Confinement Bis Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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Depuis qu'elle a le bandeau sur les yeux, elle n'entend plus que la musique qui distille les paroles de Bob Marley. Aussi le cœur battant la chamade elle fixe son attention sur la baguette qui lui indique maintenant d'étendre ses mains justes sous son collier ou la grande lui attache les menottes puis, allongée, elle écarte plus largement ses genoux en les ramenant en même temps sous elle afin qu'Emma lui fixe les colliers sur le bas des cuisses. Emma avait repéré des colliers en cuir de différentes dimensions et s'était amusée à fabriquer plusieurs ensembles de bondage. Elle a choisi une barre en bois avec deux colliers et chainette fixés à chaque extrémité. La barre maintient un écartement d'un mètre et à chaque embout une chainette se voit fixée à son collier de cou. Pour compléter, Emma avait passé sous le plateau une sangle qu'elle fixe sur un anneau du côté droit du corset et l'autre embout, tendu en passant dans le deuxième anneau du côté gauche. Ainsi harnaché Hortense se retrouve incapable de bouger, la tête dans les mains, les seins aplatis sur la couverture, les cuisses largement écartées et les reins abaissés au maximum. Hortense n'est pas dans une position très confortable mais celle-ci est divinement excitante.

Emma aime voir sa belle dans une position ou elle est offerte, cambrée au maximum comme une vulgaire chienne en chaleur, une femelle réclamant la saillie, une salope avide de prendre du plaisir mais aussi une lubrique entravée qui sera obligée de supplier pour jouir, une garce qui sera montée jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus crier.

. Oh bien sur Hortense s'est plusieurs fois retrouvée en levrette, position qu'elle aime d'ailleurs car elle prise plus profondément. Cependant aujourd'hui, ce n'est pas sur un lit, ou dans une pièce close mais devant un publique qu'elle expose toute sa luxure.

Elle n'est pas au bout de ses surprises.

« Pose le trépied là... oui c'est parfait, l'angle est bon. » dit-elle à Julie.

« rrroooohh » maugrée Hortense dans son bâillon.

« Quoi ma belle, ne me dis pas que c'est la première fois que tu montres tes fesses à un objectif » ironise Emma. « D'après ce que m'a dit ton frère tu faisais de belles photos avec tes copines... Alors ne fait pas ta mijaurée » pavoise-t-elle. « En plus tu as un corps de rêve... tu ne peux pas garder toute cette beauté pour toi toute seule. » continue t'elle en promenant ses mains sur tout le corps d'Hortense.

Tantôt elle la palpe comme on pourrait le faire d'une bête de somme, tantôt elle la caresse amoureusement, tantôt elle la fouille telle une geôlière contrôlant une condamnée. Déjà très perturbée par la caméra, Hortense est bouleversée, soucieuse, humiliée et en même temps elle ne peut contrôler son corps. Elle est excitée.

Or ce n'est pas suffisant. Emma parle le plus souvent d'Hortense à la troisième personne avec des mots salaces, des mots crus, tout en n'hésitant pas à la reléguer au niveau d'objet, un objet de plaisir à sa disposition. De plus elle commente vulgairement ses faits et gestes en apostrophant ses amis.

« Vous ne trouvez pas que ces fesses sont un peu trop blanches » dit-elle en promenant lentement la badine sur les jumeaux.

« Moi j'aime quand elles prennent de la couleur... qu'en pensez-vous! » insiste t'elle en donnant une petite frappe.

« Grrrrr » Hortense grogne et halète avec cette première claque alors que l'assemblée acquiesce aux paroles d'Emma.

Confortée dans son appréciation et sans un démenti de ses amis, la grande recule et lâche deux trois frappes incisives.

« Arrrrrgghhh »

« Je pense que nous avons là une belle salope qui n'attend qu'une chose... se faire démonter » insiste t'elle en se penchant et posant sa main sur la vulve.

« Mais que vois-je.... Elle mouille cette garce.... Ça l'excite de se faire filmer... » ajoute-t-elle vicieuse

« Tu pourrais peut-être te servir de cette vidéo pour tes cours d'anatomie avec tes copains en médecine » ironise t'elle en s'adressant à Oliv. Hortense frissonne de stupeur.

« Ils n'ont peut-être jamais vu de vulve comme celle-ci ... et regarde son trou du cul.... Tu vois comme il frétille »

Emma se positionne sur le coté de sa belle et commence à lui administrer quelques coups de cravache. Les frappes ne sont pas fortes. C'est juste une mise en bouche. Après une vingtaine de pichenettes infligées par la badine, la grande pose sa main en conque sur sa vulve.

« mmmmmm » gémit Hortense

Emma constate que les lèvres sont écartées, trempées au-delà de ses espérances.

« Oooh tu ne mouilles pas!... C'est bien plus que cela... C'est les grandes eaux... ça promet! »

Elle enlève alors sa main souillée, retire le bâillon et présente ses doigts à sa belle.

« Ouvre la bouche salope » lui dit-elle en promenant ses doigts sur ses lèvres.

« Allez fais pas la timide, lèche mes doigts » ordonne t'elle.

Hortense n'a jamais gouté à son jus. Elle est décontenancée, désorientée par cette perversion, puis très vite elle laisse ses instincts la dominer avale les doigts, les goute, les lèche consciencieusement, puis les suce avec perversité. Cette libido est contagieuse, aussi Emma ressort les doigts et sans fioriture, les enfonce le plus loin qu'elle peut dans le vagin.

« Aaaaaaaaaaah »

Sous l'invasion Hortense pousse un gémissement suivi de râles. La grande ne la ménage pas. Excitée par les cris, les bruits de succion, la mouille épaisse et gluante recouvrant ses doigts, un conduit bouillant, une odeur puissante exhalant des saveurs musquées, elle la branle comme une damée puis s'arrête aussi rapidement.

« Aaaaaaaaaaahhhhhh ... nnoooonn»

Emma joue avec les nerfs d'Hortense.

« Oh oui tu es une belle garce! ... Une vraie chienne en chaleur, mais c'est moi qui décide quand tu peux jouir. »

Elle flatte à nouveau la vulve avec quelques allez retour, insère ensuite sans prévenir l'index et le majeur dans l'ouverture humide, l'annulaire de l'autre main posant sur le clitoris, puis se retire. Hortense se pâme sous la surprise et l'intensité de la pénétration.

Les doigts ressortent ensuite du vagin, explorent la vulve puis replongent fermement. Hortense sent la fraîcheur de la cyprine s'épandre entre ses lèvres, couler comme un torrent lorsque les doigts la branle avec vigueur et que l'annulaire tourne et retourne autour du clitoris.

« aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh »

« Attention ma fille... je ne t'ai pas permis de jouir »

Hortense souffle et râle quand les doigts se retirent.

« Ne sois pas impatiente!... Je vais calmer tes ardeurs petite vicieuse ou sinon tu ne sauras pas te retenir » dit-elle.

« Tu sais mon biquet, tu ne dois pas laisser cette vilaine fille faire ce qu'elle veut » ironise t'elle auprès d'Oliv.

« Une soumise ne décide pas, elle se conforme à tes désirs et si tu es satisfait, alors elle peut mériter sa récompense... C'est pour cela qu'il faut de temps en temps lui faire un rappel » persiffle Emma.

« Rien n'est plus efficace que quelques coups de cravache pour qu'elle reprenne ses esprits... rien de tel! En plus ta salope de sœur jouit encore plus fort après une bonne correction » affirme-t-elle.

« Je la soupçonne même de se laisser aller afin que je la rappelle à l'ordre fermement »

Emma s'intéresse alors aux fesses, lui inflige une dizaine de coups retenus, puis lorsqu'elles sont rouges, frappe durement. Hortense grogne et essaye en vain d'éviter les coups mais les coups portent et les zébrures apparentes. Quelques larmes coulent.

Tout le monde est médusé par le spectacle. Ils entendent Hortense crier et renifler. Sans un mot ils observent le déroulement du scénario et chacun retient son souffle, la tension est à son comble.

« Il ne faudra pas que tu fasses attention aux pleures mon biquet... Ta sœur à la larme facile... en tout cas tu peux être sûr qu'après cela ta sœur va jouir comme une folle. » précise-t-elle.

« Ce n'est pas toi qui vas me contredire... n'est-ce pas ma belle! »

Hortense est honteuse, sidérée que la grande étale tous ces détails en public sur sa libido même si au fond, elle doit reconnaitre qu'elle n'a jamais eu d'orgasmes aussi forts qu'après une correction.

Emma pose sa baguette, se penche alors près du visage d'Hortense et lui murmure « Tu vas jouir comme jamais... ne t'inquiète pas si cela prend du temps... tu risques de ne plus avoir de voix... Tu sais que tout se mérite »

« Oh »

Emma enduit ensuite copieusement sa main de graisse et commence à investir l'anus de sa soumise. Hortense sursaute sous l'intromission. Emma s'occupe avec beaucoup de précaution de l'Etoile brune. Pendant dix minutes elle s'évertue avec douceur d'assouplir la rosette et obtient à la fin de légers soupirs de contentements, des gémissements de plaisir alors que le sphincter se détend et aspire à plus de satisfaction.

Et puis sans sommation la grande prend le plug et le présente à l'entrée du tunnel, rentrant la première partie.

« AAARRRRGGHHH »

Il n'y a aucun bruit chez les spectateurs seulement une attention extrême et des bruissements d'étoffe. Ils sont tous fascinés par le spectacle digne d'un film pornographique, avec la perversité en plus.

Emma a acheté expressément ce nouveau jouet pour Hortense. Elle l'a choisi imposant par sa longueur mais surtout par le diamètre.

Perverse, Emma rentre dans les précisions salaces afin d'augmenter encore plus la honte s'il en est besoin. L'évocation de détails perfides et obscènes devant les trois colocataires a pour but d'accroitre l'excitation d'Hortense bien sûr, mais surtout à augmenter sa tolérance à l'exhibition, la préparer à d'autres exigences et en définitif associer soumission avec plaisir.

« Je ne t'avais pas montré ce joujou. Je l'ai appelé junior » dit-elle à Oliv en forçant celui-ci afin que la partie de cinq centimètres de diamètre rentre. Hortense souffle fort et grogne.

« Son anneau est déjà assoupli, distendu, graissé à souhait aussi quand j'aurai travaillé ta sœur en le rentrant et le sortant plusieurs fois elle sera prête... fais-moi confiance! » Insiste Emma.

Et sur ces dernières paroles elle force pour entrer la partie épaisse. Hortense suffoque. Plusieurs fois, Emma retire et insère le jouet, le maintien aussi quelques temps dans sa partie la plus large entre l'anneau distendu, puis réitère ses vas et vient pour enfin l'enlever.

Et puis l'ordre éclate.

« Mets ta bite dans le cul de ta sœur. Fais-le maintenant », dit Emma. « Regarde-moi ça comme sa rosette palpite... elle t'attend »

Le plaisir des doigts a complètement disparu mais son anus toujours humide est ouvert. C'est assez troublant, plus qu'elle ne peut vraiment gérer. Son frère est sur le point de l'enculer sous les directives d'Emma, mais pire encore, le phallus de son frère est sur le point de remplir son cul devant plusieurs personnes.

Après une seconde, elle sent les mains d'olivier sur son cul. Il les place au même endroit où se trouvaient celles d'Emma quelques secondes auparavant. Il pousse vers le bas et lui écarte à nouveau les fesses. Sa main droite se lève de sa hanche, elle sait qu'il attrape sa queue. Elle se doute que son petit frère regarde son anus palpiter, pressé de faire entrer son sexe. Or, rapidement elle constate un contact chaud alors que le gland de son frère se presse contre son étoile serrée.

« Doucement », fut la seule chose qu'elle pense à ce moment. Elle s'est déconnectée de la situation dans laquelle elle se trouve pour ne plus penser qu'au plaisir.

Olivier s'ajuste sur ses genoux mais le bout arrondi de sa bite a en quelque sorte roulé contre son anus. Sa bite lubrifiée glisse alors que tous ses sens en éveil se sont allumés. Hortense se cambre au maximum.

La main gauche d'Olivier s'enfonce dans la chair de son cul alors qu'il la tient. Il grogne légèrement, la pression sur l'Etoile augmente soudainement. Ne se contentant plus de se frotter, il essaye maintenant activement de rentrer son membre. Il y a une sensation de pincement et une légère douleur.

La pression devient de plus en plus intense alors que son frère gémit.

Quelque chose d'étrange se passe. Au début, elle ne peut pas le croire. Elle n'arrête pas de se dire que la douleur va s'aggraver et qu'il faut juste qu'elle s'en remette. Elle repense à sa dernière expérience avec Olivier, comment elle a eu l'impression d'être coupé en deux, ouverte. Elle craint toujours la douleur, mais il y a autre chose aussi, elle ne peut le nier. La tension est devenue si grande, les contradictions si intenses. Elle a besoin d'une libération, même si elle ne peut pas vraiment y penser. Et donc une partie d'elle veut désespérément la bite de son frère, elle ressent cette nécessité impérieuse de ressentir le plaisir.

Ce besoin est la clé.

C'est peut-être pour cela que, lorsque la pression se ressent davantage, que la douleur de pincement devient plus intense, quelque chose se produit. Elle peut sentir la bite dure d'Olivier se plier sous la pression de son trou du cul et puis, tout à coup, le sphincter cède. Son anus s'ouvre et le priape jaillit en elle. En fait, Olivier pousse si fort qu'il n'y a pas que le gland, plus de la moitié surgit instantanément à l'intérieur. Elle ressent chaque crête, chaque veine de sa bite alors que ses entrailles serrées s'enroulent autour du pénis, puis sous une deuxième poussée tout aussi rapide elle perçoit la pointe arrondie au plus profond de son cul.

"Oh putain que tu es serrée ma sœur! » s'esclaffe son frère aux anges.

Sa main droite revient brusquement à ses hanches, se serrant dans la chair. Hortense gémit bruyamment alors que la sensation intense d'être remplie l'envahit. Une chaleur se répand dans tout son corps. Elle n'a jamais rien ressenti de tel. C'est tellement différent d'une sodomie normale, et tellement mieux que la dernière fois qu'elle fut enculée.

Alors que son anus se resserre brièvement, serrant le sexe à l'intérieur, Hortense entend son frère gémir bruyamment. Elle est heureuse de l'entendre faire un tel bruit cependant ce sentiment intellectuel n'est que la surface même de ses sentiments. Il y a quelque chose de complètement différent. Le frisson de donner du plaisir à un homme, pas à n'importe quel homme, son frère, mais aussi le désir de tout faire pour lui. Evidemment comme Hortense est immobilisée, bras tenus, cuisses maintenues odieusement ouvertes, avec comme chef d'orchestre une Emma dirigeant la symphonie, sa luxure n'est que plus forte.

Hortense sent le corps d'Olivier se raidir et entend sa respiration devenir plus profonde. Elle perçoit ses muscles fléchir, son anus se relâcher à nouveau et accueillir la pression accrue. Et puis elle éprouve la sensation glissante et délicieuse de la bite de son frère s'insinuer centimètre par centimètre dans son colon. Elle le serre fort, savourant la perception de sa tige dure poussant à travers ses entrailles, faisant de l'espace et la remplissant.

« aaaaaaaaaaaaahhh » gémit elle bruyamment et sans réserve.

Elle ne peut pas s'en empêcher maintenant. Elle voudrait attraper ses seins, les triturer, les pétrir, presser ses mamelons. Seulement elle n'a aucun moyen de le faire, les poignets attachés à son collier elle n'est pas libre de ses mouvements. Elle est frustrée.

Après ce qui lui semble être au plus quelques secondes, elle ressent une sensation étrange contre sa chatte humide. Une sorte de doux bruit de claquement se produit. Le pieu de son frère est entièrement à l'intérieur de son cul, ses boules pressées contre sa vulve. A ce moment-là, les sentiments de honte n'existent plus. Sa soif de luxure a pris le dessus. Peu importe le jugement des-uns ou des-autres, elle ressent une paix intérieure. Pour une raison quelconque son excitation est exacerbée par son exhibition et plus encore par le fait qu'Emma ne lui donne pas le choix. Privée de son libre arbitre, de sa liberté de mouvements sa libido n'en est que décuplée. Cette image d'elle à quatre pattes telle une jument que l'on tient par la bride pendant la saillie, une pouliche conduite et tenue par sa propriétaire, l'excite comme une folle. Et puis, liée, obligée d'obéir, subissant la sodomie devant des spectateurs électrisés, cette scene lui renvoie son fantasme de viol. Cela l'embrase.

Julie et Anne-Ka ne manquent rien du spectacle devant elles Leurs yeux fixent directement les fesses de leur hôte, cette femme qui les surprend de jours en jours apparemment inconsciente du monde et des implications.

Pendant ce temps Olivier suit les conseils d'Emma quand celle-ci se positionne les deux genoux de part et d'autre de la tête d'Hortense, se penche légèrement

« Retire-toi mon biquet... Je vais la graisser » dit-elle. Emma emploie des mots salaces et humiliant afin d'affermir encore plus son emprise sur sa soumise. Elle lui montre aussi que c'est elle qui est responsable de son confort, de sa jouissance. De plus elle continue à inoculer cette association humiliation et plaisir afin de pervertir encore plus l'esprit d'Hortense.

Elle fixe ensuite ses deux mains sur les deux globes d'Hortense et les tirent au maximum.

« Allez mon biquet, tu peux y aller franchement... Tu vas glisser tout seul et ta sœur à besoin que tu l'encule fort » sourit-elle. « En plus tu auras un film superbe à regarder et peut être à montrer. » ajoute-t-elle vicieuse.

De son côté Hortense enregistre mentalement les dernières paroles d'Emma. Elle sursaute, ébahie.

Cependant elle n'a pas à y penser très longtemps.

Dans cette position l'anus est étiré et Olivier peut s'enfoncer encore plus profondément. Grisé par la vue de la rosette ouverte, l'impression de domination et aussi par la présence de sa copine avec ses mains et ses paroles toujours plus salaces et vicieuses, il présente son gland à l'entrée et sous le regard d'Emma, donne un coup de rein violent.

« AAAAAAAAAAAAHHHHHHH » hurle Hortense.

Son frère s'est enfoncé d'une seule traite encore plus profondément. Il se déchaine ensuite. Sa sœur brame à tue-tête.

Hortense halète bruyamment alors que la bite d'Olivier sort et rentre dans ses reins.

La sensation de retrait est si effrayante. Elle avait eu cette impression tenue de manque, de vide, c'était presque insoutenable. La seule chose qui pouvait chasser ce sentiment de son esprit était la sensation du pieu de son frère poussant à nouveau profondément dans son cul. Mais là, c'était au-delà de ce qu'elle espérait.

« aaaaaaaaaaaaaahhhhh » Hortense revit certes mais elle a l'impression d'être envahie, remplie au-delà du possible. La douleur est encore présente mais le plaisir devient plus dense. Cette chevauchée bestiale, ce rut primal l'envoie dans un autre monde, elle tremble de partout.

Olivier s'est retiré, puis s'est enfoncé à nouveau. Encore et encore. A chaque fois la tension et le plaisir devient de plus en plus intense jusqu'à ce qu'Hortense se tende et rugissent à la mort. Elle est encore sur la vague de ce tsunami qui l'emporte quand Emma passe une main en dessous afin de vicieusement poser directement son doigt sur le clitoris en feu. Emma s'attend à la réaction. Avec un mouvement circulaire elle écrase la fraise et immédiatement Hortense recommence à s'époumoner. Un long cri rauque tel une bête blessée déchire les tympans, son bassin se tend, la flèche traversant son bouton embrase tout sur son passage, c'est un éclair, il la foudroie, de la lave incandescente remonte de son ventre. Elle jouit de plus bel, longuement alors qu'Olivier éjacule en criant comme un veau sur les derniers soubresauts de sa sœur.

Epuisé, Olivier se retire ensuite pour se reposer dans le fauteuil, hagard.

De son côté Emma descend du plateau, retourne délicatement Hortense et lui enlève toutes les menottes, le bâillon, la ceinture ainsi que son collier. Sur le dos, nue et couverte de sueur Hortense cuve son orgasme.

Agenouillée par terre la grande lui caresse amoureusement la poitrine, tout en se penchant sur son visage. Elle la bise sur son visage, sur son crâne. Elle lui susurre entre deux bisous des mots doux, des paroles rassurantes, des rappels de sa condition.