Couple Pervers 01 (Forcée)

Tom se rend vite compte que les cris de Justine semblent maintenant plus de plaisir que de douleur. Ses bras ne sont plus le long du corps mais sur le dos de l'homme qui la besogne. Ses cris, de plus en plus rapprochés, s'enchaînent maintenant et se prolongent. Il lui semble même que Justine pousse son ventre à la rencontre de l'homme. Prend-elle vraiment du plaisir? Est-ce possible? C'est à cet instant que Jules sent son sexe se durcir à en faire mal. Il en a honte mais ne peut rien y faire. Voir son amie ainsi l'excite au plus haut point. Son esprit vient de basculer vers la luxure. Si elle prend du plaisir, pourquoi l'en empêcher. C'est décidé : il ne va pas intervenir. Alors il va se contenter de la regarder. Il va être le voyeur qui se masturbe.

Justine est de plus en plus excitée et son plaisir monte, monte, comme jamais elle ne l'avait senti. Tournant un peu la tête, elle voit que Tom la regarde avec envie et surtout qu'il se branle. Elle sait qu'il n'interviendra pas et elle n'en a d'ailleurs aucune envie. Tout à coup, elle sent le clochard se raidir et son gland se plaquer tout au fond de son vagin. Ses lectures lui reviennent : c'est maintenant qu'il va jouir ! Alors Justine se laisse emporter par un orgasme inconnu jusqu'ici, tout en offrant même ses lèvres à la bouche malodorante de l'homme qui l'a amenée là.

En plein milieu de cet orgasme qui monte encore, Justine se bloque, abandonnant instantanément ses soubresauts enivrants. Elle n'aurait jamais du jouir. Elle a honte, tellement honte ! Comment a-t-elle pu se laisser aller ainsi? Elle est à la fois si honteuse de son comportement devant Tom et si frustrée par cet orgasme initiatique interrompu, qu'elle se met à pleure à chaudes larmes. Elle est inconsolable.

Son assaillant, satisfait, s'éloigne. Tom se rajuste sans effacer la coulée de sperme qui orne la jambe de son pantalon. Il aide Justine à se relever, l'entoure de ses bras et la conduit vers l'ascenseur pour l'emmener dans son studio. Seule une petite culotte noire oubliée sur le matelas du débarras témoigne de ce qui s'est passé ici.

Arrivés au studio, Justine et Tom retrouvent le calme qui convient. Lucas n'est plus là et devrait être absent une grande partie de la nuit.

Justine pleure encore pendant un bon moment, puis retrouve un peu de sérénité. Elle s'inquiète de l'image qu'elle a donné à Tom.

« J'ai honte, tu sais. Je n'ai rien pu faire », lui dit-elle.

« Je n'ai rien pu faire non plus pour t'aider. J'étais un peu KO et je ne faisais pas non plus le poids », lui répond Tom.

Cet échange ne les satisfait pas. Ils sentent tous deux qu'ils doivent aller au bout de leurs pensées, de leur sentiments, ne rien se cacher. Il ne doit pas y avoir la moindre ombre entre eux, après une situation si difficile. Tout en entrecoupant leurs paroles par de doux baisers, ils doivent aller au bout des échanges :

« Ma virginité aurait due être un cadeau pour toi. »

« Je sais, mais tu as été forcée. Tu ne pouvais rien y faire et moi non plus. »

« Cela a été dur au début, mais j'y ai vite pris du plaisir, à un niveau que je n'avais jamais connu. J'ai vraiment honte de m'être laissée aller ainsi... mai j'ai vu que tu te branlais en me regardant, mon cochon ! »

« Je sais. Tu étais si excitante. Je ne pouvais rien y faire. C'était comme si mon sexe ne m'appartenait pas. »

« Tu n'étais pas jaloux de me voir prise par un autre homme? »

« Un peu, mais j'avais vraiment envie de te voir jouir. »

« Quand ma jouissance a monté, j'ai été heureuse de voir que ça t'excitait. J'ai eu l'impression d'être pardonnée. Mais j'ai honte d'avoir accepté que cet homme dégoûtant m'embrasse. J'ai encore son sale goût sur les lèvres. »

A cet instant, Paul embrasse fiévreusement Justine sur la bouche, dans une baiser profond. Elle n'en revient pas, mais Tom confirme :

« Tu vois bien que ça ne me gêne pas. Tout ce qui vient de toi est adorable. »

Puis ils reprennent leurs échanges :

« Tu as vu que je m'étais bloquée au milieu de l'orgasme. Je ne pouvais pas continuer. J'avais tellement honte de m'être laissée aller comme ça, devant toi. Je sais que je vais y repenser à chaque fois que j'aurai une jouissance. Je suis certaine que je vais me bloquer à chaque fois maintenant. Je vais être si frustrée. Ce sera ma punition. »

« Non, je vais t'aider à surmonter ça. Nous en reparlerons souvent. J'ai lu que, lors d'un viol, parce que c'est ce que tu viens de subir, il faut revoir la scène différemment, positivement. Je sais que ce sera très difficile, mais je vais t'aider. »

« Merci, Tom. Tu es vraiment merveilleux. Il y a certainement très peu d'hommes comme toi. Je suis en train de me dire que j'aimerais passer ma vie avec toi. J'en suis même convaincue maintenant. »

« Rien ne me ferait plus plaisir, Justine. Sans hésiter, je vais tout faire pour que nous soyons bientôt mariés. Qu'en dis-tu? »

« Oui, oui, oui, tu seras mon mari adoré. »

Après un instant d'hésitation, Tom relance leur conversation :

« J'ai toutefois une crainte... »

« Dis-moi. »

« J'ai vu le sexe de l'homme qui t'as déflorée... enfin... sa taille... et... »

« Et tu te demandes si ton sexe me conviendra. Bien sûr, même s'il est beaucoup plus petit. »

« Je suppose qu'un gros sexe te donnerait beaucoup plus de plaisir... »

« Évidemment, mais il n'y a pas que ça dans la vie d'un couple. Et puis, j'ai vu que tu n'étais pas très jaloux et que tu aimais même me regarder avec un autre... alors? »

« Oui, c'est vrai. J'aimerai même être celui qui te fait découvrir de nouveaux plaisirs. »

« Peut-être, mais comment sauras-tu ce qui me convient? »

« Je m'en rendrai compte et j'aurai toujours la possibilité de te questionner. Aujourd'hui, je n'aurais jamais pensé que tu puisses prendre du plaisir dans ces circonstances. »

« Je comprend que ça puisse te surprendre, mais je me suis rendue compte que le fait que cela soit dégoûtant m'excitait particulièrement. Je ne sais pas pourquoi et j'en ai un peu honte, mais c'est comme ça. Tu pourras bien sûr me demander, mais j'aimerais aussi que tu me surprennes. Tu vois, c'est compliqué, une femme. »

« C'est vrai, mais je sens que je vais bien en profiter, ma chérie. »

Tous deux se sentent vraiment en phase. Leur accord ne peut pas être plus parfait. Cependant une question perturbe Tom :

« Cet homme a joui en toi, Justine. N'y a-t-il pas un risque? »

« Évidemment ! J'étais dans ma période la plus dangereuse. J'espère qu'il ne se passera rien. J'ai lu que c'était souvent le cas la première fois, mais ce n'est pas certain. Si il y avait des conséquences, les accepteras-tu? »

« C'est certain. J'accepte tout ce qui vient de toi, tu le sais. »

« Il faut que je me confesse à toi, même si j'ai honte de ces pensées, mais, lorsque le clochard a éjaculé en moi, tout au fond, j'ai ressenti une excitation encore plus forte en pensant qu'il pouvait me mettre enceinte. Tu te rends compte? »

« Je peux le comprendre, car j'ai eu le même sensation en te regardant à ce moment là. Ce n'est pas une raison pour ne pas prendre de précaution. Tu aurais déjà dû faire tout de suite une toilette intime, bien avant cette conversation. »

« Je le sais, mais il n'est peut-être pas trop tard. Comme tu m'as dit que tu pouvais tout faire pour moi, pourquoi ne te chargerais-tu pas de cette toilette... avec ta langue, évidemment. »

Tom se met tout de suite à la tâche, léchant la chatte de Justine bien en profondeur. Il va même jusqu'à aller chercher avec ses doigts le sperme qui est encore tout au fond , avant de l'aspirer dans sa bouche. Tom se demande même, lorsque son index replié vient racler le col de l'utérus, si son action ne pourrait pas avoir l'effet inverse, poussant en fait un peu de semence du clochard à l'intérieur du col.

Lorsqu'il a terminé, Justine le quitte, après un long baiser langoureux. Sur le pas de la porte, elle lui dit :

« Mon chéri. Tu n'as pas pu me pénétrer aujourd'hui, comme je le voulais. Ce n'est que partie remise, mais je me demande si il ne serait pas bien d'attendre notre nuit de noce. Ce serait si symbolique à ce moment ! Qu'en penses-tu? »

Bien qu'un peu frustré, Tom ne peux que la comprendre et accepter.

Pendant les deux semaines qui suivent, ils s'occupent de la préparation du mariage. Ce n'est pas réellement compliqué car leurs amis sont peu nombreux et le nombre d'invités sera très réduit. Lucas sera le témoin de Tom. Justine, qui ne connaît personne, cherche à se faire une copine au plus vite pour qu'elle puisse avoir le même rôle. En dehors des parents, il n'y aura pas grand monde, mais ce n'est pas ce qui compte pour eux deux. Jamais ils n'auraient voulu attendre plus longtemps pour avoir une grande fête de mariage.

Pendant cette période, Justine aurait dû avoir ses règles. Lors du premier jour de retard, elle s'est sentie angoissée, mais aussi curieusement excitée à l'idée de s'être faite engrosser. Justine s'est dit alors qu'elle était vraiment bizarre de ressentir cette excitation alors qu'elle aurait dû n'être qu'apeurée. Au deuxième jour de retard, cette impression a été encore exacerbée. Au troisième jour de retard, son excitation a été telle que l'angoisse avait quasiment disparu. Lorsque ses règles sont revenues après quatre jours, Justine ne s'est même pas sentie soulagée mais au contraire frustrée, presque déprimée.

Son comportement lui a paru tellement inconcevable qu'elle est allée voir Tom pour lui en parler. Ce sujet l'excitait tellement qu'elle s'est présentée nue sous sa robe pour qu'il puisse la caresser tout de suite. Elle a sorti la petite bite de Tom de son pantalon et s'est mise à branler. Elle lui a alors raconté ce qu'elle avait ressenti, chaque jour. En fur et à mesure du récit, ils étaient tous deux de plus en plus excités. Lorsqu'elle lui a parlé de sa réaction de déception au retour de ses règles, un grand jet de sperme lui a englué les doigts, lui faisant dire :

« Je ne sais toujours pas ce qui se passe dans ma tête, mais je vois que nous sommes parfaitement assortis. »

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... à suivre ...