Couple Pervers 03 (Mariage)

« Merci » est tout ce que Tom arrive à dire.

Justine, toute à son interminable coït et aux regards qu'elle porte sur l'engin qu'astique toujours le vieux Georges, n'a rien remarqué. Elle croit juste avoir entendu Lisa dire :

« Je me suis... bien occupée... de ton cocu... qui a... un... petit cadeau... pour toi. »

Justine n'est pas certaine d'avoir compris, car Lisa s'était exprimée difficilement, comme si elle avait quelque chose en bouche. Elle comprend instantanément lorsque Lisa se penche au-dessus d'elle et l'embrasse passionnément. La bouche de Lisa vient de se vider d'un coup dans la sienne. Elle sait que c'est le sperme de son mari qu'elle avale à cet instant. Lorsque Justine déglutit, Lucas comprend ce qui se passe et cela porte son excitation au plus au point. Son sperme gicle au fond du vagin de Justine, en fortes vagues successives. Elle lui a vraiment vidé les couilles, se dit-elle. Comme toujours, Justine a plusieurs fois approché la jouissance et a commencé de nombreux orgasmes qui se sont tous bloqués.

La jeune mariée se dit cependant qu'elle a une nuit de noce exceptionnelle qui lui donne un plaisir rare. Mais, est-ce fini? C'est la question qu'elle se pose. Alors, en regardant le gros Georges qui se masturbe toujours, Justine se dit qu'elle n'a pas tout essayé. Non, sa nuit de noce n'est pas terminée.

Elle fait signe à Georges, qui n'en attendait pas tant. Pour le recevoir, elle écarte ses cuisses d'une façon vraiment obscène. Lucas et Tom se sont assis à chaque bord du lit pour assister à ce coït qu'ils prévoient exceptionnel. Georges se positionne et pénètre lentement. Les sécrétions de Justine et le sperme abondant de Lucas ont tellement nappé le vagin que l'énorme membre fait son chemin sans douleur pour Justine. Elle a simplement l'impression d'être incroyablement distendue. Cette sensation est si forte qu'elle pense à ce que pourrait être un accouchement qu'elle ne connaît que par ses lectures. Justine se dit à cet instant qu'elle aurait pu être engrossée par l'un d'eux lors de cette nuit de noce, mais il lui revient que ses règles ne devraient arriver que dans quelques jours. Elle est alors presque déçue de ne pas avoir été jusqu'à l'humiliation ultime de son petit mari. Comment puis-je être aussi salope, pense-t-elle? Lorsque le gland presse tout au fond, Justine jette un coup d'œil entre ses cuisses. Il reste encore bonnement 5 centimètres de ce mandrin à l'extérieur. Jamais je ne pourrais le prendre en entier, se dit-elle. Va-t-elle repousser le gros homme? Elle aimerait bien savoir si elle peut y arriver. Justine est curieuse de connaître les sensations d'un telle pénétration. Elle est indécise. Elle a peur, mais cette peur l'excite. Alors, Justine pose ses mains sur les reins du gros homme et elle l'attire vers elle. Georges, sentant le désir de Justine, pousse en avant, sans brutalité, mais tout en force, tout en puissance. Justine a l'impression que le gros gland écarte de col de son utérus ou plutôt le retourne comme un gant. Elle ne sait pas ce qu'il en est, mais elle se met à crier, non de douleur, mais de jouissance. Un orgasme comme elle n'en a jamais connu fait vibrer tout son corps. Il dure, dure, jusqu'au bout, jusqu'au relâchement de ses sens. Elle est heureuse d'avoir enfin eu cet orgasme complet qui lui a souvent été interdit. Elle profite de l'instant. Justine se surprend à penser qu'elle n'atteint le summum du plaisir que dans des situations plutôt dégoûtantes. Le viol par ce clochard repoussant l'aurait-elle conditionnée?

Le vieux Georges, épuisé par des performances qui ne sont plus de son âge, est resté couche sur elle, son gros sexe, qui commence à perdre son érection, toujours en elle. Au bout d'une minute un ronflement apparaît et déclenche l'hilarité générale. Ils ne sont pas trop de trois pour tirer le gros homme en arrière, le faire descendre du lit et l'emmener vers la porte. Ce n'est que sur le palier qu'il commence à se réveiller.

Lorsqu'ils sont tous partis, Tom vient se coucher à côté de sa femme. Malgré une érection naissante, il ne va pas prendre le risque d'essayer de la pénétrer, de peur d'un fiasco si humiliant. Il finit par dire :

« Je ne sais comment t'expliquer. Pourras-tu jamais m'excuser? C'était ta nuit de noce ! M'aimes-tu encore un peu?»

Justine le rassure :

« Je t'aime plus que jamais. Tu n'as pas à t'excuser. Tu n'y pouvais rien. J'ai eu une nuit de noce peu commune, mais exceptionnelle, extraordinaire. J'ai pris plus de plaisir que tu n'aurais pu m'en donner avec ta petite bite. Tu as bien vu que j'avais même réussi à atteindre un orgasme complet. Que puis-je demander de plus? »

Puis, après un instant de réflexion, elle ajoute :

« Ah, oui, il me manque quelque chose : c'est un travail de cocu. »

Alors, elle pousse la tête de son mari vers son entrejambe. Tom sait ce qu'elle attend et il la nettoie avec sa langue. Il y a tant de sperme en elle qu'il va devoir s'y reprendre en plusieurs fois, mais il est heureux de faire ça pour sa femme adorée.

Lorsqu'il a fini, Tome serre sa femme dans ses bras et, épuisés, ils s'endorment dans un profond sommeil.

Le jour est déjà bien levé lorsqu'un bruit les réveille. On vient de frapper à la porte. Justine tire le drap vers elle pour recouvrir leur nudité et dit au visiteur d'entrer, la porte n'étant toujours pas verrouillée.

C'est un jeune homme en costume qui s'approche. D'un attaché-case, il sort un gros dossier et dit :

« Ce sont les documents que mon client, que vous connaissez sous le pseudonyme de #maîtrepervers, vous demande de signer. Vous paraphez tous les deux chaque page, puis vous datez et signez après la mention manuscrite 'bon pour accord'.

« Oh, il faut lire tout ça? Ça va être long ! », s'exclame Tom, ce qui fait réagir Justine :

« Non, on n'a pas le temps ! Tu sais bien que c'est pour notre voyage de noce qui commence demain. Alors, on fait ce qu'il dit et c'est tout ! »

Tom se range à l'avis de sa femme.

Après avoir récupéré le document, leur visiteur tend une grosse enveloppe à Justine et lui explique :

« Madame, ceci vous concerne spécialement. Cette enveloppe contient un questionnaire que vous trouverez certainement très personnel. Vous voudrez bien le remplir sans rien dévoiler à votre mari ici présent. Dans le cas contraire cela remettrait en cause le voyage de noce qui vous est offert. Quand vous l'aurez rempli, remettez-le dans l'enveloppe que vous cèlerez. Ce document sera utilisé par #maîtrepervers et son équipe pour que votre séjour corresponde au mieux à vos attentes. Je vous laisse le remplir et je vais attendre dans le couloir.

Lorsque Tom s'approche pour voir de quoi il s'agit, Justine le repousse d'un :

« Non, non, c'est personnel. »

Justine y trouve des questions relatives à sa contraception, à son cycle menstruel, à ses premières expériences sexuelles, à ses goûts et fantasmes en ce domaine et à sa relation physique et mentale avec son mari. Justine y répond en toute franchise, sans rien cacher, notant même des éléments qui pourraient lui faire honte, comme le plaisir qu'elle peut prendre dans des conditions dégradantes ou l'excitation qu'elle peut ressentir dans des situations à risque. Elle veut tant que ce voyage de noce soit une réussite qu'elle ne cache rien. Puis, ouvrant la porte, elle remet l'enveloppe cachetée au jeune homme qui remercie et prend congé.

Après son départ, ils s'aperçoivent qu'il ne leur a même pas laissé un double des documents, mais cela n'inquiète pas du tout Justine, ce qui n'est pas le cas de Tom, qui n'ose cependant pas questionner sa femme à propos de ses réponses confidentielles.

Lorsqu'ils sont tous deux douchés et habillés, prêts à quitter l'hôtel, Tom, toujours un peu inquiet questionne son épouse :

« Justine, ne regrettes-tu vraiment rien? Est-ce le mariage que tu espérais? »

Justine ne peut que confirmer :

« Non, je n'ai aucun regret. Ce mariage a dépassé toutes mes espérances. J'ai un mari prévenant, amoureux, et j'ai eu un plaisir incroyable. »

Puis, après un instant, Justine ajoute :

« Si tu tiens vraiment à ce qu'il y ait eu un petit bémol, je vais te le dire. Avec la pilule contraceptive, j'ai pu me donner sans arrière pensée, sans la moindre crainte, mais il m'a peut-être manqué l'excitation, le frisson, qu'aurait pu me donner le risque. Voilà, c'est tout ! »

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... à suivre...