De la Chimie des Corps Ch. 07

Informations sur Récit
La Nouvelle Vie de Walter le Chimiste Ch7.
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Partie 7 de la série de 10 pièces

Actualisé 04/29/2021
Créé 01/17/2015
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Chapitre 7 : Le Colonel

Après des adieux chargés d'émotion avec Niki, Lucie, Françoise et même Fabienne, Walter et ses jeunes acolytes découvrirent que sur le parking de la villa, la Citroën avait laissé la place à un autocar tout aussi noir et aux vitres teintées. La porte s'ouvrit et une grande femme blonde dans la trentaine, en treillis militaire, descendit et les invita à monter.

A l'intérieur, outre le chauffeur, les attendait une autre femme en treillis, plus jeune et les cheveux auburn qui leur distribua des havresacs à leur nom en leur demandant de s'assoir à l'arrière du car qui était un véritable salon ambulant. Le Colonel monta en dernier et tandis que le chauffeur démarrait, il s'adressa au groupe

« Lévèque, vous connaissez tout le monde à deux détails près mais je vais faire les présentations pour les autres : Major Ulla, Lieutenant Maureen, voici les Sergents Gabi,Léa, Loïc et Toussaint. Contrairement aux habitudes militaires, nous n'utiliserons pour nous identifier que les prénoms entre nous et les noms de code pour les transmissions : Je serai 'Cardinal' mais mon prénom restera Colonel, le Major Walter sera connu sous le pseudo-pseudonyme d' 'Archevêque', Ulla sera 'Mère Supérieure et Maureen 'Abbesse'. Quant à vous jeunes gens, nous avons porté nos choix sur 'Nonne' pour Léa, 'Novice' pour Gabi, 'Curé' pour Toussaint et 'Vicaire' pour Loïc. A la base, vous serez rejoints par les Sergents Carmen 'Carmélite' et Anne-Sophie 'Béguine'.

L'ensemble de notre équipe est désormais connue dans les hautes sphères sous le nom de Force Scientifique pour l'Etude des Xénobiotypes ou Force S.E.X. si vous préférez. »

« Il y a eu des promotions dirait-on, mon Colonel ... » remarqua Walter.

« Oui, cela correspond à notre nouvelle structure : Walter, vous dirigez la section de recherches avec Anne-Sophie et Carmen pour vous assister ; Ulla reste mon adjointe et forme le Team OPérationnel 1 avec Léa et Toussaint . Quant à Maureen, elle dirige le TOP 2 avec Gabi et Loïc. »

Il poursuivit : « je vais maintenant vous demander de vous changer et de mettre vos uniformes. Ensuite , je vais vous briefer et vous serez alors officiellement enrôlés dans la Force S.E.X. du S.E.C.S.»

Il donna l'exemple en récupérant un havresac qui l'attendait à côté d'Ulla et se dévêtit de ses habits civils. Gabi l'examina avec intérêt ; son frère lui avait souvent parlé de Perrin qui malgré une constitution d'apparence anodine était une force de la nature. Une fois torse nu, il exhiba en effet des muscles fins mais tout-à-fait dessinés, même au repos. Elle continua à l'examiner tandis qu'il ôtait son pantalon et son caleçon civil. Il avait une verge tout ce qui a plus respectable comme elle avait pu s'en rendre compte 'in situ' même s'il ne jouait pas dans la même division que Toussaint et Loïc. Elle se dit qu'elle le pratiquerait à nouveau volontiers ; cela lui ferait un changement reposant par rapport aux deux monstres.

Walter ne chercha pas à dissimuler les dimensions plus modestes de son propre membre viril ; elles étaient suffisantes pour la femme qu'il aimait et pour ses maîtresses occasionnelles ; sa fierté était logée ailleurs que dans la longueur de sa quéquette.

Loïc et Toussaint n'eurent évidemment aucun problème à s'exhiber. Leurs corps parfaitement entretenus ne souffraient d'aucun commentaire négatif. Quant à leurs bites, elles éveillaient visiblement la convoitise d'Ulla et Maureen qui semblaient fascinées par les deux engins de combat... tout en marquant un intérêt prononcé pour les jeunes filles qui se dénudaient au même moment. Les seins de Léa , tout comme les fesses de Gabi, recueillirent leur part de regards chargés de désir.

Le Colonel resta impassible mais il était évident que ses yeux avaient dressé une cartographie des quatre jeunes gens avant qu'ils n'aient commencé à se rhabiller en militaires. Léa regarda les sous-vêtements avec intérêt : le short-slip noir lui collait à la peau et était bien agréable à porter, surtout à l'entrejambe tandis que le soutien-body-bustier sans fermeture fut un peu plus difficile à mettre vu le volume de sa poitrine mais s'avéra parfaitement adapté à un support ferme et protecteur. Elle parada quelques instants dans le salon roulant comme pour une présentation de mode, attirant immanquablement l'attention des mâles présents et de la plupart des femmes sauf Gabi qui était elle-même en train de s'admirer dans un miroir fixé à une des parois latérales du car. Les shlips des garçons mettaient en valeur leurs organes mâles tout en leur offrant une sorte de gaine de velours qui soutenait parfaitement leurs verges et testicules.

Une fois toute l'équipe habillée, le Colonel fit apparaître un écran vidéo à la place du miroir et leur dit :

« Ce que je vais vous montrer est top secret ; c'est une des rares preuves de la menace qui pèse sur nous et je vous préviens, nous n'avons que très peu de réponses à vos questions! Vous allez voir des créatures que, faute de mieux, nous avons appelées 'goules' et la seule chose dont nous soyons certains, c'est qu'elles tuent des humains, jeunes de préférence, en les faisant sexuellement jouir, littéralement à mort. Cela a commencé il y a environ un an : des jeunes de la Jet Set sont décédés dans des circonstances mystérieuses sur la Riviera mais chaque fois après une activité sexuelle intense à voir l'état de leurs organes génitaux. On a d'abord pensé à une nouvelle drogue mais la plupart n'avaient aucune trace d'une substance de ce type dans le sang. C'était même leur seul point commun : ils étaient 'clean' contrairement à la majorité de leurs congénères adeptes des drogues 'récréatives'.

Il y a six mois, nous avons enfin pu identifier la source du mal comme étant ces créatures grâce aux caméras très discrètes installées chez et par leur dernière victime à cette date. D'après les images, nous pensons qu'ils se nourrissent -- se droguent -- boivent -- on ne sait trop comment qualifier ce qu'ils font -- bref, ils profitent des orgasmes de leurs victimes pour se redynamiser en quelque sorte! Et ils savent comment déclencher une frénésie sexuelle chez leurs proies pour les inciter à jouir jusqu'à ce que mort s'ensuive!

Un autre Service a réussi à capturer deux trios d'agresseurs et les a soumis à la question via des drogues chimiques mais sans résultat. Ils ont ensuite essayé la violence mais sans plus de succès. La bonne vieille 'gégène' a donné des résultats curieux mais insuffisants. Ils ont fini par avoir recours à des procédés franchement répréhensibles sur un des trios et ces derniers se sont suicidés ... auto-dissous serait une expression plus exacte -- avant que nous ayons pu obtenir le moindre renseignement valable.

Or, si nous pensions avoir arrêté les assassins, il semblerait qu'ils ne soient pas seuls parce que les crimes continuent. Il est donc vital que nous les fassions parler pour savoir d'où ils viennent et quels sont leurs buts... et que nous les arrêtions! »

Il appuya sur un bouton de sa console et l'écran s'anima et un son familier leur frappa les oreilles

« AAAHHHH »

L'écran révéla une vue panoramique d'une chambre assez luxueuse et vaste où deux couples mixtes s'ébattaient sur un énorme lit. Un troisième homme, tout aussi nu, était assis sur une chaise au pied du lit et les observait, impassible . La première chose qui leur sauta aux yeux était la couleur des cheveux de l'observateur et de deux des copulateurs : ils étaient blonds très pâle, presque blancs dans la lumière tamisée de la chambre.

Pour le reste, la scène ressemblait à n'importe quelle autre partouze à laquelle ils avaient déjà participé. La femme et l'homme aux cheveux plus foncés qui occupaient les positions inférieures extériorisaient leur plaisir tandis que les blonds-blancs les chevauchaient avec énergie mais sans proférer le moindre son. Visiblement, la femme prise en missionnaire par le mâle blond-blanc venait de jouir mais cela n'arrêtait pas la danse de son partenaire dans son ventre et elle recommença à gémir de plaisir aussitôt après son dernier cri orgasmique.

Le mâle 'foncé' se cambra en poussant un râle de plaisir. Il éjaculait certainement dans sa compagne mais cela n'arrêta pas non plus celle-ci qui continua à se déhancher sur lui sans lui laisser le moindre répit.

Le Colonel arrêta l'image et pointa la console sur l'écran pour zoomer sur les parties génitales du spectateur. Il fit ensuite défiler les images suivantes au ralenti. Loïc crut avoir la berlue : les testicules ridiculement petites au départ de l'homme semblèrent enfler jusqu'à atteindre plus ou moins la taille des siennes!

Pendant la demi-heure suivante, l'équipe du Colonel regarda plus ou moins la même scène qui semblait se répéter inlassablement. Les 'blonds-blancs' faisaient jouir les 'foncés' qui, malgré leur épuisement visible et leur teint cireux, ne tentaient aucunement de leur échapper. Le Colonel arrêtait régulièrement l'image sur le troisième homme dont les testicules avaient maintenant atteint la taille de deux boules de pétanque.

A la demande du chauffeur, il coupa le son pour éviter de le distraire plus avant avec le déluge de cris et de grognements de plaisir qui émanait des 'foncés'. Selon le compte de Loïc, la femme 'foncée' avait déjà joui 17 fois en un peu plus d'une demi-heure quand elle se pétrifia, la bouche et les yeux grands ouverts. Le blond-blanc mâle qui l'avait pistonné sans relâche pendant près de quarante minutes s'extirpa de son vagin d'où perlaient quelques gouttes de sang. Son sexe était énorme, plus grand que celui du Colonel mais sans atteindre les dimensions de Loïc et Toussaint. Par contre, ses testicules atteignaient le même calibre que celles du spectateur.

Peu après, ce fut le tour du mâle 'foncé' de cesser de bouger et sa copulatrice se releva elle aussi. La verge de l'homme apparut, irritée à sang, mais toujours glorieusement érigée. Lui aussi avait les yeux et la bouche grands ouverts mais semblait ne plus respirer.

Le colonel arrêta la vidéo.

« Nous regarderons la fin de cette séquence plus tard mais je pense que ce spectacle nous a tous émus et c'est peut-être la meilleure occasion de faire plus ample connaissance! Le grade ayant ses privilèges, je serai le premier à choisir mon interlocutrice : le Sergent Gabi. »

Il lui tendit la main et l'attira vers la banquette qu'il occupait tout en appuyant sur un bouton latéral. La banquette se déploya et doubla en profondeur, permettant à Gabi de venir se coucher à côté de son supérieur.

Ulla n'hésita pas non plus et déploya également sa banquette tout en faisant signe à Toussaint de la rejoindre. Walter, plus galant, se leva et fit le baise -main à Léa avant de lui proposer de s'allonger avec lui sur la troisième couche. Il ne restait plus de place disponible pour Maureen et Loïc mais la jeune lieutenant ne s'en formalisa pas et s'assit sur la table centrale, écartant les jambes pour les refermer derrière les fesses du jeune homme.

Les quatre couples s'embrassaient à qui mieux mieux . Le colonel avait même perdu son imperturbable flegme et dévorait les lèvres de Gabi en fouillant dans son pantalon. Sa main s'était glissée sous le shlip et il caressait sa vulve ouverte et son clitoris.

Il lui murmura à l'oreille « C'est fou ce que tu ressembles à la sœur de ton père. Jusqu'à ton clitoris qui est aussi gros que le sien! »

« Vous avez connu oooh ma tante Marie-Ange? » dit-elle en s'emparant de sa verge qui saillait sous le treillis

« Oui ma belle et intimement! Humpf, ta main me fait du bien petite! »

Gabi n'avait pas encore mis ses bottillons et il en profita pour lui enlever son pantalon et son shlip, dévoilant à ses yeux avides le mont de Vénus saillant au-dessus de la splendide chatte noire. Il enleva sa veste et son T-Shirt et l'aida à en faire de même de son côté puis il se pencha entre ses cuisses et s'attaqua à la vulve maintenant béante, léchant les grandes lèvres brunes et le clitoris beaucoup plus rouge. Gabi geignit et empoigna la tête du Colonel pour le guider sur ses centres de plaisir mais il n'en n'avait visiblement pas besoin et il se paya même le luxe de s'emparer de ses seins sans cesser les caresses linguales qu'il lui prodiguait avec une dextérité sans pareille.

« OOOH! COLONEL! AAAH . VOUS ETES ... AAAHHH ... TROP BON! »

Il serrait les deux seins café au lait dans l'étau de ses mains burinées tout en l'amenant rapidement et surement vers un orgasme clitoridien détonnant. Gabi résistait d'ailleurs d'autant moins que la multitude d'orgasmes du couple de 'foncés' l'avait excitée au plus haut point

« MMMMHHH! AAAHH! CO...LO...NEL! OH .. OUIIII! »

Elle jouit convulsivement, maintenant son visage sur sa vulve en éruption sans aucun respect pour la voie hiérarchique. Son officier supérieur la laissa prendre son plaisir puis se redressa et s'étendit sur elle. Sans lui laisser le temps de souffler, il introduisit sa verge dans le vagin de la belle eurafricaine et s'enfonça en elle d'un seul puissant coup de reins

« AAAHHH! »

Gabi défaillit sous l'assaut. Enlaçant le corps de son nouvel amant, elle eut l'impression de se retrouver avec un câble d'acier entre ses bras tant le corps de son aîné était sec et dur. Il faisait preuve d'une énergie redoutable et ne semblait pas sensible à la fatigue. Elle avait déjà été écartelée par les super-bites de Loïc et Toussaint mais aucun des deux n'arrivait à la cheville du Colonel pour ce qui était de la force de son étreinte. Elle se sentait sans volonté face au désir exacerbé de ce mâle d'expérience qui la pilonnait sans lui laisser la moindre liberté de mouvement. Elle jouit une seconde fois et il l'embrassa pour étouffer ses cris qui devinrent de simples gémissements.

« Mmmmh .. Mmmh »

Et il ne semblait pas vouloir s'arrêter. Il continuait à la marteler implacablement, bouleversant ses chairs et la menant vers de nouveaux sommets dans l'extase. Pour essayer d'enrayer l'infernale mécanique, elle se cambra au maximum, amenant ses seins devant la bouche du démon qui la labourait infatigablement. Il marqua un temps d'arrêt -- enfin -- et se mit à téter chaque mamelon alternativement avec une avidité qui fit à nouveau gémir Gabi.

Mais la belle mécanique ne fonctionnait plus que par à -coups ; les mouvements de hanche du Colonel se firent erratiques et il émit des sons gutturaux. Elle redoubla d'efforts et étrangla de sa main le sein qu'il suçait pour l'enfoncer plus avant dans sa bouche. Elle sentit enfin la verge de son amant d'acier se mettre à vibrer. La seule idée de bientôt le faire jouir la poussa elle-même au bord de l'orgasme et elle planta ses ongles dans son dos et le griffa comme une lionne. Il donna alors une ultime coup de boutoir d'une puissance hallucinante et éjacula en elle, déclenchant la jouissance de sa jeune amante.

La seule extériorisation de son plaisir fut un « humpf » discret alors qu'elle-même reprenait ses vocalises

« AAAHHHH! OUIII! JE .. JOUIS ... ENCORE ...! »

Il resta fiché en elle, faisant encore aller sa verge à peine dégonflée dans le vagin inondé de leurs sécrétion mêlées.

« Dommage que nous n'ayons pas plus de temps ; vous êtes délicieuse Sergent »

« Hmm. » ronronna t'elle « Votre heure sera la mienne mon Colonel; j'ai adoré votre technique! » Elle eut encore un petit mouvement de hanches pour récupérer la verge en retraite . « Hmm Waaow! Qu'est-ce que j'ai bien joui! »

A regret, le colonel se retira et s'assit à ses côtés pour observer les autres couples. Les plus spectaculaires étaient Ulla et Toussaint. La sculpturale beauté germanique chevauchait le grand Malien avec la fougue d'une vraie cow-girl tout en commentant leur accouplement

« Ach, tu ne veux pas débander beau mâle! Tu jouis en moi et tu ne débandes pas! Aucun homme ne résiste à Ulla! Je vais manger ta grosse bite et en faire des petites saucisses . Ach Aaah! Jouis encore en moi. Vide tes grosses couilles noires! »

Toussaint n'était pas en reste ; soulevant sa partenaire à grands coups de reins et s'aidant de ses mains ancrées à sa lourde poitrine aux mamelons presque rouges.

« Pas question! Je vais te faire jouir jusqu'à ce que tu me demandes grâce, deux fois! »

Il donna un série de coups de boutoir encore plus monumentaux que les autres en tordant les mamelons de sa cavalière qui hulula de plaisir!

« Ach, salaud oooh. Tu ... aaah .. Nein! NEIN! NEIN! AAACCHH! »

Elle se figea puis trembla de tous ses membres en geignant

« Trois à un, uuuh, mais tu ne m'auras pas uuh avec ta bite d'éléphant! Je veux ton sperme! Aah! Encore!»

Elle recommença à chevaucher son amant africain avec une énergie à peine entamée, déterminée à le faire plier sinon lui du moins sa verge.

Bien que ne disposant pas d'un attribut viril du même calibre que celle de ses frères d'armes, Walter avait été à bonne école avec Niki et le club des lesbiennes et démontrait une connaissance quasi scientifique du plaisir féminin pour le plus grand bonheur de Léa qui se tordait de plaisir entre ses mains et sa langue experte.

Contrairement à la plupart des hommes, il explorait d'autres zones érogènes que les seins et la vulve de sa partenaire , la faisant frémir des pieds à la tête sous ses assauts multiformes.

Il se décida enfin à la pénétrer, jugeant que les récents orgasmes de la jeune fille avaient suffisamment resserré son vagin pour qu'il puisse lui donner autant de sensations que ses camarades . Se cramponnant à sa poitrine junonienne, il se hissa entre ses cuisses et la pénétra avec juste ce qu'il fallait de difficulté pour la faire geindre de plaisir.

Elle l'entoura de ses bras et ses jambes et l'attira au plus profond d'elle-même, décidée à faire jouir son délicieux tourmenteur. Walter se laissa emporter par la tempête Léa , comptant sur sa résistance physique durement acquise pour se retenir jusqu'à ce qu'elle capitule une nouvelle fois.

Loïc avait de son côté eut quelques difficultés à pénétrer Maureen qui, malgré son expérience avec les gardes de la base, n'avait jamais affronté de verge aussi démesurée. Elle avait essayé de le sucer mais avait dû se résoudre à lécher les pourtours de l'énorme mandrin sans pouvoir l'enfourner comme elle l'aurait voulu. Mais la salive de la jeune femme avait néanmoins eu l'effet escompté et elle avait enfin pu accueillir le gland hypertrophié dans sa magnifique chatte recouverte d'un duvet roux soigneusement taillé.

Elle était couchée sur la table et il avait relevé ses jambes pour la pourfendre le plus loin possible

« LOÏC! .. Ca n'arrête pas ... Tu me prends si loin ... Mon ventre est plein .. de toi! »

« Et tu rates encore quelques centimètres ma belle! Tu es prête à encaisser le reste? »

« Nooon! Je ne peux ... ugh ... plus.... Oooh ... je vais exploser! »

« Oui.. humpf ... tu vas .. humpf .. exploser... mais .. humpf .. DE PLAISIR .. HAN! »

« AAAHHHH! ... LOÏC ...C'EST TROP!!! UUUH TU ME TUES!.. AAAHH! »

« HAN!... HAN!... HAN ...! »

« LO..ÏC ... AAAHH ... OUIII ... JE ... JE ... »

« oooh, tu . ; es .. trop ...serrée ... tu vas ...me ...faire AAARGHHH! AAAH! PRENDS TOUT! AAAHHH! »

« OUII .. JE VIENS ... AUSSI! OOOH! LO.. LO ..ÏC! »

Gabi reprit les choses en main ou plutôt en mains et en bouche . Elle avait susurré à l'oreille de Cardinal

« Colonel, vous ne pouvez vous rhabiller ainsi ... Puis-je d'abord vous nettoyer? »

« Bonne idée jeune fille! Une hygiène rigoureuse est une qualité appréciaaaa ...ble chez une mmmh agente du ...ugh .. S.E.C.S.! »

En moins d'une minute, sa bouche gourmande avait réussi à rendre à son supérieur hiérarchique toute sa vigueur. Elle commença à le branler d'une main tout en caressant ses bourses de l'autre ; soupesant des couilles conséquentes pour un homme de taille moyenne. Elle continuait à le sucer bien qu'elle ait débarrassé la verge de toutes les sécrétions vaginales et séminales qui la recouvraient. Elle était bien décidée à le vider , à l'assécher, à le faire crier son soulagement lorsqu'il se libèrerait au fond de sa gorge.