Contrainte 08 - La Piscine

BÊTA PUBLIQUE

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Elle se sentait à la fois horrifiée et troublée. Les sexes qu'elle étreignait étaient chauds, brulants, vivants. Elle avait l'impression que ses tétons gonflaient et grandissaient encore plus que de coutume. Déjà pourtant, ils étaient imposants car son mari lui posait des pinces quasiment tous les jours pour les étirer sans cesse.

Elle ne sentit pas le troisième larron s'occuper des nœuds du slip de bain. Pourtant, au moment de se vêtir, elle avait pris la précaution de doubler les nœuds de droite et gauche de la lanière de la culotte. Même si celle-ci était fragile, elle réduisait ainsi le risque d'un dénouement impromptu. Mais patiemment, le garçon ôta les doubles nœuds de chaque côté. Il avait son idée en tête.

Elle ouvrit les yeux et constata que deux hommes s'étaient ajoutés aux quatre précédents. Ils formaient une sorte de barrière qui isolait le groupe du reste de la piscine. Ils se masturbaient. Le maître-nageur renvoya quelques enfants vers le petit bassin à grands coups de sifflet. Soudain, un plus grand frémissement dans sa main droite annonça une éruption. Elle vit un jet partir droit devant, puis un autre, puis encore. Sa main gauche ne tarda pas à produire le même effet. Le deuxième garçon s'épancha à son tour mais aussi un des types debout et c'est sur le visage qu'elle en reçu la semence blanche.

Furieuse, écœurée, elle se dégagea des mains de Grégoire qui en plus lui faisait très mal aux seins à force de tirer et rouler les tétons. Elle remit son soutien-gorge au mieux possible, écarta d'un coup de pied l'adolescent juste devant, descendit la marche et partit se laisser glisser dans l'eau. Elle voulait nettoyer cette glu qui lui collait à la peau. " Ordure de Grégoire, pensa-t-elle, il ne m'a même pas défendue! Il s'est prit un coup de poing... Bien fait pour lui ".

Ce qu'elle ne vit pas c'est qu'il se reprit un troisième coup de poing sur le visage. Il s'était approché des trois jeunes qui parlotaient en pensant profiter de leur combine mais ils n'avaient pas apprécié. Surtout Alex, le plus robuste, celui qui avait dénoué le slip de bain. Alors, Grégoire, enragé mais piteux, quitta les lieux en préparant sa vengeance. Elle allait payer pour les coups reçus.

Alex donna ses consignes.

* Bon, les gars, il ne faut pas la laisser filer vers le petit bain. On va la ramener ici. Toi, tu nages à sa droite, toi à sa gauche et moi derrière. Dès qu'elle arrive au bord, on la fait remonter.

Elle les vit s'approcher alors qu'elle était déjà parvenue, 25 mètres plus loin, à la séparation des deux bains. Etre proche des familles la rassurait. Ils n'oseraient pas venir la chercher là. Mais c'était compter sans leur maigre sens social! Trois plongeons l'affolèrent, des silhouettes sinueuses sous l'eau s'approchèrent, une main saisit un pied tandis qu'une autre empoignait sa vulve poilue. Elle se lança en un crawl effréné pour leur échapper et ce faisant, repartit d'où elle était venue. Arrivée au bout des 25 mètres, libre d'entraves, elle s'accrocha au bord, se tendit sur les bras pour poser un genou au sol. Deux hommes hors de l'eau devant elle l'aidèrent à sortir du bassin. Elle allait les remercier quand elle vit à leur rire carnassier que l'aide n'était pas gratuite. Elle n'avait pas pris garde à Alex, arrivé derrière elle, qui acheva de dénouer le slip. Quand les deux hommes la firent avancer de quelques pas vers l'estrade, la culotte tomba au sol. Elle se débattit :

* NON... pas ça... pas ici... des enfants... lâchez-moi... ma culotte!

Elle fut posée, les genoux sur une marche, les coudes sur la marche du dessus, le visage sur le sexe érigé d'Alex. Elle l'engloutit, faute de pouvoir faire autrement. Il était gros comme rarement elle en avait sucé. Des mains excitaient à nouveau ses tétons, d'autres lui chauffaient la vulve et le clitoris. Elle ne pouvait pas se défendre, ni se défendre du plaisir.

Entourée des trois adolescents et des deux autres, elle ne vit pas que le maître-nageur faisait évacuer la piscine arguant de l'heure de la pose. Il pressa le mouvement au point qu'une dame s'en plaignit. Puis, il dit à la caissière et à la stagiaire préposée au vestiaire qu'elles pouvaient partir, il fermerait les portes. Il n'attendit même pas qu'elles aient quitté les lieux pour courir au grand bassin.

Il croisa les trois jeunes :

* Elle est à toi maintenant maître-nageur, déclara Alex. Tu peux te la faire. Nous, on se casse. Salut.

Il la vit à genoux, une bite dans la bouche et une autre bite dans la main. Elle alternait bouche et main pour le plaisir bruyant des deux types qui lui donnaient des claques pour signifier l'obligation de changer. Il s'approcha derrière elle, nota qu'elle n'avait plus de culotte, ni même de soutien-gorge, se mit à genoux à son tour. Son pouce força l'anus. Elle en gémit, voulut esquiver. Mais il posa son membre à l'entrée anale et se mit à pousser, lentement mais sûrement. La douleur crispa main et mâchoire de la victime, ce qui déclencha l'éjaculation des deux queues. Alors, elle eut encore, en elle et sur elle, le goût et l'odeur tellement caractéristiques du sperme. Satisfaits, les deux partirent sans un mot pendant que l'enculeur poursuivait son œuvre, lente, douloureuse, irrémédiable. Elle avait l'impression d'être ouverte en deux, pénétrée d'un brûlot inquisitoire. Arrivé au bout, il revint lentement en arrière, puis repartit en avant et continua ainsi en accélérant. Il finit par se vider dans les entrailles et s'affala sur le dos de la fille.

Il eut besoin de quelques secondes pour s'en remettre puis retira son membre mou en arrachant un dernier cri à Françoise.

* Debout salope, tu te casses maintenant.

* Oui... mais... mais... où est mon maillot de bain? Rendez-le-moi...

* Je ne l'ai pas ton putain de maillot... Y en a un qui a dû le garder en souvenir... Où bien il est au vestiaire... Viens, je vais te donner tes affaires, suis-moi.

Bien qu'il n'y eût plus personne, elle ne put s'empêcher de se couvrir la poitrine d'un bras et le sexe d'une main en suivant le maître-nageur. Il lui prit le bracelet pour connaître le numéro du vestiaire et l'invita à passer en cabine. Au vestiaire, il ne trouva rien d'autre qu'un jeu de clés de voiture et un bout de papier griffonné. Il les remit à Françoise qui prit connaissance du mot laissé par Grégoire. Il l'insultait encore et lui annonçait qu'il avait récupéré l'imper. Il finissait en lui souhaitant un bon retour. Elle allait devoir repartir nue chez elle.

* Alors!! Ce sont tes clés?... Dégage maintenant, lança le maître-nageur en s'énervant car il ne voulait pas être surpris dans cette situation. Je vais te faire passer derrière, il ne faudrait pas qu'on te voit sortir d'ici. Dépêche-toi.

Elle le suivit en passant quelques pièces vides, il ouvrit une porte métallique, jeta un œil dehors et sans ménagement, la fit sortir. Elle fut éblouie par le soleil. Personne autour. Elle devait contourner le bâtiment car sa voiture était garée devant la piscine. Elle courut jusqu'au coin, puis jusqu'au suivant. Alors qu'elle avait sa voiture en vue, seule au milieu du parking, elle vit Grégoire caméra au poing. Elle l'injuria de tous les noms et fila à sa voiture car il n'y avait personne d'autre. Elle devait profiter de l'occasion.

Il n'arrêta sa caméra que lorsque la voiture de Françoise eut disparu du paysage. Il avait retrouvé une belle érection et se promettait de la calmer en visionnant le film.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Super excitant

Très bien écrit, excitant et sensuel.

J’adore. Cela m’a rappelé bien des choses ..

trouchardtrouchardil y a plus de 5 ans

Encore une bonne aventure. Merci :)

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