Contrainte 08 - La Piscine

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Les contraintes quotidiennes de la soumise.
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La piscine

Après l'événement de la terrasse (Cf. Contraintes - la terrasse), Grégoire resta complètement fasciné par ce qu'il avait vécu avec Françoise, son ancienne collègue. Jamais il n'avait imaginé qu'elle put être aussi obéissante, aussi soumise. Bien sûr, il avait connaissance des pratiques SM, internet oblige, mais il n'imaginait pas vraiment que la réalité s'en approchât autant.

Pour la première fois de sa vie, il avait osé donner des ordres et, à sa grande surprise, ils avaient été suivis d'effets. Tous les soirs, il se masturbait en repensant à la terreur et à la honte de la fille ; il revoyait le fessier bien serré qu'il avait pénétré sans qu'elle se rebiffât ; et puis encore sa course éperdue dans la rue, quasiment nue, pour repartir chez elle.

La semence lui emplissait la main en quelques minutes.

Après une dizaine de jours d'intense masturbation, il n'en pouvait plus de ne pas la revoir. Il était en permanence en état d'érection, en état d'imagination. Son travail l'ennuyait, ses amis l'ennuyaient, sa vie elle-même l'ennuyait. Il fallait qu'il agisse.

Il prit le temps de chercher comment faire pour fixer un rendez-vous à Françoise. Lui téléphoner n'était pas si facile car il restait encore bien timide et il avait peur de bafouiller, de manquer d'autorité. Envoyer un SMS comme l'avait fait le nommé FRANCIS, était plus facile mais son mari pouvait l'intercepter et comme il n'en connaissait pas les desseins, ce pouvait être dangereux.

Il se décida pour le mail car lors de la séance au café, il avait eu le temps de relever l'adresse email de Françoise. Il peaufina son plan.

Il était 10h lorsque Françoise, encore à moitié réveillée, consulta sa boite de messages. Elle avait raconté à son mari ses misères à la terrasse du café ; il avait été mécontent de sa désobéissance puis satisfait de la punition infligée par FRANCIS. Son maître de mari était sans pitié pour ses devoirs, sans pitié pour ses faiblesses. Les jours suivants s'étaient écoulés calmement, sans qu'elle ait à vivre quelque soumission marquante.

Elle fut surprise, presque choquée, à la lecture du mail dont les propos étaient pour le moins vulgaires et agressifs.

Salut Pute de service! Alors, tu t'es bien faite défoncée au bistrot? Ca t'a plu de te promener à poils? A qui montres-tu ton cul aujourd'hui? A personne? Ca ne peut pas aller ça! Réponds-moi tout de suite par mail, j'attends.

Elle se demanda qui pouvait bien lui envoyer ce message. Une des quatre personnes qui l'avaient prise la semaine précédente? Ou FRANCIS mis au courant de ses déboires? Où même son maître toujours prompt à la tester? Que devait-elle répondre? Comment tenter d'échapper à une situation qui ne présageait rien de bon? Le mail venait d'être envoyé depuis 15 minutes. Elle répondit et attendit la suite le cœur battant.

Bonjour, qui êtes-vous? Que voulez-vous?

Grégoire hurla de joie lorsqu'il entendit le beep caractéristique de l'ordinateur pour les mails entrants. Il ne douta pas un instant que c'était Françoise qui répondait. Il constata immédiatement qu'elle ne savait pas qui était l'émetteur. Il fallait qu'il en profite.

Depuis quand tu ne réponds plus aux questions que l'on te pose, sale pute! Tu veux que j'en parle à ton maître? Gare à ton cul!

Lorsqu'elle lut la réponse, elle comprit qu'elle ne pourrait pas échapper aux règles vicieuses qu'elle avait hélas acceptées : " Obéir, à toute personne, en tout lieu, à toute heure ". On lui avait posé des questions, elle devait répondre sinon ce serait une faute. Et, si en plus le message était envoyé par Francis qu'elle avait tenté de tromper la semaine précédente, alors elle subirait une terrible punition à coup sûr.

Oui, monsieur, je me suis fait défoncer au café. Je n'aime pas me promener nue. Je ne me montre pas aujourd'hui.

Grégoire comprit qu'il pouvait maintenant appliquer son plan et même un peu plus en profitant de la tentative d'évitement de la fille.

Te voilà plus raisonnable! Toutes les mêmes, faut les bousculer un peu pour qu'elles cèdent. Viens me rejoindre devant la piscine, tout de suite. Et comme tu as tardé à répondre correctement, tu es punie, salope! Alors, tu viens en imperméable et chaussures! Rien d'autre! J'attends, tu as 15 minutes.

Il bandait déjà comme un âne lorsqu'il cliqua sur le bouton ENTER pour envoyer son ordre. Il se pressa à sa voiture pour aller à la piscine ; il ne lui faudrait guère plus de 5 minutes. Il n'oublia pas son petit paquet. Il avait déjà pensé à son baratin pour le moment où elle le reconnaitra.

Il la vit arriver très vite, moins du quart d'heure alloué. Il resta caché tandis qu'elle descendait de voiture. Elle avait bien mis un imperméable beige, relativement court et des mules blanches à talon. Sa longue chevelure brune s'étalait élégamment sur les épaules. Il est fort probable qu'elle avait obéi pour le reste : nue sous le vêtement. Il s'approcha.

* Bonjour Françoise

* TOI! Grégoire! C'est toi qui m'as fait venir ici? Mais...

* Tais-toi petite pute! Ton cher ami Francis m'a donné tous droits sur toi. Il en avait plein le cul de te voir désobéir sans arrêt et il a voulu te punir. Alors pour le moment, tu es entre mes mains et je ne veux plus t'entendre râler! Tu as compris?

* Eh... oui, répondit-elle, inquiète car le garçon était bien moins timide que lorsqu'elle travaillait avec lui.

L'imperméable trench avait la forme trapézoïdale caractéristique qui s'évasait à partir de la ceinture. Sans demander l'autorisation, il dénoua cette ceinture. Deux boutons tenaient l'imper encore fermé. Il les ouvrit et écarta largement les pans, là juste devant la piscine. Elle jeta un œil autour pour constater que personne ne les regardait. Il admira la touffe noire de l'entrejambe et se dit qu'elle allait faire un carton avec ce qu'il avait préparé.

* Suis-moi, dit-il en partant vers l'entrée de la piscine.

* Mais, Grégoire, je n'ai pas de maillot... je ne savais pas... je...

* TA GUEULE, lui dit-il devant la caissière surprise.

Il paya les deux entrées.

* Les gonzesses, c'est là-bas à droite. Tiens voici ton maillot. On se retrouve à l'intérieur.

Il s'en alla vers la gauche en lui laissant un sachet en plastique. Le fait qu'il ait choisi lui-même le maillot ne présageait rien de bon. Aussitôt dans l'allée des cabines, elle ouvrit le petit sac pour y voir un vêtement blanc. Elle entra dans la première cabine, ôta son imper et ses chaussures. Le maillot de bain était en deux pièces. Le haut, fait de deux triangles se nouait autour du cou et dans le dos. Le slip se nouait de chaque côté. Mais surtout les deux pièces étaient sans armature et sans doublure. Elle comprit immédiatement ce que l'eau produirait comme effet sur le mince tissu blanc. Elle chercha l'étiquette avec empressement et constata ce qu'elle craignait aussi : taille 34! Il avait choisi un maillot de bain pour gamine de 14 ans alors qu'elle portait des tailles 38 / 40, voire 42 selon certains vêtements pour recevoir sa poitrine et son fessier.

Elle mit d'abord le haut. Les triangles de tissu étaient trop petits pour ses seins. Ils ne pouvaient pas les prendre complètement par dessous et par conséquence glissait jusqu'aux tétons. Elle essaya de les maintenir sous les lobes de chair en nouant le soutien-gorge bas dans le dos, mais l'équilibre était précaire! Elle eut le même problème avec la culotte pas assez large et qui avait tendance à glisser sur les fesses pour se ficher au centre. Et puis surtout, le devant l'effara. Le petit triangle n'arrivait pas à couvrir la toison noire, aux poils qui gonflaient bizarrement le peu de tissu blanc et pire encore, débordaient des côtés. Elle maudit son mari qui la tenait à cette interdiction de rasage pubien. Elle ne prit son courage que d'une main car l'autre vint cacher son gazon. Elle quitta la cabine.

Quand Grégoire aperçut Françoise, il dut immédiatement s'assoir sur les marches de l'estrade pour cacher son sexe qui avait pris une formidable érection et failli jaillir hors du slip de bain.

Il s'était placé au bout du bassin de 25 mètres longé de chaque côté par des gradins de quatre marches. L'entrée étant au début des bassins, elle devait avancer sur plus de 30 mètres.

Bien qu'elle marchât lentement, les gros seins non maintenus balançaient de-ci de-là et semblaient tenter de s'échapper des deux bandes étroites de tissu que les tétons imprimaient très nettement. Il nota que la main droite servait de cache-sexe et en éprouva une terrible colère qu'elle eut à affronter dès qu'elle arriva devant lui.

* Espèce de garce, de pute finie! De quel droit tu fous ta main sur ta chatte? Tu te branles? Salope! C'est comme ça que Francis t'a appris à obéir?

* Pardon, Grégoire. Excuse-moi. Mais ici, tu sais, c'est public... je... je ne peux pas...

* TA GUEULE, dit-il pour la seconde fois. Tu vas en chier avec moi, tu vas savoir ce qu'est un vrai maître! Pas comme ta lopette de mari ou ce connard de Francis. Tu retournes à l'entrée et tu reviens ici mais cette fois, tu te fous les mains sur la tête. Allez, dégage avant que je te mette à poils ici et tout de suite!

Grégoire prenait de l'assurance comme jamais il n'avait osé dans sa vie. Il était ivre, non d'alcool mais de pouvoir. Il la vit pâlir, rougir, presque trembler. Il n'en banda que plus encore jusqu'au bord de l'explosion. Tandis qu'elle marchait vers l'entrée en lui tournant le dos, il admira le postérieur rendu encore plus imposant pas l'étroite bande de tissus qui était sensée le cacher. Comme la poitrine, il balançait de-ci de-là. Elle avait mis les mains sur la tête ce qui, en ce lieu, était parfaitement incongru. Lorsqu'elle revint vers lui, Grégoire comprit pourquoi elle s'était caché l'entre-jambe. Alors même que l'eau n'avait pas encore accompli son office, il était évident qu'elle avait une touffe noire incroyablement fournie.

Deux gamins qui discutaient au bord du grand bassin ne la lâchèrent plus du regard ainsi que le maître nageur de l'autre côté du bain. Il y avait aussi un petit groupe d'enfants installés dans le petit bassin, surveillés par deux femmes, heureusement éloignés de l'objet du désir.

Grégoire n'en pouvait plus d'attendre! Il ordonna à la fille de s'assoir à sa gauche et lui fit baisser les bras. De la sorte, lui n'était pas trop visible par l'assistance, elle constituait un rempart visuel. De son bras gauche, il entoura les épaules de Françoise ; de sa main droite, Il fit surgir son long sexe hors du slip. Puis il la pencha jusqu'à ce que la bouche vienne s'empaler sur l'objet déjà gluant. Il la tint fermement en position. Elle n'eut rien d'autre à faire que d'avaler le foutre qui gicla immédiatement tant il avait attendu. Il fut abondant. La bouche pleine, elle déglutit avec difficultés et écœurement.

Grégoire la releva sans attendre. Il voulait bien humilier sa victime, lui faire prendre des risques mais il ne voulait pas en prendre pour lui! Aussi, reprirent-ils des positions quasi normales, assis côte à côté sur les marches froides de l'estrade parallèle aux bassins. Il appuya ses coudes sur la marche supérieure derrière lui et tout satisfait de son plaisir regarda enfin autour de lui. Il commençait à y avoir du monde, peut-être une dizaine de nageurs, outre les enfants et adultes du petit bassin. Trois adolescents discutaient à quelques pas d'eux. Et toujours les deux gamins dans l'eau juste devant. Il se dit qu'ils avaient du comprendre ce qui venait de se passer. Son plaisir de puissance reprit le devant :

* T'es une sacrée suceuse ma Françoise! Putain, ça fait du bien! T'aime ça hein? Sucer à fond... Avaler... Mets tes coudes comme les miens derrière toi! Ouais... Tes nichons sont encore plus gros comme ça! Ecarte tes cuisses.... Encore... T'as une sacrée foufoune! Tu ne te rases jamais? Ca fait crade mais en même temps, c'est bandant. Tu vois les trois glandus devant? Tu les vois?... Et bien, ils te matent à mort! Suis certain qu'ils bandent comme des bêtes.

En parlant, il s'excitait, relançait sa propre mécanique. Il sentait son slip se tendre sous l'effet croissant de sa bite. Elle n'osait pas regarder les voyeurs et gardait la tête basse, très inquiète de ce qui pourrait arriver maintenant. Son ancien collègue n'était plus le même. De timide et précautionneux, il était devenu imbu, vulgaire, sadique.

* Regarde, je bande à nouveau! Tu voudrais bien me la sucer encore hein? Te la foutre au fond de ta gorge! Et bien non! N'espère pas, salope. N'espère pas m'épuiser tout de suite! Ce sera quand je voudrai. Avant tu vas apprendre à obéir... Pisse là sur place, tout de suite!

Elle allait contester mais se ravisa aussitôt. A coup sûr, il en profiterait pour augmenter la peine. Elle leva rapidement les yeux et vit trois types tournés vers eux. Elle laissa couler quelques gouttes du liquide d'or.

Si au début ils avaient regardé avec discrétion, maintenant ils ne s'en cachaient guère. Le plus âgé des trois fit remarquer à ses copains la boule noire sous le tissu blanc du slip.

* Elle est vachement fournie la garce! Elle écarte ses cuisses comme une salope, elle nous provoque... putain, les poils dépassent sur les côtés... J'bande! Vous avez vu?... Eh, les mecs... Regardez bien... sa culotte gonfle... elle pisse... Ouais ça dégouline... Le slip est transparent... Putain de merde!

* C'est son copain qui lui dit de faire... vous avez vu, il fait semblant de rien mais il lui donne des ordres... il n'en rate pas une miette l'enfoiré!

Quand elle eut fini de s'épancher, Grégoire l'envoya à l'eau.

* Va rincer ta chatte ma salope... Reviens-moi fraiche pour que je te baise à nouveau. C'est bizarre mais j'ai comme l'impression que ton maillot est un peu léger, finit-il en éclatant de rire.

Elle se pressa à l'eau, tant pour échapper à Grégoire qu'aux trois voyeurs. Elle ne plongea pas directement de peur que son maillot ne tienne pas, elle s'assit au bord avant de se laisser glisser.

Ils devaient avoir entre 16 et 18 ans, bien bâtis, en pleine force de la jeunesse. Ils plongèrent immédiatement pour voir l'effet de l'eau sur le maillot blanc. Ils ne furent pas déçus.

Elle ne les avait pas vus plonger aussi fut-elle très surprise de sentir une main sur ses fesses et une autre sur un sein. Elle poussa un cri de surprise dans le dôme résonnant ce qui attira l'attention de quelques personnes autour. Elle repoussa une main et ce faisant, faillit boire une tasse mais elle fut complètement affolée lorsqu'elle sentit une autre main accrocher la ficelle du slip. Si la pression devenait trop forte, à coup sûr, le slip serait arraché! Elle se débattit, donna quelques coups de pieds et la main se retira. Paniquée à l'idée de se trouver sans culotte dans cette piscine, elle rejoignit le bord le plus proche et se sortit de l'eau immédiatement.

Elle vit alors trois têtes émerger avec des larges sourires. Elle ne devait pas trainer là près de ces types aussi se leva-t-elle pour rejoindre Grégoire. Mais elle n'avait pas remarqué qu'elle se trouvait maintenant de l'autre côté du bassin, il fallait qu'elle en fasse le tour.

Elle s'arma de courage pour oser se montrer quasiment nue à tous les nageurs du coin. Le maillot de bain blanc était devenu complètement transparent et collant. L'entrejambe avait pris une couleur grise et nombre de poils noirs dépassaient. La légère toile derrière se fondait avec la peau. En haut, les tétons dardaient d'autant plus que le froid avait eu un effet immédiat. Elle était parfaitement scandaleuse dans cette tenue, un nu intégral eût été moins violent. Elle descendit au mieux les triangles de la poitrine, elle ne remit pas une main devant son sexe de peur que Grégoire ne s'en plaigne à nouveau. Tous regardaient passer cette merveille d'impudeur, tête basse.

Quant au maître-nageur, responsable des lieux, il dut mettre une main devant son sexe pour en cacher l'érection. Il n'avait encore jamais vu cela dans la piscine municipale. Il avait hésité : laisser faire ou interdire. Dans le premier cas, il risquait de se faire dénoncer auprès de la mairie par les prudes mères de famille ; dans le second cas, il perdait le bénéfice d'un superbe spectacle. Il était 12h et le monde était arrivé. Les élus ne lui passeraient pas de laisser faire, il devait intervenir.

Alors qu'il s'approchait de la fille, les trois gaillards costauds s'interposèrent.

* Ben quoi Msieur, ça va pas? Quelque chose vous gêne?

* Ecoutez, les gars, elle est trop... je veux dire... quasiment à poils. Il y a des enfants ici! Y a des mères de famille. Vont déposer plainte. Je ne peux pas la laisser sinon je vais me faire virer. Vous comprenez? Poussez-vous, laissez-moi passer!

* Attendez Msieur, si on la bloque dans un coin, là-bas où il n'y a pas d'enfants? Vous êtes ok? Ca passe? Allez, faites pas chier...

* Non, non, ce n'est pas possible. Y a des gens tout prêts qui vont la voir. Ne me faites pas d'ennuis ou j'appelle la police

* Ecoute Msieur... On va être gentil avec toi mais t'as intérêt à bien écouter...Primo, si tu appelles la police, on te retrouvera et tu en prendras plein la gueule! Tu piges? Deusio, y a 5 ou 6 mecs, pas plus, ça les fera bander ces vieux dégueulasses. Tertio, on te laisse une prime. Tu nous fous la paix et tout à l'heure, à 12h30 au moment de la fermeture, tu viendras prendre ta part. Arrange-toi pour que les gosses quittent la piscine avant les autres. Alors, ta décision?

* Le maître-nageur ne prit guère de temps pour se décider.

* Ok allez-y mais discrets!

Françoise avait rejoint Grégoire et s'était assise à ses côtés, trop heureuse de se cacher du monde. Un instant elle avait craint qu'il ne la laissât debout devant lui. Alors qu'il reprenait son pouvoir en une nouvelle logorrhée salace, il vit les trois adolescents debout juste devant eux. Le plus grand des trois prit la parole :

* Eh, elle est à toi la pouffiasse? C'est ta propriété? On aimerait bien en profiter un peu... Tu la prêtes?

Grégoire qui devait penser qu'il était aussi simple d'être puissant devant trois types que devant une pauvre victime, voulut les rembarrer.

* Cassez-vous les jeunes, ce n'est pas de votre âge. Allez vous assoir là-bas et rincez-vous l'œil. Mais attention pas la paluche, finit-il en riant.

Il comprit très vite qu'il avait eu tord de les rejeter, voire de les moquer. Il se prit immédiatement un coup de poing dans la figure qui lui laissa quelques chandelles dans la vue, puis tout de suite un second de l'autre côté. C'est comme s'ils avaient sonné son réveil. Il prit conscience de ses faiblesses, de ses lâchetés même ; il baissa les yeux déjà battu. De toute façon, il n'allait rien risquer pour Françoise dont il se foutait éperdument. Ils pouvaient bien la baiser, il avait déjà eu son compte.

Elle en avait un à sa droite, un à sa gauche et un devant sur la marche basse. Grégoire était derrière elle sur une marche supérieure. Il se massait la mâchoire.

* Laissez-moi tranquille, implora-t-elle, vous n'avez pas le droit! Poussez-vous, partez ou j'appelle le maître-nageur.

* Ils éclatèrent de rire.

* T'inquiète pour le maître-nageur! T'auras pas besoin de l'appeler, il viendra bien tout seul prendre sa part... Ben oui, fallait bien l'acheter ce bâtard! Et c'est toi qui paieras... Alors poulette, t'as pas voulu qu'on te caresse un peu dans l'eau? Bon, et bien c'est toi qui va nous caresser. Tu as deux mains? Et bien sers-t-en!

Celui de droite et celui de gauche avaient sorti leur membre du slip de bain. Elle n'avait plus qu'à les prendre en main. Elle le fit, non sans répugnance. Si elle résistait, elle risquait certainement beaucoup plus de désagréments. Les sexes se dressèrent, pas très gros mais longs. Les garçons se cachaient en pliant les genoux et en mettant leurs mains devant eux. Elle s'employa à les masturber en fermant les yeux. Grégoire, toujours derrière elle, se dit qu'il serait stupide de ne pas en profiter. Aussi, glissa-t-il des mains sous les aisselles pour attraper le 100 de tour de poitrine. Son érection redoubla d'intensité lorsqu'il sentit à la paume de ses mains les tétons très gros et très durs. Il se demanda comment elle faisait pour en avoir d'aussi démesurés. Il se moqua bien des quelques hommes qui observaient le manège depuis le bord du bassin, il écarta le mince tissu blanc et se mit à rouler les bouts entre ses doigts.

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