Confinement Bis Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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Hortense sent le gland passer entre ses fesses et venir buter sur sa rondelle élastique. Il lui semble qu'il est plus massif, elle souffre, son anus la pique sous la pression. Emma pousse toujours par petits coups secs et au bout d'un moment le priape pénètre d'un coup de quelques millimètres la rondelle.

« AARRRGGGHH » crie Hortense.

La blonde ne l'écoute pas et au lieu de sortir, elle continue à forcer.

« AARRRGGGHH » crie de plus belle Hortense alors que le gland massif et épais distend son sphincter.

« T'inquiètes pas, ça va aller. Tu vas vois, ça va être génial. » rassure Emma tout en poussant son pieu jusqu'à ce qu'elle aperçoive le bout détendre le petit trou, le conquérir et disparaitre à l'intérieur.

Cependant la hampe est encore plus large, Hortense a l'impression qu'Emma va la déchirer. Elle la supplie de se retirer.

« Non non! Il est beaucoup trop gros! Ça ne va pas passer! » se lamente t'elle

« Tais-toi ou je te bâillonne » exige Emma « Fais-moi confiance, ça finit toujours par passer! Je vais t'élargir la rondelle... tu seras parfaite pour ton frère » ironise t'elle

Dans un ultime sursaut de révolte, Hortense espère se dégager, mais son anus s'ouvre sous la poussée, le pieu investit ses entrailles. Emma s'enfonce en elle d'un puissant coup sec.

« ARRRRRGGGHHH... OOOOHHH » gémit Hortense.

Caressant langoureusement le dos d'Hortense Emma patiente quelques instants que la grande se détende puis pousse en avant alors que le trou du cul de la Bordelaise s'étire à sa limite. Chaque crête et veine en caoutchouc chatouille son anneau sensible alors qu'il se glisse lentement à l'intérieur.

Hortense se sent incroyablement pleine, mais la grande continue à la remplir sous les souffles et les gémissements et ne s'arrête pas avant que sa bite soit enfouie jusqu'à la garde.

« aaaaaaaaaaaah .. Aaaaarrrrggh » gémit Hortense quand son cul dévore le dernier centimètre du phallus.

Emma commence alors par des poussées courtes et dures qui cognent ses hanches contre le cul puis accélère légèrement en lui parlant suavement

« Alors ma belle, tu aimes cette nouvelle bite... Elle est assez grosse pour toi... Allez dis le moi »

« aaaaaaaaaah ... mmmmmmm»

« Allez dis-moi ... » insiste t'elle en continuant son va et vient langoureux

« aaaaaaaaaaah... mmmm »

« Fais pas ta timide... dis le moi... ça t'excite une grosse teub, une bite qui t'envahit, qui t'ouvre! » relance Emma en poussant profondément à chaque petite poussée.

« aaaaaaaaaaaaahhhh... ouuui »

« Bien ma belle... je le sais que ça t'excite... tu es une vilaine fille! » relance t'elle en accélérant ses coups de reins.

Elle laisse maintenant sortir la moitié de sa hampe avant de la remettre en place d'un coup sec et le mafflu profondément enfoui dans son cul, chatouille, irrite, envahit toujours plus le tunnel étroit.

« aaaaaaaaaaahhhhhhhhh » Hortense halète entre chaque poussée alors que son jus coule sur la couverture en longs filaments collants. Et puis tout son corps tremble alors que quelque chose de primal monte inexorablement. Cette sensation au fond de son cul s'est transformée en un feu dans son ventre qui fait son chemin jusqu'à son clitoris. Elle sent son jus couler le long de ses jambes. Ses orteils commencent à s'enrouler et à fléchir de façon incontrôlable. Des grognements et des gémissements gutturaux remplissent sa gorge et sortent en cadence des poussées de la grande. En outre elle devient folle car la jouissance est là, tapi dans l'ombre.

Le plaisir ne veut pas venir, aussi elle essaye d'atteindre son clitoris pour l'aider.

Or Emma ne la laisse pas faire.

« Non, non ma belle, tu vas jouir...ça je te le promets, mais ce sera sur le nouveau jouet ou pas du tout... Laisse faire... Ça sera encore meilleurs » affirme t'elle

Hortense grogne mais n'insiste pas, laissant chacun des coups la remplir complètement. Chaque caresse commence à lui procurer un plaisir profond différent de la sensation de frottement de son clitoris, plus comme un feu qui s'allume lentement.

Vicieuse Emma colle ses lèvres à l'oreille de d'Hortense et lui chuchote : « Imagine-toi dans une fête d'étudiants en médecine... imagine tous ces regards sur toi pendant que tu te fais baiser.... Imagine toutes ces personnes voulant prendre ma place... tu les vois ces yeux exorbités espérant mettre leurs queues dans ton cul... »

Ces sales paroles poussent Hortense par-dessus bord, une fusée explose en elle, elle sent un fusible sauter pour un final massif.

Voulant entrer dans d'Hortense aussi profondément qu'elle le peut, Emma utilise sa poigne pour la tenir plus fermement. Elle est dans à un tel rythme maintenant que ses hanches claquent violemment contre les fesses d'Hortense. Elle grogne régulièrement elle-même, flottant au bord d'un orgasme massif, mais le tenant en quelque sorte à distance. Son entrejambe est trempé de jus suintant autour de son harnais. Cela ajoute une humidité épaisse au son des claquements devenus plus rapides, alors qu'elle abreuve continuellement Hortense de parole salaces

« ça fait du bien de se faire sodomiser... Tu adores te faire enculer... n'est-ce pas?»

« aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh»

« T'aimes ça qu'on te regarde! »

« aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh.. ooouuui »

« Imagine-toi attachée »

« Ooooooh »

« Et enculée sauvagement »

« aaaaaaaaaaahhhhhhhhh »

« Imagine-toi avec tous ces carabins... attachée à quatre patte... la croupe haute... les cuisses largement écartées... ta vulve dégoulinante attendant que je te sodomise... hurlant de plaisir dans ton bâillon ... oh oui je serai tellement heureuse de satisfaire ma belle femelle »

« aaaaaaaaaaahhhhhhhhh »

« Hurlant de plaisir dans ton bâillon ... oh oui je serai tellement heureuse de satisfaire ma belle femelle »

« Ooooooohhh... aaaaaaaaaahhh » tous les mots frappent sa poitrine comme un marteau sur une enclume, son cœur est au bord de l'explosion. Les yeux d'Hortense se révulsent et toutes ses pensées conscientes se concentre sur le feu brûlant dans son cul, un feu qui la dévore pire que l'enfer. Elle n'est plus Hortense, Gentille a pris le relai. Elle n'est plus qu'une femelle au désir primal ; se faire remplir. Toute son âme recherche l'accouplement bestial aussi elle s'aplatit sur la couverture en remontant ses genoux telle d'une grenouille pour accueillir plus profondément son male.

Emma s'allonge alors sur la femelle avide, les mains accrochées aux épaules, elle épouse totalement son corps et, tel le désir de gentille, la martèle sauvagement.

« Tu aimerais que je t'attache? »

« Aaaaaaaaahhhh... Oooohhhh.., » s'exclame Hortense. Une nuée d'étoiles envahit son cerveau.

« Ça te fait kiffer... Hein... immobilisée totalement... complétement à ma merci... Réponds-moi salope! » insiste Emma.

« Ouuuiiiii... Aaaaaaaaaaahhhh » crie t'elle sans retenue. Son cœur est au bord de l'explosion.

Hortense crie, vacille, puis crie encore lorsqu'une vague orgasmique massive s'écrase sur elle. Elle peut entendre Emma rugir alors qu'elle vient. Les poussées de la grande sont devenues de plus en plus fortes. La faisant rebondir, Hortense grogne plusieurs fois, puis gémit et enfin crie lorsque la voix revient au plus fort de son orgasme. Les énormes vagues de plaisir s'écrasent sur elle, plus fortes que tout ce qu'elle n'avait jamais ressenti. Son anus se serre encore et encore pendant qu'Emma la fore sans répit alors qu'elle exprime des propos incohérents pendant ce qui semble une éternité. Enfin Emma attrape sa natte de cheveux et la tire en arrière tout en enfonçant sa bite jusqu'à la garde. Le feu explose à l'intérieur d'Hortense alors que des images d'elle bâillonnée, attachée et forcée devant tous ces étudiants. Un autre orgasme la frappe de nulle part, la faisant gicler à nouveau juste au moment où les poussées d'Emma reprennent dans un dernier baroud.

Épuisée, Emma s'affale de tout son saoul, son propre orgasme la foudroyant.

« Oh putaaiiiiin quel volcan!... Une furie! ... Tu vas me faire devenir folle... qu'elle garce tu fais. » Et elle ajoute « oh oui tu es incroyable »

Hortense a l'impression que son anus ne se refermera jamais. Son corps la brûle. Elle est anéantie et son sphincter, tout congestionné, reste dilaté, comme un puits béant où une bite normale aurait pu s'introduire sans même qu'elle s'en aperçoive. Elle reste là haletante jusqu'à ce qu'Emma la mettent sur le dos et agrippe sa tresse, attire son visage et l'embrasse voracement. Elle la repousse ensuite, la regarde profondément dans les yeux et lui annonce : « je vais te donner ce que tu attends ma belle garce... Oh oui, je vais combler tous tes fantasmes avouables ou non... »

Emma se lève et se rhabille ensuite. « Va te coucher... on se verra demain. »

******************

Depuis un mois, Hortense se rend à l'établi environ deux fois par semaine. Ce jour, vers 14heures Emma lui annonce qu'elles se verraient ce soir à l'établi. Aussi en quittant la maison, elle est particulièrement excitée, son humeur est joyeuse. Toute l'après-midi elle a attendu avec impatience la soirée. Elle est toujours autant amoureuse de son frère, mais avec la grande elle a l'impression d'être en apesanteur. Elle ne peut expliquer ses sentiments envers elle, tout est très confus. En arrivant il y a cinq mois elle ne pensait pas que sa libido longtemps cachée pourrait autant s'épanouir en dehors des sentiers battus. Elle franchit les tabous sans se poser de questions. Olivier est à la fois un amant doux, sensible, rassurant mais aussi l'homme qui la comprend, celui qui l'aime au-delà de toutes convention. Emma occupe de son côté une place à part. Elle lui révèle tous ces envies, ses fantasmes, ses désirs inavouables et de plus, insidieusement elle lui fait découvrir sa bisexualité. Non seulement elle cède facilement aux exigences perverses d'Emma, mais de surcroit elle est obligée de reconnaitre qu'elle éprouve un sentiment de sécurité et de bien être à chaque fois qu'elle est avec elle. Au début elle avait lutté contre l'autorité d'Emma mais maintenant il lui semble que cela est loin. De jours en jours, elle reconnait sa disposition à l'obéissance, apprivoise sa honte, ses peurs et ne lutte plus contre ses réticences. En définitif Hortense accepte et recherche même l'autorité de la grande, en outre, sa libido n'est jamais aussi forte qu'avec des rapports sexuels sous contrainte.

***************

Or dès l'entrée elle voit que la soirée ne va pas se passer comme elle l'espère. Emma a le regard dur. Hortense ferme la porte et avance, les jambes flageolantes elle ne peut détacher la vue d'une corde qui descend du plafond. Dans l'après-midi Emma avait fixé un solide crochet dans le plafond dans lequel une corde pouvait aisément coulisser et soutenir au moins deux cent kilos.

« À poil » ordonne Emma. Le ton est sec, le regard est perçant. Déstabilisée Hortense met quelques instants pour réagir.

« Tu n'as pas entendu? » insiste la grande.

Réveillée, Hortense se déshabille mécaniquement et jette ses vêtements sur le fauteuil. Elle se tient droite, la tête penchée, le corps tremblant. Emma fait alors le tour de la sœur, sans parler, elle l'inspecte longuement puis se dirige vers la table ou elle saisit un carnet. Elle prend son temps, la tension est palpable.

« Relève la tête. Et regarde-moi... Tu as un gros souci de comportement » lui dit-elle incisive.

«???!!!! »

« Hier je ne t'ai pas vu sourire une seule fois et quand j'en ai parlé avec Olivier il m'a expliqué que tu faisais la tete car je lui ai demandé un petit service... Si tu commences à etre jalouse parce que ton frere sous ma demande a montré à Anne-Ka ce qu'était une vraie bite, tu ne pourras pas le garder... d'ailleurs tu es mal placée pour le juger. je te rappelle que depuis un mois tu partages tes faveurs avec moi.»

Hortense baisse la tête

« Le principal est qu'il t'aime... il est présent pour toi... n'est-ce pas... répond moi » demande t'elle sèchement.

« Oui » s'incline Hortense.

« Alors ton attitude est complétement inadaptée... je ne peux le tolérer. En plus, je ne vais pas te remémorer les différentes erreurs que tu as faites depuis un mois... à chaque fois je te les ai notifiées... Tu es d'accord?»

Hortense hésite à parler, pour ne pas énerver encore plus Emma, elle se contente d'approuver de la tête.

« Bref, tu aurais dû prendre cela comme des mises en garde » ajoute-t-elle. « Seulement ce matin je t'ai vu en tenue de jogging pour aller courir, avec Oliv. C'est super le sport et je ne t'en blâme pas, seulement tu as mis un soutien-gorge de sport... Si tu me l'avais demandé je t'aurais donné mon accord. » précise-t-elle.

« En plus après ta douche tu es redescendue avec tes cheveux non attachés, c'est la troisième fois... je me trompe! .... Réponds-moi distinctement »

« Noonnn »

« Non seulement tu as un comportement de petite fille gâtée mais en plus tu te négliges. Ce n'est pas pardonnable. »

« ...... »

« Donne-moi tes mains » Ordonne-t-elle.

Emma lui fixe alors des menottes de fortune, la dirige sous la poutre et passe le crochet dans un maillon. Elle tire ensuite la corde pour tendre les bras de la belle brune. Hortense respire spasmodiquement, elle est anxieuse. Elle se doute qu'elle sera punie et l'accepte mais ne pas savoir ce que la grande lui réserve l'inquiète tout de même, alors quand celle-ci lui bande les yeux elle appréhende la suite.

Emma attendait cette soirée avec impatience. Elle savait qu'Hortense ferait des erreurs, c'était prévisible et voulu. Dès lors la grande serait amené à la punir telle qu'elle lui avait annoncé. Elle aurait pu se contenter de lui zébrer les fesses. Corriger Hortense jusqu'aux larmes l'excite énormément, mais au-delà, la tenir larmoyante dans ses bras, la réconforter, la bercer ainsi que l'entendre se repentir, s'épancher sur son épaule, se lover dans ces bras, l'émeut au plus haut point. Cependant, ce n'est pas suffisant. Elle a ce fantasme qui la taraude, cette image de femme soumise, une femme dévouée, docile, la représentation pure de la beauté sans artifice ne vivant que pour son double. Il ne reste que quelques semaines pour transformer la chrysalide en papillon. La mutation opérée, il n'y aura plus de retour possible, l'emprise sera définitive. Et pour cela elle va la surprendre, la déstabiliser dans l'approche et la méthode. Cela doit être diabolique, cru, vicieux, obscène avec autant de lubricité que de rudesse. Elle y réfléchit plusieurs jours et ce n'est qu'après avoir dessiné son scénario avec précision qu'elle décide de sa mise en œuvre.

SPLATCH, SPLATCH

« Aiiie! » Crie de surprise Hortense.

SPLATCH, SPLATCH, SPLATCH, SPLATCH

« Aiiie... Aiiie »

« Je suis obligée de te punir pour tes désobéissances » déclare Emma.

« Ouuuuiii » répond Hortense le souffle court. Les frappes qu'elle reçoit ne sont pas très fortes, elle crie plutôt de surprise car elle ne s'attend pas à quel moment elle les reçoit et ou. La grande n'a pas prévu pour l'instant de la faire pleurer. Avec la fine planchette elle veut la conditionner, En conséquence, tel un métronome, pendant trois quatre minutes elle la frappe rougissant l'ensemble du postérieur. De temps en temps une claque est plus appuyée, faisant pousser un cri à la sœur. Enfin lorsqu'Emma arrête, Hortense à le cul en feu, une pellicule humide orne son dos et malgré tout un picotement envahit son ventre.

« Ça t'excite salope » déclare Emma en empaumant sa vulve.

« Aaaah » gémit Hortense incapable de se retenir.

« Ah bon c'est ce que tu veux! » ironise Emma « Eh bien... » lui dit-elle en posant ses mains sur les deux obélisques. Elle les caresse, les malaxes tendrement, les câlines, titille les tétons.

« Aaaah »

Puis une main quitte la chaire moelleuse, continue sa progression sur le ventre, puis plus bas. Hortense écarte les cuisses pour encourager la main. Aussitôt celle-ci s'engouffre dans l'espace libéré en même temps que la bouche saisit le téton. Les doigts effleurent les lippes gonflées, fourragent celle-ci, détourent les grandes lèvres, investissent l'entrée poisseuse, remontent vers le clitoris qui ne cesse de grossir, font rouler sous les doigts, puis repartent vers l'orée du vagin. Emma sent trembler les jambes de la brune alors que le bassin se colle vers ses doigts qui la fouillent.

Hortense pousse une sorte de râle alors que la grande lui met ses doigts dans la bouche.

« Gentille a faim!» ironise Emma.

Elle repose ensuite la main sur la fente, pousse ses doigts, s'acharne de plus en plus vite entre les jambes, dans la vulve suintante. Hortense remue les reins de façon frénétique, possédée par une faim insatiable qui la fait délirer. Emma est aux anges. Aussi elle ne cesse de la fouiller jusqu'à ce qu'elle décèle l'imminence de l'orgasme. Elle retire alors ses mains du corps d'Hortense, prend la badine en noyer sur la table derrière elle et lui fouette violemment les fesses.

HUITISCH, HUITISCH, HUITISCH, HUITISCH, les fesses sont zébrées par la fine baguette.

« OUUUAAAAAIIIIILLL » hurle Hortense sous la douleur foudroyante.

« Tu ne peux pas jouir maintenant Gentille... tu te rappelles ce que je t'ai dit la dernière fois? »

« Ouuuiii » murmure Hortense le souffle coupé.

Emma se rapproche de la sœur et tout en recommençant à lui caresser la poitrine d'une main, lui tirant la tête par les cheveux de l'autre, lui souffle dans l'oreille : « Je suis obligée de t'éduquer ma fille, tu ne me laisse pas le choix! »

Elle s'incline alors pour descendre sur les seins, les embrasser l'un après l'autre, les lécher. Elle s'y attarde longtemps, savourant leur rondeur, leur fermeté et leur douceur puis, pose ses lèvres sur les tétons, alternant de droite à gauche et inversement, suçant, titillant, léchant, mordillant chacun leur tour avec patience et ivresse.

« aaaaaaah » Hortense recommence à sentir les picotement du plaisir.

Emma est ravie, tout se déroule comme prévu. Une main poursuit sa descente, elle atteint rapidement le mont de Vénus qu'elle s'applique à fouiller, de ses lèvres avant de plonger deux doigts au cœur de l'intimité et de limer avec fougue.

« Aaaaaaaah.... Mmmmm aaaaaaaah » une symphonie de petits gémissements émergent de la bouche de la sœur. Ils ne sont pas près de s'interrompre car la grande se déchaine mais aussi soudainement que la première fois Emma interrompt tout.

HUITISCH, HUITISCH, HUITISCH, HUITISCH la badine s'abat sèchement sur les orbes d'Hortense

« OUUUAAAAAIIIIILLL » crie Hortense.la douleur arrête illico la montée du plaisir.

« J'aimerai tellement te donner du plaisir Gentille...»

«!!!!??? »

« Tu as désobéis! ... Est-ce que tu mérites une punition... Réponds-moi » demande Emma en promenant la baguette sur les fesses de la sœur.

« Ouuiiii » murmure t'elle fébrile.

HUITISCH, HUITISCH, HUITISCH, HUITISCH la baguette tombe durement. Emma veut marquer fortement les fesses de la brune afin que pendant les premiers jours son esprit soit tourné vers son postérieur et lui faire oublier la suite de son projet.

« OUUUUUAAAAAAAAIIIIIIILLLLL » Hurle Hortense en pleurant maintenant à gros bouillon.

« Tu veux que je t'aide à obéir ... Oui ou non » insiste t'elle en parcourant de son doigt le sillon trempé.

« SNIF, SNIF, SNIF, Ouuuuiiii »

Emma recommence alors à caresser, doigter, branler, amener Hortense au bord de l'orgasme sans pour cela lui laisser le loisir de jouir. Elle ne la frappe plus mais attend deux minutes qu'elle se calme et réitère son jeu.

Cinq fois elle lui fait gravir la colline sans pour autant lui laisser voir le sommet. Hortense est en sueur, ses terminaisons sont à fleur de peau, elle halète, geint, râle aussi. Cela fait plus d'une heure qu'Emma torture Hortense comme un chat joue avec la souris. On sait tous, que le félin finira par dévorer sa proie. Epuisée, résignée, le temps du jeu sera révolu et le chat croquera son jouet. Mais pour l'instant la souris n'est pas encore à point, elle tente toujours de s'échapper.