Couple Pervers 02 (Vrai Cocufiage)

Informations sur Récit
Justine cocufie son fiancé et rêve d'aller plus loin.
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Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 04/12/2023
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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Tom, jeune homme de 22 ans, avait rencontré Justine, jolie brunette, qui n'avait que 18 ans et était devenue nymphomane suite à un traitement médical. Justine, qui voulait offrir sa virginité à Tom, l'avait perdue lorsqu'elle avait été violée par un SDF. Elle avait curieusement trouvé, comme Tom, voyeur, une certain plaisir dans cet épisode plutôt dégoûtant, allant même jusqu'à ressentir de l'excitation à la pensée de se retrouver enceinte. Heureusement, il n'en avait rien été. Tom et Justine, s'entendant si bien, avaient décidé de se marier.

La préparation du mariage les occupe bien. Ils avaient l'intention de se marier très vite, mais des contraintes administratives et financières les ont amenés à différer de trois mois. Cela permettra d'ailleurs à Lucas, le témoin de Tom, qui est parti faire un stage de fin d'études à l'étranger, d'être revenu à cette date.

Après le départ de Lucas, Tom peut profiter pleinement du studio qu'il partage normalement avec lui. Justine n'a pas hésité à s'y installer avec Tom pour les trois mois à venir. A part des sorties pour les courses du quotidien et quelques rares achats de vêtements pour plaire à son futur mari, Justine reste bien souvent au studio. Elle utilise beaucoup le PC portable de Tom, pendant qu'il travaille comme documentaliste dans un collège, et elle est devenue aussi accro que lui à Internet. Justine passe beaucoup de temps à regarder des vidéos pornos et à lire des récits érotiques. Elle ne porte souvent qu'un déshabillé qui lui permet de se caresser en même temps. Souvent elle s'approche de la jouissance sans l'atteindre, problème qu'elle connaît depuis longtemps et qui s'est trouvé amplifié pendant sa défloration par un clochard. Jules a promis de l'aider à résoudre ce problème, mais il n'a pas encore réussi.

Tom vient de rentrer à l'instant. La vue du corps de Justine dans ce déshabillé transparent l'excite encore plus que s'il la voyait nue. Il se précipite sur elle pour l'embrasser et la serrer contre lui. Justine le freine :

« Patiente un peu. Raconte-moi d'abord ta journée. »

« Oh, rien de bien passionnant : les recherches habituelles d'un documentaliste, mais raconte-moi plutôt la tienne. »

« Je suis allée chez le médecin. »

« Serais-tu malade? »

« Non, mais, après l'épisode avec le clochard, je me suis dit qu'il serait plus prudent d'avoir une contraception, alors il m'a prescrit la pilule. Tu es content? »

« Cela veut dire que je vais pouvoir te pénétrer? »

« Pas du tout. Ça ne change pas notre accord. Pas avant la nuit de noce. Ça sera si romantique à ce moment là. »

« Mais nous devions nous marier dans deux semaines. Je pouvais attendre. Là, notre mariage est reporté à dans trois mois, ce n'est pas la même chose ! »

« Tu sais bien que je vais tout de même bien m'occuper de toi, mon chéri, tous les jours et même plusieurs fois par jour. Tu veux voir? Allez, montre-moi ton petit zizi. »

Justine commence alors une fellation qui fait beaucoup de bien à son futur mari. Tout en faisant cela, d'une main elle lui palpe les couilles, alors que de l'autre elle se fouille la chatte. Elle aspire toute la bite de Tom, ce qui n'est pas bien difficile puisque le gland ne touche même pas sa gorge. Lorsqu'elle pousse aussi les petits testicules dans sa bouche, c'est à ce moment qu'il éjacule sous la surprise. Justine garde tout avant d'embrasser passionnément Tom et, pendant quelques instant, ils font passer le sperme d'une bouche à l'autre, jusqu'à ce que Justine dise :

« C'est à toi d'avaler aujourd'hui, vas-y ! »

Lorsqu'il s'est exécuté, Justine reprend leur conversation :

« Il me semble que tu n'as pas apprécié que je prenne maintenant la pilule, n'est-ce pas? »

« C'est à dire que cela ne sert pas à grand-chose, puisque tu me refuses la pénétration jusqu'au mariage. »

« Qui parle de toi, mon chéri? N'aurais-tu pas envie que je te fasse cocu? Et ça bien avant notre mariage. Ne serait-ce pas très excitant? »

« Mais, tu l'as déjà fait avec le SDF? »

« Pas du tout ! Ne mélange pas tout ! C'était un accident, sans aucune volonté de ma part. Si c'était mon choix, mon désir, ce serait différent et autrement excitant ! N'as-tu pas envie d'être mon mari cocu... ou plutôt mon fiancé cocu? »

« Je... je ne sais pas... oui... peut-être... »

« Je pourrais te tromper sans que tu le saches... ou alors le faire devant toi. Que préférerais-tu? »

« Je ne voudrais pas que tu me caches quoi que se soit. J'ai envie de tout partager avec toi, ma chérie. »

« Alors, viens regarder avec moi. J'ai trouvé un site de rencontres très coquin sur Internet. Regardons-le ensemble. »

Les deux tourtereaux ont maintenant les yeux rivés sur l'écran. Le site est très orienté vers le porno. Il n'est visiblement pas fait pour ceux qui cherchent compagne ou compagnon pour vivre ensemble, mais c'est ce qui convient bien à Justine et Tom. Toutes les catégories de perversion y sont listées. Justine crée un compte où elle se décrit physiquement, précisant aussi son âge et qu'elle est en couple. Ils choisissent de joindre une photo que Tom prend immédiatement. Sa nuisette totalement transparente sera du plus bel effet. Au grand regret de Justine, Tom cadre la photo sans le visage, pour des raisons de sécurité qu'elle finit par accepter. Lorsqu'il s'agit de préciser les perversions qu'elle apprécie, Justine hésite en balayant la longue liste. Se disant qu'elle n'a pas envie de passer la nuit à choisir, elle finit par tout cliquer d'un coup. On verra bien, se dit-elle.

C'est maintenant le moment de faire des recherches en choisissant d'abord une catégorie.

« Que choisis-tu? », questionne Tom.

Pendant tout le temps de création du compte, Tom avait caressé le clitoris et la chatte de Justine, qui est si excitée qu'elle répond :

« Je vais le faire au hasard. N'est-ce pas plus érotique comme ça? »

Alors, elle ferme les yeux, fait un balayage de la main et clique, puis ils s'aperçoivent que la souris a activé la catégorie 'double pénétration'.

« Là, tu as fait fort » , constate Tom.

« Je n'y peux rien, c'est le destin. »

Justine saisit un petit message assez banal ne disant que son intérêt pour une rencontre, sans plus de précision, puis ils passent d'abord un bon moment à regarder des vidéos où l'on voit une femme prise par deux hommes. Dans certaines, un homme force un gros godemichet dans le vagin de la femme et l'y laisse avant de la sodomiser. Dans d'autres, c'est dans le vagin de la femme que deux hommes pénètrent en même temps et Justine, qui ne croyait pas ça possible, en est toute émoustillée.

Au bout d'une heure, une alerte en surimpression apparaît.

« J'ai une réponse », s'écrit Justine, toute excitée, avant d'ouvrir un message très banal, d'un homme qui dit être intéressé.

Elle n'hésite pas à aller visiter le profil de l'homme. C'est un malais qui a immigré récemment en France et s'est installé dans leur département. Justine affiche la photo en portrait de l'homme, avant de dire à Tom :

« Tu vois, chéri, il n'a pas hésité à se montrer à visage découvert, lui ! Regarde ses yeux en amande, qui me font penser à ceux de certains serpents que mes parents étudiaient en Amazonie. C'est un signe, ça ! »

Tom, dont le métier de documentaliste reprend souvent le dessus, lui précise :

« On ne peut pas faire de généralité, je le sais bien, mais j'ai lu dans plusieurs documents anciens que les malais avaient souvent un comportement assez dur avec les femmes. Cette domination masculine devait être un peu dans leur culture. Peut-être n'est-ce plus le cas maintenant, mais méfie-toi tout de même. »

« Ce danger m'excite encore plus », lui répond Justine, qui retourne voir le message qu'elle a reçu et qui contient une pièce jointe.

A l'ouverture du document attaché, apparaît une image montrant un sexe en gros plan qui jouxte un double-décimètre.

« Oh, regarde, chéri, son sexe est tout fin comme le tien ! », s'étonne Justine.

Tom, encore une fois humilié, ne peut qu'acquiescer, avant que sa fiancée n'ajoute :

« Mais il est au moins deux fois plus long. »

En effet, ce sexe atteint la marque des 20 centimètres. Tom ne fait que confirmer d'un signe de tête. Puis, voyant qu'au bas du message apparaît un numéro de téléphone, elle appelle sans même avoir l'accord de Tom. La conversation est courte et rendez-vous est pris pour demain soir, au studio.

« Tu viens de lui donner rendez-vous ici ! », s'inquiète Tom.

« Ah, oui ! Je n'ai pas réfléchi, sur l'instant. Ce n'est pas grave. On ne connaît personne dans l'immeuble. Et puis ça nous évitera un déplacement. Je me sens bien ici. J'ai hâte d'être à demain pour te faire vraiment cocu, mon chéri. Ça m'excite ! Pas toi? »

Tom ne confirme que timidement. Il n'est pas convaincu.

« Allez, ne fais pas cette tête la, on va prendre beaucoup de plaisir demain », lui dit Justine qui ajoute :

« Tu es gentil d'avoir accepté sans faire d'histoire, alors je vais te remercier tout de suite. »

Justine prend en main la petite bite de Paul et l'amène à la jouissance par quelques mouvements rapides du poignet.

Le lendemain soir, juste après le dîner, Justine se prépare. Pour une fois, elle n'a pas hésité pour le choix de ses vêtements. Elle a remis la même tenue que lorsqu'elle avait été forcée par le clochard. Sans savoir pourquoi, il lui a paru évident qu'il fallait ainsi lier son premier cocufiage de Tom au viol qu'elle avait subi. Comme une sorte d'exorcisme, peut-être? Sans qu'elle en comprenne la logique, Justine sait vraiment que c'est ce qu'elle doit faire. La seule différence est que, sous son tee-shirt très décolleté et sa jupette très courte, il n'y a rien cette fois. Jules, qui ne l'a pas vue s'habiller ne sait pas qu'elle est nue sous ses vêtements, mais il vient cependant de reconnaître cette tenue qui était restée gravée dans sa mémoire. Justine ne sais pas si Tom partage son idée du lien avec cette précédente aventure traumatisante, mais elle a remarqué la petite bosse dure qui marque le pantalon de son fiancé.

Lorsque la sonnette retentit, Justine, toute excitée, se précipite pour ouvrir la porte. Quelle n'est pas sa surprise de voir que le visiteur qu'elle attendait est accompagné d'un autre homme, qui paraît comme son clone. Ils sont tous deux habillés de la même façon, tee-shirts et pantalons noirs.

« Bonsoir Justine. Je suis Badan et voici mon frère jumeau, Bahari. », dit le premier homme.

« Bonsoir. Mais que croyais que vous... que tu... serais seul ! », répond Justine, interloquée.

« C'est toi qui a choisi la catégorie 'double pénétration', non? »

« Oui, mais... », dit Justine à qui il ne vient n'a aucune explication à donner.

Elle les fait alors entrer et présente :

« Voici Tom, mon futur mari. »

« Et bien, Justine, tu n'as pas perdu de temps pour le faire cocu, dirait-on? », se moque Badan.

Ne répondent ni Justine, ni Tom, qui ne peut que rougir de honte.

Le studio composé d'une douche, d'une kitchenette et d'un séjour n'est pas bien grand. C'est dans la pièce principale que se trouve le lit au bord duquel Justine va s'asseoir. Elle fait signe aux deux malais de s'installer de chaque côté d'elle. Tom prend place dans le petit fauteuil en face d'eux, mais doit se relever bien vite quand Justine lui demande de préparer des boissons. Il sait bien que, ce soir, il est là uniquement pour servir sa fiancée et être le voyeur de son premier cocufiage volontaire.

Tout en buvant, Justine les questionne sur leurs pays. Ils répondent évasivement car ils ne sont pas venus pour ça. Les deux hommes sont plus intéressés par le décolleté plongeant de Justine, qui ne cache rien de ses seins, et par les cuisses découvertes qu'ils caressent tous deux en faisant remonter leur mains sous la jupette, jusqu'à ce que leurs doigts viennent fouiller en même temps un vagin détrempé. Tom ne perd rien du spectacle, qui devient encore plus intéressant lorsque les deux hommes se mettent nus devant sa fiancée. Les deux sexes longs et fins sont tendus comme des bambous. Les deux hommes sont debout face à Justine restée assise.

Badan se présente le premier et, sans le moindre préalable, pose son gland sur les lèvres de la femme qui est prête à s'offrir. Dès qu'elle ouvre la bouche, l'homme pousse son sexe en avant. Justine suce goulûment cette pine toute fine qui lui fait penser à un bâtonnet de sucre candi. Elle se délecte du liquide pré-séminal qui coule un peu sur sa langue. Ce n'est pas le même goût que Tom, mais elle aime assez.

Elle n'a pas le temps de s'en délecter que Badan lui maintient la tête fermement entre ses mains et enfonce son sexe sans ménagement. Le gland vient de pénétrer dans sa gorge. La finesse du membre fait que Justine ne s'est même pas étranglée. Pour une initiation à une 'gorge profonde', c'est dans la facilité, se dit-elle. Sa tranquillité ne dure qu'un instant car Badan vient de se lancer dans un coït buccal furieux, d'une incroyable rapidité, avec d'autant plus de force que, non seulement il pousse brutalement son ventre en avant, mais qu'il tire fortement la tête de Justine vers lui en même temps.

Justine se dit alors que les lectures de Tom étaient probablement conformes à la réalité. Elle s'en réjouit car être dominée ainsi, voire brutalisée, l'excite. Il lui vient à l'esprit que c'est son aventure avec le SDF qui doit l'avoir conditionnée. Subir est peut-être maintenant sa façon de prendre du plaisir, se dit-elle.

Lorsque Badan laisse exploser sa jouissance, Justine n'a même pas le temps d'avaler que Bahari a déjà repris la place. Il est aussi violent que son frère, voire plus, car c'est en la tenant par les cheveux qu'il l'entraîne à chaque mouvement à la rencontre de sa bite. Lorsque le sperme gicle dans la bouche de Justine, celle-ci se laisse tomber en arrière sur le lit, vaincue.

Dans son fauteuil, Tom s'est demandé s'il devait intervenir pour éviter que sa chérie subisse une telle brutalité, mais il n'en a rien fait. Était-ce couardise ou perversion? Il ne sait pas, mais la petite bite toute dure qu'il masturbe rapidement lui donne peu-être la réponse à cette question.

Le repos de Justine est de courte durée car les deux hommes récupèrent vite. Badan, se couche sur le dos, sur le lit. Son sexe de nouveau bien tendu pointe vers le plafond.

« Viens sur moi », commande-t-il à Justine.

Avant de le rejoindre, elle se met totalement nue, pour ainsi mieux profiter de la suite. Justine se place au-dessus de lui, se penche pour déposer un petit baiser sur les lèvres de Badan, puis se redresse. D'une main, elle positionne le gland entre ses lèvres intimes bien trempées, puis se laisse descendre. Elle veut ainsi que son fiancé puisse la voir s'empaler lentement sur ce pieu. Tom a les yeux rivés sur elle. Je suis vraiment cocu maintenant, se dit-il, alors que son sexe coule doucement sur son pantalon, sans véritable éjaculation, tant son plaisir est cérébral. Justine vibre d'excitation à la pensée d'avoir fait cocu son futur mari bien avant le mariage. Je suis vraiment une salope, se dit-elle, sans pour autant culpabiliser.

Justine sent bien le gland presser durement tout au fond d'elle. Ce membre est trop fin pour que les parois de son vagin soient vraiment ramonées dans ses mouvements, mais les coups qui frappent le col de son utérus lui apportent une autre forme de plaisir. Elle est toute à ces sensations nouvelles lorsqu'elle sent que Bahari la fait se pencher en avant et vient se placer derrière elle, au-dessus des jambes de son frère. Alors, elle sent un gland humide presser sur sa rosette. N'ayant jamais été sodomisée, Justine s'inquiète. Cependant, la finesse du sexe permet une pénétration sensible mais supportable. Elle y prend vite un plaisir nouveau. Elle a aussi la sensation excitante d'être remplie, complètement. Ce n'est pas tout à fait vrai, car sa bouche est libre. Tom a peut-être lu dans les pensées de sa fiancée, car il se met nu également, puis s'approche et lui donne sa petite bite à sucer.

Tout ce beau monde coïte en même temps, qui dans le vagin, qui dans l'anus, qui dans la bouche. Prise ainsi, Justine entre dans un orgasme violent qui, pour la première fois, va jusqu'à son terme. Elle en est heureuse, pensant que faire cocu son futur mari était peut-être la solution à son problème. L'entendre jouir ainsi a fait éjaculer en même temps les trois hommes.

Lorsque Badan et Bahari quittent le lit, Justine, assise au bord, pense qu'ils vont se rhabiller et partir, mais les deux hommes ne sont pas encore épuisés et ont d'autres idées. Badan lui présente son pénis ramolli et lui dit :

« Suce, ma belle. »

Justine s'exécute, non sans s'étonner du fort goût dans sa bouche ou se mêlent le sperme de l'homme et ses propres sécrétions féminines. Elle s'étonne encore plus de voir à quelle vitesse Badan retrouve de la vigueur.

C'est au tour de Bahari de se présenter face à elle en disant :

« Allez, suce, salope. »

Sachant d'où sort ce sexe tout mou, Justine hésite un instant puis embouche ce pénis répugnant. Je vais épouser la plus belle des salopes, se dit Tom, qui n'a rien raté de la scène.

Bahari retrouve la forme aussi vite que son frère. Cette fois, c'est Bahari qui se couche sur lit et appelle Justine qui vient s'empaler d'un coup sur le sexe tendu. Elle s'attend à ce que Badan vienne la sodomiser, mais le gland vient se frotter aux bord de ses lèvres vulvaires, touchant le sexe du frère. Puis, dans une brusque pénétration, le long membre vient se glisser le long du pénis déjà en elle. Justine ressent à la fois chaleur et pression dans son vagin, qui, malgré la finesse des deux sexes, est vraiment écarté. Les deux frères poussent leur pénis fortement pour éviter que l'un ou l'autre ne ressorte. Pour Justine, tout au fond, la pression est forte et la sensation curieuse. Les glands poussent de chaque côté du col de l'utérus qu'ils pincent entre eux. C'est tout nouveau pour Justine qui part dans un nouvel orgasme qui, cette fois, se bloque au beau milieu. Malgré le plaisir qu'elle vient d'avoir une seconde auparavant, Justine est déçue car elle croyait avoir définitivement réglé son problème. Tom s'en est aperçu également et cela l'attriste.

Cette fois, leurs visiteurs sont épuisés et prennent congé, non sans avoir demandé :

« Pourrons-nous te revoir, ma belle? »

« Évidemment, vous serez toujours bienvenus », répond-elle, ajoutant :

« N'est-ce pas, mon gentil cocu? »

Jules acquiesce avant de les saluer.

Après leur départ, Justine serre Tom contre elle, disant :

« Tu as visiblement aimé ça, mon cochon. Tu es vraiment cocu, maintenant. Et, puisque tu aimes ça, je ne vais pas me priver de recommencer. »

Puis, changeant de sujet, elle questionne :

« Avec ton PC portable, pourrais-tu facilement prendre des vidéos? »

« Bien sûr », répond Tom.

« Alors, la prochaine fois, tu vas installer ça et tout filmer. J'aurai plaisir à revoir les vidéos lorsque tu seras parti travailler et que je n'aurai que ma main pour me satisfaire, mais je suis certaine que tu aimeras aussi les revoir pour accompagner les branlettes de ton petit zizi. »

Dans les deux mois qui suivent les deux frères malais sont revenus quatre fois et Tom a pu tout filmer. Le scénario a été à peu près le même, mais les relations ont été de plus en plus intenses. Justine a été plus que malmenée. Plusieurs fois, pendant que Justine montait et descendait sur le sexe de l'un d'eux, couché sur le dos sur le lit, l'autre avait pris plaisir à lui claquer les seins, les faisant durement ballotter de part et d'autre. Tom, une fois encore, n'avait pas osé intervenir. La quatrième fois, après leur départ, les seins et les fesses de Justine était franchement marqués de rouge. Même son anus était endolori, car les deux hommes avaient fini par la sodomiser à deux en même temps, ce qui avait été pour Justine à la limite du supportable. Quand Tom avait voulu apaiser le feu sur les seins de sa fiancée par une caresse d'une infinie douceur, Justine avait sursauté, ne supportant plus le moindre contact, même effleurant. Ils avaient alors décidé, d'un commun accord, de ne pas donner suite.

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