Confinement Bis Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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« Super » lui répond Emma. « Donc tout se passe bien! » Continue-t-elle. « Mais puisqu'on parle d'Hortense, tu as réfléchi à ce que l'on a évoqué »

« Oui, justement, depuis que tu as parlé de réaliser ce rêve, je ne fais qu'y penser. » réplique t'il « Je t'avoue que les nouveaux jeux avec Hortense m'excite énormément, j'ai bien peur d'être accroc »

« Oh mon biquet! le gentil Oliv est-il devenu pervers comme sa sœur » sourit Emma

« Eh... Comme toi! » s'esclaffe Olivier

« Pas faut... Alors, comme cela tu aimerais une soirée hot!»

« Ce serait top »

« Ok.... Mais si je l'organise, tu me donnes carte blanche, même si je pousse ta sœur dans ses retranchements... Au moins tu sauras ce qu'elle aime, ce qu'elle n'a pas osé te dire. Et puis si je me trompe tu seras dédouané... Mais il n'y a aucune raison que cela se produise, et puis ce n'est qu'un jeu n'est-ce pas! En tout cas je suis certaine que tu seras surpris par le comportement de ta sœur »

« Et quand voudrais-tu que cela se passe? »

« Oooooh, en plus Monsieur est pressé... T'inquiète, je te charrie.... Ecoute je pense que si l'on se donne une semaine, on aura le temps pour tout préparer. »

« Ça marche »

Une semaine c'est le temps qu'Emma à besoin pour préparer le scénario, agencer le lieu et aussi discuter avec Hortense. Cela fait quinze jours qu'elle la voit porter le petit collier et cela à l'air de lui plaire. Elle l'a même vu porter des tenues qu'elle n'aurait jamais imaginé sur cette femme. Elle la trouve magnifique en garce tentatrice. Elle change à grande vitesse. Cependant Emma pense que semer encore le doute dans l'esprit d'Hortense, partager sa vie avec Olivier n'est pas encore acquis, peut encourager la sœur à se dévoiler encore plus, peut semer la confusion et amener la belle à franchir d'autres étapes. Emma doit aussi lui rappeler son idée de tatouage, comme elle a tout son matériel avec elle cela ne pose aucun souci.

***

Dans l'établi

C'est le grand soir, Ils sont tous les trois réunis dans L'établi.

Ce petit bâtiment de quatre mètres sur six est accolé à la grange. Au départ il servait de remise mais il y a trois ans les parents ont entamé des travaux de rénovation pour transformer cette pièce en chambre d'hôte. L'isolation, l'électricité et les arrivées d'eau sont terminés, une porte est même posée sur un mur percé donnant sur la grange.il manque seulement la salle de bain et le carrelage avec évidemment l'aménagement intérieur. Il n'a fallu qu'une semaine à Oliv et Emma pour débarrasser, ranger, nettoyer la salle et l'agencer pour leur soirée. La pièce est pratiquement vide hormis deux fauteuils club placés à chaque extrémité, une petite table, une vieille commode et au milieu de la place, trois ballots de foin ceinturés ensemble. Emma les a recouvert d'une couverture. Ainsi disposés sur le béton brut ce podium de fortune est à la fois stable et moelleux.

Emma est arrivée en premier pour allumer des bougies, mettre une musique d'ambiance et accueillir Hortense. Entré en deuxième, Olivier reste sans voix devant la grande, ébahi par la transformation, ébloui par la tenue, fasciné par le personnage qu'il renvoie. Manipulatrice, Emma a conscience que le comportement, l'ambiance, l'atmosphère, le conditionnement concourent au but que l'on se fixe. Aussi pour l'occasion elle porte un corset noir sur une minijupe en cuir de même couleur, des bas resilles, des bottes montantes assorties, un masque papillon et couronnant le tout, une cravache dans la main. Bluffé, Olivier réagit tout même, il fait rentrer sa sœur, ferme la porte puis enlève le bandeau d'Hortense. Celle-ci est statufiée.

« Déshabille toi Hortense » demande Emma d'un ton ferme.

« .... »

« On ne t'a pas forcé à être ici, ou tu restes où tu pars. Mais tout a ses conséquences. » explique calmement Emma. Le souffle court, Hortense n'arrive pas à penser correctement, elle est déstabilisée.

« Tu restes? » insiste la grande devant l'indécision de la brune.

« Oui » finit par dire mollement Hortense.

« Bien... A poil j'ai dit » reprend sèchement Emma. Fébrile, la sœur obéit. La grande sait qu'elle a gagné, l'étape la plus importante est passée, elle va pouvoir dérouler son plan.

« Tu es une fille obéissante, c'est bien. » Hortense est interloquée mais ne réagit toujours pas aussi quand la grande lui demande d'avancer, elle marche comme une somnambule puis se tient droite les bras ballants, le regard fuyant. « Que m'arrive-t-il, je n'arrive pas à le croire! Je fais tout ce que me demande Emma. Elle me commande, me rabaisse, m'humilie et je trouve cela normal, j'en ai même des picotements de plaisir. J'ai l'impression de vivre un rêve cependant, je ne peux ou ne veux me réveiller »

« Je vais t'expliquer les règles que tu devras suivre. Je demande, tu obéis. Tu ne bouges ou ne parles sans mon autorisation et enfin, tout manquements seront punis, est ce que je suis clair? »

« Oui »

Schlick, répond Emma immédiatement. La cravache s'abat à la vitesse de l'éclair sur les fesses de la brune, surprise, elle crie.

« Je ne t'ai pas dit de parler. Un hochement de tête est suffisant... arrête de te tortiller... là c'était un avertissement, ne m'oblige pas à te punir, tu risques de t'en rappeler. » précise-t-elle d'un ton froid. Emma la regarde attentivement puis lui tourne autour en laissant une main survoler son corps, une main qui caresse la peau douce, flatte les fesses, palpe la poitrine, pince les tétons et puis elle s'arrête en face de la belle brune, saisit délicatement la chevelure, la tire fermement vers le bas, approche son visage et plonge son regard dans celui d'Hortense. Elle la fixe intensément pendant qu'elle lui place le manche de la cravache entre les cuisses. Hortense sursaute, le pommeau coulisse entre ses lèvres ouvertes. « Tu coules déjà! » s'exclame Emma en tenant la cravache entre leurs visages. « Ça promet! » lui dit-elle en la poussant sur le podium. « Masturbe-toi pour nous » lui ordonne t'elle sèchement « Non pas comme ça, allonge toi... Écarte les jambes, montre-moi bien ta chatte, je veux tout voir! » Les yeux fermés, les jambes flageolantes, Hortense cambre le ventre pour faire ressortir son sexe et se concentre sur des images sales afin de se masturber efficacement. Une main sur sa poitrine, l'autre entre ses cuisses elle souffle doucement. Il ne faut que quelques minutes pour enfin entendre des gémissements, deux doigts sont enfoncés profondément, ils battent maintenant furieusement l'antre baveuse alors que de l'autre main Hortense serre son sein gauche, étire son téton engorgé. Hortense est dans son monde.

« Regarde-moi salope... tu ne jouis que quand je te le dis » menace Emma. Captivée par le spectacle, elle oublie son copain, cependant lorsqu'elle entend du bruit derrière elle, Emma tourne son visage, sourit en apercevant Oliv vautré dans le fauteuil, le jogging descendu, la queue tendue entre sa main. Son regard est fixe. Une idée lui vient. Elle se déplace alors vers l'autre côté du podium, elle laisse négligemment la cravache caresser tout le corps en sueur puis ordonne à Hortense de se reculer. « Encore... met tes épaules au bord... oui comme çà, laisse tomber ta tête... là très bien... je n'ai pas dit d'arrêter de te toucher » prévient-elle en attrapant un téton et le serrant fort. « ouuuuuuuuch » Emma se retourne ensuite et se positionne prestement au-dessus de son visage, relève la tête de la brune pour la plonger entre ses cuisses. Les yeux d'Hortense reflètent l'affolement. « nonnnnn » s'insurge t'elle par réflexe Elle n'a jamais eu de tendance lesbienne, faire l'amour avec une femme ne l'a aucunement effleuré alors plonger dans l'antre féminin et lécher une chatte n'est pas envisageable. Amusée, Emma resserre sa prise et bloque instantanément les récriminations de la brune, la bouche collée à sa vulve trempée. « Aller mange-moi salope » ordonne-t-elle « dépêche-toi d'ouvrir ta bouche, sort ta langue et lèche moi » insiste t'elle en passant une main derrière son dos et pince férocement la tétine disponible. « ffffouuillle » crie Hortense. Contrainte elle se résout à satisfaire sa tortionnaire. Elle sort sa langue puis lèche timidement par obligation. Emma est aux anges. « Tu peux mieux faire! » récrimine Emma impatiente « Active toi sérieusement ou je t'arrache le mamelon » menace t'elle en malaxant toujours la poitrine de sa belle. Résignée, Hortense suce, lèche, la grande miaule, et puis insidieusement sa langue devient plus volontaire, inquisitrice, Hortense se surprend à s'appliquer, aspirer le jus dégoulinant, titiller le bourgeon découvert. Elle fait maintenant l'amour avec passion, elle se délecte du plaisir qu'elle offre. Folle, Emma écrase sa vulve sur la bouche qui la dévore « Aaaaaaaaaaaaaaaaaah » Son plaisir est divin. Elle s'écarte chancelante pour s'affaler dans le fauteuil. Pendant ce temps Hortense continue à se toucher, mais doucement car elle est au bord du gouffre depuis longtemps or sans l'autorisation explicite de la grande elle doit supporter son supplice. « C'était super ma belle... vas-y, tu peux jouir » Intime Emma essoufflée « Aaaaaaaaaaaaaaah » répond dans l'instant la brune.

Récupérant de son climax, Emma regarde Hortense allongée dans la position ou elle l'a laissé puis son regard est attiré par Olivier en train de boire. "Sa bite est molle, il a du bien profiter du spectacle, mon biquet "

Elle se lève pour prendre un verre d'eau et se dirige vers la sœur et invite Olivier à le rejoindre. « Ne bouge pas, tu es très bien là » précise-t-elle en lui caressant le visage « Tu es une bonne fille... j'ai vu que tu es une bouffeuse de chatte!» dit-elle. « Voyons comment tu t'y prends pour sucer une bite... il faut que je sois certaine que mon biquet soit satisfait de ta prestation » reprend elle vicieuse. Elle se met de côté et tout en tirant la chevelure vers le bas elle précise : « ouvre ta belle gueule » et se tournant vers son ami « baise lui la bouche mon biquet » Redevenu dur, Olivier s'empresse de rentrer sa queue dans la bouche grande ouverte. Il n'a jamais essayé cette position et le regrette. Non seulement il se sent en total contrôle, mais en plus il peut jouer facilement avec les seins et les lippes charnues. Pendant quelque temps il rentre et sort à un rythme régulier, faisant baver fortement sa sœur. Et puis la luxure faisant effet il ne peut s'empêcher d'être plus envahissant, plus exigeant, le gland tape plus souvent la glotte. Cependant Emma s'aperçoit qu'Hortense ne prend pas le sexe en entier. Elle s'insurge. « Avale bon dieu » la houspille t'elle en claquant les seins avec sa cravache. Hortense grogne. Les frappes sont retenues mais la brune se doute qu'elles pourraient être mordantes aussi elle Obéit, accroches de ses deux mains les fesses de son frère incline sa gorge et essaye de se détendre. Olivier sait que sa sœur peut l'engloutir, il l'a déjà vécu, aussi il tient fermement sa tête et pousse fortement par saccade quand tout à coup le passage s'ouvre et son gland rentre dans le gosier. Hortense tremble, suffoque, aussi il se retire. Il réitère plusieurs fois cette manœuvre, reste immobile plus longtemps à chaque essai et puis avec le liquide pré-séminal en abondance, le passage devient visqueux. Olivier est relativement prévenant au début, or maintenant il oublie toutes convenances, titillé par sa copine, pressé de se vider, surexcité par la position, l'animal en lui fait se déchaine. Le gland passe la barrière du larynx mais, il ne se retire pas comme avant. À la grande surprise d'Hortense et devant le regard extatique d'Emma il s'allonge sur sa sœur, attrape ses fesses et s'enfonce d'un coup de rein brutal. Emma est fascinée par la gorge déformée, elle est même ébahie par la distance parcourue par la grosse bite. Elle observe avec attention son ami ne plus quitter la gorge, se branler dedans comme un forcené gagnant quelques millimètres à chaque fois. Hortense griffe les fesses de son frère. Elle veut qu'il se retire, elle l'implore sans qu'il puisse la voir, et en même temps elle subit l'assaut invasif de trois doigts dans sa chatte. En effet la grande est entre ses cuisses limant furieusement le tunnel pendant qu'il rejette à flots continu du jus en abondance. Ce spectacle délirant captive et électrise Olivier, il n'a jamais connu ce plaisir, aussi sur un dernier coup de rein il éjacule, gueulant comme un veau. Ce fut le moment que choisit Emma pour accentuer le limage, elle s'agite comme une démente et lorsqu'elle aperçoit Hortense se tendre, vicieuse, elle pince le clitoris. La réaction est immédiate. Alors que le corps de la sœur se tend, la gorge bouchée n'émettant que des sons étouffés, elle repousse sauvagement son frère et expulse un long souffle rauque.

« Oh, mon dieu, que j'aimerai l'avoir pour moi toute seule, à mon entière disposition... Qu'elle belle salope... avec son air de ne pas y toucher... Obéissante à souhait, disponible, un collier en permanence à son cou avec une petite chaine accrochée... Cette garce m'excite, ce n'est pas possible! ... Enfin Anne-ka sera toujours là pour la remplacer et puis il y aura peut-être des soirées spéciales à Toulouse » songe Emma

Il faut au moins vingt minutes pour récupérer, Olivier cuve son orgasme dans le fauteuil alors qu'Emma observe Hortense en chien de fusil sur la couverture, elle respire doucement.

« Réveille-toi » dit-elle en frappant légèrement les fesses d'Hortense. « La fête ne fait que commencer » ajoute-t-elle. « Tiens bois » lui dit-elle en lui présentant un verre d'eau. Elle le repose sur la table ensuite lorsqu'il est vide. « A quatre patte! je veux voir ton cul » ordonne-t-elle. Elle fait siffler la cravache en lui rappelant son erreur « Tu croyais que j'avais oublié »

Hortense se retourne et se met à quatre pattes, tremblante. Huitisch, « aaarrrggh » crie Hortense en s'affaissant. Elle pose la tête entre ses bras.

« Je t'avais dit que je ne supporte pas que tu désobéisses » crie t'elle furieuse en abattant sans retenue la cravache »

Huitisch , Huitisch ,

« Si tu as un problème avec l'obéissance, moi je vais t'éduquer sérieusement ma fille » continue Emma en levant à nouveau la cravache et zèbre avec une rapidité impressionnante.

Huitisch , Huitisch

« Je vais t'apprendre la discipline »

Huitisch , Huitisch

« Je vais te dresser »

Huitisch , Huitisch ,

« Tu vas finir par écouter ce que je te dis ».

Huitisch , Huitisch ,

« Et tu obéiras sans sourciller je te le promets »

Hortense hurle sans arrêt pendant l'invraisemblable correction

« Est- ce que j'ai toute ton attention » fulmine-t-elle.

« ...... »

Huitisch

« Je voudrais t'entendre me le dire »

« Oui ...snif, snif »

« Je dois continuer ou tu as compris »

« J'aiiii commpriiiis » lui répond-elle en hoquetant. Emma jette sa baguette.

il faut plusieurs minutes à Hortense pour étouffer ses sanglots or sa respiration reste saccadée, elle a du mal à retrouver son calme. C'est une poupée en larme quand Emma la retourne doucement, la rassure, lui dit qu'elle n'aime pas utiliser la cravache, qu'elle l'aime et avec ces douces paroles promène sa main sur son corps. Vicieusement elle vérifie aussi ce qu'elle avait anticipée en posant la main sur sa chatte. Le doigt est immédiatement aspiré par la vulve bouillante et trempée. « Oh, vilaine tu mouilles » constate-t-elle sans surprise. Elle enlève alors son collier et lui annonce. « Voici ton nouveau bijou » Hortense ne réalise pas ce qui se passe. Elle regarde Emma hébété.

« Quoi? j'ai rêvé! tu ne m'as pas léché avec gourmandise!... Et puis quand je t'en ai donné l'ordre, tu ne t'es pas fait jouir instantanément!... Réponds-moi » dit-elle agacée

« Ouiii » dit doucement Hortense

« N'as-tu pas joui quand ton frère t'a baisé la bouche! » insiste t'elle vicieuse.

« Siiiii » murmure t'elle

« Eh bien à chaque fois, je t'ai obligé, oui, je t'ai forcé... tu aurais pu m'arrêter mais tu ne l'as pas fait, le plaisir que tu ressens est tellement fort qu'il justifie tout... Tu vois c'est assez simple, au début tu as eu un choc en constatant tes nouveaux désirs, tu étais dans le déni. Ensuite tu t'es révolté face à tes nouvelles envies, tu étais en colère et puis tu t'es posé beaucoup de questions ; c'est la période du marchandage : si je suis comme cela que diront les gens, si je ne pense plus à ces envies, elles vont disparaitre. Tout cela t'a amené à une autre phase, la dépression. Tu t'es remis en question, tu portais une grande tristesse. Et puis il y a la dernière phase, celle que tu vis aujourd'hui, l'acceptation. La vie peut être réorganisée en fonction de ta vraie nature à présent acceptée. » Explique calmement Emma assise à côté de d'Hortense allongée.

« Oui je te pousse, mais ne sois pas inquiète tu pourras avoir une activité normale et dans l'intimité vivre selon ton choix. Ton frère est tellement amoureux de toi qu'il sera toujours là pour te protéger. Il était un peu déboussolé quant à son attitude à tenir envers toi, aussi on en longuement discuté. Je suis ici pour l'aider à mieux te connaitre et te révéler sans faux fuyants. Tu es une amie que j'adore depuis longtemps et ce n'est pas la partie immergée de l'Ice berg qui me feront changer d'avis. Tu dois accepter la garce, la salope dépravée qui se cache derrière la femme bcbg que tout le monde connait. » continue-t-elle.

« Donc il te faut un collier pour ton nouveau statut et tu le garderas pendant tout le confinement... On est d'accord? » poursuit elle

« ouuuui » murmure Hortense vaincue.

Les yeux agrandis elle observe Emma lui mettre ce tour de cou bien plus imposant que le premier. C'est en effet un collier massif en cuir épais de cinq centimètres de haut auquel Emma a enlevé la cloche et ajouté un cadenas. Il appartenait à l'une chèvre nommée Gentille par les parents. Et d'ailleurs le nom apparait encore gravé dans le cuir. Il se voit facilement « le nom te va à merveille en plus » rajoute t'elle « Et dorénavant lorsque tu porteras ce collier, quel que soit l'endroit ou quelle que soient les personnes en ta présence, moi comme Oliv t'appelleront Gentille. Ne t'inquiète pas il n'y aura que nous deux qui pourront prononcer Gentille. » précise-t-elle. « Il faut que je répète ou tu as bien compris... je veux t'entendre » insiste Emma

« Oui... j'ai compris » murmure Hortense assommée. Elle tremble en pensant aux paroles d'Emma, aux conséquences évoquées.

Emma se dirige vers la table pour boire un verre d'eau, regarde Olivier, lui fait un clin d'œil et ensuite, la cravache en main elle reprend son rôle de dominatrice en s'adressant à Hortense. Elle lui ordonne de se remettre à quatre pattes, les bras allongés devant elle. « Relève ton cul et écarte tes cuisses... Oliv m'a dit qu'il ne t'avait jamais sodomisé. Ceci dit avec le monstre entre ses jambes, je te comprends... ceci dit, une femme qui ne se laisse pas enculer par son homme ne l'aime pas vraiment... ne t'inquiète pas je vais te préparer correctement... je vais t'éduquer ma fille! ... et puis bon gré mal gré Olivier finira par t'enculer. Il forcera ta rondelle, modèlera ton colon et te graissera le boyau... tu seras heureuse. » Emma emploie des mots particulièrement salaces et vulgaire car elle veut choquer, déstabiliser Hortense. « Ton cul ne pourras plus se passer de sa grosse bite » affirme-t-elle.

Hortense suffoque, les termes employés sont crus cependant, humiliée et honteuse elle ne peut s'empêcher d'être excitée.

Hortense appréhende lorsque Emma la rejoint sur le podium. Son corps entier picote d'anticipation, mais elle ne bouge pas, les yeux fermés, son corps attentif enregistre chaque mouvement. Elle respire fort en constatant la grande saisir ses fesses et les écarter, halète quand elle sent le souffle chaud sur ses joues puis souffle et laisse échapper un cri lorsqu'Emma passe la langue sur son œillet plissé. Celle-ci peut entendre la sœur gémir alors qu'elle répète l'action et son étoile tremble d'anticipation alors qu'Emma la lèche, la titille. Enfin Hortense couine de plaisir lorsque la rosette s'ouvre et laisse la langue caresser son anneau. Emma admire le spectacle, aimant la sensation de puissance.