De la Chimie des Corps Ch. 01

Lorsque Nicole glissa la lame sous le collant, Carine eut un bref frisson d'appréhension mais son aînée était adroite et en trois rapides coups de poignet transforma la pièce de nylon en un morceau de chiffon informe enroulé autour de ses chevilles Le slip subit le même sort avant qu'elle ne s'attaque au soutien qui, de par sa structure renforcée , résista un peu mieux à la lame acérée avant de libérer les deux seins plantureux qu'il s'efforçait de contenir.

Walter était maintenant en érection totale et il repoussa Carine qui geignit de dépit. A voir ses joues empourprées, elle avait dû être proche d'un nouvel orgasme.

« Couche-toi sur le tapis Petite Garce!Sur le dos! Je vais un peu m'amuser avec tes grosses mamelles! »

Elle s'exécuta et il s'assit à califourchon sur elle, logeant sa verge entre les deux seins de sa nouvelle esclave. Il était un peu déçu ; si ses seins étaient bien volumineux et plus fermes qu'il ne l'avait supposé, ses mamelons étaient d'une taille plus que quelconque et semblaient ridiculement petits , perdus dans la masse de chair qui les entourait. Il pressa les deux monticules l'un contre l'autre et commença à faire aller et venir sa verge dans le canal ainsi formé. Mais l'excitation n'était pas au rendez-vous. Il décida de pivoter à 180°, remit sa verge en position et dit à Nicole,

« Soumise, je vais te donner l'occasion de montrer tes talents : lèche cette petite greluche et fais la jouir jusqu'à ce que je te dise d'arrêter. Et toi Petite Garce, lèche mon trou de balle pendant que j'essaye de prendre du plaisir avec tes tristes mamelles »

Jamais Caro n'aurait sans doute imaginer faire feuille de rose à un homme mais , sous l'influence de la potion, elle n'hésita pas une seconde et s'empressa d'obéir aux ordres de son Maître.

Walter lui avait repris ses va et vient entre ses seins mais ne se contentait plus de les presser, il les malaxait, les triturait, pinçait tétons et mamelons avec une sorte de rage perverse, jouissant des petits soubresauts de douleur qui agitaient sa victime , à moins qu'il ne s'agisse de plaisir vu que Nicole s'était jetée sur le pubis de son amie comme la famine sur l'Ethiopie et la léchait avec une ardeur qui éveillait un vague sentiment de jalousie chez son Maître.

Il ne fallut pas longtemps pour que les soubresauts de Caro se transforment en spasmes et il entendit des « mmmmh mmmh » aigus sous ses fesses . Petite Garce jouissait! Mais elle abandonnait son anus!

« Ne t'arrête pas » dit-il sans s'adresser à une des femmes en particulier. Nicole reprit donc ses caresses tandis que la langue de sa jeune amante revenait titiller son trou de balle. Il se fatigua cependant vite de cette situation. Sa verge était tout-à-fait raide et il décida qu'il était temps de baiser la plus jeune de ses deux compagnes.

« Stop! » Les deux femmes se pétrifièrent.

« Garde ses jambes ouvertes, Soumise, je vais la pénétrer et défoncer sa grosse chatte »

« Maître, elle est encore vierge! C'est une vraie lesbienne , elle n'a jamais connu d'homme! »

Quelque part, cette remarque ennuya Walter. Il voulait à tout prix humilier la Petite Garce mais n'avait pas envie de prendre la responsabilité de la dépuceler.

« Tu as une autre suggestion Soumise? »

« Oui Maître, prenez-moi, donnez-moi votre sperme pendant qu'elle continue à vous caresser »

« Je le ferai sans doute plus tard mais je veux jouir en elle d'abord! J'ai déjà eu sa bouche, je ne peux pas avoir sa chatte, il ne me reste que son gros cul!»

« Non, s'il vous plaît Maître « sanglota Carine terrifiée.

Cette soudaine rébellion excita les plus mauvais instincts du chercheur et il alla fouiller dans son armoire dont il revint avec un vieux pot de vaseline. Ce n'était pas idéal mais cela conviendrait en l'au-cul-rance. Il se passa la vieille pommade sur la verge et dit aux deux femmes enlacées à ses pieds.

« Soumise, tu peux aider ta complice en la léchant comme tu sais si bien le faire. Mettez-vous en 69 avec Petite Garce au-dessus »

Lorsqu'elle se furent exécutées, il pénétra le rectum de Carine avec son majeur enduit de vaseline et lubrifia abondamment son sphincter. La petite geignait doucement et il lui dit »Tu vas aimer te faire sodomiser Caro ; tu as un cul qui appelle la bite. Je comprends que tu sois encore vierge ; c'est de l'autre côté que tu dois prendre du plaisir »

Il présenta sa verge bandée au maximum devant le petit trou de la jeune lesbienne, apercevant au passage Nicole qui léchait frénétiquement sa compagne. Il appuya le gland contra le sphincter et donna un grand coup de reins ... et s'enfonça comme dans du beurre jusqu'à mi-verge.

« J'avais raison! » tonitrua-t'il, « Tu es faites pour la sodomie! ton cul appelle ma bite comme le miel de ta chatte appelle la reine des abeilles!»

Il se mit à la besogner puissamment tandis que Nicole, la Reine des Abeilles butinait le clitoris de sa jeune amie. Carine poussait maintenant des cris stridents sans qu'il puisse déceler s'il s'agissait de douleur ou de plaisir mais il s'en fichait. Seule comptait la vue de sa bite enfoncée entre les fesses de la jeune arriviste qui lui avait volé son job. O Douce Revanche!

Mais il ne fallut pas longtemps à Carine pour jouir sur la langue de Nicole et il lui laissa un moment de répit avant de reprendre son martèlement des fesses de la rubénienne laborantine.

Il sentait son gland qui le tiraillait dans l'attente d'un assouvissement qu'il voulait atteindre dans les plus brefs délais.

« Petite Garce, je vais jouir dans ton cul. Quand tu sentiras mon sperme, jouis avec moi! »

« Oui ... maî ... tre » répondit Carine en hoquetant sous l'effet d'une nouvelle montée du plaisir.

« AAH .. VOILA .. JE VIENS... DANS TON CUL DE GARCE! YAAOOH!»

« UUH .. C'EST PROFOND! AAH JE VIENS AUSSI! MAÎTRE , JE JOUIS! «

Walter resta un long moment prostré sur le dos de sa monture. Ce n'est que lorsque sa verge ramollie fut expulsée du rectum de la jeune femme qu'il reprit vie . Il se dirigea vers un des éviers du labo et appela Nicole

« Soumise, viens me laver. Et nettoie-moi bien car après tu me suceras! A toi de savoir si tu veux sucer une bite pleine de vaseline et de crème d'anus ou si tu la veux propre! »

Elle avait à peine commencé à laver la verge de son maître que la porte s'ouvrit et Fatima fit son apparition.

« OOH pardon, je m'excuse! »

Walter se retourna « Viens Fatima, je t'attendais! Viens boire une tasse de thé avec nous»

La grosse technicienne devait être encore légèrement sous influence de la potion car elle rejoignit le trio sans trop d'hésitation. Elle se servit une tasse du thé trafiqué que Walter avait préparé dans l'attente de sa venue et la but d'une traite.

« Tu te sens mieux? » demanda Walter

« Oui »

« Tu vois cette jeune femelle? Elle a envie de lécher ta grosse chatte et cela me ferait plaisir de te voir prendre du plaisir »

« Merci, oui cela me ferait plaisir »

« Petite Garce, installe Fatima dans le fauteuil, ouvre son tablier et lèche-la jusqu'à ce qu'elle jouisse! »

Pétrifiée, Nicole observa son amante qui menait la grosse technicienne vers le fauteuil où elle la déshabilla . Walter constata que la technicienne s'était déjà habituée à ses débuts de soirée car elle ne portait plus sa culotte en forme de tente et Carine se mit à la lécher avec application ; sa tête perdue entre les cuisses de mammouth.

Fatima ne mit pas longtemps à jouir , écrasant le visage de la jeune lesbienne contre sa chatte poilue mais en essayant de rester discrète ; éducation oblige. Très excité, Water commanda « Bien, très bien Petite Garce . Maintenant, enlève lui son soutien et laisse-là venir se frotter sur toi ; je veux que vous vous excitiez l'une l'autre avec vos gros seins et que vous montriez à Soumise comment deux vraies lesbiennes peuvent s'aimer »

Il se tourna vers Nicole « Alors Soumise, penses-tu que ma verge est bien propre? »

« Oui Maître »

« Tu sais ce qu'il te reste à faire alors! »

Nicole s'empara de la bite toute molle et l'enfourna dans sa bouche. Elle le suça avec ardeur sans quitter des yeux le couple formé par Fatima et Caro. La technicienne écrasait la jeune laborantine , labourant ses seins avec les siens et écrasant son sexe contre l'entrejambe de sa compagne. Elle violait la jeune femme avec une avidité presque animale, se repaissant du jeune corps qui était livré à sa libido enfin libérée, prenant son plaisir sur la chair fraîche offerte à ses désirs réveillées après tant d'années de soumission à son mari.

Walter ne tarda pas à bander à nouveau comme un taureau devant cette vision luxurieuse et installa Soumise à quatre pattes face au couple gargantuesque et la prit en levrette. A la fois excité par le délicieux vagin de Nicole et la par la vue de sa jeune amante livrée aux appétits débauchés de Fatima, il était rempli d'une exaltation peu coutumière. C'était la plus belle revanche à laquelle il eut pu rêver : baiser la Reine des Abeilles lesbiennes tandis que son ouvrière favorite était dévorée par cette mante religieuse!

« Tu sens ma bite Soumise? Tu sens comme je suis excité par ta douce Caro qui se fait baiser à mort par cette furie? »

« Oui je te sens et aah oui ça m'excite aussi ... sale petite pute uuuh elle jouit la aaah salope. Prends moi plus fort ... continue ... ooh ... Maître ... Walt ... J'aime ta ... votre ... bite... Je te sens si bien .. aah dans mon ventre ... si booon ... Walt , viens ... viens avec moi... Je suis à toi! AAAH OUIII! JE JOUIS! ENCORE! MAÎTRE!

Elle avait joui trop tôt pour Walter qui était encore émoussé par son précédent orgasme mais il ne fit rien pour l'empêcher de s'affaler au sol et de l'abandonner avec son érection Au contraire, il l'enlaça et prit sa tête sur ses genoux tandis qu'elle reprenait son souffle, lui caressant les cheveux avec tendresse.

« Maître, vous n'avez pas joui » remarqua-t'elle après quelques minutes

« Non mais la soirée n'est pas finie » répondit-il « Allons manger et après on ira à ton appartement ; j'ai envie de passer la nuit avec toi »

Elle se pelotonna contre lui et serra son corps contre le sien. Sans la lâcher, il s'adressa aux deux bacchantes qui marquaient une pause quoique Fatima soit toujours juchée sur sa jeune victime et ne donnait aucun signe de vouloir la libérer.

« Les filles, faites ce que vous voulez ce soir. Carine, je vous attends demain matin à 9 heures pour notre projet et n'essayez pas de remettre des sous-vêtements aussi horribles. Fatima, vous pourrez de nouveau l'avoir demain, avec sa patronne cette fois, à partir de -- disons -- 18 heures. Mais en attendant, Madame la Directrice et moi avons des projets ; nous vous saluons! »