent sur eux. Elle eut moins de mal avec le T-shirt qui se macula néanmoins de tâches lorsqu'il entra en contact avec le sperme qui la recouvrait. Le pantalon et la veste furent une simple formalité en comparaison des sous-vêtements. Elle renonça néanmoins à remettre ses bottillons, les prit à la main et se dirigea en boitant vers la porte, le visage et les cheveux toujours couverts de sperme et une mare de foutre se formant dans l'entrejambe de son shlip.

Sven se précipita pour ouvrir la porte et salua militairement. Au moment où elle franchissait le seuil, il lui glissa « Félicitations Sergent , vous êtes la première ... et vous êtes magnifique! »

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