Confinement Bis Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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Et justement à partir de maintenant Emma avance ces derniers coups. La partie touche à sa fin. Habituée au jeu d'échec, elle annonce mentalement le mat en trois coups.

« Je vais te débarrasser de la corvée de tressage, comme cela tu ne pourras plus désobéir » annonce t'elle en réitérant son manège entre les cuisses de sa suppliciée.

« Oh,!!!!??? »

« Alors ma belle, ce ne serait pas mieux de te couper les cheveux » continue t'elle en la branlant vivement

« Aaaaaaaah.... pffffff aaaaaaaah »

« Je suis sûre qu'avec une coupe rase, tu ne désobéiras plus... » réitère t'elle en faisant une pause.

Hortense n'est pas en état de réagir aux propos de la grande, tout ce qu'elle peut lui dire arrive dans un cerveau embrumé. En ce moment elle souffre d'obnubilation, sa pensée est ralentie, obscurcis. Il n'y a que la jouissance qui prime aussi lorsque la grande recommence encore à la tourmenter elle lâche un « ouuiii », puis « un oui d'accord » après une autre séance de tracasserie. Hortense est à bout de nerfs. Emma le voit. Elle dispose alors son portable pour filmer la suite et entame la dernière cession.

« Tu veux que je te coupe les cheveux ma belle, je ferais tout pour toi tu le sais » lui susurre-t-elle à l'oreille en enlevant son bandeau d'une main pendant qu'elle effleure de l'autre sa poitrine hyper sensible.

« mmmmmmmmmm... ouuiii »

« Demande le moi ma belle » précise-t-elle en suspendant sa caresse « tu sais que je veux te faire plaisir » ajoute-t-elle en posant sa main sur la vulve poisseuse.

« mmmmmmmmm ... coouuuupe les aaaaaah ... cheuuuveuuux » murmure Hortense.

« Je ne t'entends pas... plus fort » demande Emma en se mettant de côté pour que la caméra ne filme qu'Hortense. Elle suspend aussi provisoirement les attouchements. ».

« Coupe moi les cheveux »

« Demande le moi mieux que cela » insiste Emma en insérant deux doigts dans la vulve surchauffée.

« aaaaaaaah.. S'il te plait Emma... coupe moi les cheveux »

« Je vais le faire pour toi ma belle » lui répond-elle heureuse. Emma se rapproche alors de sa suppliciée, l'entoure solidement de son bras, plonge trois doigts dans la vulve affamée et agite furieusement sa main pendant que son pouce presse le bourgeon saillant.

« Uuuuuuunnnnggghhh...ooooh... ooooh....aaaaaaaaaaaaaah » ses gémissements se meuvent en grondements sauvages puis en cris, des cris toujours plus forts, toujours plus aiguë. Parallèlement son corps s'agite en tous sens, convulse, ses yeux se retournent, elle est au bord de la syncope. Et puis elle se détend, amorphe telle une poupée de chiffon elle s'écroule.

Pendant qu'Hortense cuve son orgasme, Emma ne perd pas de temps et récupère dans l'armoire la tondeuse qu'elle avait préparé. Elle se place ensuite sur le côté de la belle, savoure l'instant puis commence à tondre. Avec rapidité elle s'acquitte de sa tâche. Hortense réalise à peine qu'elle est tondue complétement et demie consciente, elle entend la phrase d'Emma.

« Je vais te faire toute belle »

«!!!!??? » Hortense ne semble pas être présente lors de cette opération, dans ses pensées, elle ne réagit pas. Or un long frisson parcourt son corps lorsque la grande enduit sa tête de mousse et ensuite rase méticuleusement tout son crâne. La bouche ouverte sans mots pour les franchir, elle ouvre de grands yeux ébahis. Elle se rend compte seulement de la perte de sa chevelure, du nouveau look qui sera le sien.

« Ne bouge pas, je ne veux pas te couper » lui dit Emma en passant le rasoir sur sa tête « tu vas être magnifique ma belle » ajoute-t-elle. « Oh attend, un dernier détail... là tu es parfaite » continue t'elle en rasant les sourcils.

Elle l'essuie ensuite avec une serviette éponge et s'écarte d'Hortense pour mieux la regarder. Elle est sous le charme. Depuis le début des vacances Emma a découvert son amie sous un nouvel angle. Evidemment la sœur de son copain l'attire par sa personnalité, cependant elle apprécie aussi sa plastique et aujourd'hui, débarrassée de toute pilosité, son corps glabre comme à sa naissance, sublime la beauté de ses formes.

Tout en elle lui plait, une silhouette pulpeuse aux formes affriolantes, des seins fermes et orgueilleux, des aréoles brunâtres avec au centre des tétines proéminentes, des fesses rondes limite callipyges, un abricot proéminent aux lèvres délicates. « Oh mon dieu, c'est un corps de déesse fait pour l'amour » se dit-elle.

Emma la détache ensuite puis l'étend sur le plateau. En état de choc, celle-ci ne peut retenir ses larmes. La grande s'allonge alors à côté d'elle, la cajole, lui dit qu'elle trouve encore plus jolie, la rassure : « Tu n'auras les cheveux coupés que pendant les vacances et on te trouvera une perruque pour le retour si tu le désire. Tu reprendras ton travail avec un look diffèrent c'est tout. Après tu inventes ce que tu veux, ... Un pari par exemple. » explique-t-elle « oh oui... comme tu es belle » ajoute-t-elle en lui embrassant les joues, les paupières, effleurant, caressant son crane merveilleusement lisse.

Les émotions sont si fortes qu'Hortense enserre de ses bras la grande, recherche inconsciemment son amour. Emma est agréablement surprise de cet épanchement. Aussi elle positionne ses lèvres juste au-dessus de celle d'Hortense, patiente et ouvre la bouche pour accueillir la langue venir se nourrir d'elle. Emma est aux anges.

Devant la grande glace de la chambre, Hortense voit pour la première fois son image et toutes sortes de pensées lui traversent l'esprit. Elle ne sait que penser de son degré de soumission, de la dépendance aux perversions mais constate l'état d'excitation dans lequel elle se trouve encore. Bien sûr elle appréhende les regards sur elle, l'image qu'elle va renvoyer, le jugement de ses proches et surtout l'avis d'Olivier, et pourtant, jamais elle n'aurait pensé se trouver aussi bien aujourd'hui, aussi belle ainsi rasée.

Olivier est derrière elle, fasciné, ému, amoureux. Nu, il se colle dans son dos, les deux mains en reconnaissance sur son corps

« Regarde comme tu es magnifique.... Tu es incroyablement désirable ... je t'aime ma chérie. »

Les mains ne restent pas en place, sur le crâne qu'elles caressent, sur le visage qu'elles enveloppent, sous les seins qu'elles offrent, dans l'intérieur des cuisses qu'elles effleurent et sur la chatte qu'elles cajolent.

« Tu es brulante. ... tout comme moi ... touche ... tu vois comme tu m'excites! »

Il lui prend le poignet qu'il fait passer dans son dos, pour orienter les doigts vers son sexe et ensuite la retourne, la pousse sur le lit.

*****************

Hier soir Olivier l'a regardé comme si elle était une déesse et cela l'a rempli de joie, elle ressent un sentiment de fierté d'avoir pu traverser ce moment difficile pour lui. Elle se demande néanmoins si elle pourra vivre caché avec son frère tout en assumant ses secrets. Olivier est la personne à laquelle elle fait totalement confiance, cependant elle redoute le jour ou une personne découvre leur secret.

En se regardant dans le miroir ce matin, elle ressent une certaine honte de s'être laissée raser mais en même temps, tout ce qu'elle peut voir, ce sont ses seins fermes, ses aréoles gonflées d'excitation et ses mamelons durs de désir. Elle se souvient de la façon dont le temps s'est arrêté lorsqu'Emma a commencé à la tondre, le flash lumineux au bruit de la tondeuse. Elle aurait pu se rebeller mais son corps n'a pas répondu. Même si elle est encore incrédule que tout cela soit arrivé, il y a une partie d'elle qui se sent incroyablement excitée de s'être laissé entraîner aussi loin comme si son moi intérieur avait toutes ces attentes tapis au plus profond d'elle.

Son esprit est sous le choc d'un million de choses différentes qu'on pourrait lui demander de faire et elle est également terrifiée et excitée par chacune d'entre elles. Cependant Hortense ne peut pas penser à une seule raison pour laquelle elle pourrait objecter.

Hortense appréhendait la première journée avec sa nouvelle tenue, le regard des colocataires. En définitif rien ne s'est passé tel qu'elle l'a imaginé. Anne-ka et Julie lui ont simplement dit que sa nouvelle coiffure lui allait à merveille. Aussi ce matin Hortense est descendue sans appréhension, seulement avec l'inconfort de ses fesses encore douloureuses.

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La fin du confinement se précise. Normalement dans une quinzaine de jours les mesures strictes seront levées. Les colocataires s'y préparent avec la rentrée en classe pour Olivier et Anne-Ka, le nouveau travail pour Hortense, ainsi que le retour à leur poste pour Emma et Julie. Tout le monde se réjouit.

En ce milieu d'après-midi, l'ensemble des amis ont décidé d'aller se baigner. Certes il ne fait pas encore aussi chaud qu'en plein été, le thermomètre n'indique que 25 degrés et l'eau sera certainement vivifiante, mais tout le monde a trouvé l'idée excitante. Se tremper, plonger, s'ébattre dans l'eau et s'allonger au soleil.

A quelques jours de leur départ, Emma saisit l'occasion pour dire à Hortense qu'elle peut enlever son collier. En effet, la grande veut la tester sans cet artifice, elle projette de le faire à la rivière.

A quinze heure Julie, Anne-Ka et Olivier franchissent la porte du clos. En passant par le jardin, ils peuvent traverser directement le petit bois pour atteindre le cours d'eau. Emma et Hortense les rejoindront quelque temps plus tard. La grande a demandé à Hortense de la rejoindre dans sa chambre.

« Tu es prête! » lui dit-elle en la voyant. « Tiens je t'ai trouvé un nouveau plug » ajoute t'elle

Hortense est affolée par l'objet qu'Emma lui montre. Son vagin devrait être bien lubrifié pour le recevoir aussi elle a beaucoup de mal à s'imaginer ce gros plug passer son petit trou. Elle en attrape une sueur froide.

Au bout de dix minutes de trajet sur le chemin, Emma remarque l'inconfort de la Bordelaise. Il est vrai que le jouet, plus en accord avec la grosseur d'Oliv est plus important et aussi plus grand que le dernier. Emma a choisi ce modèle en silicone pour ses dimensions mais aussi pour la surprise qu'elle réserve à Hortense lorsqu'elles seront à la rivière. Elles n'ont que huit cent mètre à faire pour tomber sur la berge. Cet endroit très peu connu ou les rares personnes qui s'y aventurent sont des locaux.

« Retourne-toi ma belle que je vois si ton bijou est toujours en place... ah oui il est bien visible. »

Ces paroles font l'effet d'une bombe sur le visage d'Hortense, du rose foncé elle passe immédiatement au rouge carmin.

« Aller on y va » lui dit-elle en lui donnant une petite tape sur les fesses.

En avançant, Emma aperçoit leurs amis dans l'eau. Hortense s'arrête, un frisson lui parcourt le dos. Le duo rejoint bientôt leurs amis et ils s'ébattent dans l'eau jusqu'à ce que la fatigue les gagne. Tout le groupe sort ensuite pour s'allonger et se réchauffer car l'eau est tout de même froide. Emma et Hortense trouvent un endroit sur le haut de la berge qui leur fait envie, un renfoncement entre les arbres. Installées elles sont à quelques mètre de la rivière avec derrière eux un abri naturel. Quant à Julie et Anne-ka, elles sont allongées sur un grand drap de plage un peu plus loin sur la droite et Olivier seul, près du bord de l'eau.

De retour sur leur emplacement les filles s'enduisent de protection. Hortense, voyant qu'Emma a terminé le côté face, lui propose son aide pour faire le dos, puis naturellement la grande s'occupe ensuite de la sœur. A genou l'une en face de l'autre Emma plonge ses doigts dans le pot de crème à bronzer en met sur ses deux mains et étale en caressant le visage le cou et finit par le crâne. C'est avec ferveur qu'elle passe plusieurs fois sur cette zone toute lisse. Elle lui demande ensuite de s'allonger sur la serviette, pose la main sur son dos, lui dégrafe le bandeau, dénoue les cordons du string et lui applique la protection sur tout le corps. Au début elle est très professionnelle, mais rapidement ses mains reviennent plusieurs fois sur la peau déjà enduite, massent et caressent le doux épiderme.

Hortense réalise la perversion de la scène qui se déroule à son insu. Elle sait que le plug est bien visible. Elle est traversée par des sentiments contradictoires. La colère contre elle-même de s'exhiber aussi vulgairement et l'impuissance à résister. Il lui arrive de penser qu'elle ne devrait pas se comporter de cette façon cependant elle ne veut pas pour autant renoncer aux plaisirs si intenses qu'elle vit depuis ces dernières semaines. Toute son enfance, son adolescence et ensuite sa vie d'adulte elle s'est conformée au bien-pensant, alors maintenant elle veut être elle-même, se laisser porter par le plaisir. Avec cette pandémie elle a entrevue la mort s'insinuer dans ses pensées, la crainte de mourir jeune, aussi elle veut profiter maintenant, sans attendre, des plaisirs de la vie.

« Quel mal y a-t-il à vivre ses fantasmes si cela ne fait de mal à personne. Quand j'aurais fait le tour, je pourrais toujours revenir à ma petite vie sage » pense-t-elle.

Or à aucun moment elle ne songe qu'Emma peut la maintenir en état de dépendance et la pousser toujours plus loin sans billet de retour. Emma a bien cerné les attentes d'Hortense, ses envies cachées, le trouble et l'excitation face à la perversité, l'obéissance et la soumission.

« Tu es si belle nue et imberbe comme au premier jour... tu ne te rends pas compte à quel point tu es attirante et sexy. Quand je te regarde je craque. » lui murmure t'elle « Il y a des moments où je me demande s'il est prudent de te laisser en liberté, s'il ne faudrait pas t'enfermer » susurre-t-elle mi-figue mi-raisin.

Emma enjambe le corps d'Hortense et se place à cheval, genoux de chaque côté du postérieur en position semi assise sur les hanches. Elle se penche, puis étale la protection en commençant par le mollet. Elle remonte vers la cuisse en passant plusieurs fois sur celle-ci, remontant très haut jusqu'à l'entre jambe. Elle répète son manège sur la deuxième jambe en prenant son temps. Olivier est captivé par ce massage érotique. Il aperçoit même par intermittence l'abricot ouvert. Emma constate combien son travail est apprécié. Elle continue sur sa lancée. Elle dépose une noix de crème sur chaque fesse, ainsi ses deux mains libres, elle peut masser les globes dans tous les sens, les deux paumes dans l'intérieur des cuisses remontant sur les fesses ou encore sur chacune d'elles, positionnées sur le haut du postérieur et descendant simultanément sur les côtés. Appuyées légèrement sur cette chaire tendre les mains dévoilent régulièrement, une pierre verte nichée au cœur de la vallée.

Les filles et Olivier ont rapidement identifié l'objet, celui-ci révèle sans conteste la présence d'une forme plus importante enfoncée dans le rectum d'Hortense. La tension est perceptible. Les femmes, apprécient la lubricité de leur hôtesse, quant au frère, il ne pense qu'à se ruer sur sa sœur pour lui faire subir tous les outrages.

La Bordelaise n'est pas insensible aux agissements d'Emma. Le passage des mains sur l'intérieur des cuisses comme le massage des fesses l'électrisent. Son corps l'abandonne., humiliée par cette posture forcée, honteuse d'être malgré tout excitée, elle est incapable de réagir.

Hortense se doutait bien que la grande allait lui réserver une surprise. Elle pensait que l'exhiber lui suffirait, mais non! à l'énoncé du scénario elle accuse le coup, son pouls augmente, partagée entre honte et excitation.

C'est à ce moment qu'elle repense au plug, le bijou qu'elle avait oublié pendant quelque temps se rappel à son souvenir, il bouge tout seul. Emma vient de le mettre en route, la première position est enclenchée. Pendant ce temps elle continue à enduire le dos de sa soumise puis s'intéresse à ses fesses qu'elle malaxe copieusement. Hortense souffle et commence à ressentir tous les effets du plug depuis son départ. Avec un diamètre à l'anneau de trois centimètre, l'anus est déjà fortement sollicité, le rectum envahi, aussi lorsque la grande passe au niveau deux, la Bordelaise gémit.

Pendant une ou deux minutes Emma laisse Hortense gémir et se tortiller puis arrête la télécommande. Elle veut voir si en plein air et sans son collier, sa belle réagit à ses demandes. Satisfaite, elle s'assoupi.

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Revenus vers dix-huit heures, tout le groupe est parti prendre une douche puis chacun s'est occupé du repas du soir. Comme il fait encore clément Olivier propose de faire des grillades. Emma suggère d'installer le barbecue près de l'établi afin de manger dans celui-ci et de profiter de la musique avec la porte ouverte. Ce n'est bien sûr qu'un choix délibéré. Elle prévoit une fin de soirée amusante.

Après avoir mangé et bu de façon irraisonnable, tout le monde est joyeux, personne n'est disposé à aller se coucher. Et justement ce n'est pas dans les projets d'Emma. Elle se rapproche d'Hortense, celle-ci est euphorique au milieu de la pièce. Elle danse avec Anne-Ka sur un Reggae de Bob Marley. La musique est forte et envoutante.

« J'aime te voir danser... Et si tu nous faisais un petit show » lui dit-elle en la regardant avec son regard perçant.

«!!!!!??? » Hortense est surprise par les paroles d'Emma.

« Déshabille-toi et montre-moi » insiste Emma plus sèche en lui relevant le menton de sa main.

Hortense frissonne. Elle a quelques instants d'incertitude puis sous le regard acier de la grande, honteuse de s'exhiber devant tous ses colocataires, elle obéit. Sur un nouveau morceau de musique du Rasta, fébrilement elle se dénude complétement et continue à danser sous l'insistance de la blonde. Au milieu du morceau elle voit cependant apparaitre dans les mains de la grande le collier qu'elle ne tarde pas à lui poser sur le cou.

« Ferme les yeux ma belle... j'ai une surprise pour toi »

Le cœur palpitant elle attend quelques instants, puis se sent ceinturée par une ceinture haute en cuir de type médiévale ressemblant à un corset rudimentaire, tandis qu'une deuxième personne lui fixe des menottes au poignet. On lui met ensuite un bandeau et la force à ouvrir sa bouche pour lui insérer un bâillon boule puis délicatement, une autre personne lui relève un pied suivi de l'autre pour la chausser d'escarpins de quinze centimètres de haut. Ils ont des talons aiguille aussi la tenue est instable car Hortense n'en a jamais porté d'aussi hauts. Ensuite, Emma lui crochète une chaine à l'anneau de son collier et pour la première fois Hortense est réellement déstabilisée lorsqu'elle l'entend lui murmurer à l'oreille.

« Le jeu est celui-ci... sans un mot tu vas faire ce que je te demanderais. Je tends la laisse... tu me suis. Une petite tape avec la baguette te donnera des indications sur ce que je veux et si tu ne comprends pas je serais plus incisive. Tu vas voir ce sera très instructif et tu vas prendre ton pied ma belle.

La grande ne parle plus mais l'oblige à avancer en la tirant et lui donnant une légère frappe sur les fesses avec sa baguette. Si pour tout le monde, le jeu est fascinant, pour Emma cet exercice est bien plus. Elle veut soumettre Hortense au-delà de ce qu'elle imagine comme raisonnable. Sous le couvert d'un jeu pour tous, elle veut voir jusqu'où elle pourra emmener Hortense dans l'obéissance et la soumission. Elle essaye de la mener petit à petit à la privation de liberté, la pousser à lui demander dans un premier temps une période où elle serait en dépendance totale. Si le test se passe comme elle l'espère, lorsqu'elle sera chez Oliv, elle envisage de la convier à passer un long week-end en sa compagnie et l'amener à réclamer plusieurs jours de jeux ou Hortense serait totalement privée de liberté d'action.

Mais pour l'instant elle la conduit lentement vers l'extérieur. Hortense est déboussolée cependant elle s'évertue à ne penser à rien, seulement réagir aux impulsions d'Emma et garder sa stabilité. Au bout de cinq minutes à faire le tour de la cours Emma la ramène dans l'établi ou elle la positionne devant le podium. Avec des impulsions sur la chaine et des petites frappes judicieuses sur son corps, Hortense se positionne à quatre pattes sur le milieu du podium.