Confinement Bis Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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Sa sœur habillée, il lui met un bandeau et descendent ensuite.

La grange est une construction typique de la région, une toiture culminant à plus de huit mètres, d'immenses portes battantes de quatre mètres de haut chacune sur le pignon et une porte d'accès sur le côté. C'est par là que passent Olivier et Hortense. Instantanément ils sont accueillis par l'odeur d'été qui embaume les campagnes en juin ; le foin. Même avec une fraicheur de fin d'hivers de douze degrés, l'atmosphère leur rappelle les grandes vacances, un moment où ils fabriquent des cabanes avec des bottes de foin.

Ce soir les jeux seront différents!

« Allez viens ma grande sœur, je vais te montrer ce que je te réserve » annonce Olivier en conduisant Hortense par le bras vers le centre de la grange. Il lui prend les deux mains et les rassemble par une corde fine liée solidement aux deux poignets. Elle tremble d'excitation. Là au milieu d'une grosse poutre en chêne un palan est fixé avec au bout de celui-ci une petite chaine se terminant par un crochet. Il se saisit de la chaine et accroche les poignets au crochet puis tire le câble du palan pour tendre légèrement les bras vers le haut. Ensuite, il écarte ses jambes et attache sur un manche en bois d'un mètre les chevilles à chaque extrémité. Olivier tire à nouveau sur la corde du treuil pour tendre le corps de sa sœur en prenant soin que ses pieds soient bien à plat sur le sol. Il prend alors une paire de ciseaux de sa poche et découpe une ouverture dans le sweat. Il lui faut quelques minutes pour faire apparaitre chaque seins, l'entreprise est délicate, il ne veut en aucun cas couper sa frangine. Il n'arrête pas d'être distrait alors que les mamelons montent et descendent avec sa respiration rapide. Hortense souffle fort mais ne dit rien. Oliv se recule d'un pas et regarde son travail. L'image est plus époustouflante que ce qu'il avait imaginé. « Tu es magnifique ma chérie!... Et ces seins! ils demandent de l'attention... » s'exclame t'il. « Oh mais ils me parlent ... tes bouts sont tout dur » ironise t'il. « J'ai envie de les sucer mais c'est encore trop tôt ». Il se rapproche de sa sœur et à deux mains il descend le jogging. Il n'est pas tout jeune, les élastiques de la ceinture sont fatigués aussi il n'a aucun mal à le descendre au niveau des cuisses, la chatte découverte, le joufflu complétement dégagé.

« Je vais avoir froid » dit Hortense amusée.

« Ah oui c'est vrai... Je vais devoir faire quelque chose... » répond-il hilare. Il prend alors une planchette et lui frappe légèrement les fesses. « Tu penses que j'arriverai à te réchauffer » reprend-il.

« Je ne sais pas! » murmure t'elle joueuse.

« Laisse-moi te convaincre » Olivier assure alors sa prise et commence à frapper doucement les fesses pour qu'elle s'habitue puis comme un métronome il abat son morceau de bois plus fortement. Elle se tortille et gémit à chaque claque. Olivier fini ensuite par une dizaine de coups incisifs alors qu'elle se tord à chaque impact et crie de douleur. Olivier fait le tour. « Elle est encore plus sexy totalement rasée » il est en extase devant chaque détail de sa chatte béante, électrisé face à l'humidité visible, enivré par les effluves. Il est tellement surexcité maintenant que si elle lui demandait d'arrêter il ne pourrait pas.

D'ailleurs en regardant son visage incliné il remarque que l'écharpe s'est légèrement détachée et en dessous, il aperçoit le collier. Une décharge électrique parcourt son corps.

« Que vois-je... un collier!» lui dit-il en retirant l'écharpe. « Madame s'encanaille! »

« Oh » réagit Hortense en rougissant. Elle n'envisageait pas que dévoiler son tour de cou puisse l'affecter autant. Elle sait qu'elle ne peut faire marche arrière.

« Eh bien, voyons si le petit frère est à la hauteur...Tu sais que tu es magnifique! » lui dit-il en retirant l'écharpe. Il se recule et ajoute :« Je vais mettre une règle à notre jeu ce soir » Elle le regarde, ses yeux pétillent, sa respiration devient plus rapide.

« Je ne veux t'entendre sous aucun prétexte ». dit-il plus ferme. Hortense acquiesce de la tête. « Attention si tu désobéis, je devrais te mettre le bâillon et te punir... tu es bien d'accord! » Elle secoue de nouveau la tête, mi inquiète, mi intéressé. Immédiatement il a vu ce regard, un regard lointain. Cela n'a duré que quelques secondes, mais il l'a surpris. Elle n'aime pas être muselée. « Du coup, tu ne pourras pas me dire ce que tu attends... je vais devoir deviner » dit-il taquin.

"Hey sœurette, tu es prête pour la suite?" Il tend la main et la place autour des seins fermes. Il saisit son mamelon et lui donne une pression, elle laisse rapidement échapper de l'air entre ses dents serrées. Il lève les yeux vers son visage et ce qu'il voit est une pure extase. Il est peut-être lent, mais il sait quand une femme est excitée. Il oublie alors d'être gentil et commence à presser plus fermement les tétons. Elle laisse échapper un gémissement profond tout en gardant les lèvres fermées. Son gémissement l'excite, il tire fort sur le mamelon. Il se positionne ensuite sur le côté pour que son sein gauche soit également à sa disposition, se penche et suce le téton comme un bébé affamé. « Ouuuuuch..mmmmm » Sa sœur a les yeux fermés et semble être dans un monde différent, un monde ou la douleur se mêle au plaisir.

Et je jeu ne fait que commencer. Olivier se détache de sa sœur et prend une baguette et commence à fouetter l'espace devant sa frangine. Il fait semblant de pratiquer mais en réalité il veut juste qu'elle le voit, qu'elle appréhende le moment ou la baguette s'abattra sur elle. Elle ouvre les yeux, le regard est voilé, elle tremble d'excitation. Il s'éloigne légèrement et laisse le fouet caresser sa poitrine. Elle grogne et gémit rien qu'en pensant à ce qui peut lui arriver. Il a attendu d'avoir toute son attention puis a levé la canne et frappé légèrement ses seins et ses mamelons « aiiiiiiilll » le petit cri ne fait que griser Olivier. Il frappe la chair tendre encore et encore, la lutte contre ses liens est devenu plus frénétique et désespéré, mais peu importe à quel point elle lutte, elle reste toujours liée et impuissante.

Alors très doucement, Olivier laisse le bout de son doigt caresser le clitoris. Elle laisse échapper un halètement profond et ouvre à nouveau la bouche dans un "O" parfait. Il retire rapidement son doigt avant qu'elle ne puisse être sûre que c'est un contact et le place dans sa bouche. "C'est meilleur que le miel " pense t'il. Son humidité est comme une drogue plus douce que n'importe quel parfum ou fleur, le sang dans la bite d'Olivier pulse au rythme de son cœur. Il a l'impression qu'elle essaye de déchirer son pantalon pour s'échapper.

« Alors ma sœur est particulièrement vilaine ce soir » dit-il tout sourire en tapotant le sein droit avec sa canne. « Ah » Hortense le regarde avec interrogation. Oliv fait la même chose au deuxième sein. Sa sœur souffle. Et puis, le regard lubrique, il caresse, malaxe la chair laiteuse, tire sur le téton et tapote ensuite avec la baguette. Plusieurs fois il réitère son manège pendant que sa sœur essaye de maitriser sa respiration. Elle ne peut empêcher sa poitrine de s'affermir, les tétons de durcir. Olivier jubile en pensant à la suite. Hortense écarquille les yeux quand elle voit apparaitre deux pinces à linge dans la main de son frère souriant de l'effet produit. « Nooon, Tu ne vas pas »

Schlack la baguette vient de s'abattre sur ses fesses.

« ouuuuiillll » crie Hortense

« On ne parle pas ma sœur .... Tu veux que je te mette le bâillon »

« Non... mais ça va faire trop mal » ne peut s'empêcher de dire Hortense. On ne peut s'empêcher de penser qu'elle provoque son frère, qu'elle l'oblige à tenir sa promesse en désobéissant. Aimera t'elle les morsures, la douleur.

Schlack Schlack , les deux coups sont incisifs.

« ouuuuuuuiiiillll » hurle Hortense.

Olivier fait le tour de sa sœur et comme il l'a prévenu, lui fixe le gag-Ball. Elle secoue la tête mais rien n'y fait, le bâillon est installé. Olivier retourne ensuite devant sa sœur et montrant les pinces, il serre, étire le mamelon puis lorsqu'il est dur comme un caillou, place la pince sur celui-ci. Hortense se débat, cri dans son bâillon et ne peut retenir une larme perler sur sa joue. « La douleur va passer ma chérie.... Respire » -lui dit-il en s'occupant du deuxième obélisque. Elle supplie du regard mais Olivier poursuit son manège et lorsqu'il place la deuxième pince on entend un cri sauvage, étouffé certes par la boule dans la bouche, mais un son déchirant.

Olivier lui caresse le visage, l'embrasse et s'approchant de l'oreille de sa sœur lui murmure qu'elle va aimer. Il approche en même temps sa main de sa fourche. Il empaume la vulve brulante puis la caresse doucement et introduit deux doigts dans l'antre humide. « Je vais te faire du bien ma chérie » murmure t'il en la masturbant avec douceur. Hortense s'est légèrement calmée, la caresse l'apaise. Son attention est d'ailleurs de plus en plus détournée des élancements de sa poitrine, son frère la masturbe activement. Il s'écarte légèrement d'Hortense, la regarde et vicieux il la branle vivement. Il observe ensuite les changements qui s'opèrent. Au début elle grimace de douleur or maintenant elle halète. Elle halète d'autant plus qu'il bat son trou et par ricochet les pinces rebondissent. Plus Hortense halète, plus les pinces à linge rebondissent et les mâchoires en bois mordant ses mamelons semblent mordre plus fort C'est un cercle infernal. "Aaaahhhh," crie sa sœur dans une douleur insensée alors que son vagin est doigté avec force, ses pauvres tétons tourmentés par les petites horreurs en bois. Olivier remarque tout de même plusieurs signes de montée de la jouissance de sa sœur, elle gémit de plus en plus et sa main est trempée. Cependant il ne veut pas la laisser jouir sur sa main. Il varie l'intensité de la masturbation et interrompt sournoisement la montée du plaisir par de petite tapes sur les petits bouts de bois à chaque fois qu'il la sent prête à exploser. Cela met Hortense à fleur de peau, elle a les nerfs à vif. Quand Olivier la regarde elle ne l'implore plus, elle lui lance des éclairs de fureur. Son frère se conduit comme un tortionnaire de plaisir et il aimerait encore la faire attendre, cependant lui-même n'en peut plus. Il pourrait presque éjaculer rien qu'en la regardant.

Il délie donc ses chevilles avec empressement. Ses mains tremblent. L'excitation est tellement présente qu'il peut sentir la chaleur de son propre visage alors que le sang lui monte à la tête. Son cœur bat si vite que ses oreilles palpitent à chaque battement. Surexcité il baisse son pantalon puis le Jogging de sa sœur. Comme un fauve en rut il attrape chacune des fesses et la soulève énergiquement. Hortense a le regard qui scintille. Elle enserre automatiquement les jambes autour de ses reins et attend avec impatience qu'il la remplisse.

"Met là moi salopard, oh dépêche-toi " pense-t-elle. Son beau visage éclate d'un sourire, même une petite rougeur semble s'épanouir sur son visage. Il n'a jamais vu une femme aussi excitée. « Aaaaaahh » rugit elle lorsque le vit l'envahit d'une seule poussée. Olivier est aux anges, le fourreau est une fournaise. Il lui enlève d'une main le bâillon et lui dit « Oh bon dieu que tu es brulante » Et il entame d'amples va et viens, « Oh mon dieu que je t'aime » continue t'il en la frappant de plus en plus fort. « aaaaaaaaahh, ouuui, » Elle gémit et se débat. « Baise-moi fort mon amour aaaaaaaaaaah » Olivier donne tout ce qu'il a et le battement dans sa bite devient presque douloureux alors qu'il monte et descend frénétiquement. Il sait malheureusement qu'il ne va pas durer très longtemps. Son corps se raidit alors qu'il se prépare à se libérer, ses couilles le brulent aussi il pousse ses hanches aussi fortement que possible et sent son bâton taper contre l'utérus, ses yeux se voilent, Il explose. Impulsion après impulsion son sperme jaillit tandis que sa sœur baignée de sueur le rejoint « ouuuuuuuuuuuuui ». Elle brame à tue-tête alors qu'Olivier sent ses jambes faiblir. Dans un dernier baroud il la regarde en tirant rapidement les deux pinces. « ouuuuaaaaaaaaaaaah » hurle-t-elle alors qu'elle est au sommet de son orgasme. Une deuxième jouissance aveugle et délirante encore plus forte que la première l'emporte sur la douleur dans ses mamelons. Elle tremble de tout son corps.

Sur le trajet qui les ramène à la chambre, Olivier doit soutenir sa grande sœur et celle-ci, la tête sur sa poitrine lui murmure qu'elle a eu mal, « oui j'ai eu si mal » insiste-t-elle, « mais que je t'aime mon doudou »

***

Hortense prévoit dans la matinée d'approfondir ses recherches de travail. Elle a déjà quelques pistes sur la région Toulousaine, d'ailleurs cette après-midi elle a un rendez-vous en Visio, cependant elle veut se donner plus de choix. Lorsque ce matin elle est remontée dans sa chambre pour s'habiller elle est encore excitée. Emoustillée par les mains baladeuses de son frère, elle a du mal calmer les battements de son cœur.

Alors qu'elle préparait le café, son frère s'est glissé derrière elle pour lui mordiller le cou et ses mains se sont faufilé sous son haut de pyjama à la recherche de ses nénés.

« Oh, les tourtereaux, vous n'avez pas assez profité cette nuit. » s'exclame Emma en descendant les escaliers. Il avait fallu que sa copine Emma parle pour qu'Olivier se rassoit à table en riant.

Là maintenant devant l'armoire elle réfléchit à ce qu'elle va mettre. Machinalement elle caresse son tour de cou, un collier assez discret pour tous mais au combien chargé de symbole pour elle, un bijou qui occupe souvent ses pensées et ce matin il lui donne l'envie d'être coquine. Elle se rappelle qu'elle avait dans son armoire un legging et un sous pull qu'elle mettait pour faire du jogging au lycée. C'était son ensemble préféré quand elle faisait la folle avec ses copines. Or aujourd'hui lorsqu'elle met l'ensemble, il est beaucoup plus moulant que dans son souvenir. Si elle a n'a pas grandi depuis ses dix-sept ans, il n'en est pas de même pour sa taille et ses attributs. Ses hanches se sont élargies, ses fesses arrondies et sa poitrine ont pris du volume. Aussi lorsqu'elle essaye le legging push up celui-ci dessine outrageusement ses fesses. Cela la fait sourire cependant elle échange sa culotte qui se remarque beaucoup trop pour un string. "Au diable les convenances, on est entre nous. Si je dois mettre une tenue sexy, autant qu'il n'y'ait pas de marques." se dit-elle. Hortense accompagne alors son legging avec le micro string ficelle qu'elle mettait à cette époque. Elle choisit un soutien-gorge puis en enfile son sous pull manche longue. Mais là encore elle n'est pas satisfaite, elle se sent audacieuse. "Et si je mettais ce soutien sans armature... oh, je ne vivrais qu'une fois, autant aller jusqu'au bout... allez, pas de demi-mesure" dit-elle tout haut comme elle discuterait avec ses anciennes copines. Et sur cette réflexion elle enlève son soutien-gorge. Elle remet son sous pull sur son buste nu, "qu'il est doux". Elle se regarde alors dans la glace. Le rose pâle du haut sur le gris clair du bas est toujours tendance, par contre elle s'aperçoit que son legging fait pratiquement office de seconde peau. Il épouse ses formes, les dessine de la raie de ses fesses aux orbes pulpeuses sans oublier son orteil de chameau. "ooooooh ca fait tout de même un peu salope" se dit-elle. Et encore son regard ne s'est pas encore posé sur son haut. Quand il y arrive, elle ressent une chaleur envahir ses pommettes "OH! cela fait vraiment salope" ce sous pull en lycra est vraiment trop petit pour elle, il est si serré que l'on peut deviner exactement la forme de sa poitrine, sa consistance, son élasticité et bien sur le contour de ses tétines toutes dures pour l'occasion. Elle aurait mis un écriteau "baise moi" qu'il n'aurait pas pu être plus explicite. En descendant les escaliers, son collier bien visible au-dessus du col rond de son sous pull ne fait pas partie de ses pensées. Il est occulté au profit de sa tenue scandaleuse et ce que va dire Emma. "Pourquoi sa réaction m'est-elle devenue si importante" Hortense est sans conteste amoureuse de son frère, d'ailleurs c'est à lui qu'elle pense quand elle s'habille. Cependant elle discerne encore difficilement pourquoi son attention se tourne vers Emma quand il s'agit de son comportement, en quoi son jugement lui importe, a-t-elle besoin de son assentiment? Elle n'est pas spécialement préoccupée, néanmoins elle trouve cela nouveau.

Le confinement est un vase clos et quand il s'éternise il peut exacerber dans un délai raccourci les personnalités, du meilleur au pire. Pour Hortense, la mutation se réalise d'autant plus rapidement qu'Emma l'aide dans l'éveil de sa nouvelle sexualité. En fait on pourrait comparer l'importance d'Emma à celle de l'accélérant pour un feu. En effet l'accélérant, combustible ou comburant, est utilisé pour initier ou accroître l'intensité ou la vitesse de propagation d'un feu. Emma est la révélatrice pour Hortense et celle qui la conduit. Elle ne se rend pas encore compte de l'importance de la grande, la place de l'initiatrice, l'influence de celle-ci. Elle ignore encore le magnétisme qu'elle diffuse. Emma devient sa référente. Hortense recherche inconsciemment la fermeté, l'intransigeance et son subconscient lui dit qu'une femme pourra d'autant plus lui inculquer l'obéissance.

***

Comme souvent le matin, le travail d'Olivier est d'allumer le feu dans la cheminée du salon. Or il n'y a plus de bois, il doit sortir en chercher, ce qu'il fait en prenant avec lui le panier. Dehors il rassemble des buches de différents calibres alors qu'Emma sort. Elle propose de l'aider.

« Bonjour mon biquet, je peux faire quelque chose pour toi? »

« Pourquoi pas, je finis de remplir le panier et tu pourras m'aider à le rentrer »

« Quoi de neuf ce matin » lui dit-elle curieuse en saisissant une anse »

« Oh rien de particulier.... Ah si, j'ai fait un rêve troublant cette nuit »

« Oh... j'ai la vague impression que cela va me plaire! aller raconte-moi » supplie Emma impatiente.

« Je me rappelle d'une femme attachée les bras dans le dos, le pantalon troussé, les seins griffés, couchée à plat ventre sur un ballot de paille au milieu d'une immense grange. Sa bouche est grande ouverte à force de crier son refus »

« Oh ça commence fort mon biquet... Continue » s'impatiente Emma

« Cette femme crie à tue-tête, elle supplie de ne pas la violer. Mais une femme déchainée à côté d'elle invective les hommes de la forcer, Et puis je vois un male en rut qui se précipite sur elle. La brune hurle comme une damnée lorsque le dard énorme la transperce, puis rapidement ses fesses bougent à la rencontre du mat qui la perfore, son vagin aspire cette colonne qui la défonce et des flots de mouilles sortent à chaque va et vient. »

« Merde alors, tu as de sacrés rêves » déclare Emma « et tu t'es réveillé avec ton bois tout dur? »

« Évidemment! mais ce n'est pas fini » rajoute t'il

« Eh bien continue, tu m'excites mon salaud! »

« Oui, oui, ... donc je vois la femme qui continue à haranguer l'homme. Elle lui ordonne de bourrer la salope, elle l'adjure de la démonter, ce qu'il fait. Mais la femme est outrée lorsqu'elle s'aperçoit que la fille commence à prendre du plaisir, elle est furieuse, elle lui crie dessus, elle la traite de putain... c'est un peu confus dans ma tête, ce que je me rappelle enfin c'est la figure horrifiée de la fille lorsqu'elle entend la furie ordonner à l'homme de l'enculer ... c'est tout. Ensuite je me suis réveillé » conclu Oliv.

« Oh bon dieu! c'est chaud » commente Emma. « .... Mais tu sais.... Cela me donne des idées. » continue Emma tout sourire.

« Ah »

« Et si on réalisait ton rêve » déclare-t-elle. « Qu'en penses-tu? »

***

Depuis quelques jours les journaux télévisés donnent des nouvelles encourageantes. Si le nombres d'hospitalisations diminuent au même rythme, les autorités envisagent un déconfinement partiel. Dans trois semaines ils pourraient donc reprendre leur vie. Olivier ainsi qu'Emma sont tous les deux dans le jardin ils rient chahutent aussi, évoquent le retour chez eux. Naturellement la discussion dévie sur Hortense. Son copain lui annonce qu'ils ont le projet de vivre ensemble, sa sœur a déjà prospecté autour de Toulouse.