De la Chimie des Corps Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Il déposa sa tasse et alla fermer la porte du laboratoire.

« Qu'est-ce vous faites » s'enquit-elle d'une voix légèrement rauque

« Je veille à votre réputation » répondit-il . D'ici deux ou trois minutes, vous allez me sauter dessus comme une femelle en chaleur et je m'en voudrais de laisser des étudiants ou des collègues vous surprendre dans une position aussi compromettante. »

« Vous prenez vos désirs .. uuh.. pour des réalités .. aah , je ne cèderai plus jamais à un homme. Pas comme au oooh Ministère! J'ai été trop aah abusée comme ça!»

Elle se cramponnait à sa chaise, les jointures de ses doigts blanchies par la pression qu'elle y mettait pour ne pas se lever.

« Parce que vous préférez les femmes? j'aurais dû y penser »

« Bien sûr idiot! Il n'y a que vous qui n'avez rien remarqué aaah....Tous des salauds oooh! Qu'est-ce que vous avez mis dans ce thé? Je uuh je dois vous toucher ..aah! C'est insupportable oooh non! »

Elle se leva et vint se coller contre Walter. « Je n'en peux plus, baise-moi! Fais de moi ta chose! »

« Nous avons le temps » dit-il « Enlève ta veste et ton chemisier . Voilà, c'est bien. Maintenant ta jupe. Aha, un porte-jarretelle! Madame sait s'habiller! Est-ce que tu veux me sucer? »

« Oui Walter, oui , je veux te sucer »

« Ce n'est pas une façon polie de demander quelque chose! »

« S'il te plaît Walter, laisse-moi te sucer? »

« OK, vas-y mais rien que la bouche. »

La fière Directrice n'était plus qu'une loque pantelante, elle ouvrit la braguette du chercheur et lui prodigua une fellation extraordinaire mais qui ne dura que moins d'une minute ; elle s'interrompit pour hurler « WALTER, JE JOUIS! OH MON DIEU, TA BITE ME FAIS JOUIR! » et elle retomba en sanglotant , accrochée au sexe de l'homme.

« Continue » lui dit-il, impitoyable

« Incapable de résister, elle reprit sa fellation ... et recommença à gémir aussitôt. Walter commença à manœuvrer sa tête pour accentuer ses mouvements, décuplant les « mmmh mmmh » qui s'échappaient de sa gorge. Il buta à plusieurs reprises contre sa glotte mais lorsqu'elle ouvrit la bouche, ce n'était pas pour respirer mais pour hurler à nouveau sa jouissance « C'EST TROP! JE PARS DE NOUVEAU! C'EST BON! »

Il la releva à bout de bras , les jambes de Nicole étant incapables de la porter et la coucha de tout son long sur le bureau. Il prit le temps de l'examiner : elle avait des seins de taille moyenne mais particulièrement fermes et mis en valeur par un soutien-gorge blanc en dentelle et soie qui devait bien coûter un mois de salaire, du moins son salaire à lui. Ses cheveux auburn étaient répandus en nuage autour d'un visage nettement plus beau après la détente de l'orgasme que lorsqu'elle affichait l'air pincé qui était sa marque de fabrique dans l'école. Son slip blanc était assorti à son soutien si ce n'est la large trace humide qui occupait toute son entrejambe. Quant au porte -jarretelles et aux bas couleur chair, ils mettaient en valeur les longues jambes au galbe parfait.

Walter se dit qu'il n'avait jamais vu d'aussi belle femme dans sa chienne de vie. Il était heureux qu'elle ait un aussi fichu caractère et préfère les femmes car dans le cas contraire, il n'aurait jamais eu le courage de la briser comme il comptait bien le faire dans les minutes qui allaient suivre.

« Tu as bien joui?»

« Oui » dit-elle d'une toute petite voix en essayant dans le même temps de faire 'non' de la tête

(« Ah tu veux résister ») « Oui qui? »

« Oui Walter »

« Est-ce que tu en as assez? »

Non Walter, s'il te plaît, laisse-moi encore te sucer pour que je jouisse encore »

«Tel n'est plus mon plaisir. N'as-tu rien d'autre à m'offrir?»

« Je suis à toi Walter, fais de moi ce que tu veux. Mon corps est tout à toi! »

« Et si je baisais ta petite chatte de lesbienne? «

« Oh oui, Walter, prend-moi! Enfonce ta bite dans ma chatte, elle est à toi comme le reste! S'il te plaît Walter, ... tu es mon ...MAÎTRE! » Le dernier mot, elle l'avait vraiment crié! Et sans qu'il l'y oblige!

« Enlève ton slip ... c'est bien ... donne-le moi ; tu n'en n'aura plus besoin aujourd'hui! »

Il enleva sa chemise et son pantalon et regarda sa verge tuméfiée. Il ne s'était jamais senti aussi puissant qu'aujourd'hui. Il écarta les jambes gainées de nylon et tira le corps de sa Soumise jusqu'à ce que son bassin arrive au bord du bureau. Il avança sa verge jusqu'à l'entrée du vagin béant de Nicole, s'arrima à ses jambes relevées et donna un énorme coup de rein, la perforant en une seule poussée jusqu'à ce que leurs deux pubis s'entrechoquent.

« AAAAHHH « hurla sa patrone « MERCI OH MERCI ... MAÎTRE!"

Walter ne put se contenir . Inexpérimenté comme il l'était, il était incapable de résister aux contractions spasmodiques de la vulve de sa victime. Il jouit à gros bouillons dans le vagin serré tandis que Nicole repartait de plus belle

« RAAAAH! OUI, ENCORE! C'EST TROOOP BOOOON!

Mais dopé jusqu'aux oreilles comme il l'était, Walter resta glorieusement érigé dans l'intimité de sa Soumise. Il leur laissa un moment de répit, le temps de repousser le soutien-gorge par-dessus ses seins et d'admirer les petits tétons encerclés de mamelons d'un beau format. Une fois sa vue rassasiée, il commença à la labourer de sa verge bien raide . Nicole gémit à nouveau , noyée dans un océan de félicité. Elle noua ses jambes derrière le dos de Walter pour l'inciter à la prendre plus avant, plus fort. Le contact des jambes couvertes de nylon excita ce dernier qui s'empara de ses seins et les broya dans ses mains, faisant saillir mamelons et tétons . « Tu es à moi femme! Tu m'entends, tu es à MOI »

« AAAH, OUI MAÎTRE, JE SUIS A TOI! BOURRE MA CHATTE DE LESBIENNE!

« TU N'ES PLUS UNE LESBIENNE! TU ES MA SOUMISE! JOUIS SUR MA BITE! MAINTENANT!

Nicole se cambra sur le bureau, n'y reposant plus que par les épaules tandis qu'elle s'empalait au maximum sur son pourfendeur dont elle enserrait les reins comme dans un étau. Elle ouvrit la bouche pour pousser un hurlement mais seul le silence répondit. Elle avait franchi tous les paliers du plaisir et ne parvenait plus à extérioriser sa jouissance.

Walter retira doucement sa verge du vagin boursouflé. Elle avait son compte. Il bandait toujours mais préférait s'économiser pour la suite ; il avait encore des projets pour assoir définitivement sa domination sur cette garce. Et il aurait besoin de toute son énergie.

La femme qui émergea de sa langueur, étendue sur le bureau, n'avait plus rien à voir avec la Directrice pleine de morgue qui était venu le narguer et le menacer une heure plus tôt. Elle s'accrochait à lui en gémissant « Ne m'abandonne pas, Walter, ...Maître! »

Il dégrafa son soutien et le rangea dans son bureau avec son slip puis lui dit « Rhabille-toi, nous avons du travail. Nicole eut un moment d'hésitation en remettant sa jupe alors qu'une longue traînée de sperme et de cyprine maculait une de ses cuisses et menaçait d'encore descendre mais elle n'osa protester . Par contre, elle remit sans aucune gêne son chemisier et Walter s'aperçut avec admiration que sa poitrine n'avait nul besoin d'une quelconque protection et qu'elle s'en passait sans doute régulièrement. Il ne put d'ailleurs résister au plaisir de caresser les deux globes orgueilleux, pinçant les petits tétons au passage.

Il se rhabilla lui aussi en toute hâte en , rouvrant la porte, lui fit signe de la suivre. Il ricana intérieurement en voyant qu'elle avait du mal à marcher sans écarter les jambes tant son sexe était gonflé et irrité par cet accouplement inhabituel pour elle. Il les dirigea vers le bureau de la Direction où il lui intima silencieusement l'ordre de le précéder.

« Bien » dit-il « je vais t'aider à régler tes problèmes organisationnels . Allume ton PC et envoie la note suivante : Pour des raisons d'économie, nous avons le regret de vous annoncer la fermeture temporaire du laboratoire n°9 . Sa responsable, Melle Carine Cléty sera rattachée au laboratoire n°4 de Mr Walter Lévèque où ses compétences seront hautement appréciées. Nous souhaitons d'ores et déjà bonne chance à Melle Cléty pour ce nouveau défi! Etc etc et tu envoies ... Voilà ...»

Nicole était blanche « Caro ... » gémit-elle

« Quoi Caro? Ne me dit pas que tu couchais avec elle? »

« Si »

« Elle a à peine 24 ans! Et tu as eu d'autres amantes avant elle ici à l'Institut? »

« Francine Lemestre , Anne Garcia et Geneviève Roussel »

« Rien que cela! Le quatuor de femelles qui m'ont devancé pour les quatre dernières promotions sont toutes passées par ton canapé. Tu me dois une compensation salope! »

« Désolée Maître, c'était avant »

« Désolée rien du tout » dit-il en venant s'asseoir devant elle sur son bureau . Il ouvrit sa braguette et extirpa sa verge qui n'avait rien perdu de sa roideur. « suce-moi pendant que je t'explique »

« Avant 18h, tu vas venir prendre le thé avec Carine -- Caro si tu préfères -- et j'en ferai ma deuxième soumise. Nous prendrons d'abord le thé ensemble, ce qui veux dire que tu devras rester calme puis je te prendrai devant elle avant de la baiser à son tour. Et tu m'aideras à la baiser. Tu vas me la donner et tu seras heureuse car ainsi tu me montreras que tu es à moi et que dorénavant tout ce qui est à toi est à moi »

Nicole gémissait, la bouche vissée autour de son sexe qui commençait à palpiter au fur et à mesure qu'il développait son fantasme.

« Plus tard, tu m'offriras les autres lesbiennes de ton harem et tu m'aideras aussi à les baiser. Après tout, vous m'avez bien baisé avec ces promotions qui m'ont été volées ; ce n'est qu'un juste retour des choses. AAAHH. Je sens que ça vient! Quand je jouirai dans ta bouche, je veux que tu avales tout et que tu jouisses ...AAH Ca monte! Je pense auOOOH pied que je vais prendre avec ta petite Caro OOOHH ,OUI, CA Y EST! JE VIENS! AVALE TOUT! »

MMMHHH! AAYAAAAH! cria Nicole! lâchant la bite qui avait fini de se vider dans sa gorge. Elle retomba en arrière sur sa chaise, complètement épuisée par la combinaison des émotions et de ses orgasmes en chaîne.

Walter se rajusta « Avant dix-huit heures, n'oublie pas Soumise! »

« Oui Maître »

En revenant vers son labo, Walter croisa la jeune Cléty qui courrait vers le bureau directorial les larmes aux yeux. Sa course faisait rebondir ses lourds seins en tous sens et il se dit qu'il allait bien s'amuser avec cette petite garce ; Elle n'était pas aussi belle et racée que Nicole mais une poitrine pareille pouvait racheter beaucoup de défauts!

De retour dans son labo, il se lava à nouveau avec les lingettes. Il avait assez transpiré pour à nouveau laisser assez de musc sur les lingettes pour se préparer une base alcaline. Au rythme où il était parti, il allait avoir besoin d'un sérieux stock. Cela lui fit penser à un débouché possible pour sa découverte . Il y avait certainement assez d'hommes frustrés rien que dans ce seul département du Nord pour se constituer une bonne petite clientèle de mâles revanchards ou simplement avides de conquêtes féminines faciles. Pour ce qui est des ventes, il pouvait compter sur Soumise pour monter une organisation. Restait à voir comment utiliser cette arme de séduction massive. Il n'imaginait pas l'organisation de Tea Parties géantes où toutes les femelles cibles boiraient docilement le breuvage avec la potion. Ca ce serait un beau projet pour Caro. Comment utiliser la potion autrement que dans du thé!

Il décida d'aller à nouveau au gymnase prendre une douche pendant que les lingettes macéraient. N'étant pas un familier des lieux, il se perdit dans les couloirs et tomba par le plus grand des hasards sur une salle d'entraînement bien équipée. Regardant ses tristes biceps et son ventre avachi , il prit conscience , pour la première fois de sa vie, de son état de délabrement physique et se résolut à retrouver la forme -- et les formes- de son adolescence (« Ce serait trop con de ne pas pouvoir suivre le rythme maintenant que j'ai toutes les femmes du monde à mes pieds. Mais je devrai peut-être penser à ajouter de l'Aïcar à ma dope ...).

Il était à peine arrivé dans le vestiaire qu'il entendit un bruit auquel il n'avait pas prêté attention la première fois. Une sorte de « psscht » . il regarda au-dessus de sa tête et vit un diffuseur de parfum qui fonctionnait avec l'ouverture de la porte. Idéal pour masquer l'odeur de sueur de certains sportifs qui ne prenaient pas de douche après leurs exercices .... Et idéal aussi pour diffuser une certaine substance! Il renifla sa peau et ses vêtements ; l'odeur du parfum était indéniable donc cela pourrait marcher. Restait à déterminer si sa potion aurait autant d'efficacité en pénétrant par la peau avec que lorsqu'elle était ingérée .

Il dirigeait des travaux pratiques de 13h à 16h et, pour une fois, il fit rire ses étudiants à coup d'anecdotes illustrant les difficultés de la matière. Lesquels étudiants étaient les premiers surpris de ce petit miracle : le Vieux Rat Thé faisait de l'humour! Ils ne pouvaient évidemment deviner que le Vieux en question était particulièrement réjoui à la vue de ce troupeau comprenant plein de jeunes filles en fleur dont certaines l'intéressaient au plus au point pour compléter son futur cheptel une fois qu'il aurait assouvi sa vengeance à l'égard du Club des Lesbiennes.

Dès seize heures, il se hâta vers son labo et prépara un simulacre de salon pour le service du thé . Il disposa les tasses et soucoupes sur une table basse qui servait normalement à entreposer du matériel et l'entoura de deux fauteuils qu'il avait un jour pu récupérer lors du renouvellement du mobilier du salon des professeurs Il rajouta la chaise de son bureau puis il sortit à nouveau ses réserves de potion et de dope de l'armoire métallique où il conservait ses biens les plus précieux..

A dix-sept heures quarante-cinq, il entendit un bruit à la porte et alla ouvrir. Nicole se tenait devant lui, toujours vêtue de son tailleur et de son chemisier sous lesquels il la savait nue mais elle n'en laissait rien paraître. Et derrière elle, l'air apeurée se tenait la petite Carine. Elle était vêtue de sa blouse blanche de laborantine fermée jusqu'au cou qui explosait littéralement sous la pression d'une poitrine somptueuse. Walter se lécha intérieurement les babines en rêvant déjà de la mettre à nu et de s'occuper de ces seins trop tentants. Il les fit entrer et les invita à prendre place. Il s'affaira ensuite à leur préparer le thé, commentant chacune des étapes pour dégeler quelque peu l'atmosphère.

Nicole était imperturbable comme ordonné mais la petite était, elle, au bord des larmes. Elle avait été trahie par sa protectrice et amante qui l'avait démise de son poste et rétrogradée en-dessous d'un homme que l'ensemble de la communauté scientifique de l'école méprisait souverainement. Malgré ses larmes et ses supplications, Nicole avait refusé de lui donner la moindre explication ; se bornant à lui intimer l'ordre d'être présente à 17h45 à l'entrée du labo 4 et la congédiant sans même la regarder.

Walter lui tendit une tasse soigneusement assaisonnée qu'elle prit d'une main tremblante puis il en fit de même vers Nicole qui, elle, n'hésita pas. Il but un thé sans additif ; sa double dose du matin faisait encore plus qu'assez d'effet et il avait un peu peur d'une surdose.

En moins de dix minutes, Nicole avait à nouveau le feu aux joues quant à Caro, elle avait oublié les larmes et haletait visiblement de désir. Walter avait commencé à leur expliquer ses projets en termes très vagues « Mais donc chère Carine, j'aurai besoin de vos compétences en matière de vaporisateurs et d'absorption par contact pour transformer la méthode par ingestion de ma potion vers une méthode de pénétration en aérosol »

« Mais quel est l'effet de cette potion? » demanda Carine en déglutissant péniblement, les yeux fixés sur l'entrejambe de Walter qui laissait apparaître une érection de belle taille. »

« Tu vas très vite comprendre, petite garce » répondit-il brutalement, abandonnant son ton courtois « de quoi as-tu envie à l'instant? »

« Je veux vous toucher... Je veux sentir votre sexe .... Dans ma bouche! »

« Sers-toi petite! »

Carine s'agenouilla devant sa chaise, défit sa braguette et sortit son sexe bien érigé. Elle l'engloutit immédiatement et se mit à la sucer avec une certaine maladresse mais une avidité évidente.

« Hum , Nicole, cette petite va avoir besoin d'entraînement. Tu vois que c'était une bonne idée d'en faire mon adjointe ; elle pourra s'exercer tous les jours ... aaah, elle progresse vite! Est-ce que cela t'excite de voir ta petite copine me faire une pipe?»

« Oui, j'aime voir ta verge donc cela m'excite »

« Et Carine, elle ne t'excite pas? «

« Si, un peu, mais pas autant que ce qu'elle te fait »

« Tu entends Carine? Cette pauvre Nicole est toute excitée. Je vais d'abord m'occuper d'elle et puis nous en reviendrons à ton éducation. »

« Mmmmh Mmhh! » répondit la petite qui le lâcha soudain en gémissant « Mais qu'est-ce qui l'arrive. Je suis toute chaude ... je vais ... je vais ... ooohhhh! » Elle s'effondra sur ses genoux, prise dans un orgasme totalement inattendu. Walter lui laissa deux minutes pour reprendre ses esprits puis la releva et la tira vers Nicole qui attendait les yeux brillants dans son fauteuil.

« Soumise, j'ai envie de toi! »

« Oh merci Maître »

« Enlève la veste de ton tailleur et ton chemisier ; je veux voir tes beaux seins »

Elle s'exécuta et Walter lui pétrit les seins avec délectation sous l'œil allumé de désir de Carine qui n'osait pas intervenir.

« Tourne-toi dans le fauteuil et remonte ta jupe »

« Maintenant Carine, prend ma bite et présente-là à l'entrée du vagin de ton amante »

« Introduis-moi. C'est bien ; pas plus loin. Soumise, as-tu envie que je te prenne comme une chienne? »

« Oui Maître, s'il vous plaît Maître»

« Et toi petite garce, veux --tu que je la baise? »

« Oui ... Maître, elle a besoin d'être.. euh ... baisée! »

« Dans ce cas, ... Humpf! ... Aaah, cela fait du bien ce vagin brûlant ... Tu avais besoin d'une bonne saillie .. Hein, Soumise? »

« Maître ... s'il vous plaît, prenez-moi plus fort! Je veux sentir votre ... aaah bite bien dure ... qui me ramone ... uuh ... le minou! »

« Carine, embrasse-la pendant que ... aaah ... je la fais .. jouir! »

Walter avait pris la cadence de guerre et pilonnait le vagin de la directrice qui s'affaissait petit à petit sur le dossier du fauteuil. Il se rendit compte qu'il ne tiendrait plus longtemps et décida de précipiter la fin de ce premier accouplement

« Soumise ... je vais aah jouir! Viens .. avec moi .. Je veux ooh te sentir partir .. ooo aussi ... »

« MAÎTRE, JE VIENS, JE JOUIS! AAAH QUEL PLAISIR! »

Agités de soubresauts, les deux corps finirent par s'immobiliser ; l'homme profondément enfoncé dans sa compagne tandis que Carine caressait le visage de cette dernière et la bécotait .

Walter se rassit et fit signe à Carine de revenir le sucer.

« Soumise, pendant que ta petite garce me remet en forme, il est plus que temps que tu la déshabilles et que tu me montres la marchandise »

Nicole vint s'agenouiller aux côtés de Carine et s'escrima à défaire les boutons de la blouse sans interrompre la fellation de son ex-protégée. Quand ce fut fait, elle obligea la jeune fille à lever un bras après l'autre pour lui enlever le vêtement. A la grande surprise de Walter , cette dernière ne portait en-dessous qu'un slip, des collants et bien sûr un soutien-gorge qui ressemblait à une armature en béton pour contenir ses majestueuses mamelles.

« Soumise, comment as-tu pu laisser Petite Garce porter des sous-vêtements aussi disgracieux? »

« Excusez-moi Maître, je l'ai toujours déshabillée trop vite que pour vraiment y porter attention »

« Prend le cutter sur mon bureau et lacère-moi tout cela. Il n'est pas question qu'elle sorte d'ici avec cet attirail! »